prat inf exam FINAL Flashcards
Signification et impacts de la douleur, attitudes et croyances
réactions de douleur changent
Évaluation de la douleur
Déterminer les facteurs qui influencent la douleur.
¨ Influencée par la perception de l’événement qui la
génère, les expériences passées et les émotions
¤ ↑ émotions négatives (stress, anxiété, peur) → ↑ douleur
¨ Varie d’une personne à l’autre en fonction de
nombreux facteurs et donc difficile à prédire
¤ Exemple d’une étude : concordance infirmière et autres
soignants vspatient (Grossman et al., 1991)
n Douleur: 0-2 = 82%; 3-6 = 51%; 7-10 = 7%
-expérience subjective
Déterminer le constat approprié chez une personne qui présente de la douleur.
quelle théorie associée à connaissances sur douleur et démarche de soins (éval de doul)
théorie gestion des symptomes
douleur=nociception
faux
définition douleur (nature)
Une expérience sensorielle et émotionnelle
désagréable associée ou ressemblant à celle
associée à une lésion tissulaire réelle ou
potentielle
n Expérience subjective, influencée par des facteurs
biologiques, psychologiques et sociaux
n Douleur ≠ nociception
n L’expérience de douleur décrite par une personne devrait
être acceptée comme tel et respectée
¨ Influencée par la perception de l’événement qui la
génère, les expériences passées et les émotions
¤ ↑ émotions négatives (stress, anxiété, peur) → ↑ douleur
¨ Varie d’une personne à l’autre en fonction de
nombreux facteurs et donc difficile à prédire
¤ Exemple d’une étude : concordance infirmière et autres
soignants vspatient (Grossman et al., 1991)
n Douleur: 0-2 = 82%; 3-6 = 51%; 7-10 = 7%
Nocicepteur définition
récepteur nerveux préférentiellement sensibleaux stimulations nociceptives
Stimulus nociceptif définition
une stimulation de nature mécanique, thermique ou chimique d’intensité suffisante pour activer des nocicepteur
nociception définition
information (activité chimio-électrique) potentiellement douloureuse avant son arrivée à la conscience
Algique définition
relatif à la douleur
Antalgique définition
: propre à calmer la douleur
Analgésique définition
: absencede douleur à la suited’une stimulationnormalement
douloureuse
Hyperalgésie définition
réponseexagérée à unestimulationhabituellement
douloureuse
Hypoalgésie définition
diminution de la douleur en réponse à une simulation normalement douloureuse
composantes de la douleur sont évaluées par quoi
pqrstu
3 composantes de la douleur (expérience de la douleur)
perception, évaluation et réponse
douleur classifiée selon 2 catégories
origine et durée (aigu ou chronique)
origine: doul. nociceptive (somatique-viscéral) et doul. neuropathique (lésion ou dysfonctionnement récepteurs ou transmission influx)
composantes physiologiques de la doul
Stimulation sympathique du SNA(douleurfaible à
moyenne)
n ↑ PA, ↑ FC,diaphorèse
¤ Stimulation parasympathique du SNA(douleur
intense ou profonde)
n ↓ PA, ↓ FC,pâleur, nausées
¤ Douleur chronique
n Adaptation physiologique : pas nécessairement de signes
physiques et physiologiques
Composantes émotionnelles et
comportementales de la doul
Varient selon les personnes
¤ Anxiété, anticipation, peurs
¤ Serrer les dents, soutenir ou protéger la partie
douloureuse,secourber,grimacer,pleurer,gémir,
être agité, solliciter fréquemment l’infirmière,
etc.
