QCM Flashcards
L’ontogenèse correspond à
la constitution du cerveau basée exclusivement sur l’histoire personnelle de l’individu
Les périodes photosensibles
correspondent à l’aube et au crépuscule et permettent à l’horloge interne de se synchroniser sur les stimuli extérieurs
L’éveil diffus correspond
au rythme Alpha (8 à 12 Hz) et à une activité des régions postérieures du cerveau
Le rythme Thêta est associé
à l’activité de l’hippocampe et à la mémorisation et à l’apprentissage
Le générateur de sommeil profond
prend le relai du système d’endormissement et bloque les informations sensorielles qui transitent par le thalamus
Le faisceau nigro-strié est une voie
dopaminergique
La progestérone
favorise la gestation et agit sur la lactation
La motivation sexuelle est liée chez la femme
aux taux d’œstrogènes
La stimulation de l’hypothalamus latéral provoque chez le rat des comportements
de prédation
L’amygdale est
située près de l’hippocampe, impliquée dans la perception de la peur et dans la perception de la faim
Le noyau supra chiasmique (NSC) fait partie d’un ensemble de noyaux situés à la base du diencéphale regroupés sous le nom
d’hypothalamus
Le NSC est impliqué dans la régulation de
l’horloge interne
On observe que l’activité des neurones du NSC est
synchrone et spontanée
A quoi correspondent les abréviations HVM et HL ? Quel est le rôle respectif de ces structures dans l’alimentation et comment interagissent-elles entre elles ?
HVM : l’hypothalamus ventro-médian et HL : l’hypothalamus latéral
Ces 2 régions (HVM et HL) exercent des influences antagonistes tant sur le comportement externe que sur les ajustements internes. L’activité de l’HL renforce l’action des stimuli alimentaires positifs, facilite les réponses liées à l’action de manger et active dans l’organisme la mobilisation et l’utilisation des réserves nutritives. L’activité du HVM renforce l’action des stimuli alimentaires qui provoquent l’aversion, facilite l’évitement de la nourriture et active les mécanismes d’entreposage et de conservation des réserves nutritives internes. Des données indiquent que l’hypothalamus ventro-médian et l’hypothalamus latéral s’inhibent mutuellement. En effet, en pratiquant une lésion partielle dans l’autre région, on peut modérer les effets d’une lésion partielle dans l’une de ces deux régions.
Les « Donneurs de Temps »
sont des éléments du milieu extérieur
Les informations lumineuses
sont transmises par la voie photique mais ne sont pas impliquées dans la vision et sont transmises par la voie photique et le nerf optique
La sérotonine est impliqué
dans l’humeur et est un neuromédiateur
Le sommeil paradoxal implique deux systèmes complémentaires
L’aire péri-brachiale qui excite une grande proportion des neurones, sensoriels ou moteurs et qui stimule les mouvements oculaires
La formation réticulée médio-pontique qui bloque l’excitation des voies motrices au niveau de la moelle
Les structures cérébrales impliquées dans le comportement alimentaire sont
l’hypothalamus latéral l’hypothalamus ventro-médian le complexe amygdalien le cortex orbito-frontal le faisceau nigro-strié les nerfs trijumeaux
L’hypothalamus ventro-médian est le centre
de la satiété
Le cortex orbito-frontal module
module l’amygdale et l’hypothalamus
L’amygdale
Intervient dans la sélection du partenaire sexuel
Donne une valeur hédonique aux stimuli alimentaires
Intervient dans notre capacité à ressentir nos émotions
Le modèle de Scherer (2009)
Considère les émotions comme un ensemble de processus flexibles
Dans le classement des émotions, il y a l’approche qui consiste à catégoriser les émotions et l’approche dimensionnelle. Décrivez la première approche.
L’approche catégorielle soutient l’existence de deux types d’émotions : d’une part les émotions primaires qui seraient des émotions de base dont l’organisation reposerait sur des mécanismes innés et automatiques et deuxièmement des émotions secondaires(ou mixtes) qui sont des mélanges des émotions de base. Par exemple, la honte est un mélange de peur et de colère (bloquée ou retournée contre soi). Pour Damasio, les émotions secondaires seraient acquises uniquement à l’âge adulte, sur la base des émotions primaires développées dans l’enfance et à partir de nos expériences passées.
A l’heure actuelle, il est généralement admis qu’il y aurait six émotions de base : la joie, la colère, la tristesse, le dégoût, la peur et la surprise. Cette classification a été proposée par Paul Ekman et ses collègues, qui ont mis en évidence des analogies transculturelles dans la production et l’interprétation de ces six expressions émotionnelles (Ekman, 1992), Ekman en déduit donc la caractéristique universelle de ces émotions.