Pratique examen 1 : Pathologies bactériennes et virologiques majeures + pharmacologie des antimicrobiens Flashcards

Généré par ChatGPT (selon les ndc et objectifs)

1
Q

Cas clinique 1 (1/4)

Quel est le diagnostic le plus probable chez ce patient ?

A) Pneumonie à Streptococcus pneumoniae
B) Bronchite aiguë virale
C) Tuberculose pulmonaire
D) Embolie pulmonaire

🔹 Patient : Homme de 67 ans, BPCO, tabagisme, fièvre 38,7°C, toux productive, dyspnée, douleur thoracique pleurétique, crépitants basaux droits.
🔹 *Test urinaire positif pour *S. pneumoniae**
🔹 Cas associé aux Questions 1 à 4

A

A) Pneumonie à Streptococcus pneumoniae

S. pneumoniae est la cause principale des pneumonies communautaires.

Mauvaises réponses : B) Bronchite virale : pas de crépitants, fièvre souvent plus modérée. C) Tuberculose : évolution plus longue, souvent avec sueurs nocturnes. D) Embolie pulmonaire : dyspnée aiguë mais sans expectorations purulentes.

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Q

Cas clinique 1 (2/4)

Quel antibiotique est recommandé en première intention chez ce patient ambulatoire ?

A) Azithromycine
B) Amoxicilline
C) Ceftriaxone
D) Lévofloxacine

🔹 Patient : Homme de 67 ans, BPCO, tabagisme, fièvre 38,7°C, toux productive, dyspnée, douleur thoracique pleurétique, crépitants basaux droits.
🔹 *Test urinaire positif pour *S. pneumoniae**
🔹 Cas associé aux Questions 1 à 4

A

B) Amoxicilline

Amoxicilline est le traitement standard en 1re ligne pour les pneumonies communautaires. Mauvaises réponses : A) Azithromycine : alternative mais résistance variable. C) Ceftriaxone : utilisé en milieu hospitalier. D) Lévofloxacine : fluoroquinolone, réservée aux patients à risque.

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Q

Cas clinique 1 (3/4)

Quel antibiotique choisir si le patient avait une allergie sévère à la pénicilline ?

A) Clindamycine
B) Doxycycline
C) Vancomycine
D) Amoxicilline-clavulanate

🔹 Patient : Homme de 67 ans, BPCO, tabagisme, fièvre 38,7°C, toux productive, dyspnée, douleur thoracique pleurétique, crépitants basaux droits.
🔹 *Test urinaire positif pour *S. pneumoniae**
🔹 Cas associé aux Questions 1 à 4

A

B) Doxycycline

Doxycycline est une alternative efficace en cas d’allergie aux β-lactames. Mauvaises réponses : A) Clindamycine : pas idéale seule pour S. pneumoniae. C) Vancomycine : réservée aux infections sévères (SARM). D) Amoxicilline-clavulanate : à éviter en cas d’allergie.

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4
Q

Cas clinique 1 (4/4)

Le patient se détériore après 3 jours : tachypnée, hypoxie persistante, hypotension 85/50 mmHg, confusion. Quel diagnostic suspecter ?

A) Surinfection virale
B) Pneumonie nécrosante
C) Sepsis avec choc septique
D) Réaction allergique aux antibiotiques

🔹 Patient : Homme de 67 ans, BPCO, tabagisme, fièvre 38,7°C, toux productive, dyspnée, douleur thoracique pleurétique, crépitants basaux droits.
🔹 *Test urinaire positif pour *S. pneumoniae**
🔹 Cas associé aux Questions 1 à 4

A

C) Sepsis avec choc septique

Hypotension et confusion suggèrent un choc septique secondaire à la pneumonie. Mauvaises réponses : A) Surinfection virale : peu probable sous antibiothérapie. B) Pneumonie nécrosante : plus rare, surtout avec S. aureus. D) Allergie : absence d’éruption ou d’œdème.

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5
Q

Cas clinique 2 (1/3)

Quel agent pathogène est le plus probable chez cette patiente ?

A) Neisseria meningitidis
B) Escherichia coli
C) Haemophilus influenzae
D) Listeria monocytogenes

🔹 Patient : Femme de 25 ans, fièvre 39,2°C, céphalées intenses, photophobie, nuque raide, altération de la conscience.
🔹 Cas associé aux Questions 5 à 7

A

A) Neisseria meningitidis

Méningocoque est la cause principale de méningite bactérienne chez l’adulte jeune. Mauvaises réponses : B) E. coli : plus fréquent chez les nouveau-nés. C) H. influenzae : diminué grâce à la vaccination Hib. D) Listeria : plus fréquent chez les immunosupprimés.

