II. INTELLIGENCE Flashcards
- 1890 – [?] (U.S.A.) met au point une série d’épreuves, appelée [« … … »] destinées à mesurer les […] d’intelligence entre étudiants. Il contribua largement à rendre la psychologie […].
- 1890 – [James Mc Keen Cattell] (U.S.A.) met au point une série d’épreuves, appelée [« Mental Test »] destinées à mesurer les [différences] d’intelligence entre étudiants. Il contribua largement à rendre la psychologie [scientifique].
APPROCHE DIFFÉRENTIELLE DE L’INTELLIGENCE
La psychologie scientifique nait à la fin du [?ème siècle]. Beaucoup de chercheurs s’intéressent alors à déterminer une mesure de l’intelligence. L’un des premiers est [Sir ? ?], cousin de [?], qui, sans toutefois réussir à mettre en place un test utilisable, propose que l’intelligence est […] et donc qu’il est possible de l’améliorer (notion d’[…]).
À sa suite, les recherches pour émettre une […] qui rende compte de l’intelligence se développent…
La psychologie scientifique nait à la fin du [19ème siècle]. Beaucoup de chercheurs s’intéressent alors à déterminer une mesure de l’intelligence. L’un des premiers est [Sir Francis Galton], cousin de [Darwin], qui, sans toutefois réussir à mettre en place un test utilisable, propose que l’intelligence est [héritable] et donc qu’il est possible de l’améliorer (notion d’[eugénisme]).
À sa suite, les recherches pour émettre une [théorie] qui rende compte de l’intelligence se développent…
- 1904 – [?] (Angleterre) à la suite des travaux statistiques initiés par [?], développe la méthode [… d’… …] qui permet de dégager des [… …] ([…]) à des variables […/…]. Il mettra en évidence que l’intelligence repose sur un [… …], le facteur [?], qui correspond à ce qu’il appelle [l’… …]. L’intelligence repose ainsi sur un modèle […].
- 1904 – [Charles Spearman] (Angleterre) à la suite des travaux statistiques initiés par [Galton], développe la méthode [statistique d’analyse factorielle] qui permet de dégager des [facteurs communs] ([latents]) à des variables [observées/mesurées]. Il mettra en évidence que l’intelligence repose sur un [facteur général], le facteur [g], qui correspond à ce qu’il appelle [l’intelligence générale]. L’intelligence repose ainsi sur un modèle [unidimensionnel].
- 1905 – [?] et [?] ([France?/Angleterre?]) publie, à la demande du gouvernement [français?/anglais?], une [… … de l’…] dont l’objectif était d’évaluer [l’… … des …].
- 1905 – [Alfred Binet] et [Théodore Simon] ([France]) publie, à la demande du gouvernement [français], une [échelle métrique de l’intelligence] dont l’objectif était d’évaluer [l’âge mental des enfants].
- 1912 – [?] ([France?/Allemagne?]), intéressé par les travaux de Binet et Simon, élabore la notion [d’… … et de …], qui est calculé en faisant le rapport de [l’… …] sur [l’… …], le tout multiplié par [10?/100?/10000?]. L’intelligence devient alors une […] relative à [l’…]. Par contre, elle ne s’applique qu’aux […] et dans une certaine mesure aux [… …].
- 1912 – [Wilhelm Stern] ([Allemagne]), intéressé par les travaux de Binet et Simon, élabore la notion [d’âge mental et de QI], qui est calculé en faisant le rapport de [l’âge mental] sur [l’âge réel], le tout multiplié par [100]. L’intelligence devient alors une [valeur] relative à [l’individu]. Par contre, elle ne s’applique qu’aux [enfants] et dans une certaine mesure aux [handicapés mentaux].
- 1926 – [? publie une estimation a [priori?/posteriri?] des QI de [300?/3000?] personnalités, à partir des informations [récupérées dans les médias ?/biographiques?] sur leur enfance.
- 1926 – [Catharine Morris Cox Miles] publie une estimation a [posteriri] des QI de [300] personnalités, à partir des informations [biographiques] sur leur enfance.
(Cox CM. Early Mental Traits of Three Hundred Geniuses. (Genetic Studies of Genius Series) 1926: Stanford University Press, ISBN 0-8047-0010-9).
Une synthèse de ce travail peut être consulté sur : http://www.iqcomparisonsite.com/cox300.aspx.
- 1939 – [David Crockett ?] ([U.S.A.?/U.R.S.S.?]) utilise la [… …] pour faire des mesures de […]. Il fait ainsi évoluer la mesure de l’évaluation de l’intelligence en la rendant calculable aussi pour les […]. Le terme de […] est néanmoins conservé.
