Pratique examen 1 : Pathologies bactériennes et virologiques majeures + pharmacologie des antimicrobiens Flashcards
Généré par ChatGPT (selon les ndc et objectifs)
Cas clinique 1 (1/4)
Quel est le diagnostic le plus probable chez ce patient ?
A) Pneumonie à Streptococcus pneumoniae
B) Bronchite aiguë virale
C) Tuberculose pulmonaire
D) Embolie pulmonaire
🔹 Patient : Homme de 67 ans, BPCO, tabagisme, fièvre 38,7°C, toux productive, dyspnée, douleur thoracique pleurétique, crépitants basaux droits.
🔹 *Test urinaire positif pour *S. pneumoniae**
🔹 Cas associé aux Questions 1 à 4
A) Pneumonie à Streptococcus pneumoniae
S. pneumoniae est la cause principale des pneumonies communautaires.
Mauvaises réponses : B) Bronchite virale : pas de crépitants, fièvre souvent plus modérée. C) Tuberculose : évolution plus longue, souvent avec sueurs nocturnes. D) Embolie pulmonaire : dyspnée aiguë mais sans expectorations purulentes.
Cas clinique 1 (2/4)
Quel antibiotique est recommandé en première intention chez ce patient ambulatoire ?
A) Azithromycine
B) Amoxicilline
C) Ceftriaxone
D) Lévofloxacine
🔹 Patient : Homme de 67 ans, BPCO, tabagisme, fièvre 38,7°C, toux productive, dyspnée, douleur thoracique pleurétique, crépitants basaux droits.
🔹 *Test urinaire positif pour *S. pneumoniae**
🔹 Cas associé aux Questions 1 à 4
B) Amoxicilline
Amoxicilline est le traitement standard en 1re ligne pour les pneumonies communautaires. Mauvaises réponses : A) Azithromycine : alternative mais résistance variable. C) Ceftriaxone : utilisé en milieu hospitalier. D) Lévofloxacine : fluoroquinolone, réservée aux patients à risque.
Cas clinique 1 (3/4)
Quel antibiotique choisir si le patient avait une allergie sévère à la pénicilline ?
A) Clindamycine
B) Doxycycline
C) Vancomycine
D) Amoxicilline-clavulanate
🔹 Patient : Homme de 67 ans, BPCO, tabagisme, fièvre 38,7°C, toux productive, dyspnée, douleur thoracique pleurétique, crépitants basaux droits.
🔹 *Test urinaire positif pour *S. pneumoniae**
🔹 Cas associé aux Questions 1 à 4
B) Doxycycline
Doxycycline est une alternative efficace en cas d’allergie aux β-lactames. Mauvaises réponses : A) Clindamycine : pas idéale seule pour S. pneumoniae. C) Vancomycine : réservée aux infections sévères (SARM). D) Amoxicilline-clavulanate : à éviter en cas d’allergie.
Cas clinique 1 (4/4)
Le patient se détériore après 3 jours : tachypnée, hypoxie persistante, hypotension 85/50 mmHg, confusion. Quel diagnostic suspecter ?
A) Surinfection virale
B) Pneumonie nécrosante
C) Sepsis avec choc septique
D) Réaction allergique aux antibiotiques
🔹 Patient : Homme de 67 ans, BPCO, tabagisme, fièvre 38,7°C, toux productive, dyspnée, douleur thoracique pleurétique, crépitants basaux droits.
🔹 *Test urinaire positif pour *S. pneumoniae**
🔹 Cas associé aux Questions 1 à 4
C) Sepsis avec choc septique
Hypotension et confusion suggèrent un choc septique secondaire à la pneumonie. Mauvaises réponses : A) Surinfection virale : peu probable sous antibiothérapie. B) Pneumonie nécrosante : plus rare, surtout avec S. aureus. D) Allergie : absence d’éruption ou d’œdème.
Cas clinique 2 (1/3)
Quel agent pathogène est le plus probable chez cette patiente ?
A) Neisseria meningitidis
B) Escherichia coli
C) Haemophilus influenzae
D) Listeria monocytogenes
🔹 Patient : Femme de 25 ans, fièvre 39,2°C, céphalées intenses, photophobie, nuque raide, altération de la conscience.
