Processus générique d'intervention Flashcards

Étudier les bases du processus générique d'intervention

1
Q

Quelles sont les 3 méthodologies d’interventions en travail social ?

A

Individuelle ou familiale, de groupe, collective.

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Q

Quelles sont les 5 étapes du processus d’intervention ?

A

Prise de contact, collecte de données et évaluation, planification de l’intervention, exécution de l’intervention, fin de l’intervention.

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3
Q

Quelle est la définition d’une relation d’aide et quelles sortes de relations d’aide il y a ?

A

Une relation d’aide est un moyen d’amener quelqu’un vers de nouveaux apprentissage pour la faire évoluer vers le mieux.
Les relations d’aide existantes sont soit personnelle ou professionnelle.

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4
Q

Comment pourrait-on décrire la relation d’aide ou l’intervention sociale professionnelle ?

A

On parle de soutenir et d’accompagner une personne ou plusieurs dans son environnement afin que leur problématique évolue vers le mieux. Tout ça dans les valeurs et des principes éthiques qui englobe le processus d’intervention en restant dans l’équilibre de la morale et de la méthodologie suivant un code déontologique.

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5
Q

Nommez moi 3 valeurs d’un travailleur social.

A

Croyance de la capacité humaine, dignité de la personne, respect des droits, la personne dans son contexte, les principes d’autonomie et d’autodétermination.

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6
Q

Pourquoi la connaissance de soi est si importante dans le travail social et qu’est-ce que la connaissance de soi ?

A

La connaissance de soi est un moyen de se connaître en tant que professionnel dans notre vie privée. Savoir où sont nos limites, nos valeurs, nos croyances et comment cela influence notre approche de travail. On doit gérer les émotions et cela permet d’éviter certains obstacles. On doit se connaître soit même avant d’aider quelqu’un et donc rester authentique, respectueux et ouvert d’esprit.

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7
Q

Comment définiriez-vous la posture face à l’autre ?

A

C’est le questionnement par rapport à l’observation sur nous et le client en lien avec la relation d’aide pour s’avoir les points à améliorer afin de trouver le bon type d’intervention. C’est de comprendre les choses importantes dans le caractère de l’usagé ainsi que sa situation pour remédier aux échecs possibles face aux traitements conventionnels.

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8
Q

Quelle est selon vous la distance professionnelle ?

A

C’est le juste milieu entre le professionnel et le personnel pour le bon déroulement de l’intervention. Par exemple le câlin, est-il nécessaire au bon déroulement, ou est-il superficiel et va engendrer des conséquences négatives ?

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9
Q

Rapidement, dites moi les phases transthéorique de changement et décrivez en quelques mots celles-ci.

A
  1. Précontemplation : Ne reconnaît pas le besoin d’aide.
  2. Contemplation : Questionnement sur la situation.
  3. Détermination : Connaissance d’un problème.
  4. Action : Modification active, cherche le changement.
  5. Maintenance : Maintient ce changement positif.
  6. Chute ou rechute : Retombe dans la problématique ou tombe dans celle-ci.
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10
Q

Quelles sont les étapes dans la prise de contact ?

A
  1. L’établissement d’une relation de confiance. C’est l’alliance thérapeutique et celle-ci repose sur une bonne attitude.
  2. Analyse sommaire de la situation. Rapidement comprendre pourquoi cette personne cherche de l’aide, on tente de comprendre le sens de cette situation pour celle-ci on reste dans le respect et un climat sécurisant.
  3. Information, orientation, référence ou prise en charge. C’est le moment où le TS présente différentes options pour aider l’usagé. On se demande toujours si nous sommes le bon professionnel et on tente de faire respecter les droits de la personne.
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11
Q

Quelles sont les habiletés essentielles pour avoir un établissement de la relation soit un lien de confiance ?

A

Empathie, la connaissance de soi, authenticité et l’assurance.

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12
Q

Quelles sont les habiletés essentielles à la communication ?

A

Le non-verbal, le reflet, la reformulation, la clarification, la focalisation, le silence.

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13
Q

Quelles sont quelques causes de résistances qu’un usagé peut avoir face à la situation de l’aide ?

