III. PERSONNALITÉ Flashcards
Le terme de personnalité recouvre plusieurs aspects comme défini dans le dictionnaire (Larousse) :
· Individualité psychologique de la personne telle qu’elle se manifeste dans ses […].
· Ensemble des [… … et …] par lesquels une personne est […] des autres ; aspect par lequel quelqu’un affirme une [..l] plus ou moins accusée.
· Personne d’une certaine [… …].
· Aptitude à être [… de …].
Le terme de personnalité recouvre plusieurs aspects comme défini dans le dictionnaire (Larousse) :
· Individualité psychologique de la personne telle qu’elle se manifeste dans ses [comportements].
· Ensemble des [traits physiques et moraux] par lesquels une personne est [différente] des autres ; aspect par lequel quelqu’un affirme une [originalité] plus ou moins accusée.
· Personne d’une certaine [importance sociale].
· Aptitude à être [sujet de droit].
Le principal aspect qui nous intéresse ici dans une perspective de psychologie différentielle est celui qui renvoie aux caractéristiques d’un individu au travers notamment de ses […]. Cet aspect porte avant tout sur une détermination […] plus que […].
Le principal aspect qui nous intéresse ici dans une perspective de psychologie différentielle est celui qui renvoie aux caractéristiques d’un individu au travers notamment de ses [comportements]. Cet aspect porte avant tout sur une détermination [qualitative] plus que [quantitative].
Beaucoup de méthodes proposent au grand public de déterminer sa propre personnalité. Quels sont les exemples courants ?
l’astrologie et la graphologie
Sur quoi s’appuient les méthodes d’évaluation proposées au grand public telles l’astrologie et la graphologie ? Quel en est le principe ?
Ces méthodes d’évaluation s’appuient sur l’effet barnum, découvert en 1948 par le psychologue Bertram Forer. Le principe est de proposer une description générique mais qui apparait aussi individualisée. Quelle que soit la personne, cette description est notée par elle comme lui correspondant significativement.
Citez l’exemple de Forer illustrant l’effet barnum.
En guise de démonstration, Forer a rendu le même compte-rendu à tous ces étudiants à qui il avait fait passer un test de personnalité. Ce compte-rendu était formulé comme suit : “Vous avez besoin d’être aimé et admiré, et pourtant vous êtes critique avec vous-même. Vous avez certes des points faibles dans votre personnalité, mais vous savez généralement les compenser. Vous avez un potentiel considérable que vous n’avez pas tourné à votre avantage. À l’extérieur vous êtes discipliné et vous savez vous contrôler, mais à l’intérieur vous tendez à être préoccupé et pas très sûr de vous-même. Parfois vous vous demandez sérieusement si vous avez pris la bonne décision ou fait ce qu’il fallait. Vous préférez une certaine dose de changement et de variété, et devenez insatisfait si on vous entoure de restrictions et de limitations. Vous vous flattez d’être un esprit indépendant et vous n’acceptez l’opinion d’autrui que dûment démontrée. Vous pensez qu’il est maladroit de se révéler trop facilement aux autres. Par moment vous êtes très extraverti, bavard et sociable, tandis qu’à d’autres moments vous êtes introverti, circonspect, et réservé. Certaines de vos aspirations tendent à être assez irréalistes”. Chacun s’y est reconnu.
La caractérisation des différentes personnalités va donc au-delà d’une description […]. Tout comme l’intelligence, la personnalité est une notion […] à définir. L’évolution de sa définition au cours de l’histoire remonte à [l’…] et plus récemment, de nombreuses nuances et précisions lui ont été apportées en fonction des personnes qui l’ont étudiée et de leur […]. Tout comme l’intelligence encore, la personnalité recouvre des [… …] à toutes ses tentatives de définition. Ainsi, la personnalité s’organise […] à partir d’un ensemble de […], dont certains sont d’origine […]. La résultante correspond à [l’… des ….] de l’individu, de ses […], et de ses […]. Elle permet d’organiser des [… de …] qui s’exprimeront dans des [… …].