🔹 Cas associé aux Questions 5 à 7
A) Neisseria meningitidis
Méningocoque est la cause principale de méningite bactérienne chez l’adulte jeune. Mauvaises réponses : B) E. coli : plus fréquent chez les nouveau-nés. C) H. influenzae : diminué grâce à la vaccination Hib. D) Listeria : plus fréquent chez les immunosupprimés.
Cas clinique 2 (2/3)
Quel examen est essentiel pour confirmer la méningite bactérienne ?
A) Hémocultures
B) IRM cérébrale
C) Ponction lombaire avec analyse du LCR
D) Dosage des D-dimères
🔹 Patient : Femme de 25 ans, fièvre 39,2°C, céphalées intenses, photophobie, nuque raide, altération de la conscience.
🔹 Cas associé aux Questions 5 à 7
C) Ponction lombaire avec analyse du LCR
Le LCR montrera une pleiocytose neutrophilique, hypoglycorachie et hyperprotéinorachie. Mauvaises réponses : A) Hémocultures : utiles mais non spécifiques. B) IRM : utile si complications, pas pour diagnostic initial. D) D-dimères : inutiles ici.
Cas clinique 2 (3/3)
Quel est le traitement empirique recommandé pour cette patiente ?
A) Ceftriaxone + vancomycine
B) Amoxicilline seule
C) Métronidazole + gentamicine
D) Azithromycine
🔹 Patient : Femme de 25 ans, fièvre 39,2°C, céphalées intenses, photophobie, nuque raide, altération de la conscience.
🔹 Cas associé aux Questions 5 à 7
A) Ceftriaxone + vancomycine
Couvre N. meningitidis, S. pneumoniae et H. influenzae. Mauvaises réponses : B) Amoxicilline : spectre insuffisant. C) Métronidazole : utile pour anaérobies, pas ici. D) Azithromycine : pour infections respiratoires, pas méningites.
Cas clinique 3 (1/4)
Quel est le diagnostic le plus probable ?
A) Cystite simple
B) Pyélonéphrite aiguë
C) Urétrite
D) Calcul rénal infecté
🔹 Patient : Femme de 78 ans, diabétique, fièvre 39°C, dysurie, pollakiurie, douleurs lombaires droites.
🔹 Bandelette urinaire positive aux nitrites et leucocytes, ECBU montre >100 000 UFC/ml d’Escherichia coli.
🔹 Cas associé aux Questions 8 à 11
B) Pyélonéphrite aiguë
Fièvre + douleurs lombaires = atteinte rénale. Mauvaises réponses : A) Cystite : pas de fièvre ni douleurs lombaires. C) Urétrite : habituellement sans fièvre ni douleurs lombaires. D) Calcul : souvent afébrile sauf en cas de surinfection.
Cas clinique 3 (2/4)
Quel antibiotique est recommandé en première ligne pour cette infection ?
A) Nitrofurantoïne
B) Fosfomycine
C) Ciprofloxacine
D) Amoxicilline
🔹 Patient : Femme de 78 ans, diabétique, fièvre 39°C, dysurie, pollakiurie, douleurs lombaires droites.
🔹 Bandelette urinaire positive aux nitrites et leucocytes, ECBU montre >100 000 UFC/ml d’Escherichia coli.
🔹 Cas associé aux Questions 8 à 11
C) Ciprofloxacine
Les fluoroquinolones sont recommandées en première ligne pour les pyélonéphrites. Mauvaises réponses : A/B) Nitrofurantoïne/Fosfomycine : efficaces en cystite, mais pas en pyélonéphrite (mauvaise diffusion rénale). D) Amoxicilline : mauvaise couverture d’E. coli.
Cas clinique 3 (3/4)
Quelle est la durée recommandée du traitement antibiotique dans ce cas ?
A) 3 jours
B) 5 jours
C) 7-14 jours
D) 4 semaines
🔹 Patient : Femme de 78 ans, diabétique, fièvre 39°C, dysurie, pollakiurie, douleurs lombaires droites.
🔹 Bandelette urinaire positive aux nitrites et leucocytes, ECBU montre >100 000 UFC/ml d’Escherichia coli.
🔹 Cas associé aux Questions 8 à 11
C) 7-14 jours
Une pyélonéphrite nécessite un traitement prolongé pour éviter les rechutes. Mauvaises réponses : A/B) Trop courts pour une atteinte rénale. D) 4 semaines = prostatite bactérienne chronique.
