prat inf exam FINAL Flashcards

1
Q

Signification et impacts de la douleur, attitudes et croyances

A

réactions de douleur changent

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2
Q

Évaluation de la douleur

A
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3
Q

Déterminer les facteurs qui influencent la douleur.

A

¨ Influencée par la perception de l’événement qui la
génère, les expériences passées et les émotions
¤ ↑ émotions négatives (stress, anxiété, peur) → ↑ douleur
¨ Varie d’une personne à l’autre en fonction de
nombreux facteurs et donc difficile à prédire
¤ Exemple d’une étude : concordance infirmière et autres
soignants vspatient (Grossman et al., 1991)
n Douleur: 0-2 = 82%; 3-6 = 51%; 7-10 = 7%
-expérience subjective

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4
Q

Déterminer le constat approprié chez une personne qui présente de la douleur.

A
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5
Q

quelle théorie associée à connaissances sur douleur et démarche de soins (éval de doul)

A

théorie gestion des symptomes

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6
Q

douleur=nociception

A

faux

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7
Q

définition douleur (nature)

A

Une expérience sensorielle et émotionnelle
désagréable associée ou ressemblant à celle
associée à une lésion tissulaire réelle ou
potentielle
n Expérience subjective, influencée par des facteurs
biologiques, psychologiques et sociaux
n Douleur ≠ nociception
n L’expérience de douleur décrite par une personne devrait
être acceptée comme tel et respectée
¨ Influencée par la perception de l’événement qui la
génère, les expériences passées et les émotions
¤ ↑ émotions négatives (stress, anxiété, peur) → ↑ douleur
¨ Varie d’une personne à l’autre en fonction de
nombreux facteurs et donc difficile à prédire
¤ Exemple d’une étude : concordance infirmière et autres
soignants vspatient (Grossman et al., 1991)
n Douleur: 0-2 = 82%; 3-6 = 51%; 7-10 = 7%

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8
Q

Nocicepteur définition

A

récepteur nerveux préférentiellement sensibleaux stimulations nociceptives

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9
Q

Stimulus nociceptif définition

A

une stimulation de nature mécanique, thermique ou chimique d’intensité suffisante pour activer des nocicepteur

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10
Q

nociception définition

A

information (activité chimio-électrique) potentiellement douloureuse avant son arrivée à la conscience

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11
Q

Algique définition

A

relatif à la douleur

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12
Q

Antalgique définition

A

: propre à calmer la douleur

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13
Q

Analgésique définition

A

: absencede douleur à la suited’une stimulationnormalement
douloureuse

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14
Q

Hyperalgésie définition

A

réponseexagérée à unestimulationhabituellement
douloureuse

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15
Q

Hypoalgésie définition

A

diminution de la douleur en réponse à une simulation normalement douloureuse

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16
Q

composantes de la douleur sont évaluées par quoi

A

pqrstu

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17
Q

3 composantes de la douleur (expérience de la douleur)

A

perception, évaluation et réponse

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18
Q

douleur classifiée selon 2 catégories

A

origine et durée (aigu ou chronique)
origine: doul. nociceptive (somatique-viscéral) et doul. neuropathique (lésion ou dysfonctionnement récepteurs ou transmission influx)

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19
Q

composantes physiologiques de la doul

A

Stimulation sympathique du SNA(douleurfaible à
moyenne)
n ↑ PA, ↑ FC,diaphorèse
¤ Stimulation parasympathique du SNA(douleur
intense ou profonde)
n ↓ PA, ↓ FC,pâleur, nausées
¤ Douleur chronique
n Adaptation physiologique : pas nécessairement de signes
physiques et physiologiques

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20
Q

Composantes émotionnelles et
comportementales de la doul

A

Varient selon les personnes
¤ Anxiété, anticipation, peurs
¤ Serrer les dents, soutenir ou protéger la partie
douloureuse,secourber,grimacer,pleurer,gémir,
être agité, solliciter fréquemment l’infirmière,
etc.
¤ Maisaussi: absenced’expression…

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21
Q

types de d’origines de la douleur 2

A

nociceptive: Stimulation des
nocicepteurs périphériques (Pression, irritation, sensibilisation (ex.
inflammation))
- somatique: Tissus cutanés, os, muscles,
articulations ( Relativement bien localisée
* Intensifiée par le mouvement, sensible à la pression
* Décrite comme: coup de couteaux,
déchirement, etc))
-viscérale: Sensibilisation des
nocicepteurs viscéraux ou
distension des viscères ( Habituellement mal circonscrite, constante,
profonde
* Décrite comme : crampes, élancements, torsion
* Douleur irradiante))))
neuropathique: Lésion ou
dysfonctionnement des
récepteurs ou de la
transmission de l’influx
nerveux (( Brûlure, compression, irritation
* Difficile à soulager efficacement
* Décrite comme: brûlure, engourdissement,
picotement, choc électrique, etc.)))

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22
Q

role de la douleur aigu

A

protection et alarme, évite aggraver

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23
Q

effets/conséquences douleur chronique

A

(plus de trois mois):
¤ Pasde rôle de protection : provoque de la fatigue,
unépuisement physique et mental (risque de
dépression)
¤ Insomnie, isolement social

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24
Q

effets et impacts de la doul. non soulagée

A

¨ Effets de la douleur non soulagée
¤ Affecte le système immunitaire
¤ Perturbe le sommeil
¤ Entraîne de l’anxiété, de la dépression et des
troubles de l’humeur
¤ Affecte les activités et le fonctionnement
quotidien (AVD, AVQ, activités sociales,
travail), entraîne de l’immobilité
¤ Provoque de l’isolement social
¤ Entraîne de la fatigue
¤ Peut engendrer une douleur chronique à
moyen ou long terme

Effets surl’état
dela douleur
Coût
Auto-soins
Mortalité
Statut émotionnel
Statut fonctionnel
Qualité de vie
Morbidités et comorbidit

