QCM de Léa Flashcards

1
Q

2 – L’approche différentielle a comme objectif :
a – uniquement une approche appliquée visant à élaborer des outils de quantification de l’intelligence et de la personnalité
b – uniquement une approche fondamentale visant à modéliser la struture de l’intelligence et de la personnalité
c – ces deux approches

A

c

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2
Q

3 – On doit le Mental Test à Raymond B. Cattel en 1890

Vrai ou Faux ?

A

FAUX : à James McKeen Cattell

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3
Q

4 – Galton, comme James McKeen Cattel, évalue l’intelligence via des tâches mentales
Vrai ou Faux ?

A

FAUX : Via des tâches sensorielles

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4
Q

5 – Malgré l’absence de consensus sur la définition de l’intelligence, il existe quand même plusieurs points clés la concernant :
a – tous s’accordent à dire que c’est une question d’adaptation à l’environnement
b – le contexte culturel n’a pas à être pris en compte
c – c’est une notion qui évolue et les tests doivent donc aussi évoluer

A

a et c

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5
Q

6 – Les processus métacognitifs sont
a - la capacité à contrôler ses propres processus cognitifs
b – à distinguer de la notion d’intelligence

A

a

b est FAUX : aujourd’hui ces processus sont pris en compte dans la définition

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6
Q

7 – Alfred Binet
a - ne s’occupait pas des adultes
b - a créé une échelle de l’intelligence permettant l’ordonnancement des sujets par rapport à leur réussite
c - conçoit l’intelligence comme la somme de l’âge mental des différents items (notion d’additivité)
d - a fait le lien entre les activités psychiques élémentaires et complexes

A

b et c

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7
Q

8 – Binet et Spearman
a - ont une vision unidimensionnelle de l’intelligence
b - utilisent les mêmes méthodes

A

a

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8
Q

9 – Charles Spearman
a - part des variables manifestes pour identifier les variables latentes
b - explique la corrélation entre deux types d’activités (élémentaires et complexes) par la présence d’une intelligence cristallisée et d’une intelligence fluide
c - explique la corrélation entre deux types d’activités (élémentaires et complexes) par le facteur g (intelligence générale)
d - est l’auteur de la théorie bifactorielle

A

a, c, d

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9
Q

10 – Associer le bon modèle à la bonne définition

A – Modèle de Burt et Vernon
B – Modèle de R. B. Cattell
C – Modèle de Horn
D – Modèle CHC
E – Modèle de Thurstone

1 - Modèle à 3 strates conservant le facteur g
2 - Modèle à 7 facteurs multiples indépendants
3 - à un facteur g et deux facteurs de groupe (Verbal éducationnel et Kinesthésique-Moteur)
4 - Modèle à 2 facteurs : intelligence cristallisée et fluide
5 - Modèle à 9 facteurs dont l’intelligence cristallisée et fluide

A
A - 3
B - 4
C - 5
D - 1
E - 2
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10
Q
11 – Lequel parmi ces modèles n'est pas un modèle hiérarchique ?
A – Modèle de Burt et Vernon
B – Modèle de R. B. Cattell
C – Modèle de Horn
D – Modèle CHC
E – Modèle de Thurstone
A

E – Modèle de Thurstone

Dans ce modèle, tous les facteurs sont indépendants.

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11
Q
12 – Lequels parmi ces modèles rejettent le facteur g ?
A – Modèle de Burt et Vernon
B – Modèle de R. B. Cattell
C – Modèle de Horn
D – Modèle CHC
E – Modèle de Thurstone
A

B et C

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12
Q

13 – Que veulent dire les lettres CHC ?

A

Cattell Horn Carroll

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13
Q

14 – Le modèle de Thurstone consiste à identifier les facteurs communs aux variables les plus corrélées entre elles. Vrai ou Faux ?

A

VRAI

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14
Q

15 – Pour David Weschler :
a – Le QI est un indicateur de développement pour l’adulte et l’enfant
b – Le QI est un indicateur de rang pour l’adulte et l’enfant
c – Le QI se fonde encore sur la notion d’âge mental
d – La notion de QI est conservée mais elle renvoie désormais à une notion de rang

A

b et d

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15
Q

16 – David Weschler
a – s’est fondé sur une solide réflexion théorique plus que sur sa pratique pour constituer ses échelles
b – s’est fondé sur sa pratique plus que sur une solide réflexion théorique pour constituer ses échelles
c – étalonne ses échelles sur une population de réf et transforme les notes brutes selon une loi normale
d – voit l’intelligence comme une somme de compétences spécifiques

A

b c d

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16
Q

17 – L’échelle de performance a 6 sous-échelles et l’échelle verbale 5 sous-échelles
Vrai ou Faux ?