¤ Maisaussi: absenced’expression…
types de d’origines de la douleur 2
nociceptive: Stimulation des
nocicepteurs périphériques (Pression, irritation, sensibilisation (ex.
inflammation))
- somatique: Tissus cutanés, os, muscles,
articulations ( Relativement bien localisée
* Intensifiée par le mouvement, sensible à la pression
* Décrite comme: coup de couteaux,
déchirement, etc))
-viscérale: Sensibilisation des
nocicepteurs viscéraux ou
distension des viscères ( Habituellement mal circonscrite, constante,
profonde
* Décrite comme : crampes, élancements, torsion
* Douleur irradiante))))
neuropathique: Lésion ou
dysfonctionnement des
récepteurs ou de la
transmission de l’influx
nerveux (( Brûlure, compression, irritation
* Difficile à soulager efficacement
* Décrite comme: brûlure, engourdissement,
picotement, choc électrique, etc.)))
role de la douleur aigu
protection et alarme, évite aggraver
effets/conséquences douleur chronique
(plus de trois mois):
¤ Pasde rôle de protection : provoque de la fatigue,
unépuisement physique et mental (risque de
dépression)
¤ Insomnie, isolement social
effets et impacts de la doul. non soulagée
¨ Effets de la douleur non soulagée
¤ Affecte le système immunitaire
¤ Perturbe le sommeil
¤ Entraîne de l’anxiété, de la dépression et des
troubles de l’humeur
¤ Affecte les activités et le fonctionnement
quotidien (AVD, AVQ, activités sociales,
travail), entraîne de l’immobilité
¤ Provoque de l’isolement social
¤ Entraîne de la fatigue
¤ Peut engendrer une douleur chronique à
moyen ou long terme
Effets surl’état
dela douleur
Coût
Auto-soins
Mortalité
Statut émotionnel
Statut fonctionnel
Qualité de vie
Morbidités et comorbidit
nommer facteurs qui influencent douleur
Selonlathéoriedegestiondessymptômes
¤ Ladouleurestinfluencéeparlescaractéristiquesde:
personnes,environnementetsantéetmaladie
¤ Quels facteurs sontidentifiés plus précisémentdans
votre Potter qui ont démontré une influence sur la
douleur?
¤ Quels facteurs risquentd’influencerla douleurde Mme
Delarochelière?
culture (tolérance douleur), âge, antécédents médicaux, sexe, génétique, expériences antérieurs, famille, facteurs spirituel, anxiété, signification de la doul pour la personne
outils et méthodes d’évaluation de la douleur (subjectif et objectif)
Signes objectifs (non spécifiques)
¤ Signes vitaux, examen clinique de la zone douloureuse,
indicateurs comportementaux (Potter Encadré33.9 ou18.22)
¨ Évaluation subjective
¤ PQRSTU: évaluation du symptôme n Échelle de mesure : valide, la même
n 0 à 3 = léger; 4 à 6 = modéré; 7 à 10 = élevé
¤ Facteurs, environnement, caractéristiques personnelles,
résultats
n Peut être guidé par l’évaluation AMPLE
-échelle verbale descriptive, échelle numérique, échelle visuelle analogue
doul + profonde et intense: système parasympathique
toujours même échelle pour vérif efficacité intervention
priorisation des sources de données-ordre
Propos du patient lui-même
¤ Condition pathologique ou procédures qui occasionnent
habituellement de la douleur ¤ Comportements
¤ Propos de la famille
¤ Mesures physiologiques (S.V.)