La caractérisation des différentes personnalités va donc au-delà d’une description [complaisante]. Tout comme l’intelligence, la personnalité est une notion [complexe] à définir. L’évolution de sa définition au cours de l’histoire remonte à [l’Antiquité] et plus récemment, de nombreuses nuances et précisions lui ont été apportées en fonction des personnes qui l’ont étudiée et de leur [théorie]. Tout comme l’intelligence encore, la personnalité recouvre des [principes communs] à toutes ses tentatives de définition. Ainsi, la personnalité s’organise [dynamiquement] à partir d’un ensemble de [processus], dont certains sont d’origine [physiologiques]. La résultante correspond à [l’ensemble des comportements] de l’individu, de ses [pensées], et de ses [sentiments]. Elle permet d’organiser des [patterns de comportements] qui s’exprimeront dans des [situations analogues].
A ce stade, il faut préciser que la notion de tempérament diffère de celle de personnalité.
- > Le tempérament représente la dimension […] et […] de la personnalité d’un individu.
- > Le tempérament se caractérise par une [… … …].
A ce stade, il faut préciser que la notion de tempérament diffère de celle de personnalité.
- > Le tempérament représente la dimension [affective] et [émotionnelle] de la personnalité d’un individu.
- > Le tempérament se caractérise par une [base biologique héréditaire].
Pourquoi la notion de caractère ne doit pas être confondue avec la notion de personnalité ?
Ce terme est davantage un terme d’usage courant et de ce fait, a acquis une connotation morale qui ne correspond pas à la définition scientifique de la personnalité. C’est pourquoi il convient de n’employer que le terme de personnalité et de ne pas lui substituer d’autres termes tels que “tempérament” ou “caractère”.
Le terme de personnalité recouvre plusieurs aspects comme défini dans le dictionnaire (Larousse) :
· Individualité psychologique de la personne telle qu’elle se manifeste dans ses […].
· Ensemble des [… … et …] par lesquels une personne est […] des autres ; aspect par lequel quelqu’un affirme une [..l] plus ou moins accusée.
· Personne d’une certaine [… …].
· Aptitude à être [… de …].
Le terme de personnalité recouvre plusieurs aspects comme défini dans le dictionnaire (Larousse) :
· Individualité psychologique de la personne telle qu’elle se manifeste dans ses [comportements].
· Ensemble des [traits physiques et moraux] par lesquels une personne est [différente] des autres ; aspect par lequel quelqu’un affirme une [originalité] plus ou moins accusée.
· Personne d’une certaine [importance sociale].
· Aptitude à être [sujet de droit].
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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Définition. Une définition de la personnalité peut se formuler comme la […] relativement […] et […] de la manière d’[…] d’une personne dans sa façon d’[…] aux situations dans laquelle elle se trouve.
Une définition de la personnalité peut se formuler comme la [caractéristique] relativement [stable] et [générale] de la manière d’[être] d’une personne dans sa façon d’[agir] aux situations dans laquelle elle se trouve.
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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Si les définitions peuvent être multiples, elles se rejoignent sur 3 propriétés. Lesquelles ?
1) stabilité
2) prédiction
3) structure
Ces 3 propriétés vont servir de base aux modèles psychologiques de la personnalité.
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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Il existe 2 principales approches de la personnalité. Lesquelles ?
1) L’approche nomothétique
2) L’approche idiosyncratique
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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L’approche nomothétique consiste à caractériser […] les individus les uns par rapport aux autres. Cette approche cherche à trouver les [règles] qui peuvent s’appliquer à un [… … d’…]. C’est l’approche qui est privilégiée par la recherche en [… de la …]. L’approche nomothétique s’oppose à l’approche idiosyncratique, qui a pour objet de décrire un individu de façon […] ; elle s’intéresse à un individu […] et le considère comme une [… …].
Cette approche est privilégiée dans les [… de …].