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25
nommer facteurs qui influencent douleur
Selonlathéoriedegestiondessymptômes ¤ Ladouleurestinfluencéeparlescaractéristiquesde: personnes,environnementetsantéetmaladie ¤ Quels facteurs sontidentifiés plus précisémentdans votre Potter qui ont démontré une influence sur la douleur? ¤ Quels facteurs risquentd’influencerla douleurde Mme Delarochelière? culture (tolérance douleur), âge, antécédents médicaux, sexe, génétique, expériences antérieurs, famille, facteurs spirituel, anxiété, signification de la doul pour la personne
26
outils et méthodes d'évaluation de la douleur (subjectif et objectif)
Signes objectifs (non spécifiques) ¤ Signes vitaux, examen clinique de la zone douloureuse, indicateurs comportementaux (Potter Encadré33.9 ou18.22) ¨ Évaluation subjective ¤ PQRSTU: évaluation du symptôme n Échelle de mesure : valide, la même n 0 à 3 = léger; 4 à 6 = modéré; 7 à 10 = élevé ¤ Facteurs, environnement, caractéristiques personnelles, résultats n Peut être guidé par l’évaluation AMPLE -échelle verbale descriptive, échelle numérique, échelle visuelle analogue doul + profonde et intense: système parasympathique toujours même échelle pour vérif efficacité intervention
27
priorisation des sources de données-ordre
Propos du patient lui-même ¤ Condition pathologique ou procédures qui occasionnent habituellement de la douleur ¤ Comportements ¤ Propos de la famille ¤ Mesures physiologiques (S.V.)
28
sources d'erreur sur mesures/données douleur
Sources d’erreurs (voir encadréPotter) ¤ Attitudes, croyances, mythes, préjugés n Ex. morphine = mort fine ¤ Questions vagues, inappropriées
29
vf anxiété et stress augmentent doul
vrai
30
quel contexte interventions non pharmacologiques doul
de blessures musculosquelettiques
31
c quoi intervention pharmacologique gestion doul
opiacés
32
quels sont moyens pour gestion doul
Gestion de la douleur ¤ Interventions non pharmacologiques n Dans un contexte de blessures musculosquelettiques ¤ Interventions pharmacologiques : les opiacés n Exercer une surveillance clinique des effets indésirables et complications n Intervenir chez unpatient qui présente unrisque de dépression respiratoire
33
à quel moment gestion doul
après constat
34
Méthodes non pharmacologiques dans un contexte de blessures musculosquelettiques, 2 approches
approche cognitivo-comportementale (relaxation, méditation, musique, distraction, imagerie mentale) et approche physique (digitopuncture, stimulation cutanée, activité physique)
35
but de l'approche cognitivo-comportementale gestion doul
modifier comportement personne, donner impression qu'elle maitrise doul
36
but de l'approche physique gestion doul
procurer confort physique, diminuer craintes
37
application de glace: quand, effets, attention, but
¨ Douleurs musculo-squelettiques (extrémités, cou et dos) ¤ En phase aigue (inflammatoire) : Durée = 10-15 min à toutes heures/2h ¤ Diminue la force de la réaction inflammatoire (incertain), diminue les spasmes, soulage la douleur ¤ Attention : durée application n Risques d’engelures cutanées si contact direct -diminue inflammation
38
méthodes application glace
¨ Méthodes ¤ Sac de glace (glace concassée) = meilleur choix n Aussi: saclégumesgelés, coussingel (recouvrir d’une serviette) n Initialement, sensationde froid intense,puisde brûlure avec des picotementset unelégère douleur pouvant durer environ5 minutes. Parla suite, anesthésietemporaire de la région ¤ Appliquer sur la région douloureuse pendant 10-15 min (ne pas dépasser 20 min) n Aux 2 heures(Lignesde pratique actuelles : pourrait être diminué qh) n Éviterle contact direct avec la peau ¤ Contre-indications n Urticaire aufroid, n Problèmescirculatoire, de diabète (si complications circulatoires et neurologiques), d’hypertension sévère, maladie de Raynaud diminue inflammation surtout chirurgie et gériatrie
39
application chaleur quand, effets, attention, but
¨ Douleurs musculo-squelettiques (extrémités, cou et dos) ¤ Enphase subaiguë, de réadaptation ou chronique ¤ Permet de regagner le maximumde mouvement, active la guérison et soulage la douleur n Effet surla circulation sanguine et surles récepteurs de la douleur ¤ Attention : n Augmente la réaction inflammatoire : pas dans les premiers 48 heures n Risque de brûlure (personnes âgées, diabétiques avec complications neurologiques ou personne avec autres problèmes neurologiques)
40
méthodes application chaleur
¨ Méthodes ¤ Bain chaud ou douche, couverture électrique, le sac magique, le coussin rempli de gel, l’enveloppement thermique, le coussin électrique ¤ Appliquer sur la région douloureuse pendant 20 min (30 max) - recommandation OPPQ et ACSM n Éviter le contact direct avec la peau ¤ Contre-indications n Saignements actifs, plaie, infection, maladie de peau n Problèmes circulatoire, cancer
41
température à ne pas dépasser chez personnes à risque de brulure: exemple troubles cognitif...
46
42
mettre chaud/froid direct sur peau?
non, entourer de serviette pas direct
43
tendre/défroisser draps aide à gérer stimulus douleur
vrai
44
4 principes de soins infirmers concernant l'administration des analgésiques opioides
-connaitre réactions antérieures de la personne aux analgésiques -choisir analgésique approprié lorsque plus d'un med est prescrit -évaluer moment opportun pour administration des med et intervalle approprié -connaitre posologie exacte, aussi surveillance
45
6 effets secondaires opiacés
***** Constipation =>fécalome accumulation selles intestin ¤ Persistejusqu’àlafin:doittoujoursêtrepriseencomptedansletraitement médicamenteux(ajout d’un émollientet/ou d’un laxatif léger) ******** Nausées et vomissements ¤ Souvent transitoire(48-72heures) ¤ Soulager PRN avec antiémétiques ******** Somnolence(personne âgée:changement état mental possible) ¤ Transitoire en début de traitement et lors de changements de doses ¤ Importance d’informer la personne et ses proches ¤ Mais aussi: euphorie, dysphorie, anxiété, délirium *********** Bouches èche (effet anticholinergique) ¤ Se prolonge tout au long du traitement ¤ Importance des soins de bouches appropriés *********Rétention urinaire (effet anticholinergique) ¤ Généralement peu fréquent et transitoire ¤ Les personnes âgées y sont plus sensibles ¤ Surveillance importante, surtout en début de traitement ******dépression respiratoire
46
Opiacés : Prévention des effets secondaires
***** Constipation =>fécalome accumulation selles intestin ¤ Persistejusqu’àlafin:doittoujoursêtrepriseencomptedansletraitement médicamenteux(ajout d’un émollientet/ou d’un laxatif léger) ******** Nausées et vomissements ¤ Souvent transitoire(48-72heures) ¤ Soulager PRN avec antiémétiques ******** Somnolence(personne âgée:changement état mental possible) ¤ Transitoire en début de traitement et lors de changements de doses ¤ Importance d’informer la personne et ses proches ¤ Mais aussi: euphorie, dysphorie, anxiété, délirium *********** Bouches èche (effet anticholinergique) ¤ Se prolonge tout au long du traitement ¤ Importance des soins de bouches appropriés *********Rétention urinaire (effet anticholinergique) ¤ Généralement peu fréquent et transitoire ¤ Les personnes âgées y sont plus sensibles ¤ Surveillance importante, surtout en début de traitement ******dépression respiratoire
47
pourquoi connaitre effets sec opiacés
pour intervenir en amont, soulager et les éviter
48
progession 4 dépression SNC, échelle de sédation
atteinte état conscience=>atteinte état respiratoire=>atteinte grave état respi=>atteinte systemique resultant apport o2 insuffisant, acummul. co2=>arret cardiorespi imminent
49
facteurs des risques accrus dépression respi, clientèle qui requiert surveillance clinique accrue opiacés
-6 mois +70 naive à un opiacé MOPC apnée sommeil insuffisance rénale ou hépatique doul. intense qui cesse subitement trauma cranien obésité qui prend autres med effet dépressif sur snc ex: antiémétiques, antidépresseurs, antihistaminiques...
50
paramètres à évaluer surveillance opiacés
-intensité doul -degré sédation (S 1 2 3 4 )urgence 3+ -état R sur 60 sec, fréq, rythme, amplitude, ronfle, spo2 (tardif) manifest physique pour personne agée avec trouble cognitif réveiller la personne si dort à cause opioides
51
évaluation sédation opioides
s sommeil normal éveil facile 1 éveillé alerte 2 parfois somnolent, éveil facile 3somnolent s'éveille mais s'endort durant conversation 4 endormi profondément, s'éveille difficilement ou pas du tout à stimulation à partir 3 urgence
52
quand surveillance opiacés
******** Évaluer les paramètres pendant les 24 premières heures : ¤ au moment d’administrer chaque dose d’opiacé ¤ aupic d’action de l’opiacé administré ¤ ensuiteà intervalles de 1 à 2 heurespour toute la durée d’action de l’opiacé administré n Cette durée d’action peut doubler en présence d’insuffisance rénale ou hépatique ********** Ajuster ensuite la fréquence des évaluations selon l’état de santé du client ¤ Reprendre la fréquence initiale de surveillance chaque fois que la dose est augmentée de façon importante (>50 %) ou qu’il y a un changement de molécule.
53
5 signes de dépression respi-surveillance opiacés
¨ Signes de dépression respiratoire ¤ Score de sédation égal ou supérieur à 3 ¤ Périodes d’apnée, pauses respiratoires fréquentes ou présence de forts ronflements ¤ Bradypnée n FRà moinsde 8 = dépressionrespiratoire possible n Accroitre la surveillancesi moinsde 12/min., selonle degré de sédation ¤ SpO2 à 92% ou moinspersistant malgré repositionnement (sansO2) ¤ T.A.et P: signes tardifs (avant la 1ière dose; à déterminer ensuite
54
Interventions recommandées en cas despress ipoioides
¤ Niveaux de sédation S,1 et 2 n On peut continuer l’administration des opioïdes ¤ Niveaux de sédation 3 et 4 : n Aviser le médecin n Maintenir la surveillance constante de l’état respiratoire aussi longtemps que le niveau de sédation est à 3 (une inf. au chevet) n Travail de collaboration à deux infirmières (une reste au chevet) n ↑ tête du lit à 30º ou plus n Inciter à prendre de grandes respirations q 15min n O2 PRN(doit être prescrit) n Naxolone (Narcan) : Selon ordonnance collective ou individuelle
55
2 grandes surveillances cliniques opiacés
douleur et degré de sédation
56
Présenter les activités favorisant la réadaptation ou le rétablissement lombalgies
levée genous vers poitiune sur dos levée jambe simple sur le dos levée jambres double sur le dos bascule du bassin sur le dos avec muscle fessier demi redressenebt assis levée sur les coudes (étirement bas dos) sur le ventre bascule hamche de coté étirement felxion avant du tronc debout sans plier genous détendre dos et travailler abdos avec maintien, de facon progressive selon tolérance ne pas faire dans la phase aigu renforcer muscles abdo et fessers activit.s: natation, marche, vélo, tai-chi yoga sports équipe 1-5.5 h par sem faible intensité à modérée sur 3-5 jours par 10-15 min