sources d’erreur sur mesures/données douleur
Sources d’erreurs (voir encadréPotter)
¤ Attitudes, croyances, mythes, préjugés n Ex. morphine = mort fine
¤ Questions vagues, inappropriées
vf anxiété et stress augmentent doul
vrai
quel contexte interventions non pharmacologiques doul
de blessures
musculosquelettiques
c quoi intervention pharmacologique gestion doul
opiacés
quels sont moyens pour gestion doul
Gestion de la douleur
¤ Interventions non pharmacologiques
n Dans un contexte de blessures
musculosquelettiques
¤ Interventions pharmacologiques : les opiacés
n Exercer une surveillance clinique des effets
indésirables et complications
n Intervenir chez unpatient qui présente unrisque
de dépression respiratoire
à quel moment gestion doul
après constat
Méthodes non pharmacologiques dans un contexte de blessures
musculosquelettiques, 2 approches
approche cognitivo-comportementale (relaxation, méditation, musique, distraction, imagerie mentale)
et
approche physique (digitopuncture, stimulation cutanée, activité physique)
but de l’approche cognitivo-comportementale gestion doul
modifier comportement personne, donner impression qu’elle maitrise doul
but de l’approche physique gestion doul
procurer confort physique, diminuer craintes
application de glace: quand, effets, attention, but
¨ Douleurs musculo-squelettiques (extrémités, cou
et dos)
¤ En phase aigue (inflammatoire) : Durée = 10-15 min à toutes heures/2h
¤ Diminue la force de la réaction inflammatoire
(incertain), diminue les spasmes, soulage la douleur
¤ Attention : durée application
n Risques d’engelures cutanées si contact direct
-diminue inflammation
méthodes application glace
¨ Méthodes
¤ Sac de glace (glace concassée) = meilleur choix
n Aussi: saclégumesgelés, coussingel (recouvrir d’une serviette)
n Initialement, sensationde froid intense,puisde brûlure avec des picotementset unelégère douleur pouvant durer environ5 minutes. Parla suite, anesthésietemporaire de la région
¤ Appliquer sur la région douloureuse pendant 10-15 min (ne pas dépasser 20 min)
n Aux 2 heures(Lignesde pratique actuelles : pourrait être diminué qh) n Éviterle contact direct avec la peau
¤ Contre-indications
n Urticaire aufroid, n Problèmescirculatoire, de diabète (si complications circulatoires et neurologiques), d’hypertension sévère, maladie de Raynaud
diminue inflammation
surtout chirurgie et gériatrie
application chaleur quand, effets, attention, but
¨ Douleurs musculo-squelettiques (extrémités, cou et
dos)
¤ Enphase subaiguë, de réadaptation ou chronique
¤ Permet de regagner le maximumde mouvement, active la
guérison et soulage la douleur n Effet surla circulation sanguine et surles récepteurs de la douleur
¤ Attention :
n Augmente la réaction inflammatoire : pas dans les premiers 48 heures
n Risque de brûlure (personnes âgées, diabétiques avec
complications neurologiques ou personne avec autres problèmes
neurologiques)
méthodes application chaleur
¨ Méthodes
¤ Bain chaud ou douche, couverture électrique, le sac
magique, le coussin rempli de gel, l’enveloppement
thermique, le coussin électrique
¤ Appliquer sur la région douloureuse pendant 20 min
(30 max) - recommandation OPPQ et ACSM
n Éviter le contact direct avec la peau
¤ Contre-indications
n Saignements actifs, plaie, infection, maladie de peau
n Problèmes circulatoire, cancer
température à ne pas dépasser chez personnes à risque de brulure: exemple troubles cognitif…
46
mettre chaud/froid direct sur peau?
non, entourer de serviette pas direct
tendre/défroisser draps aide à gérer stimulus douleur
vrai
4 principes de soins infirmers concernant l’administration des analgésiques opioides
-connaitre réactions antérieures de la personne aux analgésiques