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6
Q

Cas clinique 2 (2/3)

Quel examen est essentiel pour confirmer la méningite bactérienne ?

A) Hémocultures
B) IRM cérébrale
C) Ponction lombaire avec analyse du LCR
D) Dosage des D-dimères

🔹 Patient : Femme de 25 ans, fièvre 39,2°C, céphalées intenses, photophobie, nuque raide, altération de la conscience.
🔹 Cas associé aux Questions 5 à 7

A

C) Ponction lombaire avec analyse du LCR

Le LCR montrera une pleiocytose neutrophilique, hypoglycorachie et hyperprotéinorachie. Mauvaises réponses : A) Hémocultures : utiles mais non spécifiques. B) IRM : utile si complications, pas pour diagnostic initial. D) D-dimères : inutiles ici.

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7
Q

Cas clinique 2 (3/3)

Quel est le traitement empirique recommandé pour cette patiente ?

A) Ceftriaxone + vancomycine
B) Amoxicilline seule
C) Métronidazole + gentamicine
D) Azithromycine

🔹 Patient : Femme de 25 ans, fièvre 39,2°C, céphalées intenses, photophobie, nuque raide, altération de la conscience.
🔹 Cas associé aux Questions 5 à 7

A

A) Ceftriaxone + vancomycine

Couvre N. meningitidis, S. pneumoniae et H. influenzae. Mauvaises réponses : B) Amoxicilline : spectre insuffisant. C) Métronidazole : utile pour anaérobies, pas ici. D) Azithromycine : pour infections respiratoires, pas méningites.

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8
Q

Cas clinique 3 (1/4)

Quel est le diagnostic le plus probable ?

A) Cystite simple
B) Pyélonéphrite aiguë
C) Urétrite
D) Calcul rénal infecté

🔹 Patient : Femme de 78 ans, diabétique, fièvre 39°C, dysurie, pollakiurie, douleurs lombaires droites.
🔹 Bandelette urinaire positive aux nitrites et leucocytes, ECBU montre >100 000 UFC/ml d’Escherichia coli.
🔹 Cas associé aux Questions 8 à 11

A

B) Pyélonéphrite aiguë

Fièvre + douleurs lombaires = atteinte rénale. Mauvaises réponses : A) Cystite : pas de fièvre ni douleurs lombaires. C) Urétrite : habituellement sans fièvre ni douleurs lombaires. D) Calcul : souvent afébrile sauf en cas de surinfection.

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9
Q

Cas clinique 3 (2/4)

Quel antibiotique est recommandé en première ligne pour cette infection ?

A) Nitrofurantoïne
B) Fosfomycine
C) Ciprofloxacine
D) Amoxicilline

🔹 Patient : Femme de 78 ans, diabétique, fièvre 39°C, dysurie, pollakiurie, douleurs lombaires droites.
🔹 Bandelette urinaire positive aux nitrites et leucocytes, ECBU montre >100 000 UFC/ml d’Escherichia coli.
🔹 Cas associé aux Questions 8 à 11

A

C) Ciprofloxacine

Les fluoroquinolones sont recommandées en première ligne pour les pyélonéphrites. Mauvaises réponses : A/B) Nitrofurantoïne/Fosfomycine : efficaces en cystite, mais pas en pyélonéphrite (mauvaise diffusion rénale). D) Amoxicilline : mauvaise couverture d’E. coli.

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10
Q

Cas clinique 3 (3/4)

Quelle est la durée recommandée du traitement antibiotique dans ce cas ?

A) 3 jours
B) 5 jours
C) 7-14 jours
D) 4 semaines

🔹 Patient : Femme de 78 ans, diabétique, fièvre 39°C, dysurie, pollakiurie, douleurs lombaires droites.
🔹 Bandelette urinaire positive aux nitrites et leucocytes, ECBU montre >100 000 UFC/ml d’Escherichia coli.
🔹 Cas associé aux Questions 8 à 11

A

C) 7-14 jours

Une pyélonéphrite nécessite un traitement prolongé pour éviter les rechutes. Mauvaises réponses : A/B) Trop courts pour une atteinte rénale. D) 4 semaines = prostatite bactérienne chronique.