A

Peur de l’inconnu, attitude négative envers le système, aucune raison de voir un aidant, habitude de révolte, sentiment d’échec, obligation, se sentir exclu des décisions, vérifie le niveau de soutien, ambivalence au changement.

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14
Q

Nommez-moi quelques réactions efficaces face aux résistances qu’un usagé peut avoir.

A

accepter la résistance, identifier les raisons de la résistance, revoir ses interventions, être réaliste et souple, responsabiliser la personne, susciter la participation.

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15
Q

Expliquez moi quelles sortes d’enjeux il pourrait y avoir dans la prise de contact.

A
  1. Le transfert : la personne AIDÉE transpose les mécanismes d’adaptation qu’elle connaît déjà y compris les mécanismes dysfonctionnels.
  2. Le contre-transfert : la personne AIDANTE aborde la personne aidée avec ses vulnérabilités et ses mécanismes habituels d’adaptation.

**Une réaction négative d’un transfert amène souvent à un contre-transfert.

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16
Q

Décrivez moi le reflet et quelles réactions l’aidée pourrait avoir.

A

Le reflet est le moyen de traduire l’émotion qui est dominante afin de laisser sortir la pression et de centrer la personne sur cette émotion. Il faut toutefois le faire dans la bonne intensité.
Les réactions pourraient être : l’impatience, le sentiment de ne pas être compris ou le sentiment d’être compris et la porté vers la réflexion.

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17
Q

Décrivez moi la reformulation.

A

C’est un résumé dans ses propres mots des idées et des perceptions de ce que l’usagé vient de dire en étant bref et clair.

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18
Q

Décrivez moi la focalisation.

A

Ce sont souvent des questions ouvertes pour préciser un sujet et mettre l’emphase sur celui-ci.

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19
Q

Donnez moi les 4 exemples de focalisation.

A
  1. Focalisation non verbal = le regard.
  2. Focalisation par question ouverte = plus loins que le oui ou le non.
  3. Focalisation par répétition = répétant un bout de phrase.
  4. Focalisation à l’aide d’un adverbe ou conjonction = mais, donc.
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20
Q

Décrivez moi le silence productif.

A

L’intervenant s’abstient d’intervenir pour accueillir le vécu afin de digérer ce qui vient de se passer.

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21
Q

Décrivez moi la confrontation.

A

C’est de remettre en question ce que l’usagé vient de dire en le mettant en déséquilibre par la comparaison de deux visions du même fait.

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22
Q

Décrivez moi l’observation.

A

C’est de regarder, voir et analyser. On observe l’usagé, nous, son entourage, son environnement afin de faire une collecte de données

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23
Q

Quelles sont les risques et donc les raisons que des travailleurs sociaux veulent utiliser la méthodologie de collectivité soit une intervention en communauté lors d’une problématique collective ?

A

Insécurité alimentaire, retour à l’emploi insécure, économie difficile (loyer), augmentation de stress, de dépression, haut risque de toxicomanie et d’alcoolimie.

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24
Q

Vrai ou faux, est-ce la collectivité plus souvent qui demande une intervention ?

A

Vrai.

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25
Q

Nommez moi quelques types de traitement en groupe.

A

Thérapie, soutien, éducation.

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26
Q

Décrivez moi brièvement les 4 phases d’une intervention en groupe.

A
  1. Phase pré-groupe : déterminer les besoins du groupe, les contraintes organisationnelles.
  2. La phase du début (prise de contact et collecte de données et évaluation) : Mettre les conditions à l’aide mutuelle, favoriser à l’adhésion des buts individuel ou collectifs et favoriser la motivation, établissement d’un contrat, faire le travail de prouver que la méthode de groupe est une bonne méthode.
  3. Phase de travail (planification et évaluation de l’action) : aider les membres à atteindre leurs objectifs en favorisant la dynamique de l’aide mutuelle, identifier les obstacles et passer par dessus. On confronte les idées, on parle de sujets tabous, on partage des infos.
  4. Phase de conclusion (fin de l’intervention) : dresser un bilan, est-ce que la démarche a permis aux objectifs d’être réalisés, adresser le vécu des membres par rapport à cette intervention, maintien de l’apprentissage à l’extérieur du groupe.
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27
Q

Quelle est la ressemblance entre une intervention de groupe ou en communauté quant à l’aide?