-choisir analgésique approprié lorsque plus d’un med est prescrit
-évaluer moment opportun pour administration des med et intervalle approprié
-connaitre posologie exacte, aussi surveillance
6 effets secondaires opiacés
* Constipation =>fécalome accumulation selles intestin
¤ Persistejusqu’àlafin:doittoujoursêtrepriseencomptedansletraitement médicamenteux(ajout d’un émollientet/ou d’un laxatif léger)
**** Nausées et vomissements
¤ Souvent transitoire(48-72heures)
¤ Soulager PRN avec antiémétiques
** Somnolence(personne âgée:changement état mental possible)
¤ Transitoire en début de traitement et lors de changements de doses
¤ Importance d’informer la personne et ses proches
¤ Mais aussi: euphorie, dysphorie, anxiété, délirium
*** Bouches èche (effet anticholinergique)
¤ Se prolonge tout au long du traitement
¤ Importance des soins de bouches appropriés
**Rétention urinaire (effet anticholinergique)
¤ Généralement peu fréquent et transitoire
¤ Les personnes âgées y sont plus sensibles
¤ Surveillance importante, surtout en début de traitement
*****dépression respiratoire
Opiacés : Prévention des effets secondaires
* Constipation =>fécalome accumulation selles intestin
¤ Persistejusqu’àlafin:doittoujoursêtrepriseencomptedansletraitement médicamenteux(ajout d’un émollientet/ou d’un laxatif léger)
**** Nausées et vomissements
¤ Souvent transitoire(48-72heures)
¤ Soulager PRN avec antiémétiques
** Somnolence(personne âgée:changement état mental possible)
¤ Transitoire en début de traitement et lors de changements de doses
¤ Importance d’informer la personne et ses proches
¤ Mais aussi: euphorie, dysphorie, anxiété, délirium
*** Bouches èche (effet anticholinergique)
¤ Se prolonge tout au long du traitement
¤ Importance des soins de bouches appropriés
**Rétention urinaire (effet anticholinergique)
¤ Généralement peu fréquent et transitoire
¤ Les personnes âgées y sont plus sensibles
¤ Surveillance importante, surtout en début de traitement
*****dépression respiratoire
pourquoi connaitre effets sec opiacés
pour intervenir en amont, soulager et les éviter
progession 4 dépression SNC, échelle de sédation
atteinte état conscience=>atteinte état respiratoire=>atteinte grave état respi=>atteinte systemique resultant apport o2 insuffisant, acummul. co2=>arret cardiorespi imminent
facteurs des risques accrus dépression respi, clientèle qui requiert surveillance clinique accrue opiacés
-6 mois
+70
naive à un opiacé
MOPC
apnée sommeil
insuffisance rénale ou hépatique
doul. intense qui cesse subitement
trauma cranien
obésité
qui prend autres med effet dépressif sur snc ex: antiémétiques, antidépresseurs, antihistaminiques…
paramètres à évaluer surveillance opiacés
-intensité doul
-degré sédation (S 1 2 3 4 )urgence 3+
-état R sur 60 sec, fréq, rythme, amplitude, ronfle, spo2 (tardif)
manifest physique pour personne agée avec trouble cognitif
réveiller la personne si dort à cause opioides
évaluation sédation opioides
s sommeil normal éveil facile
1 éveillé alerte
2 parfois somnolent, éveil facile
3somnolent s’éveille mais s’endort durant conversation
4 endormi profondément, s’éveille difficilement ou pas du tout à stimulation
à partir 3 urgence
quand surveillance opiacés
** Évaluer les paramètres pendant les 24 premières heures :
¤ au moment d’administrer chaque dose d’opiacé
¤ aupic d’action de l’opiacé administré
¤ ensuiteà intervalles de 1 à 2 heurespour toute la durée d’action de l’opiacé administré
n Cette durée d’action peut doubler en présence d’insuffisance rénale ou
hépatique
**** Ajuster ensuite la fréquence des évaluations selon l’état de
santé du client
¤ Reprendre la fréquence initiale de surveillance chaque fois que la
dose est augmentée de façon importante (>50 %) ou qu’il y a un
changement de molécule.