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11
Q

Cas clinique 3 (4/4)

Quels critères justifieraient une hospitalisation dans ce cas ? (Sélectionnez deux réponses)

A) Âge avancé
B) Diabète
C) Présence de leucocytes sur la bandelette urinaire
D) ECBU montrant E. coli

🔹 Patient : Femme de 78 ans, diabétique, fièvre 39°C, dysurie, pollakiurie, douleurs lombaires droites.
🔹 Bandelette urinaire positive aux nitrites et leucocytes, ECBU montre >100 000 UFC/ml d’Escherichia coli.
🔹 Cas associé aux Questions 8 à 11

A

A) Âge avancé et B) Diabète

Les personnes âgées et les patients diabétiques sont à risque de complications. Mauvaises réponses : C/D) La présence de leucocytes ou E. coli seule ne justifie pas une hospitalisation.

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12
Q

Cas clinique 4 (1/3)

Quel est l’agent pathogène le plus probable ?

A) Neisseria meningitidis
B) Escherichia coli
C) Haemophilus influenzae
D) Streptococcus agalactiae

🔹 Patient : Nourrisson de 6 mois, fièvre 39,5°C, irritabilité, pleurs inconsolables, fontanelle bombée.
🔹 Cas associé aux Questions 12 à 14

A

D) Streptococcus agalactiae

S. agalactiae est la principale cause de méningite bactérienne néonatale.

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13
Q

Cas clinique 4 (2/3)

**Quel signe clinique est spécifique aux méningites chez le nourrisson ?
**
A) Raideur de la nuque
B) Convulsions fébriles
C) Fontanelle bombée
D) Rash cutané

🔹 Patient : Nourrisson de 6 mois, fièvre 39,5°C, irritabilité, pleurs inconsolables, fontanelle bombée.
🔹 Cas associé aux Questions 12 à 14

A

C) Fontanelle bombée

Chez les nourrissons, la fontanelle bombée traduit une hypertension intracrânienne.

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14
Q

Cas clinique 4 (3/3)

Quel traitement empirique est recommandé chez ce nourrisson ?

A) Ceftriaxone + vancomycine
B) Amoxicilline + gentamicine
C) Métronidazole + ciprofloxacine
D) Pénicilline seule

🔹 Patient : Nourrisson de 6 mois, fièvre 39,5°C, irritabilité, pleurs inconsolables, fontanelle bombée.
🔹 Cas associé aux Questions 12 à 14

A

B) Amoxicilline + gentamicine

L’amoxicilline couvre S. agalactiae et Listeria monocytogenes.

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15
Q

Cas clinique 5 (1/4)

Quel est le diagnostic le plus probable ?

A) Endocardite infectieuse
B) Fièvre Q
C) Myocardite virale
D) Syndrome de Kawasaki

🔹 Patient : Homme, 58 ans, ATCD valvulopathie mitrale, fièvre prolongée, sueurs nocturnes, fatigue, souffle cardiaque nouveau.
🔹 *Hémocultures positives pour *Streptococcus viridans**
🔹 Cas associé aux Questions 15 à 18

A

A) Endocardite infectieuse

Fièvre prolongée + souffle cardiaque nouveau = endocardite probable.

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16
Q

Cas clinique 5 (2/4)

Quel est l’examen clé pour confirmer l’endocardite ?

A) Hémocultures
B) IRM cardiaque
C) Échographie cardiaque transœsophagienne
D) ECG

🔹 Patient : Homme, 58 ans, ATCD valvulopathie mitrale, fièvre prolongée, sueurs nocturnes, fatigue, souffle cardiaque nouveau.
🔹 *Hémocultures positives pour *Streptococcus viridans**
🔹 Cas associé aux Questions 15 à 18

A

C) Écho transœsophagienne

L’échographie montre les végétations valvulaires.

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17
Q

Cas clinique 5 (3/4)

Quelle antibiothérapie empirique est recommandée ?

A) Amoxicilline seule
B) Vancomycine + gentamicine
C) Métronidazole
D) Ciprofloxacine

🔹 Patient : Homme, 58 ans, ATCD valvulopathie mitrale, fièvre prolongée, sueurs nocturnes, fatigue, souffle cardiaque nouveau.
🔹 *Hémocultures positives pour *Streptococcus viridans**
🔹 Cas associé aux Questions 15 à 18

A

B) Vancomycine + gentamicine

Couvre les streptocoques, staphylocoques et entérocoques.