A

FAUX (c’est l’inverse)

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17
Q

18 – L’échelle de performance s’intéresse aux raisonnements et aux connaissances verbalisables.
Vrai ou Faux ?

A

FAUX (c’est l’échelle verbale)

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18
Q

19 – Dans l’échelle verbale, les épreuves ne sont pas chronométrées contrairement aux épreuves de l’échelle de performance.
Vrai ou Faux ?

A

VRAI

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19
Q

20 – Le Wisc IV
a – clarifie des difficultés d’interprétation des versions précédentes
b – dispose d’une meilleure congruence entre les items et ce qu’ils évaluent
c – ne change rien quant à la passation du test

A

a et b

c = Faux : la passation est plus simple et plus attrayante

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20
Q

21 – De combien d’indices est constitué le QI du Wisc IV ? Citez les.

A
4 indices
Indice de Compréhension Verbale (ICV)
Indice de Raisonnement Perceptif (IRP)
Indice de Mémoire de Travail (IMT)
Indice de Vitesse de Traitement (IVT)
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21
Q

22 – Dans le Wisc IV
a – L’ICV correspond à l’intelligence fluide et l’IRP à l’intelligence cristallisée
b - L’ICV correspond à l’intelligence cristallisée et l’IRP à l’intelligence fluide
c – Les épreuves de l’ICV sont chronométrées comme celle de la vitesse de traitement
d – Les réponses de l’ICV sont dépendantes du contexte socio-culturel
e – Les réponses de l’ICV sont indépendantes du contexte socio-culturel
f – L’échelle IRP partage des dimensions communes avec l’ICV et en a aussi des spécifiques
g – les épreuves de mémoire de travail font majoritairement appel à l’audition et évaluent la gestion de la double tâche

A

b d f g

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22
Q

23 – La passation et la cotation du WISC IV
a - sont des pratiques très supervisées
b - permettent une interprétation de l’intelligence sans qu’il soit nécessaire de prendre en compte les observations du psychologue
c - sont définies par un protocole qui précise notamment l’ordre des épreuves
d - permettent simplement d’obtenir un score pour chacun des indices

A

a et c

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23
Q

24 – Dans le WISC IV, le QI Total est plus précis pour l’interprétation que la performance à chaque indice.
Vrai ou Faux ?

A

FAUX

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24
Q

25 - Tout écart entre les indices est forcément pathologique.
Vrai ou Faux ?