57
Reconnaître l’importance de la mobilisation
thérapie par exercice: méthode non phamaco pour renverser effets doul par mobilisation aussi pour prévention maladie ankilosée: spasmes par alitement prolongé cause douleur, important de mobiliser
58
Appliquer les notions de positionnement sécuritaire
dormir cote et fléchir genous dormir dos et soulever genous et jbs avec oreiller 15 min exercice matin et soir avec 2-3 min réchau, contractions muscu et détente transport objets légers près corps maintenir poids santé application chaleur et frloid utiliser coussin soutient lombaire ou oreiller pour s'asseoir inclinaison avant quannd debout ++ avec pied sur marche posture: entension et flexions trop prononcées à éviter, augmenter amplitude selon tolérance
59
Facteurs de risque des lombalgies
tonus musculaire insuffisant surplus de poids mauvaise posture tabagisme stress conditions de travail sédentarité
60
Positionnements sécuritaires et lombalgies
dormir cote et fléchir genous dormir dos et soulever genous et jbs avec oreiller 15 min exercice matin et soir avec 2-3 min réchau, contractions muscu et détente transport objets légers près corps maintenir poids santé application chaleur et frloid utiliser coussin soutient lombaire ou oreiller pour s'asseoir inclinaison avant quannd debout ++ avec pied sur marche posture: entension et flexions trop prononcées à éviter, augmenter amplitude selon tolérance
61
Recommandations des activitivés lors de lombalgies 3
thérapie pharmaco, thérapie par exercice: méthode non phamaco pour renverser effets doul par mobilisation interventions psychologiques (thérapie comportementale)
62
Effets de l'activité physique sur la douleur
thérapie par exercice: méthode non phamaco pour renverser effets doul par mobilisation
63
recommandations activités physiques
cumuler exercices (min 10 min)de facon modéré/marche rapide varie avec age et besoins et asnté osseuse adulte 30 min+ par jour, 4-5 x semaine=3-4h par sem tout type activité activités peu intenses doit etre plus souvent et plus longtemps
64
beinfaits exercices sur prévention primaire et secondaire de quelles pahtologies 4
coronopathie hypertension artérielle MPOC diabète
65
facteurs influant sur tolérance activité
psychologique: douleur, hypoxémie, prob muscu, squel facteurs émotionnels: motivation, dépression, dépendance chimique, anxiété lié au dév: age, sexe grossesse
66
exercices isotoniques c quoi+exemple+avantages
change longueur muscle, contraction musculaire marche, nage, jogg, vélo ++ améliore circ et fonctionnement respi prévient otéoporose augmente tonus, masse et force muscu
67
exercices isométriques c quoi+exemple+avantages
tension musculaire sans mouvement ex: contraction quadriceps ou fessiers ++ s'adapte bien à la personne immobilisée au lit sont bénéfiques pour la personne incapable de tolérer exercices isotoniques
68
exercices isométriques contre résistance c quoi+exemple+avantages
contraction musculaire en poussant contre objet fixe ou en résistant au mouv. d'un objet ex: traction et poussée contre un appuie pied ++++ augmente degré résistance et durée de contraction musculaire améliore force et endurance du muscle aide a promouvoir force musculaire donnent suffisament de tension aux os pour promouvoir activité ostéoblastique
69
bienfaits activité physique sur corps humain
systèmes: cardio (+débit card, meilleur retour veineux), respi (améliore ventilation alvéolaire, respi plus facile, renforce muscle respi princial diaphragme), musculosquel (tonus, mobilité articul, tolérance muscle, réduit perte osseuse) aussi tolérance à activité (diminue fatigue) métabolisme (chaleur, trigycérides...) facteurs psychosociaux( (bien etre, amélioration tolérance au stress) système immunitaire (diminution certaines maladies)
70
évaluer condition santé
mobilité et doul IMC + tour de taille : indique risque de développer prob santé relié au poids (diabète 2, hypertension, maladies coronariennes, cancer...) obésité:risque élevé
71
BMAT: banner mobility assessement tool à savoir par <3
classer la personne selon besoins et capacités, niv pour une personne à mobilité restreinte niv 1 - éval: force tronc et équilibre assis niv 2 - éval: force memb inf et stabilité niv 3 - éval: force memn inf pour la station debout niv 4 - éval: équilibre debout marche
72
ankilosée
spasmes par alitement prolongé cause douleur, important de mobiliser
73
recommandations douleur aigue subaigue ou chronique
RECOMMANDATION 1 Traitement non pharmacologique: par chaleur superficielle (preuves de qualité modérée), massage, acupuncture ou manipulation vertébrale (preuves de faible qualité). Traitement pharmacologique*: anti‐inflammatoires non stéroïdiens ou relaxants des muscles squelettiques (preuves de qualité modérée) RECOMMENDATION 2: Lombalgie chronique: traitement non pharmacologique avec exercice, réadaptation multidisciplinaire, acupuncture, réduction du stress basée sur la pleine conscience (preuves de qualité modérée), Tai‐chi, yoga, exercice de contrôle moteur, relaxation progressive, biofeedback électromyographique , la thérapie au laser de faible intensité, la thérapie opérante, la thérapie cognitivo‐comportementale ou la manipulation vertébrale (preuves de faible qualité). RECOMMENDATION 3: Réponse inadéquate au traitement non pharmacologique, envisager un traitement pharmacologique avec des anti‐ inflammatoires non stéroïdiens comme traitement en premier. Les opioïdes comme une option que chez les patients qui ont échoué aux traitements susmentionnés (Niveau : recommandation faible, preuves de qualité moyenne).
74
dosage des activités
1-5.5 h par sem faible intensité à modérée sur 3-5 jours par 10-15 min
75
effets activité physique
Renforcer les muscles stabilisateurs du tronc (dorsaux et abdominaux) Augmenter la force, l’endurance Augmenter la flexibilité (exercices d’étirements jambe et dos) effet sur au moins 4 sem/après
76
but alignement corporel
Réduis les tensions sur les structures musculosquelettiques Contribue à l’équilibre Maintiens le tonus musculaire
77
mesures préventives positions sécuritaires
Travailler en équilibre (alignement du centre de gravité dans le polygone de sustentation)  Resserrer les muscles abdominaux.  Utiliser son propre poids pour entamer le mouvement.  Éviter les torsions avec charge  Réduire au maximum la charge  Ne pas soulever l'objet si l'on n'est pas certain de pouvoir le faire de façon sécuritaire.  Avoir une bonne prise sur la charge à porter.  Soulever la charge près de son corps.  Soulever doucement, sans saccades.  Éviter la friction (résistance due à la masse à déplacer)  Limiter les mouvements avec lordoses exagérées
78
activité physique et doul en phase aigu...
Le repos au lit n’est pas recommandé Éviter les mouvements favorisant la douleur L’activité Physique / exercices sont recommandés pour éviter une détérioration de la condition physique pouvant mener à la sédentarité ou à l’immobilité
79
effets exercices sur lombalgie
***en phase aigu activité physique sans douleur est sécuritaire ainsi que les flexions et extensions du bas du dos L’exercice peut être considéré comme un médicament, il réduit:  les symptômes de la lombalgie (flexibilité, l'amplitude des mouvements, la force musculaire, qualité de vie ) * Les activités supervisées semblent plus efficace * 10‐15 min d’activité, 3 à 5 jour par semaine  les symptômes de douleur et améliore la réalisation des AVQ  Pour de meilleurs effets, l’exercice doit être effectué sur une période supérieure à 4 semaines  Les interventions biospychosociales (exercice + psychologique) semblent être une meilleure avenue pour le traitement de lombalgie non spécifique Nécessité de plus de recherche pour cibler les interventions adaptées
80
effet de l'exercice sur la douleur 9
L’exercice peut être considéré comme un médicament : * Diminue la perception de l’intensité de la douleur * Diminue la douleur chronique * Agit en prévention en cas de douleur chronique * Améliore le bien être subjectif  L’activité (aérobie, résistance, flexibilité) réduit significativement la douleur.  Activité régulière aussi bénéfique que la médication (analgésiques/ NSAID).  Combiné aux autres traitements non pharmacologiques, l’A.P. entraine une réduction de la douleur.  Réduction de la douleur à court et moyen terme. * Augmentation de la douleur de manière transitoire * Effets variables sur la fonction psychologique et la qualité de vies * Créer des expériences positives
81
mécanismes d'action de activité physique sur douleur
L’exercice atténue la douleur chronique lombaires via :  L’étirement permet de réduire les contractures et les spasmes musculaires  Amélioration de la condition physique  Diminution crainte de douleur lors des AVQ/AVD  Libération endorphines (sensation de bien être)  L’interaction sociale  Réduction de la peur d’évitement  Réduction de l’anxiété réduit la peur d'avoir mal
82
Effets de L’ A.P. sur la douleur (effet hypoalgésique)
**Chez le sujet sain, réduction de la perception de la douleur selon le type d’exercice (aérobie, isométrique* et résistance*)  Chez le sujet avec douleur chronique, l’effet est variable selon la condition et l’intensité de l’exercice Mécanismes d’action peu connus: probablement les beta‐endorphines associés aux changements de la sensibilité à la douleur
83
aspects sécuritaires activité physique en cas de lombalgies
***en phase aigu activité physique sans douleur est sécuritaire ainsi que les flexions et extensions du bas du dos
84
Connaître le rôle de l’inf en matière promotion de la santé lié à l’activité physique 4 composantes
Le bilan de santé :  Aider les personnes à identifier les facteurs pouvant avoir une influence sur leur santé (habitudes de vie, contexte psychosocial).  Vérifier leur intérêt à ce que certaines conditions ou maladies soient détectées précocement afin de diminuer leur impact sur la santé (diabète, cancers).  Soutenir la personne dans l’adoption ou le maintien de comportements favorables à la santé (tabagisme, activité physique, alimentation, immunisation).  Soutenir la personne dans un processus d’autonomisation à l’égard de sa santé **évaluer, intervenir, assurer le suivi, expliquer
85
Connaître les cibles canadiennes en matière d’activité physique
0-4 180 min/jour =>60 min à 5 ans habiletés motrices 5-17 60 min/jour intensité modérée à élevée (élevé 3J/sem) activités renforcent muscles et os 3J/sem 18-64 150 min/sem modéré à élevé par min 10 min muscles et os 2J/sem 65+ même que 18-64 + activits équilibre pour prévenir chutes mobilité réduite