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18
Q

Cas clinique 5 (4/4)

Quelle complication majeure doit être surveillée ?

A) AVC ischémique
B) Péricardite
C) Insuffisance rénale aiguë
D) Hypertension pulmonaire

🔹 Patient : Homme, 58 ans, ATCD valvulopathie mitrale, fièvre prolongée, sueurs nocturnes, fatigue, souffle cardiaque nouveau.
🔹 *Hémocultures positives pour *Streptococcus viridans**
🔹 Cas associé aux Questions 15 à 18

A

A) AVC ischémique

Les embolies septiques peuvent causer un AVC.

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19
Q

Cas clinique 6 (1/3)

Quel est le diagnostic principal ?

A) Sepsis à E. coli
B) Choc cardiogénique
C) Ménigococcémie
D) Fièvre typhoïde

🔹 Patient : Femme, 72 ans, diabétique, infection urinaire récente, fièvre 40°C, hypotension 85/50 mmHg, tachycardie 120 bpm, confusion.
🔹 *Hémocultures : *Escherichia coli**
🔹 Cas associé aux Questions 19 à 21

A

A) Sepsis à E. coli

Sepsis secondaire à une infection urinaire.

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20
Q

Cas clinique 6 (2/3)

Quelle est la priorité thérapeutique ?

A) Remplissage vasculaire
B) Corticothérapie IV
C) Hémodialyse
D) Surveillance seule

🔹 Patient : Femme, 72 ans, diabétique, infection urinaire récente, fièvre 40°C, hypotension 85/50 mmHg, tachycardie 120 bpm, confusion.
🔹 *Hémocultures : *Escherichia coli**
🔹 Cas associé aux Questions 19 à 21

A

A) Remplissage vasculaire

Correction de l’hypotension avec solutés IV.

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21
Q

Cas clinique 6 (3/3)

Quel antibiotique est recommandé en 1re ligne ?

A) Ceftriaxone
B) Vancomycine
C) Métronidazole
D) Doxycycline

🔹 Patient : Femme, 72 ans, diabétique, infection urinaire récente, fièvre 40°C, hypotension 85/50 mmHg, tachycardie 120 bpm, confusion.
🔹 *Hémocultures : *Escherichia coli**
🔹 Cas associé aux Questions 19 à 21

A

A) Ceftriaxone

Spectre large contre E. coli et autres Gram négatifs.

22
Q

Cas clinique 7

Quel est le diagnostic le plus probable ?

A) Tuberculose pulmonaire
B) Pneumonie virale
C) Aspergillose
D) Sarcoïdose

🔹 Patient : Homme, 40 ans, VIH+, fièvre, toux chronique, hémoptysies, amaigrissement, sueurs nocturnes.
🔹 Cas associé aux Questions 22 à 24

A

A) Tuberculose pulmonaire

Symptômes chroniques + VIH = TB suspectée. Mauvaises réponses : B) Pneumonie virale = aiguë, pas chronique. C) Aspergillose = rares hémoptysies massives. D) Sarcoïdose = pas d’hémoptysies ni de sueurs nocturnes.

23
Q

Cas clinique 8 (1/4)

Quel micro-organisme est le plus probable ?

A) Streptococcus pneumoniae
B) Mycoplasma pneumoniae
C) Legionella pneumophila
D) Haemophilus influenzae

🔹Patient : Femme, 30 ans, toux sèche persistante, fièvre modérée (38,2°C), céphalées, myalgies, pas d’expectorations, RX thoracique : infiltrats diffus bilatéraux.

A

B) Mycoplasma pneumoniae

Pneumonie atypique = toux sèche + infiltrats diffus. Mauvaises réponses : A) S. pneumoniae : typiquement expectorations purulentes, lobaire. C) Legionella : fièvre plus élevée, hyponatrémie. D) H. influenzae : surtout chez les BPCO.

24
Q

Cas clinique 8 (2/4)

Comment Mycoplasma pneumoniae se transmet-il ?

A) Gouttelettes
B) Aérosols
C) Contact direct
D) Eau contaminée

🔹Patient : Femme, 30 ans, toux sèche persistante, fièvre modérée (38,2°C), céphalées, myalgies, pas d’expectorations, RX thoracique : infiltrats diffus bilatéraux.