A

FAUX

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25
26 – Ce qui est intéressant dans le WISC IV, ce sont juste les résultats.
FAUX : L'évaluation des dysharmonies (dimension clinique) est importante.
26
27 – Dans les autres tests, a – la NEMI II est un test neurologique b – le TEAch évalue les problèmes d'attention c – aucun n'est adapté aux handicaps sévères
b
27
28 – La personnalité a – correspond à la manifestation de l'individualité dans les comportements b – ne s'intéresse qu'aux comportements observables et donc pas aux pensées ni aux sentiments c – permet l'organisation de patterns de comportement qui s'activent dans des situations analogues d – est une notion simple, qui fait consensus
a et c
28
29 – Le tempérament a – se confond avec la notion de personnalité dans le langage courant et a une connotation morale b – renvoie à la dimension affective et émotionnelle de la personnalité c – a une base biologique héréditaire
b et c
29
30 – L'approche nomothétique a – est identique à l'approche idiosyncratique b – est quantitative alors que l'idiosyncratique est qualitative c – est qualitative alors que l'idiosyncratique est quantitative d – est par exemple une étude de cas
b
30
31 – Les traits a – sont l'équivalent de la notion de caractère du langage courant b – sont des caractéristiques quantifiables sur un continuum c – sont fortement variables dans le temps d – regroupent des types de personnalité e – sont regroupés pour former des types de personnalité f – correspondent à des patterns de comportement
a, b, e, f
31
32 – Relier correctement les 3 sphères de la personnalité à leur description A – Sphère Cognitive B – Sphère Affective C – Sphère Motivationnelle 1 – s'intéresse à la façon d'être, aux ressentis 2 – s'intéresse au déclenchement, maintien, arrêt d'une activité 3 – s'intéresse aux traitements des informations
A - 3 B - 1 C - 2
32
``` 33 – Relier les modèles avec leurs sources/fondements A – Behavioristes B – Clinique C – Humanistes D – Cognitivistes E – Approche des dispositions F – Psychobiologique ``` 1 – postule l'existence de prédispositions orientant le comportement 2 – Se fonde sur la psychanalyse (les 3 systèmes et les mécanismes de défense) 3 – S'intéresse aux processus cognitifs tout en prenant en compte l'environnement 4 – expliquent les comportements par les neurosciences 5 – se fonde sur l'expérience subjective de la réalité 6 – focalisent sur les comportements observables et les interactions avec l'environnement
``` A - 6 B - 2 C - 5 D - 3 E - 1 F - 4 ```
33
34 – Bandura a - est l'auteur d'une théorie des apprentissages b - est cognitiviste c - partage l'idée que les comportements se construisent à partir de l'expérience faite avec l'environnement d - a identifié 3 processus : l'imitation, la facilitation sociale et l'anticipation cognitive
a, c, d
34
35 – Les behavioristes en prenant en compte les interactions avec l'extérieur développent des théories de plus en plus sociale.s.Vrai ou Faux
VRAI
35
36 – Existentialisme et phénoménologisme ont été deux sources d'inspiration pour les béhavioristes
FAUX : pour les humanistes ! Carl Rogers, Maslow...
36
37 – Le modèle d'Eynseck a – distingue 3 dimensions : évitement du danger, recherche de la nouveauté, dépendance à la récompense b – distingue 2 dimensions : Névrotisme et Extraversion / Introversion c – S'est fondé sur ses observations cliniques pour modéliser la personnalité en traits et types d – s'est basé sur la typologie de Jung e – rejette l'approche psychobiologique f – avance que les introvertis ont un potentiel d'excitation plus faible que les extravertis g – avance que les extravertis ont un potentiel d'excitation plus faible que les introvertis
b, c, d, g
37
38 – Le modèle de Cloninger a – se fonde uniquement sur des données neurologiques b – se fonde sur des données neurologiques et génétiques c – se fonde sur des données cliniques, neurologiques et génétiques
c
38
39 – Cloninger définit un modèle à 3 dimensions de la personnalité. a - ces 3 dimensions correspondent à 3 comportements b - ces dimensions sont à inhiber, maintenir ou activer c - ces dimensions sont chacune liée à un neurotransmetteur d – ce modèle a été développé par les humanistes e – mais ne propose aucun test correspondant
a, b, c, d
39
40 – Raymond B. Cattell a – propose une évaluation objective uniquement basée sur des mesures physiologiques b – propose une évaluation objective tenant compte de mesures physiologiques et de tâches perceptives c – reprend des travaux de Allport et Odbert sur un catalogue de termes décrivant la personnalité d – développe un modèle en phase avec le modèle d'Eysenck e – postule que la personnalité est transcrite dans le discours (approche lexicale)
b, c, e
40
41 – Cattell et Eysenk a - ont des approches, des structures différentes ainsi qu'une structure hiérarchique différente b - ont des approches et des structures différentes mais une même structure hiérarchique c - proposent deux modèles qui in fine ont amené à un consensus dans les années 80 autour de 5 facteurs
b, c
41