86
Expliquer les bienfaits de l’A.P dans la prévention primaire et secondaire des maladies
moyen thérapeutiques pour améliorer la santé: activité physique
87
Connaître les moyens d’évaluation de la condition physique
outils, grilles et entretien Évaluer le niveau d’activité En santé: La condition physique  L’inactivité (sédentarité)  Le type d’activité  L’intensité des activités  La tolérance à l’effort  L’intérêt + fréquence Immobilité (diminution de l’autonomie): La capacité fonctionnelle  Niveau de mobilité  Statut fonctionnel  Force  Équilibre  coordination Questionnaire menez une vie plus active Entretien Collecte des données BMAT Collecte des données SMAF …
88
Proposer des interventions adaptées à la pratique de l’A.P/ suivi/ référence aux services*
Guider vers les services  Centre d’éducation pour la santé  Kinésiologue  IPSL ou médecin  Programme intégré d’équilibre dynamique (PIED)
89
intervention en lien avec activité physique
* Promotion de la santé * Bienfaits de l’A.P. * Prévention * Mobilité * Outils d’intervention
90
avd vs avq exmples
AVD - taches domestiques et sociales  Faire les courses  Faire l’entretien ménager  Préparer les repas  Assurer son transport AVQ - besoins de bases  S’habiller  Manger  Se déplacer  Aller aux toilettes  Effectuer ses soins personnels
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définition activité physique
Ensemble des mouvements corporels qui augmente le rythme cardiaque et la respiration. Tout mouvement corporel produit par les muscles squelettiques utilisant de l’énergie. AVD est activité physique pour adulte
92
3 intensités activités perception effort
Légère/Faible * Capacité de discuter * Pas d’essoufflement * Pas de sudation Modérée * Respiration rapide * Sudation légère * Intensité de 5 ou 6 sur 10 de la capacité * Discussion faible * Augmentation du rythme cardiaque Élevée * Prononcer quelques mots * Essoufflement * Sudation * Intensité de 7 à 8 sur 10 de la capacité * Rythme cardiaque élevé
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exemple activités faible intensité enfant, jeune et adulte
faible intensité = AVD et AVQ Chez l’enfant et le jeune * Marche * Étirements légers * Hygiène personnelle * Jeu avec un animal domestique * Promenade avec un chien * Billard Chez l’adulte et l’aîné * Marche lente * Tâches ménagères (course, vaiselle, cuisine) * Surveillance d’enfants * Étirements légers * Hygiènes personnelle * Jardinage léger
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exemple activités intensité modérée enfant, jeune et adulte
Chez l’enfant et le jeune * Les loisirs (randonnée, canoë, planche à roulette, patinage) * Vélo ou marche rapide * Tâches ménagères (aspirateur, tondeuse) * Jeux actifs (baseball, football) Chez l’adulte et l’aîné * Marche rapide * Aquagym * Vélo (moins de 16km/h) * Loisirs (tennis, danse) * Jardinages et les tâches ménagères  180 ou 60 min/ jour  150 min/ semaine
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exemple activités intensité élevée enfant, jeune et adulte
Chez l’enfant et le jeune * Jeux actifs impliquant la course et la poursuite (tag) * Vélo * Corde à sauter * Art martiaux (karaté, judo) * Course * Sports structurés variés (tennis, natation, ..) * Loisir (ski de fond) Chez l’adulte et l’aîné * Marche athlétique et rapide * Natation rapide * Tennis * Danse active * Vélo (16km/h et plus) * Corde à sauter * Jardinage intense * Randonnées avec sac à dos lourds http://www.csep.ca/fr/directives/glossaire‐2017  180 ou 60 min/ jour  150 min/ semaine
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exemple activités renforcement musculaire enfant, jeune et adulte
Chez l’enfant et le jeune * Tir à corde * Pompes * Exercices de résistance avec bande élastiques * Escalade (carde, arbre) * Jeux dans les parc * Transport et soulèvement d’objets Chez l’adulte et l’aîné * Levés de poids * Exercices avec bandes élastiques * Exercices de résistance (pompe, redressement assis) * Jardinage intense  3 jours/ semaine  2 jours/ semaine
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exemple activités renforcement os enfant, jeune et adulte
Chez l’enfant et le jeune * Marelle * Sauts à cloche pieds, pieds joints * bonds Chez l’adulte et l’aîné * Saut, bond, escaliers * Levés d’objets lourds * Transport d’objets lourds * Jardinage intense Activités communes  Course  Corde à sauter  Levée de poids  Sport à impact (gymnastique, volley, basket, tennis)
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quoi évaluer 2 types de conditions/état physique
Évaluer le niveau d’activité En santé: La condition physique  L’inactivité (sédentarité)  Le type d’activité  L’intensité des activités  La tolérance à l’effort  L’intérêt + fréquence Immobilité (diminution de l’autonomie): La capacité fonctionnelle  Niveau de mobilité  Statut fonctionnel  Force  Équilibre  coordination Questionnaire menez une vie plus active Entretien Collecte des données BMAT Collecte des données SMAF …
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outils évaluation activité physique niveau et capacités 2
PQRSTU ET EM
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BMAT évalue quoi
Évaluation de la mobilité, statut fonctionnel surtout en cas d'immobilité Test Niveau 1 - assis avec déstabilisation Force du tronc Équilibre assis Niveau 2 - étirer et pointer Force des membres inférieurs Stabilité Niveau 3 - debout Force des membres inférieurs pour la station debout Niveau 4 - marche Équilibre debout Marche
101
comment inf intervient dans activité physique
pour personne en santé ou active  Intensité des activités  Types d’exercices/activités  Expliquer les bienfaits  Favoriser la prévention  Référer pour personne immobilité mobiliser référer
102
activités pour mobiliser pt
****************Amélioration de l’équilibre ou entraînement à l’équilibre  Exercices statiques et dynamiques conçus pour améliorer l’équilibre  en présence d’oscillations posturales  de stimuli de déstabilisation  par le déplacement autonome,  l’environnement ... ********************Activités de renforcement musculaire  Activités de renforcement musculaire pour  force  contre résistance  exercice d’endurance  Activités ou exercices qui augmentent  la force  la puissance et l’endurance  la masse des muscles
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5 types exercices mobilisation et effets techniques actives
-mobilisation active=>diminue perte force -renforcement muscu(contre résistance, isométrique...)=>maintient activité musculaire -équilibre=>limiter troubles orthostatique et tonus musculaire -station debout: augmenter tonus musculaire transfert marche: autonomie
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5 types exercices mobilisation et effets techniques passives
-positionnement: améliore confort et prévient complications -mobilisation passive=>réduit atrophie augmente vol. sang -verticalisation=>facilite mise en charge. prévient contractures muscu, augmente force membres inf, améliore éveil et capacités respi
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bienfaits activité physique ainés
Pour les adultes de 65 ans et plus, être actifs pendant au moins 150 minutes par semaine peut contribuer à réduire le risque : * De maladies chroniques telles que l’hypertension et les maladies du cœur * De décès prématuré Et peut également aider les aînés à : * Conserver leur autonomie fonctionnelle * Conserver leur mobilité * Améliorer leur condition physique * Améliorer ou maintenir leur poids corporel * Maintenir leur santé osseuse * Maintenir leur santé mentale et à se sentir mieux
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bienfaits mobilisation client hospitalisé
Mobilisation =  Marcher  Être debout  Assis sur une chaise  Renforcer les muscles (passive/active) avec ou sans assistance Niveau physique, moins de:  Risque de delirium  Douleur  Risque d’infection urinaires  Fatigue  Pneumonies Amélioré marquée sur: Distance de marche Fonction physique globale Niveau psychologique, moins de:  Dépression, anxiété  Symptômes de détresse Amélioration du confort Niveau social, amélioration de:  Qualité de vie  L’indépendance Niveau organisationnel, diminution de:  La mortalité  Durée de séjour
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état de santé dépend dose AP 2 formes
Activité physique = comportement Condition physique = état
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AP prévient quoi
L’ A.P. régulière joue un rôle efficace dans la prévention primaire et secondaire de:  MCV  l’obésité  l’hypertension  DST2  certaines formes de cancer (du côlon et du sein)  l’ostéoporose, de l’arthrite  de plusieurs troubles psychologiques
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3 mécanismes d'adaptation activité
Effets de l’A.P. sur plusieurs conditions sont dues à: ***** Adaptations indirectes modifient la composition corporelle  Perte/ contrôle du poids / Réduction de l’obésité ***** Adaptations directes  Diminution de la T.A au repos / Amélioration des profils lipidiques  Amélioration des profils lipidiques  Amélioration de la fonction endothéliale **** Adaptations particulières  DST2: ex. augmentation de la distribution du glucose musculaire  Cancer: fonction immunitaire et effets directes sur la tumeur
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conséquence inactivité
 Mortalité: maladie de l’appareil circulatoire (33,3%), cancer (29,1%), DST2 (3,49%) Lien entre inactivité/ condition physique et la mortalité prématuré (réduction jusqu’à 50%) Comorbidités: Inactivité + obésité sont prédicteurs de mortalité Diminution de la mortalité même en présence de maladies chronique ou facteurs de risques (hypertension, MPOC, tabagisme, DST2, IMC élevé) Sédentarisme /inactivité  Augmentation du risque de MCV  Diminue l’espérance de vie  Diminue la santé osseuse  Perte musculaire
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pts importants activité pĥysique
Adaptée au niveau de base de la personne (faible, modéré, élevé ou simplement la mobilisation) Le niveau de tolérance détermine la condition physique et l’état de santé Effet positif sur plusieurs maladies (prévention primaire et secondaire) Diminue le risque de mortalité et de comorbidités L’importance de l’effet dose‐réponse pour un effet positif sur les différents systèmes
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Vieillissement démographique (causes)
ainés plus âgés, diminution taux natalité, diminution taux mortalité infantile et augmentation espérance de vie, diminution fécondité, augmentation personnes âgées