A

A) Gouttelettes

Transmission interhumaine via gouttelettes respiratoires. Mauvaises réponses : B) Aérosols = TB. C) Contact direct = pas la principale voie. D) Eau contaminée = Legionella.

25
Q

Cas clinique 8 (3/4)

Quel antibiotique choisir ?

A) Amoxicilline
B) Azithromycine
C) Ceftriaxone
D) Métronidazole

🔹Patient : Femme, 30 ans, toux sèche persistante, fièvre modérée (38,2°C), céphalées, myalgies, pas d’expectorations, RX thoracique : infiltrats diffus bilatéraux.

A

B) Azithromycine

Les macrolides sont efficaces contre Mycoplasma pneumoniae. Mauvaises réponses : A/C) Amoxicilline & ceftriaxone = inutiles (pas de paroi cellulaire). D) Métronidazole = anaérobies, pas utile ici.

26
Q

Cas clinique 8 (4/4)

Quelle complication est la plus fréquente ?

A) Pneumothorax
B) Myélite transverse
C) Anémie hémolytique
D) Syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA)

🔹Patient : Femme, 30 ans, toux sèche persistante, fièvre modérée (38,2°C), céphalées, myalgies, pas d’expectorations, RX thoracique : infiltrats diffus bilatéraux.

A

C) Anémie hémolytique

Mycoplasma peut provoquer une anémie hémolytique auto-immune. Mauvaises réponses : A) Pneumothorax : rare ici. B) Myélite : pas lié à Mycoplasma. D) SDRA : complications de pneumonies sévères, rarement Mycoplasma.

27
Q

Cas clinique 9 (1/3)

**Quel est le facteur déclenchant le plus probable ?
**
A) Voyage récent
B) Consommation de fruits de mer
C) Antibiothérapie récente
D) Contact avec un animal de compagnie

🔹 Patient : Homme, 65 ans, ATCD hospitalisation récente, antibiothérapie large spectre, diarrhée aqueuse profuse, douleurs abdominales, fièvre 38,5°C.

A

C) Antibiothérapie récente

Les ATB déséquilibrent la flore intestinale → favorise C. difficile. Mauvaises réponses : A) Pas une diarrhée du voyageur. B) Fruits de mer = Vibrions, pas C. difficile. D) Pas un pathogène zoonotique.

28
Q

Cas clinique 9 (2/3)

Quel test confirmerait ce diagnostic ?

A) Coproculture
B) PCR des toxines A et B
C) Dosage des électrolytes
D) Hémoculture

🔹 Patient : Homme, 65 ans, ATCD hospitalisation récente, antibiothérapie large spectre, diarrhée aqueuse profuse, douleurs abdominales, fièvre 38,5°C.

A

B) PCR des toxines A et B

Les toxines sont responsables des symptômes. Mauvaises réponses : A) Coproculture = inutile, C. difficile peut être commensal. C) Électrolytes = utile pour suivi, pas pour diagnostic. D) Hémoculture = pas pour C. difficile.

29
Q

Cas clinique 9 (3/3)

Quel antibiotique choisir en 1re ligne ?

A) Vancomycine orale
B) Amoxicilline
C) Ciprofloxacine
D) Fluconazole

🔹 Patient : Homme, 65 ans, ATCD hospitalisation récente, antibiothérapie large spectre, diarrhée aqueuse profuse, douleurs abdominales, fièvre 38,5°C.

A

A) Vancomycine orale

Traitement de référence pour C. difficile. Mauvaises réponses : B/C) Amoxicilline/Cipro = pas d’effet sur C. difficile. D) Fluconazole = antifongique, pas utile.

30
Q

Cas clinique 10 (1/2)

Quelle est l’infection la plus probable ?

A) Syphilis secondaire
B) Rougeole
C) VIH primaire
D) Maladie de Lyme

🔹 Patient : Homme, 28 ans, lésions cutanées maculopapuleuses diffuses, atteinte palmo-plantaire, adénopathies généralisées, RPR positif.

A

A) Syphilis secondaire

Éruption diffuse + atteinte palmo-plantaire = syphilis. Mauvaises réponses : B) Rougeole = exanthème morbilliforme, fièvre élevée. C) VIH = rash mais pas de palmo-plantaire typique. D) Lyme = érythème migrant, pas généralisé.