L’approche nomothétique consiste à caractériser [quantitativement] les individus les uns par rapport aux autres. Cette approche cherche à trouver les [règles] qui peuvent s’appliquer à un [grand nombre d’individus]. C’est l’approche qui est privilégiée par la recherche en [psychologie de la personnalité]. L’approche nomothétique s’oppose à l’approche idiosyncratique, qui a pour objet de décrire un individu de façon [exhaustive] ; elle s’intéresse à un individu [spécifiquement] et le considère comme une [personne unique]. Cette approche est privilégiée dans les [études de cas].
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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La caractérisation de la personnalité repose sur 2 dimensions. Lesquelles ?
les traits et les types de personnalité
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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Les traits constituent donc le premier élément qui permet de caractériser la personnalité.
Les traits de personnalité sont à proprement parler les [… …] qui conduisent un individu à se […] ou à […] d’une certaine façon à des [… …]. C’est ce qui correspond à la notion initiale du […] tel qu’utilisé dans le langage courant (l’impulsivité est un trait qui dans la vie quotidienne renvoie au [… …] d’une personne). Les traits correspondent dans les études objectives de la personnalité aux [… …] qui permettent d’expliquer le […] des individus. Un trait est en fait un […] borné par [? …] sur lequel se situe l’individu. Il s’agit donc d’une [… …].
Les traits de personnalité sont à proprement parler les [caractéristiques durables] qui conduisent un individu à se [comporter] ou à [réagir] d’une certaine façon à des [situations analogues]. C’est ce qui correspond à la notion initiale du [caractère] tel qu’utilisé dans le langage courant (l’impulsivité est un trait qui dans la vie quotidienne renvoie au [caractère impulsif] d’une personne). Les traits correspondent dans les études objectives de la personnalité aux [variables latentes] qui permettent d’expliquer le [comportement] des individus. Un trait est en fait un [continuum] borné par [2 extrêmes] sur lequel se situe l’individu. Il s’agit donc d’une [dimension quantifiable].
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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Le type est donc le second élément qui permet de caractériser la personnalité.
Un type est en fait un qualificatif qui correspond à un […] de [… …].
Un type est en fait un qualificatif qui correspond à un [assemblage] de [différents traits].
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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L’extraversion par exemple est un type de personnalité qui recouvre certains traits. Lesquels ?
sociabilité, dominance, assertivité, activité et nervosité.
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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Les caractéristiques ainsi délimitées touchent aux 3 sphères de la personnalité. Lesquelles ?
1) la sphère cognitive
2) la sphère affective
3) la sphère motivationnelle
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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Que gère la sphère cognitive ?
La sphère cognitive gère le traitement des informations.
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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La sphère affective touche à quoi ?
La sphère affective touche à la façon d’être de l’individu et à ce qu’il ressent.
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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De quoi est responsable la sphère motivationnelle ?
La sphère motivationnelle est responsable du déclenchement, du maintien et de l’arrêt d’une activité.
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
La dimension temporelle de la personnalité.
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Si la personnalité est par définition même une caractéristique […] au cours de la vie de l’individu, il n’en reste pas moins que la personnalité se forge au cours de [l’…] et se […] au cours de la […] d’un individu. Il faut considérer aussi qu’elle puisse subir de profondes […] suite à des [… de …] [(s…, a… ou é… f…)].
Si la personnalité est par définition même une caractéristique [stable] au cours de la vie de l’individu, il n’en reste pas moins que la personnalité se forge au cours de [l’enfance] et se [module] au cours de la [vie] d’un individu. Il faut considérer aussi qu’elle puisse subir de profondes [modifications] suite à des [événements de vie] [(stress, accident ou événement familial)].
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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Le principal objectif de la psychologie de la personnalité est d’élaborer une [… …] qui permette de […], d’[…] et de […] le […] des individus, conformément à la définition de la personnalité. Il s’agit essentiellement de […] le nombre de […].
Le principal objectif de la psychologie de la personnalité est d’élaborer une [théorie scientifique] qui permette de [décrire], d’[expliquer] et de [prédire] le [comportement] des individus, conformément à la définition de la personnalité. Il s’agit essentiellement de [caractériser] le nombre de [traits].