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Définition de la personne âgée (trois groupes, deux phénomènes)
65+ -65-74 (jeunes vieux) -75-84 ans (vieux-vieux) maladie chronique perte autonomie -85 ans et plus (très vieux) besoin soins et services Phénomène de l’hétérogénéité interindividu Phénomène du vieillissement intra-individu
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-Vieillissement normal versus signes pathologiques (normal)
Le vieillissement normal se rapporte aux modifications normales et universelles à survenir lors de l’avancement en âge. * Tous les individus, sans égard à leur génétique, à leur environnement (ex.: eau, air, climat) et à leurs habitudes de vie (ex.: alimentation, exercice, gestion du stress) présentent des modifications communes telles que les diminutions de l'acuité auditive, de la force musculaire, de la capacité respiratoire et cardiaque, de la fragilisation des téguments, etc. -état mental: maintient personnalités et social -état cognitif: diminue mémoire(3), capacité attention, prob. complexe, peu effets quotidien -état neurologique: diminution sensibilité, coordination, réfelexe, ralenti -sommeil: réveil+ , sieste, + temps au lit, éveil matinal, répartition heures différents, pas normal si + 30 min endormir -audition: diminue, comprendre conversations milieu bruyant, provenance sons dure à déterminer, assèchement sérumen(bouchons pas normal) -vision: diminution, vision nocturne, sensible éblouissement, abaissement paupières -poumons: diminution capacités, moins tolérance -coeur: baisse repos, irrégularités passagères, perte efficacité -bouche: + caries, diminution ressentir soif et saveurs, moins salive, amincissement muqueuse buccale, moins efficace synchro déglut et transit bol alimentaire à estomac -estomac: lent -foie diminue efficacité -pancréas: diminue efficacité -intestin grêle: moins bonne absorption -colon: + sensible, normal, constipation et incontinence proche -reins/élimination urinaire: résidu post miction + souvent nuit -organes génitaux: moins poil, perte tonus, moins désir -musculaire: perte force, vitesse, endurance, flexibilité... -ostéo-articulaire: perte densité elasticité -peau et phanères: peau sèche moins léastique, ongles épais, perte sc dur maintien temp La vitesse à laquelle se produisent ces changements varie d’une personne à l’autre sous l’effet de trois groupes de facteurs: Gènes : 25 à 30% Environnement + habitudes de vie : 70 à 75% Par contre, au-delà du patrimoine génétique, de l’environnement et des habitudes de vie, les personnes subissent les mêmes changements au fur et à mesure qu’elles vieillissent.
115
Théories du vieillissement biologique 4
1. Théorie de l’usure (théorie mécanique du vieillissement) Selon cette théorie, le corps finit par s’user à force de fonctionner sans relâche et cette usure brise certains organes. De plus, l’accumulation de déchets produits par les cellules et les tissus s’ajoutent à l’usure. À la longue, ces substances toxiques nuisent au bon fonctionnement des tissus et endommagent le corps. Or, cette théorie ne tient pas compte du fait que le corps dispose de mécanismes de réparation et que, dans certains cas, l’utilisation améliore le fonctionnement (système musculaire). délaiséée dépassée 2. Théorie immunologique Au cours du vieillissement, le système immunitaire perd la capacité de lutter efficacement contre les agresseurs. Ainsi, il commet davantage d’erreurs dans la reconnaissance de ces agresseurs. Il lui arrive alors de s’attaquer à des cellules saines de l’organisme en déclenchant des réactions auto-immunes (ex: arthrite rhumatoïde). Selon cette théorie, le système immunitaire est primordial à la survie et à la longévité des êtres vivants, mais il s’épuise au fil du temps et cet épuisement serait l’explication biologique du début du vieillissement 3. Théorie génétique Le vieillissement s’accompagne de modifications de l’expression ou de l’activité de certains gènes, ou encore que la longévité des êtres vivants est affectée par les modifications subies par certains gènes. À ce jour, aucune étude n’a démontré la présence de gènes qui programmeraient le déclenchement du vieillissement chez l’humain. Malgré l’absence de preuves scientifiques, on estime qu’environ 25 à 30% de la longévité d’un individu relève de facteurs génétiques. La génétique n’aurait qu’un second rôle dans le vieillissement! 4. Théorie des radicaux libres Selon cette théorie, les cellules du corps humain répondent à leurs besoins en effectuant différentes réactions chimiques qui entraînent la formation de radicaux libres. Avec le vieillissement, ces mécanismes perdent de leur efficacité, et au fil du temps, les radicaux libres sont responsables d’un stress oxydatif qui lèse les cellules, notamment leurs membranes cellulaires et l’ADN. En résumé, les radicaux libres seraient contrôlés durant la majeure partie de la vie adulte, mais leurs effets délétères constants finiraient par perturber gravement le fonctionnement cellulaire, entraîneraient la mort cellulaire et favoriseraient l’apparition de maladies. Le vieillissement résulterait de cette perturbation du fonctionnement cellulaire
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Principes d’enseignement à la personne âgée
tenir compte limitation age -état cognitif: mémoire, capacité attention, dur résoudre prob complexe -acuité auditive -vision diminue, l'appréciation des profondeurs et des contrastes de couleur faire attention bruits alentours, pas trop infos, rester simple, pas de mots compliqués, vulgariser termes médicaux, s'asssurer que la personne voit et entende, confort pas 20 min, mais 5 min avec pts clés
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Reconnaitre les manifestations d’un vieillissement normal
-état mental: maintient personnalités et social -état cognitif: diminue mémoire(3), capacité attention, prob. complexe, peu effets quotidien -état neurologique: diminution sensibilité, coordination, réfelexe, ralenti -sommeil: réveil+ , sieste, + temps au lit, éveil matinal, répartition heures différents, pas normal si + 30 min endormir -audition: diminue, comprendre conversations milieu bruyant, provenance sons dure à déterminer, assèchement sérumen(bouchons pas normal) -vision: diminution, vision nocturne, sensible éblouissement, abaissement paupières -poumons: diminution capacités, moins tolérance -coeur: baisse repos, irrégularités passagères, perte efficacité -bouche: + caries, diminution ressentir soif et saveurs, moins salive, amincissement muqueuse buccale, moins efficace synchro déglut et transit bol alimentaire à estomac -estomac: lent -foie diminue efficacité -pancréas: diminue efficacité -intestin grêle: moins bonne absorption -colon: + sensible, normal, constipation et incontinence proche -reins/élimination urinaire: résidu post miction + souvent nuit -organes génitaux: moins poil, perte tonus, moins désir -musculaire: perte force, vitesse, endurance, flexibilité... -ostéo-articulaire: perte densité elasticité -peau et phanères: peau sèche moins léastique, ongles épais, perte sc dur maintien temp La vitesse à laquelle se produisent ces changements varie d’une personne à l’autre sous l’effet de trois groupes de facteurs: Gènes : 25 à 30% Environnement + habitudes de vie : 70 à 75% Par contre, au-delà du patrimoine génétique, de l’environnement et des habitudes de vie, les personnes subissent les mêmes changements au fur et à mesure qu’elles vieillissent.
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Connaître et distinguer les théories biologiques et psychosociales du vieillissement
Théories biologiques * Manque crucial de connaissances Théories psychosociales * Nous amène à réfléchir sur ce qui fait le bien-être et la qualité de vie durant la vieillesse. * Aucun théorie n’est supérieure à une autre. psychosociales Théories les plus reconnues: 1. Théorie du désengagement 2. Théorie de l’activité 3. Théorie de la continuité 4. Théorie du vieillissement réussi bio Principales théories: 1. Théorie de l’usure; 2. Théorie immunologique; 3. Théorie génétique; 4. Théorie des radicaux libres
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Expliquer les trois dimensions d’un vieillissement réussi ainsi que le processus menant au vieillissement réussi
autonomie, activités cognitives (sudoku, puzzle, mots croisés, actualité, lecture, socialiser, pas s'isoler), bien manger, bouger, pas fumer/boire, tricoter favorise bon vieillissement
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ne pas savoir utiliser un objet=>perte cognitive
faux
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hétérogénité ainés implique quoi?
soins prodigués à chacun différent, approche différente Vieillissement: hétérogène entre les individus et au sein d’un même individu
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3 types de mémoires+ c quoi
Mémoire de travail (mémoire à court terme) * Capacité d’emmagasiner un nombre limité d’informations pendant une brève période de temps * Sert à l’accomplissement d’une tâche dans l’immédiat ou dans un futur très proche (quelques minutes) * *Joue un rôle important dans la manipulation de l’information et dans l’encodage et la récupération des informations stockées dans la mémoire à long terme Mémoire épisodique (mémoire à long terme) * Capacité de mémoriser des évènements et des souvenirs s’inscrivant dans un contexte temporel, spatial ou émotionnel Mémoire prospective (mémoire à long terme) * Capacité de mémoriser des informations concernant des évènements à venir ou des comportements à adopter dans le futur
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3 facteursvitesse vieillissement
La vitesse à laquelle se produisent ces changements varie d’une personne à l’autre sous l’effet de trois groupes de facteurs: Gènes : 25 à 30% Environnement + habitudes de vie : 70 à 75% Par contre, au-delà du patrimoine génétique, de l’environnement et des habitudes de vie, les personnes subissent les mêmes changements au fur et à mesure qu’elles vieillissent.
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théorie usure vraie ? Selon cette théorie, le corps finit par s’user à force de fonctionner sans relâche et cette usure brise certains organes. De plus, l’accumulation de déchets produits par les cellules et les tissus s’ajoutent à l’usure. À la longue, ces substances toxiques nuisent au bon fonctionnement des tissus et endommagent le corps. Or, cette théorie ne tient pas compte du fait que le corps dispose de mécanismes de réparation et que, dans certains cas, l’utilisation améliore le fonctionnement (système musculaire).
théorie délaissée, car dépassée
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Théorie immunologique