5 signes de dépression respi-surveillance opiacés
¨ Signes de dépression respiratoire
¤ Score de sédation égal ou supérieur à 3
¤ Périodes d’apnée, pauses respiratoires fréquentes ou
présence de forts ronflements
¤ Bradypnée
n FRà moinsde 8 = dépressionrespiratoire possible
n Accroitre la surveillancesi moinsde 12/min., selonle degré de
sédation
¤ SpO2 à 92% ou moinspersistant malgré repositionnement
(sansO2)
¤ T.A.et P: signes tardifs (avant la 1ière dose; à déterminer
ensuite
Interventions recommandées en cas despress ipoioides
¤ Niveaux de sédation S,1 et 2 n On peut continuer l’administration des opioïdes
¤ Niveaux de sédation 3 et 4 :
n Aviser le médecin
n Maintenir la surveillance constante de l’état respiratoire aussi
longtemps que le niveau de sédation est à 3 (une inf. au chevet) n Travail de collaboration à deux infirmières (une reste au chevet)
n ↑ tête du lit à 30º ou plus
n Inciter à prendre de grandes respirations q 15min
n O2 PRN(doit être prescrit)
n Naxolone (Narcan) : Selon ordonnance collective ou individuelle
2 grandes surveillances cliniques opiacés
douleur et degré de sédation
Présenter les activités favorisant la réadaptation ou le rétablissement lombalgies
levée genous vers poitiune sur dos
levée jambe simple sur le dos
levée jambres double sur le dos
bascule du bassin sur le dos avec muscle fessier
demi redressenebt assis
levée sur les coudes (étirement bas dos) sur le ventre
bascule hamche de coté étirement
felxion avant du tronc debout sans plier genous
détendre dos et travailler abdos
avec maintien, de facon progressive selon tolérance
ne pas faire dans la phase aigu
renforcer muscles abdo et fessers
activit.s: natation, marche, vélo, tai-chi yoga
sports équipe
1-5.5 h par sem faible intensité à modérée sur 3-5 jours par 10-15 min
Reconnaître l’importance de la mobilisation
thérapie par exercice: méthode non phamaco pour renverser effets doul par mobilisation
aussi pour prévention maladie
ankilosée: spasmes par alitement prolongé cause douleur, important de mobiliser
Appliquer les notions de positionnement sécuritaire
dormir cote et fléchir genous
dormir dos et soulever genous et jbs avec oreiller
15 min exercice matin et soir avec 2-3 min réchau, contractions muscu et détente
transport objets légers près corps
maintenir poids santé
application chaleur et frloid
utiliser coussin soutient lombaire ou oreiller pour s’asseoir
inclinaison avant quannd debout ++ avec pied sur marche
posture: entension et flexions trop prononcées à éviter, augmenter amplitude selon tolérance
Facteurs de risque des lombalgies
tonus musculaire insuffisant
surplus de poids
mauvaise posture
tabagisme
stress
conditions de travail
sédentarité
Positionnements sécuritaires et lombalgies
dormir cote et fléchir genous
dormir dos et soulever genous et jbs avec oreiller
15 min exercice matin et soir avec 2-3 min réchau, contractions muscu et détente
transport objets légers près corps
maintenir poids santé
application chaleur et frloid
utiliser coussin soutient lombaire ou oreiller pour s’asseoir
inclinaison avant quannd debout ++ avec pied sur marche
posture: entension et flexions trop prononcées à éviter, augmenter amplitude selon tolérance
Recommandations des activitivés lors de lombalgies 3
thérapie pharmaco,
thérapie par exercice: méthode non phamaco pour renverser effets doul par mobilisation
interventions psychologiques (thérapie comportementale)
Effets de l’activité physique sur la douleur
thérapie par exercice: méthode non phamaco pour renverser effets doul par mobilisation
recommandations activités physiques
cumuler exercices (min 10 min)de facon modéré/marche rapide
varie avec age et besoins et asnté osseuse
adulte 30 min+ par jour, 4-5 x semaine=3-4h par sem
tout type activité
activités peu intenses doit etre plus souvent et plus longtemps
beinfaits exercices sur prévention primaire et secondaire de quelles pahtologies 4
coronopathie
hypertension artérielle
MPOC
diabète
facteurs influant sur tolérance activité
psychologique: douleur, hypoxémie, prob muscu, squel
facteurs émotionnels: motivation, dépression, dépendance chimique, anxiété
lié au dév: age, sexe
grossesse
exercices isotoniques c quoi+exemple+avantages