Cas clinique 3 (4/4)
Quels critères justifieraient une hospitalisation dans ce cas ? (Sélectionnez deux réponses)
A) Âge avancé
B) Diabète
C) Présence de leucocytes sur la bandelette urinaire
D) ECBU montrant E. coli
🔹 Patient : Femme de 78 ans, diabétique, fièvre 39°C, dysurie, pollakiurie, douleurs lombaires droites.
🔹 Bandelette urinaire positive aux nitrites et leucocytes, ECBU montre >100 000 UFC/ml d’Escherichia coli.
🔹 Cas associé aux Questions 8 à 11
A) Âge avancé et B) Diabète
Les personnes âgées et les patients diabétiques sont à risque de complications. Mauvaises réponses : C/D) La présence de leucocytes ou E. coli seule ne justifie pas une hospitalisation.
Cas clinique 4 (1/3)
Quel est l’agent pathogène le plus probable ?
A) Neisseria meningitidis
B) Escherichia coli
C) Haemophilus influenzae
D) Streptococcus agalactiae
🔹 Patient : Nourrisson de 6 mois, fièvre 39,5°C, irritabilité, pleurs inconsolables, fontanelle bombée.
🔹 Cas associé aux Questions 12 à 14
D) Streptococcus agalactiae
S. agalactiae est la principale cause de méningite bactérienne néonatale.
Cas clinique 4 (2/3)
**Quel signe clinique est spécifique aux méningites chez le nourrisson ?
**
A) Raideur de la nuque
B) Convulsions fébriles
C) Fontanelle bombée
D) Rash cutané
🔹 Patient : Nourrisson de 6 mois, fièvre 39,5°C, irritabilité, pleurs inconsolables, fontanelle bombée.
🔹 Cas associé aux Questions 12 à 14
C) Fontanelle bombée
Chez les nourrissons, la fontanelle bombée traduit une hypertension intracrânienne.
Cas clinique 4 (3/3)
Quel traitement empirique est recommandé chez ce nourrisson ?
A) Ceftriaxone + vancomycine
B) Amoxicilline + gentamicine
C) Métronidazole + ciprofloxacine
D) Pénicilline seule
🔹 Patient : Nourrisson de 6 mois, fièvre 39,5°C, irritabilité, pleurs inconsolables, fontanelle bombée.
🔹 Cas associé aux Questions 12 à 14
B) Amoxicilline + gentamicine
L’amoxicilline couvre S. agalactiae et Listeria monocytogenes.
Cas clinique 5 (1/4)
Quel est le diagnostic le plus probable ?
A) Endocardite infectieuse
B) Fièvre Q
C) Myocardite virale
D) Syndrome de Kawasaki
🔹 Patient : Homme, 58 ans, ATCD valvulopathie mitrale, fièvre prolongée, sueurs nocturnes, fatigue, souffle cardiaque nouveau.
🔹 *Hémocultures positives pour *Streptococcus viridans**
🔹 Cas associé aux Questions 15 à 18
A) Endocardite infectieuse
Fièvre prolongée + souffle cardiaque nouveau = endocardite probable.
Cas clinique 5 (2/4)
Quel est l’examen clé pour confirmer l’endocardite ?
A) Hémocultures
B) IRM cardiaque
C) Échographie cardiaque transœsophagienne
D) ECG
🔹 Patient : Homme, 58 ans, ATCD valvulopathie mitrale, fièvre prolongée, sueurs nocturnes, fatigue, souffle cardiaque nouveau.
🔹 *Hémocultures positives pour *Streptococcus viridans**
🔹 Cas associé aux Questions 15 à 18
C) Écho transœsophagienne
L’échographie montre les végétations valvulaires.
Cas clinique 5 (3/4)
Quelle antibiothérapie empirique est recommandée ?
A) Amoxicilline seule
B) Vancomycine + gentamicine
C) Métronidazole
D) Ciprofloxacine
🔹 Patient : Homme, 58 ans, ATCD valvulopathie mitrale, fièvre prolongée, sueurs nocturnes, fatigue, souffle cardiaque nouveau.
🔹 *Hémocultures positives pour *Streptococcus viridans**
🔹 Cas associé aux Questions 15 à 18
B) Vancomycine + gentamicine
Couvre les streptocoques, staphylocoques et entérocoques.