2. Théorie immunologique Au cours du vieillissement, le système immunitaire perd la capacité de lutter efficacement contre les agresseurs. Ainsi, il commet davantage d’erreurs dans la reconnaissance de ces agresseurs. Il lui arrive alors de s’attaquer à des cellules saines de l’organisme en déclenchant des réactions auto-immunes (ex: arthrite rhumatoïde). Selon cette théorie, le système immunitaire est primordial à la survie et à la longévité des êtres vivants, mais il s’épuise au fil du temps et cet épuisement serait l’explication biologique du début du vieillissement
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théorie génétique
3. Théorie génétique Le vieillissement s’accompagne de modifications de l’expression ou de l’activité de certains gènes, ou encore que la longévité des êtres vivants est affectée par les modifications subies par certains gènes. À ce jour, aucune étude n’a démontré la présence de gènes qui programmeraient le déclenchement du vieillissement chez l’humain. Malgré l’absence de preuves scientifiques, on estime qu’environ 25 à 30% de la longévité d’un individu relève de facteurs génétiques. La génétique n’aurait qu’un second rôle dans le vieillissement!
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Théorie des radicaux libres
Selon cette théorie, les cellules du corps humain répondent à leurs besoins en effectuant différentes réactions chimiques qui entraînent la formation de radicaux libres. Avec le vieillissement, ces mécanismes perdent de leur efficacité, et au fil du temps, les radicaux libres sont responsables d’un stress oxydatif qui lèse les cellules, notamment leurs membranes cellulaires et l’ADN. En résumé, les radicaux libres seraient contrôlés durant la majeure partie de la vie adulte, mais leurs effets délétères constants finiraient par perturber gravement le fonctionnement cellulaire, entraîneraient la mort cellulaire et favoriseraient l’apparition de maladies. Le vieillissement résulterait de cette perturbation du fonctionnement cellulaire
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théorie psychosociales du vieillissement 4
Théories ayant été élaborées à partir de l’examen des aînés, de leurs parcours, de l’évolution de leurs rôles, de leurs différentes adaptations et de leur état psychologique. Ces théories soutiennent que l’aîné heureux et satisfait de sa vie a probablement trouvé la bonne recette pour un vieillissement normal. Théories les plus reconnues: 1. Théorie du désengagement pas vrm vrai 2. Théorie de l’activité 3. Théorie de la continuité 4. Théorie du vieillissement réussi
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théorie désengagement
1. Théorie du désengagement étape inévitale du vieillissement, mais en réalité pas vrm vrai Élaborée par Cumming et Henry (1961) Selon cette théorie, le vieillissement entraîne un retrait social, un désintérêt envers l’entourage et les proches, ce qui cause une diminution des relations sociales et affecte le niveau d’intégration de l’aîné au sein de la société. Le désengagement serait une étape inéluctable du vieillissement, et cet éloignement mutuel ferait l’affaire de l’aîné et de la société. Or, de nombreux aînés continuent de s’engager socialement, que ce soit par le travail, par le bénévolat ou par l’aide apportée aux proches. La présence de tous ces aînés poursuivant leurs activités après leur retraite vient contredire cette théorie.
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théorie activité
Cette théorie soutient que l’inactivité est néfaste. Les aînés doivent obligatoirement se livrer à différentes activités physiques et intellectuelles pour ressentir du bien-être durant leur vieillissement. Plus la personne avançant en âge est active, plus sa satisfaction de vivre augmente. L’activité les aiderait à garder un sentiment de bien-être élevé et les interactions sociales contribueraient à améliorer leur image de soi. Elle protégerait également contre l’ennui et l’isolement. Selon cette théorie, le secret d’un vieillissement normal résiderait dans la capacité de la personne de toujours remplacer les rôles perdus par de nouveaux toujours s'adapter
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théorie continuité
Proposée en 1973 par Neugarten Cette théorie insiste sur l’importance que revêt le maintien de l’intégrité de la personne dans son rapport avec son vieillissement. Selon cette théorie, la personne vieillissante aborde cette étape de la vie dans le prolongement de ses expériences de vie, de sa personnalité et de ses valeurs, qui restent stables durant le vieillissement. Le « bien-vieillir » est un vieillissement qui répond aux attentes de la personne elle-même.
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théorie du vieillissement réussi 3 étapes
Décrit la recette gagnante pour vivre vieux, heureux et en santé! Un vieillissement réussi repose sur trois grands préceptes: 1. Éviter les maladies et les facteurs de risque des maladies (vaccin, dépistage, habitudes de vie) 2. Maintenir un haut niveau de stimulation physique et cognitive (interaction avec environnement) 3. Engagement dans la vie (productives, signifiantes, pour sentiment de se réaliser)
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c quoi processus menant au vieillissement réussi
Le métamodèle : « Optimisation sélective avec compensation » définit le vieillissement réussi comme étant l’atteinte des objectifs personnels, la minimisation des pertes et la maximisation des gains au cours de l’avancement en âge. 3 stratégies pour faire face au vieillissement: * ****La sélection (Réaliser des choix en fonction de ce qu’elle peut faire en raison de modification dans ses capacités ou de son environnement. Elle anticipe les pertes. Elle établit des priorités. * Par exemple: déménager dans un environnement plus adéquat, conduire uniquement le jour, réduire le nombre d’engagements et choisir les plus significatifs pour elle) **** L’optimisation (L’amélioration d’une habileté ou d’une capacité. * La personne qui, suite à un AVC, perd l’usage du côté gauche, prend tout de même des cours de peinture pour améliorer son art. Aussi, elle débute l’exercice pour maintenir et même améliorer la force, l’endurance et la flexibilité du côté droit.) * ****La compensation (Il y a perte d’habileté. Elle ne peut fonctionner normalement sans aide (technique, individu…). Utilisation d’une stratégie pour atteindre l’objectif fixé. Des exemples: * Appareil auditif. * Lecture de braille. * Utilisation d ’une canne pour ses déplacements))
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quoi retenir théorie vieillissement pts importants
Théories biologiques * Manque crucial de connaissances Théories psychosociales * Nous amène à réfléchir sur ce qui fait le bien-être et la qualité de vie durant la vieillesse. * Aucun théorie n’est supérieure à une autre un vieillissement réussi est celui ou la personne s'adapte à la situation se sent bien et fait des choix qui, selon elle, lui sont favorables.
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Promotion de la santé c quoi
jamais trop tard pour changer ü Saine alimentation ü Activité physique ü Arrêt tabagique ü Vaccination * Activités ayant pour objectif de maintenir ou d’améliorer la santé et la qualité de vie de la personne. rtour sur modèle baltes cartensen conduire le jour, changer pour environnement + approprié * Sélection: établir priorités * Optimisation: amélioration d'une habileté ou capacité * Compensation: utilisation d'une stratégie pour atteindre objectif fixé saine alimentation et l’exercice physique entrainent des bénéfices indéniables sur la santé physique, mentale et cognitive de la personne âgée. Il ne faut donc pas priver les personnes âgées d’activité de promotion même chez ceux en perte d’autonomie
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Prévention de la maladie primaire, secondaire tertiaire
ca vaut encore la peine, agir en prévention primaire et secondaire avant maladie et tertaire après maladie et symptomes
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Conduite automobile chez la personne âgée, 2 moments clés
*vieillissement normal pas un risque pour conduite automobile Deux moments clés pour le conducteur âgé: 1. 75 ans: déclaration de l’état de santé à partir du formulaire d’autodéclaration 2. 80 ans: examen médical effectué par un médecin ou une infirmière praticienne spécialisée et à un examen visuel effectué par un optométriste ou un ophtalmologiste selon la fréquence suivante : * 6 mois avant d'atteindre 80 ans * tous les 2 ans après 80 ans
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Identifier les éléments à considérer dans l’évaluation de la personne âgée
2. Faire l’évaluation de la personne aînée: * Évaluer le niveau de mobilité * Réaliser un examen physique des membres inférieurs (douleur, lésions, équilibre, réflexes, forces et sensibilité) * Évaluer le risque de chute * Évaluer la présence de douleur * Évaluer la présence d’hypotension orthostatique * Évaluer le besoin d’assistance à la marche
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Identifier les éléments à considérer dans l’évaluation de la conduite automobile chez la personne âgée 8 facteurs de risque
(troubles visuels, cardiaques, respiratoires, endocrinologiques, locomoteurs et neurologiques). 8 FACTEURS DE RISQUE: 1.Signalement d’un proche 2.Inquiétude auto-rapportée de l’aîné 3.Aspects liés à la conduite (accident, infractions, auto-restrictions, état véhicule) 4.Médication (anticholinergique nuit conduite, polyméd, prob adhérer tx) 5.Difficultés dans les AVQ/AVD 6.Chutes récentes 7.Conditions médicales (trouble cognitif, sommeil, cardio, respi, déficit neuro, visuel, musculo) 8.Consommation d’alcool ou d’autres substances en gros: cognition, vision, fonction physique -fonction cognitive: tests -coordination --140 vision périph degré risque --120 vision périph enlève permis
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Intervenir pour prévenir la maladie et promouvoir la santé auprès de la personne âgée
La marche: un bon moyen de prévention chez l’aîné Avantages: * Simple à organiser peu importe le milieu clinique * S’intègre facilement aux soins * Une marche, même lente et de courte distance, a des effets bénéfiques sur l’aîné quel que soit son état de santé Objectifs: * Maintenir et augmenter les capacités ambulatoires de la personne âgée, afin d’améliorer sa santé et sa qualité de vie et de prévenir la détérioration rapide de ses capacités cognitives. * Même fragile et très âgée, une personne peut marcher, accroître sa force musculaire, améliorer son équilibre et augmenter sa vitesse de marche