A

C’est une aide mutuelle, l’intervenant prend un rôle d’animateur et ne fera pas une intervention individuel. Ce sont les gens faisant parti de la communauté ou du groupe qui vont s’aider entre eux.

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28
Q

Est-ce vrai que le rôle du travailleur social change avec les différentes méthodologies et les différents processus ?

A

Faux. Le rôle du T.S ne change pas, la méthodologie elle peut changer, mais le rôle et le processus ne change pas, c’est seulement le contexte qui peut changer et donc la méthode pour tenter la personne qui peut changer.

29
Q

Qu’est-ce qu’un paradigme ? Donnez moi 1 exemple.

A

C’est la représentation qu’on se fait du monde, c’est un modèle cohérent qui repose sur un fondement défini. Exemple : Socio-critique, fonctionnalisme-humanisme, etc.

30
Q

Décrivez moi qu’est-ce qu’une approche d’intervention et donnez moi 1 exemple.

A

Reflète le mode d’explication de la situation/problème. Exemple : Systémique, structurelle, etc.

31
Q

Qu’est-ce qu’un modèle d’intervention ? Donnez moi 1 exemple.

A

Suggère un ensemble de procédures, de stratégies et de techniques pour opérationnaliser une intervention sociale. Exemple : Intervention de crise, narrative, etc.

32
Q

Est-ce vrai que notre paradigme peut-être seulement personnelle ?

A

Faux, celle-ci peut être obliger par un organisme afin d’influencer notre approche et notre modèle d’intervention.

*J’suis comme pas sûr si c’est le paradigme qui est obligé par un organisme ou les approches et les modèles d’intervention.

33
Q

Qu’elle est le mot valise qui décrirait l’intervention sociale à son meilleure ?

A

La co-construction. L’empowerment.

34
Q

Qu’est-ce que formuler une hypothèse ?

A

C’est la représentation mentale claire du problème de l’usagé que l’aidant ajuste au fil de l’accompagnement. On le formule comme un défi à relever ou une tâche à accomplir. (ne pas oublier mentale)

35
Q

Dites moi les choses importantes à faire lorsqu’on veut formuler une hypothèse.

A

On doit organiser l’information, on doit dégager le problème, on donne du pouvoir à l’usagé comme quoi il y a espoir et on reste précis et concis.
*On ne saute pas trop vite aux conclusions.

36
Q

Vrai ou faux. C’est utile de se formuler une hypothèse seulement en lisant le dossier de la personne.

A

Faux. On saute trop rapidement aux conclusions. On va vouloir entendre seulement ce qui nous intéresse et on n’aura pas une écoute active.

37
Q

Qu’est-ce que l’interprétation ?

A

C’est l’intervention par laquelle l’aidant propose une signification possible d’un sentiment, d’une motivation ou d’un comportement de l’aidé dans le bus de comprendre et de l’aider à se comprendre. (Ce n’est plus mental comme une hypothèse ça devient une intervention)

38
Q

Quelles sont les 4 sources d’interprétation ?

A
  1. L’intuition.
  2. Le recadrage.
  3. La connaissance en psychologie.
  4. L’implication (vécu du TS).
39
Q

Quelle serait l’enjeu possible lorsque le TS fait une interprétation du problème ?

A

Cela peut provoquer une résistance.

40
Q

Comment est-ce possible de remédier à un enjeu après l’interprétation du problème ? Donnez moi un exemple de formulation de phrase.

A

Par un simple reflet, ex : Je vois que ce n’est pas évident ce que je viens de dire.

41
Q

Quelles sont les choses essentielles à faire attention lors d’une interprétation d’une problématique?

A

Toujours un peu de soi, attention à la subjectivité, marge d’erreur possible, importance de la validation, importance du dialogue avec la personne.

42
Q

Qu’elle est la différence entre un contrat et un plan d’intervention ?