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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Le deuxième objectif de la psychologie de la personnalité est d’élaborer à partir de cette théorie, des [… …] permettant de […] les individus sur ces […] de la personnalité.
Le deuxième objectif de la psychologie de la personnalité est d’élaborer à partir de cette théorie, des [outils objectifs] permettant de [situer] les individus sur ces [descripteurs] de la personnalité.
Concepts et méthodes dans l’étude de la personnalité
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Enfin, la psychologie de la personnalité cherche aussi à […] pourquoi un individu développe une personnalité plutôt qu’une autre, c’est-à-dire des […]. Elle cherche à comprendre ce que la personnalité peut […] du comportement d’un individu. Le fruit de ses recherches éclaire le psychologue sur […] prendre en charge les […] de la personnalité.
Enfin, la psychologie de la personnalité cherche aussi à [comprendre] pourquoi un individu développe une personnalité plutôt qu’une autre, c’est-à-dire des [causes]. Elle cherche à comprendre ce que la personnalité peut [prédire] du comportement d’un individu. Le fruit de ses recherches éclaire le psychologue sur [comment] prendre en charge les [troubles] de la personnalité.
La pluralité des modèles psychologiques
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La diversité des approches et des modèles est variée. L’approche behavioriste se focalise sur le […] et son […] avec [l’…]. Les théories issues de cette approche s’appuient sur le fait que l’individu construit son comportement à partir des […] faites avec son […] et se structure sur la base d’un [… de …] […-…] ([Skipper?]).
La diversité des approches et des modèles est variée. L’approche behavioriste se focalise sur le [comportement] et son [interaction] avec [l’environnement]. Les théories issues de cette approche s’appuient sur le fait que l’individu construit son comportement à partir des [expériences] faites avec son [environnement] et se structure sur la base d’un [système de relation] [stimulus-réponse] ([Skinner]).
La pluralité des modèles psychologiques
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Comme l’individu interagit aussi avec les autres individus de son environnement, des théories de plus en plus sociales se sont développées de [Bandura] à [Rotter].
Des théories de plus en plus sociales se sont développées de [Bandura] à [Rotter].
La pluralité des modèles psychologiques
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VRAI OU FAUX ?
Dans les cadres béhavioriste et social, le développement des théories s’appuie sur des données issues d’une méthodologie expérimentale.
VRAI
La pluralité des modèles psychologiques
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Dans la théorie de l’apprentissage social de Bandura, l’individu peut apprendre selon 3 [… d’…] qui ont leur source dans [l’…] de l’individu.
Dans la théorie de l’apprentissage social de Bandura, l’individu peut apprendre selon 3 [procédures d’acquisition] qui ont leur source dans [l’entourage] de l’individu.
La pluralité des modèles psychologiques
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Dans la théorie de l’apprentissage social de Bandura, la première procédure d’acquisition résulte de [l’…] par [l’…] d’un pair qui exécute le […] à […].
Dans la théorie de l’apprentissage social de Bandura, la première procédure d’acquisition résulte de [l’imitation] par [l’observation] d’un pair qui exécute le [comportement] à [acquérir].
La pluralité des modèles psychologiques
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Dans la théorie de l’apprentissage social de Bandura, la seconde procédure d’acquisition est celle de la [… …] qui désigne [l’…] de la [performance] de l’individu grâce à la [présence] d’un ou de plusieurs [observateurs].
Dans la théorie de l’apprentissage social de Bandura, la seconde procédure d’acquisition est celle de la [facilitation sociale] qui désigne [l’amélioration] de la [performance] de l’individu grâce à la [présence] d’un ou de plusieurs [observateurs].