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Proposer des interventions adaptées à la personne âgée
La marche: un bon moyen de prévention chez l’aîné Avantages: * Simple à organiser peu importe le milieu clinique * S’intègre facilement aux soins * Une marche, même lente et de courte distance, a des effets bénéfiques sur l’aîné quel que soit son état de santé Objectifs: * Maintenir et augmenter les capacités ambulatoires de la personne âgée, afin d’améliorer sa santé et sa qualité de vie et de prévenir la détérioration rapide de ses capacités cognitives. * Même fragile et très âgée, une personne peut marcher, accroître sa force musculaire, améliorer son équilibre et augmenter sa vitesse de marche
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Connaître le rôle de l’infirmière en matière de promotion de la santé et de prévention de la maladie auprès de la personne âgée
Pourquoi est-il nécessaire, comme infirmière, de reconnaître ces obstacles ? pour pallier les incapacités et les défis, donner aide adaptée, prévenir détérioration état L’infirmière doit promouvoir la pratique de l’exercice physique chez l’aîné! 1. Cibler les aînés qui bénéficieraient le plus de la mise en place d’un programme d’exercice physique; et ceux à risque élevé 2. Faire l’évaluation de la personne aînée: * Évaluer le niveau de mobilité * Réaliser un examen physique des membres inférieurs * Évaluer le risque de chute * Évaluer la présence de douleur * Évaluer la présence d’hypotension orthostatique * Évaluer le besoin d’assistance à la marche
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Note au dossier en lien avec la vaccination
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prévention primaire c quoi
Vise à prévenir l’apparition d’une maladie par l’élimination des facteurs de risque qui y sont associés. * Saine alimentation * Activité physique (être actif) * Ne pas fumer * Éviter l’abus d’alcool (ne pas en boire à tous les jours et ne jamais en consommer de manière excessive) * Vaccination
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prévention secondaire c quoi
Vise à dépister les problèmes potentiels d’une population à risque et de les traiter promptement. exemples: dépistage à tout age des cancers troubles cognitifs, déficience auditive, diabete problemes lipidiques, hypertension artérielle, problemes visuels de la population viellissante
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prévention tertaire c quoi
Vise à limiter les conséquences sur la morbidité résultant d’une maladie. ex: diabete: suivi glycémie, cardiaque, circulatoire, visuel, tégumentaire ches ainés parkinson: vérifier bon alignement corps pour réduire aspiration repas et ses complications(pneumonie)
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impacts positifs saine alimentation
apport en énergie et nutriments nécessaire au bien etre général maintien santé et niveau autonomie contribue à prévention maladies chroniques contribue à résistance aux infections meilleure qualité de vie meilleure estime de soi sucre devient gras/triglycérides dans sang habit. aliment: moins sucre, activité physique, moins gras, moins sel manger plus fruits et légumes
147
obstacles saine alimentation
Obstacles possibles (notamment chez les aînés de 75 ans et plus) * Difficultés financières; * Environnement (accessibilité physique, disponibilité de services); * Isolement; * Incapacité fonctionnelle; * Maladies chroniques; * Santé buccodentaire; * Dépression; med qu change gout * Etc. en milieu hospitalier soins bouches ulcères favoriser port dentier adapté,
148
risque immobilité/effet
syndrome immobilisation=> difficultés fonctionnelles par dégénérecence physiologique de tous systèmes
149
effet activité physique chez ainé atteint trouble neurocognitif
rehausse son autonomie fonctionnelle augmente son endurance à activité améliore sa continence urinaire diminue risquechute faire bouger car n'ont pas initiative
150
recommandation activité physique ainé indépendant sans maladie chronique invalidante
aérobie: 30 min 5x sem modéré ou aérobie: 20-25 min 3x sem intense + étirement muscu: 8-12 répét. 2x sem selon tolérance
151
recommandation activité physique ainé avec antécédent de chute ou à risque de chute
équilibre et flexibilité+étirement muscu: 30 min 2x sem modéré marche: 30 min 1x sem modéré
152
recommandation activité physique ainé frêle avec incapacité ou maladie chronique invalidante
marche 10 min/jour léger
153
avanatges marche ainés comme bon moyen prévention
pour prévenir détérioration Avantages: * Simple à organiser peu importe le milieu clinique * S’intègre facilement aux soins * Une marche, même lente et de courte distance, a des effets bénéfiques sur l’aîné quel que soit son état de santé Objectifs: * Maintenir et augmenter les capacités ambulatoires de la personne âgée, afin d’améliorer sa santé et sa qualité de vie et de prévenir la détérioration rapide de ses capacités cognitives. * Même fragile et très âgée, une personne peut marcher, accroître sa force musculaire, améliorer son équilibre et augmenter sa vitesse de marche.
154
niveau risque chute+paramètres cliniques et niveau soutien léger
-pas perte équilibre -potentiel de malaise -autonome -respect consignes -marche avec accessoire, surveillance et stimulation -éval continue risque chute
155
niveau risque chute+paramètres cliniques et niveau soutien modéré
-perte équilibre occasionnele -ateinte niv conscience -faiblesse muscu -intolérance effort -sonde, o2...appareillage à déplacer -surestimation ou sous estimation capacités -marche avec intervenant -marche avec accessoire, surveillance et stimulation -éval continue risque chute
156
niveau risque chute+paramètres cliniques et niveau soutien élevé
-atteinte grave motricité, stabilité et niv conscience -masse corporelle importante -marche à deux intervenants -physio -marche avec accessoire, surveillance et stimulation -éval continue risque chute
157
objectifs promotion activité physique
objectif: augmenter capacité physique pour améliorer autonomie toutes les formes d'exercices sont utiles (pas seulement la marche stimuler c'est aussi enseigner importance de la marche
158
avantages arrêt tabagique
fait partie enseignement inf Avantages de l’arrêt tabagique même si 80 ans et plus ! De manière quasi-immédiate: * Circulation sanguine s’améliore * Poumons commencent à se régénérer Après un an d’arrêt: * Le risque de présenter une maladie cardiovasculaire, un cancer ou une maladie respiratoire a déjà diminué * Le risque d’infarctus du myocarde diminue de manière marquée Après 2 à 5 ans d’arrêt: * Le risque d’AVC pourrait chuter au même niveau que celui d’un non-fumeur *Maladie pulmonaire chronique et personne âgée: important de cesser de fumer car effet positif sur la santé respiratoire et la qualité de vie.
159
vaccination chez ainé
en gros raisons vacciner ainés: syst moins fort, réaction + forte * L’âge est le premier facteur de risque à considérer pour les risques d’infection chez les aînés * Le risque d’être atteint d’une pneumonie est trois fois plus élevé chez l’aîné par rapport à l’adulte * Le vieillissement normal du système immunitaire (sénescence immunitaire) peut expliquer ce risque élevé * Les personnes âgées représentent aussi une population vulnérable chez laquelle les conséquences d’une infection peuvent se traduire par une diminution de la capacité fonctionnelle, l’immobilisation, le délirium, les hospitalisations, voire le décès Aînés plus vulnérables aux infections * Organisme met plus de temps à réagir à la présence d’un agent pathogène * Réponse immunitaire est plus tardive que celle de l’adulte * Organisme détecte moins facilement la présence d’un agent pathogène * Lorsque l’ainé souffre d’une infection, la production d’anticorps est moins élevée et moins protectrice
160
role inf et conduite automobile
rofessionnel de la santé Repérer toute condition médicale ou médicament pouvant affecter l’aptitude à la conduite automobile d’un patient
161
interventions préventives maintien permis conduire
* Cours de perfectionnement offert par les écoles de conduite; * Cours de conduite privé avec un ergothérapeute; * Prendre soin de sa santé; * Avoir de saines habitudes de conduite : * Conduire dans des environnements variés; * Conduire souvent; * Maintenir ses connaissances des règles de conduite et des panneaux routiers à jour. si risque il y a évaluation si pas risques, interventions préventives
162
Conséquences associées à la cessation de la conduite automobile
Augmentation des symptômes dépressifs Détérioration accélérée de l’état général Diminution des activités à l’extérieur du domicile Isolement social accru Sentiment d’être un fardeau Augmentation du taux d’hospitalisations subséquentes, de relocalisation ou de mortalité il faut pas oublier le proche: deuil, fardeau, conflits, changements de roles
163
comment intervenir cessation conduite automobile
* IMPORTANT: Discuter d’un plan de retraite à la conduite automobile et des alternatives de conduite; * S’assurer que l’aîné dispose d’une liste de ressources et d’un réseau de soutien pour pallier la cessation de la conduite. * Offrir le soutien émotionnel requis. Reconnaître et valider les émotions de l’aîné (colère, tristesse, sentiment d’injustice, etc.). Faire de l’écoute active.
164
Paramètres cliniques de base
Chez l’aîné, l’infirmière doit interpréter avec prudence les résultats de la mesure des signes vitaux. En raison du vieillissement normal, de la comorbidité et de la polypharmacie, il arrive parfois que l’aîné souffre d’une maladie aiguë, mais que ses signes vitaux restent dans les limites de la normale. ***voit souvent signes atypiques avant signes typiques
165
Signes vitaux 7
1. Respiration 2. Pouls 3. Pression artérielle 4. Température corporelle 5. Saturation (+93-95) 6. Douleur 7. État mental
166
Identifier les éléments à considérer dans l’évaluation de la personne âgée
Évaluer pour poser un jugement/clinique critique sur l'état physique et mental d'une personne et en communiquer les conclusions -manifestations atypiques
167
Identifier les éléments qui composent l'évaluation de l'autonomie fonctionnelle chez la personne âgée
*La perte d’autonomie constitue un des modes de présentation le plus fréquent des problèmes de santé chez les aînés. * Ce syndrome clinique est le moyen typique par lequel la maladie s’exprime chez les aînés. * Les symptômes sont peu spécifiques, l’évolution est généralement insidieuse et touche toutes les dimensions du patient (physique, psychique, sociale et fonctionnelle). * La perte d’autonomie est généralement réversible lorsqu’une équipe interdisciplinaire fait une évaluation exhaustive de la situation du patient et applique un plan de réadaptation gériatrique. effets sur physique, psychique sociale et peut etre renversée quand prise en charge *manifestations niveau social, physique et psychologique