A

Un contrat est formel et est là pour savoir dans quoi l’usagé s’engage, cela assure la motivation, il est souvent très ordonné et parle d’échéances, de signature et autre. Ce sont donc les objectifs que l’aidant souhaite avoir de l’aidé pour les rencontres et non à l’intérieur des rencontres. Donc la ponctualité, le temps de rencontre, la motivation, les règles, etc.
Le plan d’intervention est là pour centrer les objectifs de l’usagé dans sa vie et son environnement. Le plan d’intervention est là pour éclairer et influencé l’autodétermination de l’usagé.

43
Q

Décrivez brièvement les 2 types de PI.

A
  1. Unidisciplinaire : PIU, engage exclusivement le ts et le client.
  2. Interdisciplinaire : PII, implique plusieurs professionnels d’un même établissement ainsi que le client.
44
Q

Qu’est-ce qu’un plan de service individualisé et à quoi ça sert ?

A

C’est un plan d’intervention par rapport à plusieurs professionnels qui viennent de différents établissements. On tente alors de créer une communication entre toutes ces personnes afin de trouver quelles sont les objectifs de la personne dans telle sphère de sa vie. Pour qu’ensuite un PI se face avec chacun des professionnels.

45
Q

Qu’est-ce qui est important de faire avant un plan de service individualisé ?

A

Une rencontre de concertation, pour être sur la même longueur d’onde et qu’il n’y ait pas d’embûches avant de rencontrer l’usagé.

46
Q

Quel est l’objectif premier de la prise de contact ?

A

Créer une solide alliance de travail pour favoriser le processus de changement.

47
Q

Qu’est-ce que l’alliance thérapeutique ?

A
  1. La qualité d’être du TS avec le client.
  2. La réponse à cette qualité d’être par le client
  3. La conclusion d’une entente sur les objectifs et sur les tâches à accomplir durant la démarche.
48
Q

Qu’est-ce que l’empathie ?

A

Effort pour s’introduite dans la solitude métaphysique d’autrui. C’est de regarder par la fenêtre du client. On rentre dans le côté émotif et on tente de comprendre son point de vue à lui.

49
Q

Qu’est-ce que l’usure de compassion ?

A

L’usure de compassion désigne l’épuisement émotionnel et physique profond que peuvent ressentir les professionnels des soins de santé au cours de leur carrière, quand ils ne parviennent pas à recharger leurs batteries et à se revitaliser.

50
Q

Quelles sont les réactions inefficaces face aux résistances ? (3-4)

A
• Se sentir coupable
• Être impatient ou colérique
• Ne rien faire
• Diminuer ses attentes
• Devenir plus chaleureux
• Blâmer la personne
• Se maintenir dans le rôle du bouc-
émissaire
• Laisser la personne « diriger »
• Abandonner et mettre fin à la
relation
• Se réfugier dans les normes et le
cadre de pratique
• L’entonnoir du diagnostic
51
Q

Vrai ou faux. Pour être capable de bien repérer les mécanismes de défense et les résistances du client, il faut être en mesure de bien observer.

A

Vrai.

52
Q

Quelles sont les liens entre la relation d’aide, la connaissance de soi et le changement ?

A

Il n’y a pas de relation d’aide, s’il n’y a pas de connaissance de soi et il n’y a pas de changement, s’il n’y a pas de relation d’aide.

53
Q

Vrai ou faux. Les techniques sont utiles à toutes les étapes du processus.

A

vrai.

54
Q

Quelles sont en bref les fonctions du reflet ?

A

• Laisser sortir la pression et bâtir la relation
Moins de tension = poursuivre l’exploration
• Clarifier son vécu
Reconnaître l’émotion
• Centrer la personne sur une émotion sous-jacente
Peut se faire après avoir ciblé l’émotion dominante
• Rassurer en dédramatisant
Validation/normalisation du vécu
• Mettre la personne en déséquilibre
Reflet aiguisé près de la confrontation

55
Q

Quelles sont en bref les fonctions de la reformulation ?

A

• Laisser sortir la vapeur
Le sentiment d’être compris permet de poursuivre l’exploration
• Attirer l’attention sur un élément en particulier (principes, croyances, objectifs…)
Permet d’aller plus loin
• Amener l’aidé à se centrer
Permet un focus

56
Q

Quelles sont en bref les fonctions de la focalisation ?