La pluralité des modèles psychologiques
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Dans la théorie de l’apprentissage social de Bandura, la troisième et dernière procédure d’acquisition est celle de [l’… …] ; la réponse à une situation a été intégrée par […] à partir de [… …]
Dans la théorie de l’apprentissage social de Bandura, la troisième et dernière procédure d’acquisition est celle de [l’anticipation cognitive] ; la réponse à une situation a été intégrée par [raisonnement] à partir de [situations similaires].
La pluralité des modèles psychologiques
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L’autre principale approche est l’approche […]. Elle s’ancre dans le cadre […], en se structurant autour des [?] systèmes ([…], […], […]) et en fonctionnant sur la base de [… de …] permettant de limiter les […] entre les systèmes. Les données sont essentiellement issues d’[…], de […], d’[… …] et en particulier d’[… …].
L’autre principale approche est l’approche [clinique]. Elle s’ancre dans le cadre [psychanalytique], en se structurant autour des [3] systèmes ([ça], [moi], [surmoi]) et en fonctionnant sur la base de [mécanismes de défense] permettant de limiter les [tensions] entre les systèmes. Les données sont essentiellement issues d’[entretiens], de [questionnaires], d’[épreuves standardisées] et en particulier d’[épreuves projectives].
La pluralité des modèles psychologiques
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VRAI OU FAUX ?
L’approche purement psychanalytique, développée par Freud, donne un rôle central aux forces conscientes et aucune importance à la sexualité.
FAUX ! C’EST LE CONTRAIRE ! :-)
L’approche purement psychanalytique, développée par Freud, donne un rôle central aux forces inconscientes et à la sexualité.
La pluralité des modèles psychologiques
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Par qui est illustrée l’approche néo-analytique ?
L’approche néo-analytique est illustrée par Jung, Adler, Horney, Sullivan, Erikson et Fromm.
La pluralité des modèles psychologiques
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Que rejette Jung ?
Jung rejette le rôle de la sexualité.
La pluralité des modèles psychologiques
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Pour Jung l’inconscient est divisé entre inconscient […] et inconscient […].
Pour Jung l’inconscient est divisé entre inconscient [personnel] et inconscient [collectif].
La pluralité des modèles psychologiques
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QCM. VRAI OU FAUX ?
Adler, quant à lui, centre sa théorie sur :
◽️ le passage de l’immaturité à la maturité
◽️ le développement des intérêts sociaux
◽️ articule sa théorie autour de la notion d’anxiété
Adler, quant à lui, centre sa théorie sur :
VRAI -> le passage de l’immaturité à la maturité VRAI -> le développement des intérêts sociaux FAUX -> articule sa théorie autour de la notion d’anxiété»_space;> Non, c’est Horney !
La pluralité des modèles psychologiques
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QCM. VRAI OU FAUX ?
◽️ L’approche humaniste est née de deux courants philosophiques : le stoïcisme et le structuralisme.
◽️ L’approche humaniste fonde ses théories sur l’expérience subjective que chacun a de la réalité.
◽️ Les principaux représentants du courant humaniste sont Kelly, Mischel et Beck.
FAUX ! - L’approche humaniste est née de deux courants philosophiques : le stoïcisme et le structuralisme.
BONNE RÉPONSE : L’approche humaniste naît de l’existentialisme et du phénoménologisme.
VRAI - L’approche humaniste fonde ses théories sur l’expérience subjective que chacun a de la réalité.
FAUX ! - Les principaux représentants du courant humaniste sont Kelly, Mischel et Beck.
BONNE RÉPONSE : Ce sont Carl Rogers et Abraham Maslow.
La pluralité des modèles psychologiques
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De leur côté, les auteurs qui se placent dans une perspective cognitive ([K…], [M…] et [B…]) se préoccupent de comprendre ce qui se passe à [l’intérieur/l’extérieur] de l’individu, par le biais de ses [… …] – sans toutefois négliger l’[…].
De leur côté, les auteurs qui se placent dans une perspective cognitive ([Kelly], [Mischel] et [Beck]) se préoccupent de comprendre ce qui se passe à [l’intérieur] de l’individu, par le biais de ses [processus cognitifs] – sans toutefois négliger l’[environnement].