42 – Relier les 5 facteurs du modèle des Big Five à leur description A – Agréabilité B – Consciencieusité C – Ouverture D – Névrosisme E – Extraversion __________________ 1 – Renvoie à la stabilité et l'instabilité du sujet, à sa tendance à plus voir les événements négatifs 2 – Renvoie à la dynamique des comportements 3 – Renvoie à la recherche ou l'absence de recherche de stimulations en lien avec un système de régulation des conduites d'approche 4 – Renvoie aux relations interpersonnelles 5- Renvoie à la recherche de nouveauté, à une diversité d'intérêts
``` A - 4 B - 2 C - 5 D - 1 E - 3 ```
42
43 – Le modèle des Big Five a – précise 5 facteurs ayant chacun 6 facettes b – les 5 facteurs sont aussi appelés « small thirty » c – ne dispose pas d'outils d'évaluation standardisé d – dispose de différentes versions d'outils développés par Eysenck et Cattell e – dispose de différentes versions d'outils développés par Costa et Mc Crae
a, e | Les Small Thirty sont les 30 facettes (6 pour chacun des 5 facteurs)
43
44 – Relier les 3 types de données à leur description A Life Date B Questionnaire C Test 1 – Autoévaluation 2 – Hétérodescription 3 – données objectives
A 2 B 1 C 3
44
45 – L'évaluation de la personnalité doit aussi tenir compte des entretiens, des données d'observation et des tests projectifs. Vrai ou Faux ?
VRAI
45
46 – Dans un questionnaire, les biais sont limités par 3 sous-échelles : Lie, False et K (désirabilité sociale) – Vrai ou Faux ?
VRAI
46
47 – Les liens entre la personnalité et les intérêts a - renvoient à la sphère affective b - renvoient à la sphère motivationnelle c - sont fondés sur l'hypothèse qu'un sujet s'intéresse à une activité X en fonction de la réprésentation qu'il a des sujets qui pratiquent cette activité d - sont illustrés par Holland, dans son modèle IPH
b, c, d
47
48 – Il existe peu de variations inter-individuelles dans la sphère motivationnelle. Vrai ou Faux ?
FAUX
48
49 – Selon Holland, les choix vocationnels sont une expression de la personnalité, il a donc cherché des correspondances entre type de personnalité et environnement professionnel. Vrai ou Faux ?
VRAI
49
50 – L'IPH a - est un questionnaire en 4 parties : Autodescription / Activités / Aspiration et choix professionnel / Personnes jugées sympathiques b - donne un profil de la personnalité en 6 types dont un préférentiel c - a permis d'établir de bonne corrélation entre intérêts et personnalité
a, b
50
51 – Les liens entre personnalité et intelligence sont a – généralement faibles b – généralement forts c – l'ouverture a des liens plus forts avec de multiples capacités cognitives d – le névrosisme (sous l'angle de la réaction au stress) a des liens plus forts avec l'intelligence générale et les aptitudes numériques
a, c, d
51
52 – Les méthodes permettant de distinguer la part environnementale de la part génétique sont a – simples dans leurs principes (faible technicité) et simples dans leur application b – simples dans leurs principes (faible technicité) mais pas si simples à appliquer c – la méthode du risque, la méthode des jumeaux, la méthode des pedigrees et la méthode des adoptions
b, c
52
53 - Dans la méthode du risque, le cas index est a – une personne de la population générale qui sert de point de référence b – la personne à laquelle on s'intéresse et à partir de laquelle on va établir les probabilités familiales
b
53
54 - La méthode du risque a – est utilisée pour mettre en évidence le caractère familial d'un trait b – Un trait est dit familial si sa probabilité de survenue au sein d'une famille est supérieure à la probabilité de survenue au sein de la population générale dont la famille est issue c – permet de conclure au caractère génétique du trait (discrimination suffisante) d – se fonde sur la notion de proximité génétique
a, b, d
54
55 – L'étude des pedigrees a – consiste à dresser l'arbre généalogique de la famille b – la transmission héréditaire peut être évaluée pour n'importe quel trait c – a pour principale qualité de permettre une homogénéisation des données au travers de symboles et de règles de présentation d – en moyenne la corrélation parents/enfants pour l'intelligence est de 0,5, elle diminue avec les demi-germains
a, c, d
55
56 – La méthode des adoptions a – doit respecter des contraintes fortes pour que l'interprétation soit fiable b – donne un résultat en terme d'impact de l'environnement parental c – donne un résultat en terme d'impact de la génétique d – prend en compte l'influence de la période prénatale
a, b
56
57 – La méthode des jumeaux a – vient de Galton (1875) b – tient compte de l'environnement pré-natal c – se base sur des groupes de jumeaux monochorioniques d – permet d'estimer la part génétique d'un trait
a, b, d
57
58 – La méthode des jumeaux consiste 1) en un calcul des différences intrapaires pour le trait étudié 2) en une comparaison entre les 2 groupes des différences intra-paires. Vrai ou Faux ?
VRAI
58
59 – 50 % des grosses gémellaires sont monozygotes et 1 % des grossesses sont gémellaires. Vrai ou Faux ?
FAUX (30 à 40%)
59
60 – Dans la définition de l'héritabilité, citez le ou les intrus : a - part de variance d'un trait imputable à la variation génétique b - variance expliquée par la différence des allèles c - information issue d'une analyse statistique à l'échelle de groupes d'individus d'une population donnée d - évaluation de la part des facteurs génétiques dans la probabilité d’apparition d'un trait phénotypique au sein d'une population donnée e - information valable au sein d'un groupe donné, indépendante de l'environnement. f - part de variance phénotypique relevant de la variance génotypique g - part de la contribution des facteurs génétiques dans les différences interindividuelles h - ensemble des effets biochimiques des acides nucléiques dans la transmission des caractères
