POLLUTIONS TERRESTRE ET AQUATIQUE Flashcards
Dans sa réponse face aux risques technologiques, la BSPP est en mesure de lutter contre ……….
Dans sa réponse face aux risques technologiques, la BSPP est en mesure de lutter contre des pollutions de
faible à moyenne ampleur, terrestres ou aquatiques de surface. Les pollutions de grande ampleur nécessitent
des renforts zonaux voire nationaux.
Les pollutions terrestres sont relativement fréquentes mais ne nécessitent pas un concept d’engagement
particulier. Elles sont traitées par………
Les pollutions terrestres sont relativement fréquentes mais ne nécessitent pas un concept d’engagement
particulier. Elles sont traitées par les engins-pompes qui peuvent demander l’appui du Groupe Anti-Pollution terrestre (GAPt).
Les pollutions aquatiques, moins fréquentes mais plus complexes, nécessitent des moyens plus importants dont ……..
Les pollutions aquatiques, moins fréquentes mais plus complexes, nécessitent des moyens plus importants dont le Groupe Anti-Pollution aquatique (GAPa), un principe d’engagement et une maîtrise technique particulière (pose des barrages, chantier de récupération).
LA POLLUTION AQUATIQUE
Il s’agit de la contamination de l’eau par des substances chimiques, toxiques, physiques, organiques ou radioactives altérant la santé de l’homme, la qualité de la vie ou le fonctionnement naturel des écosystèmes.
Les moyens de la BSPP permettent uniquement d’intervenir sur les pollutions de surface par hydrocarbures ou
produits non miscibles à l’eau.
LA POLLUTION TERRESTRE
Il s’agit de la contamination du sol ou des égouts par des substances chimiques, toxiques, physiques,
organiques ou radioactives altérant la santé de l’homme, la qualité de la vie ou le fonctionnement naturel des écosystèmes.
NIVEAUX TACTIQUES D’ENGAGEMENT.
=> Le 1er niveau tactique correspond à un VRCH engagé pour appuyer l’action des premiers intervenants non spécialistes sur une levée de doute intéressant une pollution terrestre ou aquatique ;
=> le 2ème niveau tactique est composé de deux groupes : GAPt et GAPa ;
=>dès le 2e niveau tactique, le COS garde toute latitude pour demander un hélicoptère pour les reconnaissances.
moyen - Levée de doute pollution terrestre
1 EP + 1 équipe anti-pollution terrestre
moyen - Levée de doute pollution aquatique
1 EP cgi + 1 équipe anti-pollution aquatique + 1 équipe SIA SIS
Groupe Anti-Pollution terrestre
Pollution nécessitant : l’utilisation de moyens de canalisation ou de récupération en milieu terrestre (absorbants…)
Groupe Anti-Pollution aquatique
Pollution nécessitant :
=> l’utilisation de moyens de récupération en milieu aquatique (pollution faible et localisée) ;
=> la mise en place d’un barrage partiel ;
=> l’activation d’un chantier de récupération.
Moyens de renforcement
Pollution nécessitant :
=>la mise en place, selon les situations, de :
-barrages de fortune ;
-plusieurs barrages partiels ;
-un barrage complet ;
=> l’activation de plusieurs chantiers de récupération.
PRINCIPES D’INTERVENTION SUR UNE POLLUTION TERRESTRE -Sur une intervention pour pollution terrestre ne nécessitant pas de concept d’engagement particulier, l’action
du COS portera en priorité sur les points suivants :
=> agir sur la fuite ;
=> canaliser les écoulements ;
=> limiter la pénétration dans les égouts, les sols etc. ;
=> demander les moyens spécialisés.
PRINCIPES D’INTERVENTION SUR UNE POLLUTION AQUATIQUE - L’importance d’une pollution est déterminée par :
=> le volume et la nature du polluant ;
=> sa localisation et son étendue ;
=> les critères organisationnels.
PRINCIPES D’INTERVENTION SUR UNE POLLUTION AQUATIQUE - Actions des primo intervenants non spécialistes
L’action des premiers intervenants porte essentiellement sur les reconnaissances :
PRINCIPES D’INTERVENTION SUR UNE POLLUTION AQUATIQUE -Réalisées en amont et en aval de la pollution, les reconnaissances ont pour but, si possible, d’agir sur la source
de la pollution et donc réduire ses effets puis :
=> d’évaluer les risques pour la population, les intervenants et l’environnement ;
=> de demander les moyens de renforcement nécessaires. Le COS précise l’emplacement de la ZDI ;
=> de déterminer, autant que possible, l’origine, la nature et l’importance de la pollution ;
=> d’estimer le volume de polluant.