31
Q

Cas clinique 10 (2/2)

Quel test est le plus spécifique pour confirmer la syphilis ?

A) RPR
B) VDRL
C) FTA-ABS
D) PCR

🔹 Patient : Homme, 28 ans, lésions cutanées maculopapuleuses diffuses, atteinte palmo-plantaire, adénopathies généralisées, RPR positif.

A

C) FTA-ABS

FTA-ABS = test tréponémique spécifique. Mauvaises réponses : A/B) RPR/VDRL = tests non spécifiques. D) PCR = rarement utilisé.

32
Q

Cas clinique 11 (1/4)

Quel type d’endocardite est le plus probable ?

A) Endocardite subaiguë
B) Endocardite infectieuse aiguë
C) Myocardite virale
D) Péricardite infectieuse

🔹 *Patient : Homme, 45 ans, utilisateur de drogues IV, fièvre 39°C, fatigue, souffle cardiaque, hémocultures : *Staphylococcus aureus**

A

B) Endocardite infectieuse aiguë

Utilisateur de drogues IV + S. aureus = endocardite aiguë (valve tricuspide souvent touchée). Mauvaises réponses : A) Subaiguë = généralement Streptococcus viridans. C) Myocardite = pas de souffle ni végétations. D) Péricardite = douleurs pleurétiques, pas de souffle valvulaire.

33
Q

Cas clinique 11 (2/4)

Quel est l’examen le plus sensible pour détecter les végétations ?

A) Échographie cardiaque transthoracique
B) Échographie transœsophagienne
C) IRM cardiaque
D) ECG

🔹 *Patient : Homme, 45 ans, utilisateur de drogues IV, fièvre 39°C, fatigue, souffle cardiaque, hémocultures : *Staphylococcus aureus**

A

B) Échographie transœsophagienne

Permet de visualiser les végétations mieux que l’écho transthoracique. Mauvaises réponses : A) Sensibilité plus faible pour les petites végétations. C) IRM = inutile pour endocardite. D) ECG = non spécifique.

34
Q

Cas clinique 11 (3/4)

Quel antibiotique est recommandé en première ligne ?

A) Pénicilline G
B) Vancomycine
C) Amoxicilline
D) Métronidazole

🔹 *Patient : Homme, 45 ans, utilisateur de drogues IV, fièvre 39°C, fatigue, souffle cardiaque, hémocultures : *Staphylococcus aureus**

A

B) Vancomycine

Couvre S. aureus, y compris les souches résistantes (SARM). Mauvaises réponses : A) Pénicilline G = pas efficace contre S. aureus. C) Amoxicilline = trop étroit. D) Métronidazole = anaérobies, pas utile ici.

35
Q

Cas clinique 11 (4/4)

Quelle est la complication la plus redoutée ?

A) AVC embolique
B) Hypertension pulmonaire
C) Infarctus du myocarde
D) Insuffisance cardiaque congestive

🔹 *Patient : Homme, 45 ans, utilisateur de drogues IV, fièvre 39°C, fatigue, souffle cardiaque, hémocultures : *Staphylococcus aureus**

A

A) AVC embolique

Les végétations peuvent emboliser et causer un AVC. Mauvaises réponses : B) HTAP = non associée à l’endocardite. C) IDM = pas une complication typique. D) Insuffisance cardiaque = possible mais moins redoutée que l’AVC.

36
Q

Cas clinique 12 (1/3)

Quel est le diagnostic le plus probable ?

A) Péritonite bactérienne spontanée (PBS)
B) Appendicite perforée
C) Cholécystite aiguë
D) Obstruction intestinale

🔹 Patient : Homme, 55 ans, cirrhose, ascite, fièvre 38,7°C, douleurs abdominales diffuses, confusion.
🔹 *Ponction d’ascite : PNN > 250/mm³, culture positive pour *Escherichia coli**

A

A) Péritonite bactérienne spontanée (PBS)

Ascite + fièvre + PNN > 250/mm³ = PBS. Mauvaises réponses : B) Appendicite = douleurs localisées. C) Cholécystite = douleur hypochondre droit. D) Obstruction = pas d’infection.

37
Q

Cas clinique 12 (2/3)

Quel antibiotique utiliser en 1re ligne ?