La pluralité des modèles psychologiques
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D’autres auteurs (Allport, Cattell, Eyseck), ont une approche dite des […], car leurs théories se fondent sur le fait que les individus ont des […], des [… de …] qui orientent les […] des individus aux […] auxquelles ils sont exposés.
D’autres auteurs (Allport, Cattell, Eyseck), ont une approche dite des [dispositions], car leurs théories se fondent sur le fait que les individus ont des [prédispositions], des [traits de personnalité] qui orientent les [réponses] des individus aux [situations] auxquelles ils sont exposés.
La pluralité des modèles psychologiques
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D’autres modèles ont une approche psychobiologique ([G…], [T…], [Z…], [C…]) qui articule les données issues des […] pour les plus récentes et proposent des explications […] aux modèles de la personnalité.
D’autres modèles ont une approche psychobiologique ([Gray], [Tellegen], [Zuckerman], [Cloninger]) qui articule les données issues des [neurosciences] pour les plus récentes et proposent des explications [causales] aux modèles de la personnalité.
De Eysenck à Cloninger : les approches psychobiologiques
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Eysenck s’est intéressé dans une première étape de sa carrière à modéliser la personnalité en termes de […] et de […]. Il avait pour cela à sa disposition les [… …] consignées dans le dossier de ses patients de l’hôpital psychiatrique et s’est inspiré de la […] de […].
Eysenck s’est intéressé dans une première étape de sa carrière à modéliser la personnalité en termes de [types] et de [traits]. Il avait pour cela à sa disposition les [observations cliniques] consignées dans le dossier de ses patients de l’hôpital psychiatrique et s’est inspiré de la [typologie] de [Jung].
De Eysenck à Cloninger : les approches psychobiologiques
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La personnalité peut selon Eysenck se décrire selon 2 dimensions. Lesquelles ?
1) La première (N) est le Névrosisme qui caractérise la stabilité/instabilité émotionnelle de l’individu.
2) La seconde (E), indépendante de la première, situe l’individu sur un axe Extraversion/Introversion.
La personnalité de l’individu peut donc être caractérisée par un adjectif en utilisant la combinaison de ces 2 dimensions.
De Eysenck à Cloninger : les approches psychobiologiques
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Un découpage peut aussi être fait selon 4 grands types, inspirés de Galien. Quels sont ces 4 grands types ?
mélancolique, sanguin, colérique, énigmatique.
De Eysenck à Cloninger : les approches psychobiologiques
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En se référant à ces 2 dimensions de Eysenck, une personne anxieuse est une personne plutôt très […] et plutôt […].
En se référant à ces 2 dimensions de Eysenck, une personne anxieuse est une personne plutôt très [instable] et plutôt [introvertie].
De Eysenck à Cloninger : les approches psychobiologiques
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Eysenck dans la suite de sa carrière s’est attaché à démontrer […] ces différences individuelles et à en identifier les [… …].
Eysenck dans la suite de sa carrière s’est attaché à démontrer [expérimentalement] ces différences individuelles et à en identifier les [supports neurophysiologiques].
De Eysenck à Cloninger : les approches psychobiologiques
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Eysenck a ainsi postulé que la dimension extraversion/introversion était liée à la boucle […-…], la [… …] étant un centre de […] de la […]. Son hypothèse est que les personnes extraverties ont des [… d’… …] plus faibles que les personnes introverties. Par conséquent, les personnes extraverties apprécient les situations qui génèrent une [… … … …] que la moyenne, et inversement pour les personnes introverties.
Eysenck a ainsi postulé que la dimension extraversion/introversion était liée à la boucle [cortico-réticulaire], la [formation réticulée] étant un centre de [contrôle] de la [vigilance]. Son hypothèse est que les personnes extraverties ont des [potentiels d’excitation corticale] plus faibles que les personnes introverties. Par conséquent, les personnes extraverties apprécient les situations qui génèrent une [activité corticale plus importante] que la moyenne, et inversement pour les personnes introverties.