Cas clinique 5 (4/4)
Quelle complication majeure doit être surveillée ?
A) AVC ischémique
B) Péricardite
C) Insuffisance rénale aiguë
D) Hypertension pulmonaire
🔹 Patient : Homme, 58 ans, ATCD valvulopathie mitrale, fièvre prolongée, sueurs nocturnes, fatigue, souffle cardiaque nouveau.
🔹 *Hémocultures positives pour *Streptococcus viridans**
🔹 Cas associé aux Questions 15 à 18
A) AVC ischémique
Les embolies septiques peuvent causer un AVC.
Cas clinique 6 (1/3)
Quel est le diagnostic principal ?
A) Sepsis à E. coli
B) Choc cardiogénique
C) Ménigococcémie
D) Fièvre typhoïde
🔹 Patient : Femme, 72 ans, diabétique, infection urinaire récente, fièvre 40°C, hypotension 85/50 mmHg, tachycardie 120 bpm, confusion.
🔹 *Hémocultures : *Escherichia coli**
🔹 Cas associé aux Questions 19 à 21
A) Sepsis à E. coli
Sepsis secondaire à une infection urinaire.
Cas clinique 6 (2/3)
Quelle est la priorité thérapeutique ?
A) Remplissage vasculaire
B) Corticothérapie IV
C) Hémodialyse
D) Surveillance seule
🔹 Patient : Femme, 72 ans, diabétique, infection urinaire récente, fièvre 40°C, hypotension 85/50 mmHg, tachycardie 120 bpm, confusion.
🔹 *Hémocultures : *Escherichia coli**
🔹 Cas associé aux Questions 19 à 21
A) Remplissage vasculaire
Correction de l’hypotension avec solutés IV.
Cas clinique 6 (3/3)
Quel antibiotique est recommandé en 1re ligne ?
A) Ceftriaxone
B) Vancomycine
C) Métronidazole
D) Doxycycline
🔹 Patient : Femme, 72 ans, diabétique, infection urinaire récente, fièvre 40°C, hypotension 85/50 mmHg, tachycardie 120 bpm, confusion.
🔹 *Hémocultures : *Escherichia coli**
🔹 Cas associé aux Questions 19 à 21
A) Ceftriaxone
Spectre large contre E. coli et autres Gram négatifs.
Cas clinique 7
Quel est le diagnostic le plus probable ?
A) Tuberculose pulmonaire
B) Pneumonie virale
C) Aspergillose
D) Sarcoïdose
🔹 Patient : Homme, 40 ans, VIH+, fièvre, toux chronique, hémoptysies, amaigrissement, sueurs nocturnes.
🔹 Cas associé aux Questions 22 à 24
A) Tuberculose pulmonaire
Symptômes chroniques + VIH = TB suspectée. Mauvaises réponses : B) Pneumonie virale = aiguë, pas chronique. C) Aspergillose = rares hémoptysies massives. D) Sarcoïdose = pas d’hémoptysies ni de sueurs nocturnes.
Cas clinique 8 (1/4)
Quel micro-organisme est le plus probable ?
A) Streptococcus pneumoniae
B) Mycoplasma pneumoniae
C) Legionella pneumophila
D) Haemophilus influenzae
🔹Patient : Femme, 30 ans, toux sèche persistante, fièvre modérée (38,2°C), céphalées, myalgies, pas d’expectorations, RX thoracique : infiltrats diffus bilatéraux.
B) Mycoplasma pneumoniae
Pneumonie atypique = toux sèche + infiltrats diffus. Mauvaises réponses : A) S. pneumoniae : typiquement expectorations purulentes, lobaire. C) Legionella : fièvre plus élevée, hyponatrémie. D) H. influenzae : surtout chez les BPCO.
Cas clinique 8 (2/4)
Comment Mycoplasma pneumoniae se transmet-il ?
A) Gouttelettes
B) Aérosols
C) Contact direct
D) Eau contaminée
🔹Patient : Femme, 30 ans, toux sèche persistante, fièvre modérée (38,2°C), céphalées, myalgies, pas d’expectorations, RX thoracique : infiltrats diffus bilatéraux.
A) Gouttelettes
Transmission interhumaine via gouttelettes respiratoires. Mauvaises réponses : B) Aérosols = TB. C) Contact direct = pas la principale voie. D) Eau contaminée = Legionella.