A
  • Permettre à l’aidé de se centrer sur son vécu.

- Arrêter les paroles non productives.

57
Q

Quelles sont en bref les fonctions de la focalisation ?

A

• Accueillir le vécu
Traduit le respect
• Faciliter l’exploration du problème
Encourage la personne ou les personnes à poursuivre
• Permettre de « digérer » ce qui vient de se passer
Une émotion nommée ou vécue, une prise de conscience…
• Permettre de surmonter une résistance
Espace de réflexion
• Laisser la responsabilité de la situation-problème à la personne ou aux personnes
Doser la place prise par l’intervenant
En contrepartie, ne pas laisser la personne ou les personnes « mariner » dans leur malaise!

58
Q

Quelles sont en bref les usages de la confrontation ?

A
  • Prises de conscience à faire
  • Croyances discutables à débusquer
  • Des liens à faire ou des contradictions à dépasser
  • Des résistances à vaincre
59
Q

Vrai ou faux. Le problème peut évoluer : l’identification du problème n’est donc pas statique.

A

Vrai.

60
Q

Qu’est-ce qu’un plan d’intervention ?

A

Il sert à guider l’intervention. Processus structuré par lequel un intervenant en fonction de son mandat et avec la participation de la personne ou de son représentant, identifie ses besoins, détermine les objectifs à poursuivre, les moyens à utiliser pour y parvenir et la durée prévisible pendant laquelle des services devront lui être fournis.

61
Q

Pourquoi faire un plan d’intervention ?

A

Pour que le client fasse un choix éclairé quant à l’intervention qu’on lui suggère. Favoriser l’auto-détermination et l’autonomie.

62
Q

Vrai ou faux. Le PSI ne s’applique pas particulièrement lorsque des services de santé et des services sociaux sont requis pour une période prolongée et impliquent plusieurs ressources.

A

Faux. le PSI s’applique.

63
Q

Quelles sont les principes de bases du PI et du PSI ?

A

 Respect des droits de la personne
 Respect du code de déontologie
 Individualisé donc centré sur la personne
 Participation de la personne dans tout le processus
 Rédigé lisiblement et clairement (langage clair et accessible)
 Mise sur les forces de la personne
 Ciblé sur les finalités désirées par la personne

64
Q

Qu’est-ce qu’on retrouve dans un PI ou un PSI ?

A

 Résumé/analyse de la situation (grandes lignes)
 Besoins de la ou les personnes (opinion professionnelle)
 But de l’intervention
 Objectifs visés
 Moyens utilisés pour répondre des objectifs
 Échéancier
 Responsable de l’objectif et les indicateurs de réussite/résultats
* Pour le PSI : identification du coordonnateur

65
Q

Quelles sont les distinctions entre le Pi et le PSI ?

A

Le PI est fait pas un seul professionnel, le PSI par plusieurs professionnels de plusieurs établissement.

Le but du PI est de déterminer les objectifs à atteindre en lien avec les mandats d’un seul établissement, tandis que le but du PSI est de planifier et coordonner les services pour la suite des choses (ex : les PI dans chaque établissement)

Le PI priorise les objectifs spécifiques, et le PSI détermine les objectifs généraux.

Dans le PI il y a une répartition des rôles et des responsabilités entre les intervenants d’un même établissement, tandis que dans le PSI, la répartition des rôles et des responsabilités sont entre les partenaires.

66
Q

Qu’est-ce qui est important dans l’élaboration du PI au niveau du problème ?

A

Il faut distinguer les problèmes des réalités. Les problèmes sont les aspects transformables.

67
Q

Qu’est-ce qui est important dans l’élaboration d’un PI au niveau de l’objectif ?

A

Un objectif est un résultat pour le client et non l’intervenant. Cet objectif doit être mesurable, motivant, réaliste et réalisable.

68
Q

Qu’est-ce qui est important dans l’élaboration du PI au niveau des moyens utilisés ?

A

Les moyens sont toutes les activités pour atteindre l’objectif. (outils, instruments, ressources, actions, exercices, etc.) Puis pour indiquer si les moyens fonctionnent on doit mesurer l’état d’avancement par des indicateurs de résultats en cours de route.