- 1939 – [David Wechsler] ([U.S.A.]) utilise la [loi normale] pour faire des mesures de [rang]. Il fait ainsi évoluer la mesure de l’évaluation de l’intelligence en la rendant calculable aussi pour les [adultes]. Le terme de [quotient] est néanmoins conservé.
- 1939 – [?] reprend les travaux de [Superman?] et met en évidence cette fois [7 péchés capitaux ?]. Sans exclure le facteur [?] de [Superman?], le modèle de l’intelligence devient alors […].
- 1939 – [Louis Léon Thurstone] reprend les travaux de [Spearman] et met en évidence cette fois [7 facteurs principaux]. Sans exclure le facteur [g] de [Spearman], le modèle de l’intelligence devient alors [multidimensionnel].
Ces grandes étapes ont été fondatrices de l’approche différentielle de l’intelligence et seront abordées dans la suite de ce document. Pourtant, la définition même de l’intelligence a elle-même été sujet à débat depuis les premières réflexions d’experts du domaine (dès 1921) et il est encore difficile d’arriver à une définition consensuelle. Néanmoins, il est possible d’en trouver des attributs communs. Lesquels ?
- l’adaptation à un environnement,
- la capacité à sélectionner un environnement plus adapté,
- la capacité à transformer son environnement pour le rendre adapté.
Un autre point clé pour rendre compte de la notion d’intelligence est la prise en compte de [l’… …]. En effet, la définition de l’intelligence est à nuancer en fonction du [… …] dans lequel l’individu évolue. D’où l’importance d’utiliser un test d’intelligence qui a été élaboré pour un type de [… …].
Un autre point clé pour rendre compte de la notion d’intelligence est la prise en compte de [l’environnement culturel]. En effet, la définition de l’intelligence est à nuancer en fonction du [cadre culturel] dans lequel l’individu évolue. D’où l’importance d’utiliser un test d’intelligence qui a été élaboré pour un type de [contexte culturel].
Enfin, les dernières évolutions viennent ajouter aux différentes capacités regroupées sous le terme d’intelligence les processus […], c’est-à-dire les processus qui permettent de contrôler ses propres processus […]. La notion d’intelligence est donc […]. Les tests actuellement utilisés doivent régulièrement faire l’objet de […] afin de rendre compte de ces […].
Enfin, les dernières évolutions viennent ajouter aux différentes capacités regroupées sous le terme d’intelligence les processus [métacognitifs], c’est-à-dire les processus qui permettent de contrôler ses propres processus [cognitifs]. La notion d’intelligence est donc [évolutive]. Les tests actuellement utilisés doivent régulièrement faire l’objet de [révisions] afin de rendre compte de ces [évolutions].
Les modèles unidimensionnels de l’intelligence
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Les premiers travaux qui ont cherché à évaluer objectivement l’intelligence ont été menés à la même époque indépendamment par [Alfred Bidet?] et [Clarck Superman?]. Leurs travaux étaient basés sur des méthodologies très [étranges?/semblables?/différentes?] mais avaient ceci en commun qu’elles envisageaient l’intelligence comme [unidirectionnelle ?/unidimensionnelle?].
Les premiers travaux qui ont cherché à évaluer objectivement l’intelligence ont été menés à la même époque indépendamment par [Alfred Binet] et [Charles Spearman]. Leurs travaux étaient basés sur des méthodologies très [différentes] mais avaient ceci en commun qu’elles envisageaient l’intelligence comme [unidimensionnelle]
Les modèles unidimensionnels de l’intelligence
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L’originalité de l’approche de Binet a été de proposer d’évaluer l’intelligence au travers de ses activités mentales [inférieures?/supérieures?], et non, comme l’envisageaient [Gaston?] et [Cattwoman?] sur la base des performances à des [tâches ménagères?/sensorielles?].
L’originalité de l’approche de Binet a été de proposer d’évaluer l’intelligence au travers de ses activités mentales [supérieures], et non, comme l’envisageaient [Galton et Cattell] (James Mc Keen Cattell et non Raymond B. Cattell), sur la base des performances à des [tâches sensorielles].
Il s’agissait donc pour Binet de pouvoir […] ces activités issues de [l’…] des informations sensorielles comme la […], [l’…] mais aussi le [… …], la [… à s’…] ou encore la […]. L’autre idée nouvelle a consisté à établir une […] pour ces facultés.
Il s’agissait donc pour Binet de pouvoir [mesurer] ces activités issues de [l’intégration] des informations sensorielles comme la [mémoire], [l’attention] mais aussi le [sens pratique], la [faculté à s’adapter] ou encore la [compréhension]. L’autre idée nouvelle a consisté à établir une [échelle] pour ces facultés.