A) Ceftriaxone
B) Vancomycine
C) Métronidazole
D) Pénicilline G

🔹 Patient : Homme, 55 ans, cirrhose, ascite, fièvre 38,7°C, douleurs abdominales diffuses, confusion.
🔹 *Ponction d’ascite : PNN > 250/mm³, culture positive pour *Escherichia coli**

A

A) Ceftriaxone

Couvre les bacilles Gram négatifs responsables. Mauvaises réponses : B) Vancomycine = Gram positifs. C) Métronidazole = anaérobies, pas 1re ligne ici. D) Pénicilline G = spectre trop étroit.

38
Q

Cas clinique 12 (3/3)

Quel médicament peut réduire le risque de récidive de la PBS ?

A) Norfloxacine
B) Azithromycine
C) Rifampicine
D) Ciprofloxacine

🔹 Patient : Homme, 55 ans, cirrhose, ascite, fièvre 38,7°C, douleurs abdominales diffuses, confusion.
🔹 *Ponction d’ascite : PNN > 250/mm³, culture positive pour *Escherichia coli**

A

A) Norfloxacine

La prophylaxie par quinolone orale réduit le risque de récidive. Mauvaises réponses : B) Azithro = infections respiratoires. C) Rifampicine = TB. D) Cipro = possible mais norfloxacine préférée.

39
Q

Cas clinique 13 (1/2)

Quel virus est responsable ?

A) Cytomégalovirus (CMV)
B) Virus Epstein-Barr (EBV)
C) Parvovirus B19
D) Virus de l’herpès simplex

🔹 Patient : Femme, 20 ans, fièvre, fatigue, pharyngite, adénopathies cervicales, splénomégalie.

A

B) Virus Epstein-Barr (EBV)

EBV = principale cause de mononucléose infectieuse. Mauvaises réponses : A) CMV = cause plus rare chez immunosupprimés. C) Parvovirus B19 = érythème infectieux. D) HSV = lésions herpétiques, pas adénopathies.

40
Q

Cas clinique 13 (2/2)

Quel test confirmerait ce diagnostic ?

A) Test de Paul-Bunnell (hétérophiles)
B) Sérologie VIH
C) Dosage des D-dimères
D) PCR SARS-CoV-2

🔹 Patient : Femme, 20 ans, fièvre, fatigue, pharyngite, adénopathies cervicales, splénomégalie.

A

A) Test de Paul-Bunnell

Test des anticorps hétérophiles = diagnostic de mononucléose. Mauvaises réponses : B) VIH = pas compatible ici. C) D-dimères = inutile ici. D) SARS-CoV-2 = pas le bon contexte.

41
Q

Cas clinique 14 (1/4)

Quel est le diagnostic le plus probable ?

A) Sepsis à pneumocoque
B) Méningococcémie fulminante
C) Purpura thrombopénique idiopathique
D) Syndrome hémolytique et urémique

🔹 Patient : Enfant, 7 ans, fièvre 40°C, purpura fulminans, hypotension sévère, confusion.
🔹 *Hémocultures : *Neisseria meningitidis**

A

B) Méningococcémie fulminante

Fièvre + purpura fulminans + choc = infection invasive à N. meningitidis. Mauvaises réponses : A) Pneumocoque = pas de purpura. C) Purpura thrombopénique = pas de fièvre ni choc. D) SHU = anémie hémolytique et insuffisance rénale.

42
Q

Cas clinique 14 (2/4)

Quel antibiotique administrer en urgence ?

A) Ceftriaxone
B) Vancomycine
C) Métronidazole
D) Amoxicilline

🔹 Patient : Enfant, 7 ans, fièvre 40°C, purpura fulminans, hypotension sévère, confusion.
🔹 *Hémocultures : *Neisseria meningitidis**

A

A) Ceftriaxone

Couvre N. meningitidis et traverse la BHE. Mauvaises réponses : B) Vanco = pour SARM, pas 1re ligne ici. C) Métronidazole = anaérobies. D) Amoxi = pas suffisant.

43
Q

Cas clinique 14 (3/4)

Que faut-il faire pour les contacts proches du patient ?

A) Rien, pas de contagion
B) Vaccination immédiate
C) Chimioprophylaxie antibiotique
D) Isolement strict à long terme

🔹 Patient : Enfant, 7 ans, fièvre 40°C, purpura fulminans, hypotension sévère, confusion.
🔹 *Hémocultures : *Neisseria meningitidis**

A

C) Chimioprophylaxie antibiotique

Rifampicine, ciprofloxacine ou ceftriaxone pour contacts proches. Mauvaises réponses : A) Contagion ++ par gouttelettes. B) Vaccin = préventif mais pas en post-exposition immédiate. D) Isolement = court terme seulement.