168
3 raisons défi évaluer personne agée
comorbidité->risque d'attribuerle sympt d'une nouvelle mx à un problème de santé connu présentation atypique des problèmes de santé effets du vieillissement évaluer: reconnaitre ce qui est anormal, reconnaitre présence de besoin ou probleme faire la distinction entre le fonctionnement optimal et le fonctionnement usuel.
169
c quoi Changements non pathologiques liés au vieillissement
Manifestions cliniques sans effet sur le fonctionnement de la personne
170
c quoi État normal secondaire au vieillissement normal
Fonctionnement optimal Fonctionnement usuel ex: diminution acuite auditive diminution force musculaire morecellement du sommeil ex: FC FC normale: 60-80 bpm fonctionnement optimal: 60 bpm fonctionnement usuel: 75 bpm
171
c quoi État pathologique
Manifestations typiques Manifestations atypiques
172
2 erreurs à ne pas faire état normal vs pathologique et comment éviter
Intervenir sur un « problème » qui constitue en fait un phénomène normal du vieillissement. ->avoir connaissances à jour sur vieillissement normal et détecter la présence d'une perte d'autonomie=principe de l'impact fonctionnel Ne pas reconnaître un vrai problème de santé en croyant qu’il est causé par le vieillissement normal. ->se manifestent sur une courte période de temps (moins de 3 mois) et ont des répercussions sur avq et avd
173
manifestations gériatriques atypiques
*toujours comparer avec état base* changements touchants: -état mental: capacité attention, mémoire, orientation, organisation pensées/phrases incohérentes, perception/idées délirantes, jugement, létargique -autonomie: AVQ et AVD, chutes -comportements: hyperactifs, agitation, combativité, errance, résistance aux soins, hypoactif: retrait isolement immobilité, chang personnalité, apathie, irritabilité mod sommeil
174
effet vieillissement respi 6
-Diminution de l’amplitude de la cage thoracique -réduction de l’efficacité de la toux moins force -à diminution de la capacité de l’aîné à expulser les sécrétions et à combattre les infections respiratoires -diminution de la capacité des poumons de se vider à chaque expiration élasticité -Diminution de l’efficacité des échanges gazeux -élévation seuil chimiorécepteurs
175
grippe manifest typiques et atypiques
typ: congestion, gorge sèche, fièvre, toux, céphalées... atyp: delirium (mod état mental), perte autonomie (faiblesse), chang comportement, fatigue, perte apétit et poids
176
pneumonie manifest typiques et atypiques
surtout fièvre et état mental altéré: principaux symptomes typ: essoufl, tachypnée, fièvre, toux, sécrétions... atyp: delirium et léthargie (mod état mental), perte autonomie (faiblesse, incontinence urinaire), chang comportement, fatigue, perte apétit et poids, désydratation, chutes...
177
anormalités paramètres respi
fréq -Signe clinique d’infection chez l’aîné sans MPOC: ≥ 25/min * Signe clinique d’une condition grave: ≥ 27/min * Changement clinique significatif: ≥ 3 /min amplitude -Anormalité chez l’aîné : Amplitude respiratoire profonde ou superficielle rythme -Anormalité chez l’aîné : rythme irrégulier avec pauses respiratoires
178
anormalités paramètres respi
* Jugement clinique: si on obtient plusieurs mesures à 100%, mais qu’en 24h, le résultat chute à 95%, le changement est cliniquement significatif, même si ce résultat est dans la zone de normalité. -95 ou -93 multimorbidité si doigts pas glacés
179
anormalités paramètres poul et interprétations
sur 1 min fréquence * Normalité chez l’aîné en bonne santé : 60 à 100/min * En traumatologie gériatrique, un pouls à ≥ 90/min requiert une intensification de la surveillance clinique amplitude * Anormalité chez l’aîné: Pouls de faible amplitude ou bondissant rythme anormal/irrég parfois normal Interprétations consultation médicale est nécessaire si l’aîné est symptomatique - plus de 10 arythmies par minute -Chez l’aîné asymptomatique, au moins trois mesures consécutives qui donnent le même résultat.
180
effet vieillissement sur syst cardio vasculaire
* Artériosclérose durcissement paroi artères * Élévation de la tension artérielle systolique au repos de 5 mm Hg * Ralentissement de la fréquence cardiaque * Apparition de troubles du rythme passager tout cela entraine diminution débit cardiaque FC pas forcement signe que prob cardiaque
181
infractus du myocarde manifest typiques et atypiques
Signes typiques * DRS de > 20 minutes * Irradiation de la DRS * Palpitations cardiaques * Dyspnée * Transpiration * Teint grisâtre * Nausée * Impression d’indigestion * Acidité gastrique * Signes atypiques * Changem ent de l’état m ental * Delirium (20 à 50 %) * Perte d’autonom ie (20 %) * Faiblesse * Changement de comportement * Agitation * Douleur diffuse (ou absente) * Vomissements persistants * Toux * Étourdissements / vertiges / syncope * Chute * Anxiété / peur * Absence de modification de la fréquence cardiaque et de la tension artérielle * ECG normal * 33 à 75% des aînés n’ont pas de douleur (Goch et al., 2009; Ryan et al., 2005) * Anxiété et peur (64 %) (Ryan et al., 2005) * 70 % ne présentent pas d’hypertension et n’affichent pas une élévation du pouls supérieure à 100 par minute (Mehta et al., 2001 plus age augmente plus doul diminue près moitié atypique
182
anormalités paramètres PA et interprétations
Seuils pour considérer une pression élevée: * PAS ≥ 135 (veut -130/60-80) * PAD ≥ 85 * Seuils de la pression artérielle cible: ≤ 140/90 Chez l’aîné de 80 ans et plus -tx pharmaco +160 (veut -150) trauma gériatrique PAS -110 requiert intensification surveillance clinique Dans le contexte d’un trauma mineur chez un aîné: la PAS ≤110 ou un pouls supérieur à 90 devrait favoriser une intensification de la surveillance clinique (jeune 80 = vieux 155->110)
183
temp normal ainés rectale, tympanique, buccale et axilaire + détection fièvre gériatrique
augmente en pm +0.4 journée -rect: 37,1 -tymp: 36,8 -bucc: 36,3 -axilaire: 36,2 * Deux options les plus fiables : * Élévation de 2 °F (1,1°C) de la température habituelle * Température buccale ou rectale à 37,8°C durant la même période de la journée
184
fièvre gériatrique
* Deux options les plus fiables : * Élévation de 2 °F (1,1°C) de la température habituelle * Température buccale ou rectale à 37,8°C durant la même période de la journée
185
comment établir temp de base
établir le profil de base de tous les aînés concernant la température corporelle. pour vérif élévation 1,1 quatre moments différents: le matin, l’après-midi, le soir et la nuit. * Elle a besoin de 12 mesures (sur 2 semaines). La voie utilisée doit toujours être la même, soit buccale ou rectale. moyenne moment jour
186
interpréter et évaluer doul ainé
s troubles cognitifs, il faut en plus s’intéresser à ses comportements et à son langage non verbal pour reconnaître la présence de douleur. D e PACSLAC-II-F, PAINAD) échelle mesure
187
état mental 2 paramètres importants
**état de conscience et capacité d'attention ce sont les deux paramètres de l'état mental les plus suceptibles à un changement neurologique chez ainé demander de réaliser une tache a l'ainé Attention -maintenir un degré de collaboration stable pendant une interaction de 5-10 min minimum -épeler le monde monde à l'envers État de conscience -se tourner vers vous lorsque entre dans chambre -anormal: sursaute, somnolence
188
définition autonomie fonctionnelle
L’autonomie fonctionnelle se définit, principalement, par la capacité d’une personne d’assumer les activités de la vie quotidienne (manger, s’habiller, se laver, etc.) et domestique (entretenir la maison, faire la lessive, faire son budget, etc.). *manifestations niveau social, physique et psychologique
189
perte autonomie c quoi
*La perte d’autonomie constitue un des modes de présentation le plus fréquent des problèmes de santé chez les aînés. * Ce syndrome clinique est le moyen typique par lequel la maladie s’exprime chez les aînés. * Les symptômes sont peu spécifiques, l’évolution est généralement insidieuse et touche toutes les dimensions du patient (physique, psychique, sociale et fonctionnelle). * La perte d’autonomie est généralement réversible lorsqu’une équipe interdisciplinaire fait une évaluation exhaustive de la situation du patient et applique un plan de réadaptation gériatrique. effets sur physique, psychique sociale et peut etre renversée quand prise en charge *manifestations niveau social, physique et psychologique
190
c quoi perte autonomie aigue et causes
* La perte d’autonomie est dite aiguë lorsqu’elle s’opère sur quelques jours à une semaine. ->Les causes de la perte d’autonomie sont multiples et englobent des problèmes de santé (par exemple: infarctus du myocarde, décompensation de la maladie rénale) et des problèmes psychosociologiques (par exemple : insomnie, dépressions, décès).
191
c quoi perte autonomie subaigue et causes
* La perte d’autonomie peut être subaiguë. Dans ce cas, le déclin de l’autonomie est plus insidieux et moins perceptible. * Alors le recours à un instrument de mesure, comme le SMAF*** (Système de mesure de l’autonomie fonctionnelle), est essentiel sinon ce type de perte d’autonomie ne sera pas toujours reconnu par les soignants (Hébert, 1997). — Les causes peuvent être reliées à un problème métabolique*** (diabète de type 2) ou hormonal (hypothyroïdie), un cancer ou encore des suites des effets indésirables de la médication
192
c quoi perte autonomie anticipée et causes
Le déclin de l’autonomie est aussi parfois anticipé compte tenu des problèmes de santé chroniques qui touchent le résident telle la présence d’une démence, d’une insuffisance cardiaque ou d’une MPOC.
193
SMAF c quoi 4 sections 5 dimensions interprétation niveaux
Outil pour la détection de la perte d’autonomie et l’évaluation des capacités résiduelles Score de 0 à -3 points * Minimum = 0 * Maximum = 63 4 sections: incapacités, ressources, handicaps, stabilité des ressources 5 dimensions: AVQ, mobilité, communication, fonctions mentales, AVD * Interprétation * Le score global est obtenu par l’addition des pointages de chaque élément. * Une augmentation de 5 points dans un mois est significative sur le plan clinique. * À titre indicatif, un aîné atteint d’une démence perd normalement en moyenne 5 points par année au SMAF. 0 autome -0.5 difficulté à réaliser activités -1 besoin de surveillance ou de stimulation pour effectuer activtié -2 besoin d'aide partielle -3 besoin d'aide totale smaf permet de cibler si la personne à besoin aide à domicile ou CHSLD et savoir quels soins donner à la personne