Les modèles unidimensionnels de l’intelligence
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À partir de données obtenues chez des adultes considérés comme [… …] et chez d’autres considérés comme [… …], Binet établit donc différents […] d’intelligence qui ont permis d’établir une 1ère version d’échelle, l’échelle de [Binet et ? de 190?].
À partir de données obtenues chez des adultes considérés comme [normalement intelligents] et chez d’autres considérés comme [retardés mentaux], Binet établit donc différents [niveaux] d’intelligence qui ont permis d’établir une 1ère version d’échelle, l’échelle de [Binet et Simon de 1905].
Les modèles unidimensionnels de l’intelligence
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Ce travail de Binet a ensuite été étendu aux enfants d’âges […]. Il a ainsi pu mettre en évidence des âges à partir desquels certaines tâches étaient […] ; pour chaque âge de [? à ? ans], il a ainsi pu caractériser [? à ? items] caractéristiques de [l’…] sur lesquels s’appuyer pour établir un [… …]. Par conséquent, pour un même [… …], cette échelle permettait aussi d’ordonner les sujets en fonction des [… …].
Ce travail de Binet a ensuite été étendu aux enfants d’âges [différents]. Il a ainsi pu mettre en évidence des âges à partir desquels certaines tâches étaient [réussies] ; pour chaque âge de [3 à 16 ans], il a ainsi pu caractériser [4 à 5 items] caractéristiques de [l’âge] sur lesquels s’appuyer pour établir un [ordre développemental]. Par conséquent, pour un même [âge chronologique], cette échelle permettait aussi d’ordonner les sujets en fonction des [items réussis].
Les modèles unidimensionnels de l’intelligence
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La 3ème idée de Binet a été d’affecter à chaque item un certain nombre de […], car pour lui l’intelligence était une […] des différentes […], évaluées par les […] de l’échelle. Ceci l’a conduit à l’idée d’[…] de l’âge mental des différents items.
La 3ème idée de Binet a été d’affecter à chaque item un certain nombre de [mois], car pour lui l’intelligence était une [résultante] des différentes [activités], évaluées par les [items] de l’échelle. Ceci l’a conduit à l’idée d’[additivité] de l’âge mental des différents items.
Les modèles unidimensionnels de l’intelligence
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Mais c’est finalement [William Shakespeare ?] qui proposa en [1812?/1912?] le principe du quotient intellectuel en rapportant l’âge […] à l’[… … …] déterminé par l’échelle. Ce quotient permettait un […] des individus par rapport à une seule [… …], représentative de l’[…] de l’individu. Ce quotient est aussi un indicateur de la [… de …] de l’enfant. Le principe du Quotient Intellectuel est encore utilisé.
Mais c’est finalement [William Stern] qui proposa en [1912] le principe du quotient intellectuel en rapportant l’âge [chronologique] à l’[âge mental total] déterminé par l’échelle. Ce quotient permettait un [ordonnancement] des individus par rapport à une seule [valeur globale], représentative de l’[intelligence] de l’individu. Ce quotient est aussi un indicateur de la [vitesse de développement] de l’enfant. Le principe du Quotient Intellectuel est encore utilisé.
Le facteur g d’intelligence générale de Spearman et les analyses de corrélations
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Spearman a quant à lui abordé à la même époque ([190?]) la question de l’intelligence sous un angle différent puisqu’il cherchait à établir une relation entre ce qu’il appelait les activités psychiques […] (relatives à la […]) et les activités psychiques […] (relatives aux [… …]). Son hypothèse était que ces 2 types d’activités étaient corrélées parce qu’elles avaient une [… …], [l’… …]. Il a donc travaillé sur les corrélations entre [… …] et performances de [… …] et mis au point une [… d’… des …].
Spearman a quant à lui abordé à la même époque ([1904]) la question de l’intelligence sous un angle différent puisqu’il cherchait à établir une relation entre ce qu’il appelait les activités psychiques [élémentaires] (relatives à la [perception]) et les activités psychiques [complexes] (relatives aux [processus cognitifs]). Son hypothèse était que ces 2 types d’activités étaient corrélées parce qu’elles avaient une [cause commune], [l’intelligence générale]. Il a donc travaillé sur les corrélations entre [notes scolaires] et performances de [discrimination sensorielle] et mis au point une [méthode d’analyse des corrélations].