change longueur muscle, contraction musculaire
marche, nage, jogg, vélo
++
améliore circ et fonctionnement respi
prévient otéoporose
augmente tonus, masse et force muscu
exercices isométriques c quoi+exemple+avantages
tension musculaire sans mouvement
ex: contraction quadriceps ou fessiers
++
s’adapte bien à la personne immobilisée au lit
sont bénéfiques pour la personne incapable de tolérer exercices isotoniques
exercices isométriques contre résistance c quoi+exemple+avantages
contraction musculaire en poussant contre objet fixe ou en résistant au mouv. d’un objet
ex: traction et poussée contre un appuie pied
++++
augmente degré résistance et durée de contraction musculaire
améliore force et endurance du muscle
aide a promouvoir force musculaire
donnent suffisament de tension aux os pour promouvoir activité ostéoblastique
bienfaits activité physique sur corps humain
systèmes: cardio (+débit card, meilleur retour veineux), respi (améliore ventilation alvéolaire, respi plus facile, renforce muscle respi princial diaphragme), musculosquel (tonus, mobilité articul, tolérance muscle, réduit perte osseuse)
aussi
tolérance à activité (diminue fatigue)
métabolisme (chaleur, trigycérides…)
facteurs psychosociaux( (bien etre, amélioration tolérance au stress)
système immunitaire (diminution certaines maladies)
évaluer condition santé
mobilité et doul
IMC + tour de taille : indique risque de développer prob santé relié au poids (diabète 2, hypertension, maladies coronariennes, cancer…)
obésité:risque élevé
BMAT: banner mobility assessement tool à savoir par <3
classer la personne selon besoins et capacités, niv pour une personne à mobilité restreinte
niv 1 - éval: force tronc et équilibre assis
niv 2 - éval: force memb inf et stabilité
niv 3 - éval: force memn inf pour la station debout
niv 4 - éval: équilibre debout marche
ankilosée
spasmes par alitement prolongé cause douleur, important de mobiliser
recommandations douleur aigue subaigue ou chronique
RECOMMANDATION 1
Traitement non pharmacologique: par chaleur superficielle (preuves de qualité modérée), massage, acupuncture ou
manipulation vertébrale (preuves de faible qualité).
Traitement pharmacologique*: anti‐inflammatoires non stéroïdiens ou relaxants des muscles squelettiques (preuves de
qualité modérée)
RECOMMENDATION 2:
Lombalgie chronique: traitement non pharmacologique avec exercice, réadaptation multidisciplinaire, acupuncture,
réduction du stress basée sur la pleine conscience (preuves de qualité modérée),
Tai‐chi, yoga, exercice de contrôle moteur, relaxation progressive, biofeedback électromyographique , la thérapie au laser
de faible intensité, la thérapie opérante, la thérapie cognitivo‐comportementale ou la manipulation vertébrale (preuves de
faible qualité).
RECOMMENDATION 3:
Réponse inadéquate au traitement non pharmacologique, envisager un traitement pharmacologique avec des anti‐
inflammatoires non stéroïdiens comme traitement en premier.
Les opioïdes comme une option que chez les patients qui ont échoué aux traitements susmentionnés (Niveau :
recommandation faible, preuves de qualité moyenne).
dosage des activités
1-5.5 h par sem faible intensité à modérée sur 3-5 jours par 10-15 min
effets activité physique
Renforcer les muscles stabilisateurs du tronc
(dorsaux et abdominaux)
Augmenter la force, l’endurance
Augmenter la flexibilité (exercices
d’étirements jambe et dos)
effet sur au moins 4 sem/après
but alignement corporel
Réduis les tensions sur les
structures musculosquelettiques
Contribue à l’équilibre
Maintiens le tonus musculaire
mesures préventives positions sécuritaires
Travailler en équilibre (alignement du centre de gravité dans le
polygone de sustentation)
Resserrer les muscles abdominaux.
Utiliser son propre poids pour entamer le mouvement.
Éviter les torsions avec charge
Réduire au maximum la charge
Ne pas soulever l’objet si l’on n’est pas certain de pouvoir le faire de
façon sécuritaire.
Avoir une bonne prise sur la charge à porter.
Soulever la charge près de son corps.
Soulever doucement, sans saccades.
Éviter la friction (résistance due à la masse à déplacer)
Limiter les mouvements avec lordoses exagérées