e et h
60
61 – Dans le modèle de décomposition ACE, reliez chaque lettre à sa description 1 – Variance due à l'environnement commun aux membres d'une même famille 2 – Variance additive, imputable aux variations entre allèles 3 – Variance due à l'environnement non commun à laquelle s'ajoute la variance due aux infidélités de mesure
A 2 C 1 E 3
61
62 – Les limites de l'interprétation de l'héritabilité est qu'elle n'a pas de sens à l’échelle d'un individu et qu'elle est dépendante du contexte. Vrai ou Faux ?
VRAI
62
63 – La méthode des jumeaux a – permet de vérifier si certains gènes sont responsables de certaines traitements cognitifs b – ne permet pas de montrer que la variabilité génétique au sein d'une population peut expliquer les différences individuelles Vrai ou Faux ?
Les 2 sont faux, c'est l'inverse !
63
64 – La génétique moléculaire cherche avant tout à mettre en évidence des corrélations entre des modifications génétiques et des maladies. Vrai ou Faux ?
VRAI
64
65 Les SNP (Single Nucleotide Polymorphism) a – sont des variations majeures du génome au sein d'une population b – représentent 90 % de l'ensemble des variations génétiques chez l'homme c – sont la variation d'un seul nucléotide entre individus d'une même espère d – on peut trouver jusqu'à 3 millions de SNP entre 2 personnes prises aux hasard
b, c, d
65
66 – Génétique et héréditaire sont synonymes. | Vrai ou Faux ?
FAUX
66
67 – Des mutations dans des cellules germinales conduisent à des maladies génétiques non héréditaires alors que des multations des des cellules somatiques conduisent à des maladies génétiques héréditaires.
FAUX (c'est exactement l'inverse)
67
68 – On étudie les sujets porteurs de maladie génétique a – car ça permet d'excluse tout rôle d'un facteur environnemental b – pour étudier les liens maladie génétique / profil psychologique c – pour tenter de comprendre les mécanismes physiologiques et moléculaires en jeu dans certains profils psychologiques d – parce que les profils psychologiques sont assez semblables d'un patient à un autre
b, c
68
69 – QTL a – veut dire Quantitative Trait Loci b – est une région de l'ADN associée à un caractère quantitatif c – la méthode peut s'appliquer à tous les types de traits (quantitatifs et qualitatifs)
a, b
69
70 – La distance génétique est la distance qui sépare deux gênes sur un même chromosome, elle se mesure en Centimorgan. Vrai ou Faux ?
VRAI
70
71 – Relier A Un gène candidat B Un gène de susceptibilité 1 est un gène dont on pense qu'il puisse être impliqué dans un état particulier 2 est un gène qui ne provoque pas directement une maladie mais qui peut en favoriser le développement.
A1 | B2
71
72 – Quelques chiffres. Lesquels sont vrais ? a – la totalité des gênes jouent un rôle pour le développemental b – 282 gênes seraient liés à des retards mentaux c – l'intelligence serait le fruit de plusieurs centaines voire milliers de gênes d – 40% des différences en Mémoire de travail s'expliqueraient par des variations par les séquences ADN (51% pour les aptitudes de résolution)
b, c, d
72
73 – On estime qu'il y a interaction entre génotype et environnement si une modification d'environnement a des effets différents sur deux génotypes différents. Vrai ou Faux ?
VRAI
73
74 – Les études d'interaction a - sont aussi bien menées chez l'animal que chez l'homme b – ne peuvent être menée chez l'homme car on ne peut garantir l'homogénéité des phénotypes c – confirment que l'interaction génome / environnement n'est pas neutre d – les résultats sur les animaux peuvent cependant être mis en relation avec des données chez l'homme e – ne s'occupent pas des interactions entre gènes
b, c, d
74
75 – L'epistasie a – c'est lorsque un ou plusieurs gênes viennent modifier le fonctionnement d'autres loci b – d'un point de vue quantitatif est la part de variance génétique non expliquée par des effets additifs des allèles ou des relations de dominance entre allèles c – n'a rien à voir avec l'expression des facteurs
a, b
75
76 – Les phénomènes épigénétiques a – renvoient à des mécanismes à l'échelle moléculaire modulant l'expression des gênes b – sont indépendants de l'environnement c – sont impliqués dans le développement embryonnaire (différenciation et organisation des cellules) d - permettent une interprétation identique des gênes quelque soit l'individu et les conditions
a, c
76
77 – Plusieurs facteurs influencent les phénomènes épigénétiques (l'interprétation du génome) a – le cytoplasme de l'ovocyte b – l'organisation des cellules autour d'un axe (anisotropie) après la nidation c – des phénomènes de méthylation / déméthylation
a, b, c
77
1 – L'approche différentielle s'intéresse : a - aux variations liées à l'individu b - aux variations inter-individuelles, intra-individuelles mais pas inter-groupes c - à l'explication des différences de performances individuelles par la recherche de corrélats
a et c | L'approche différentielle s'intéresse aux variations inter-individuelles, intra-individuelles et inter-groupes !