Le facteur g d’intelligence générale de Spearman et les analyses de corrélations
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L’objectif de Spearman était d’isoler la [… …], imputable à un […] d’intelligence générale, de la [… …] à chacune des épreuves. Il a ainsi pu isoler ce qu’il a appelé le facteur [?] grâce à sa [… …]. Si l’interprétation du facteur [?] reste problématique encore aujourd’hui, Spearman a contribué de façon essentielle à l’analyse des [… de …] observées. Il a posé les bases de [l’… …] à partir de mesures de [… …] (celles qui sont [… …]) et d’en identifier des variables […], non […].
L’objectif de Spearman était d’isoler la [variance commune], imputable à un [facteur] d’intelligence générale, de la [variance spécifique] à chacune des épreuves. Il a ainsi pu isoler ce qu’il a appelé le facteur [g] grâce à sa [théorie bifactorielle]. Si l’interprétation du facteur [g] reste problématique encore aujourd’hui, Spearman a contribué de façon essentielle à l’analyse des [matrices de corrélations] observées. Il a posé les bases de [l’analyse factorielle] à partir de mesures de [variables manifestes] (celles qui sont [effectivement mesurées]) et d’en identifier des variables [latentes], non [observables].
Les Modèles multidimensionnels de l’intelligence
Évolution des modèles factoriels
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À la suite de Spearman, d’autres chercheurs se sont intéressés à la question et ont émis des critiques au modèle unidimensionnel de Spearman. [Thurstone] propose une nouvelle méthode d’analyse factorielle, […]. Cette méthode permettait d’identifier les [… …] aux variables les [plus?/moins?] corrélées entre elles (et non à toutes les variables). Sa méthode, appliquée à un très grand nombre de données ([56?560?] tests et [240?/2400?] participants), lui a permis d’identifier une [dizaine?/douzaine?/vingtaine?] de facteurs [indécelables?/indépendants?] mais dont seuls [7?/77?] pouvaient être interprétés comme étant des aptitudes [primitives?/primaires?].
À la suite de Spearman, d’autres chercheurs se sont intéressés à la question et ont émis des critiques au modèle unidimensionnel de Spearman. [Thurstone] propose une nouvelle méthode d’analyse factorielle, [multiple]. Cette méthode permettait d’identifier les [facteurs communs] aux variables les [plus] corrélées entre elles (et non à toutes les variables). Sa méthode, appliquée à un très grand nombre de données ([56] tests et [240] participants), lui a permis d’identifier une [douzaine] de facteurs [indépendants] mais dont seuls [7] pouvaient être interprétés comme étant des aptitudes [primaires].
Les Modèles multidimensionnels de l’intelligence
Évolution des modèles factoriels
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Entre Spearman qui proposait un facteur […] et […] à toutes les manifestations de l’intelligence et Thurstone qui proposait [? … … …], il restait la place pour une modélisation de l’intelligence sous la forme d’une [… …] de facteurs. Ainsi, [B… et V…] ont pu isoler un [… …] d’intelligence et 2 facteurs de […], le […-…] et le […-…].
Entre Spearman qui proposait un facteur [unique] et [commun] à toutes les manifestations de l’intelligence et Thurstone qui proposait [7 aptitudes primaires indépendantes], il restait la place pour une modélisation de l’intelligence sous la forme d’une [organisation hiérarchisée] de facteurs. Ainsi, [Burt et Vernon] ont pu isoler un [facteur général] d’intelligence et 2 facteurs de [groupe], le [verbal-éducationnel] et le [kinesthésique-moteur].
Les Modèles multidimensionnels de l’intelligence
Évolution des modèles factoriels
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Cattell (Raymond B.) a de son côté proposé 2 facteurs généraux d’intelligence et non plus un seul. Lesquels ?
Le facteur d’intelligence fluide (Gf) et le facteur d’intelligence cristallisée (Gc).
Les Modèles multidimensionnels de l’intelligence
Évolution des modèles factoriels
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Le facteur d’intelligence fluide de R.B. Cattell rend compte des [… de …], notamment dans des situations […] et fait peu appel aux [… …].
Le facteur d’intelligence fluide de R.B. Cattell rend compte des [capacités de raisonnement], notamment dans des situations [nouvelles] et fait peu appel aux [connaissances acquises].
Les Modèles multidimensionnels de l’intelligence
Évolution des modèles factoriels
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Le facteur d’intelligence cristallisée de R.B. Cattell rend compte des […] : la capacité à apprendre de [… …] en mettant en œuvre les [… … …] et les [… … …].
Le facteur d’intelligence cristallisée de R.B. Cattell rend compte des [apprentissages] : la capacité à apprendre de [nouvelles connaissances] en mettant en œuvre les [connaissances déjà acquises] et les [stratégies bien maîtrisées].