44
Q

Cas clinique 14 (4/4)

Quelle complication est associée à ce tableau ?

A) Insuffisance surrénalienne (syndrome de Waterhouse-Friderichsen)
B) Insuffisance rénale aiguë
C) Endocardite bactérienne
D) Encéphalite herpétique

🔹 Patient : Enfant, 7 ans, fièvre 40°C, purpura fulminans, hypotension sévère, confusion.
🔹 *Hémocultures : *Neisseria meningitidis**

A

A) Insuffisance surrénalienne (syndrome de Waterhouse-Friderichsen)

Hémorragies surrénaliennes → choc irréversible. Mauvaises réponses : B) IRA possible mais moins spécifique. C) Endocardite pas typique ici. D) Encéphalite herpétique = autre pathogène.

45
Q

Cas clinique 15 (1/4)

Quel virus est le plus susceptible d’être en cause ?

A) Hépatite A
B) Hépatite B
C) Hépatite C
D) Hépatite E

🔹 Patient : Femme, 32 ans, fatigue intense, ictère, nausées, douleurs abdominales, AST/ALT > 1000 UI/L.

A

A) Hépatite A

Transmission féco-orale, souvent aiguë et auto-limitée. Mauvaises réponses : B) Hépatite B = possible, mais plus souvent chronique. C) Hépatite C = rarement aiguë symptomatique. D) Hépatite E = surtout zones endémiques.

46
Q

Cas clinique 15 (2/4)

Quel test sérologique confirmerait l’hépatite A ?

A) IgM anti-VHA
B) HBsAg
C) Anti-VHC
D) PCR SARS-CoV-2

🔹 Patient : Femme, 32 ans, fatigue intense, ictère, nausées, douleurs abdominales, AST/ALT > 1000 UI/L.

A

A) IgM anti-VHA

IgM anti-VHA = infection aiguë. Mauvaises réponses : B) HBsAg = hépatite B. C) Anti-VHC = hépatite C. D) PCR = inutile ici.

47
Q

Cas clinique 15 (3/4)

Comment se transmet le virus de l’hépatite A ?

A) Voie féco-orale
B) Transmission sexuelle
C) Aérosols
D) Piqûre de moustique

🔹 Patient : Femme, 32 ans, fatigue intense, ictère, nausées, douleurs abdominales, AST/ALT > 1000 UI/L.

A

A) Voie féco-orale

Eau/aliments contaminés. Mauvaises réponses : B) Transmission sexuelle = HBV, HIV, syphilis. C) Aérosols = pas pour VHA. D) Moustiques = arbovirus (dengue, Zika).

48
Q

Cas clinique 15 (4/4)

Quel est le traitement recommandé ?

A) Ribavirine
B) Interféron alpha
C) Surveillance et repos
D) Amoxicilline

🔹 Patient : Femme, 32 ans, fatigue intense, ictère, nausées, douleurs abdominales, AST/ALT > 1000 UI/L.

A

C) Surveillance et repos

Hépatite A = pas de traitement spécifique, guérit seule. Mauvaises réponses : A/B) Ribavirine et interféron = hépatite C. D) Amoxicilline inutile.

49
Q

Questions d’intégration

Quel patient est le plus à risque d’aspergillose invasive ?

A) Femme enceinte
B) Homme de 45 ans, VIH stade SIDA
C) Femme de 68 ans, sous chimiothérapie
D) Jeune adulte en bonne santé

A

C) Femme sous chimiothérapie

Neutropénie profonde = facteur clé d’aspergillose invasive. Mauvaises réponses : A) Grossesse = pas facteur de risque. B) VIH/SIDA = Pneumocystis plus fréquent. D) Sujet sain = pas à risque.

50
Q

Questions d’intégration

Quel médicament est le plus efficace contre Sarcoptes scabiei ?
A) Métronidazole
B) Ivermectine
C) Vancomycine
D) Doxycycline

A

B) Ivermectine

Antiparasitaire efficace contre la gale. Mauvaises réponses : A) Métronidazole = bactéries anaérobies. C) Vancomycine = Gram+. D) Doxycycline = intracellulaires.