Pathologies rachidiennes Flashcards

1
Q

Composition DIV? nutrition?

A

composition: plaque cartilagineuse, nucleus pulposus (en arrière du centre du disque) et anneaux fibreux (strucutre lamellaire)
nutrition:
- vasculrisation jusqu’à 2 ans
- à travers la plaque cartilagineuse après 2 ans

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2
Q

Discarthrose définition? Triade?

A

maladie dégénérative des disques intervertébraux

1) ostéophytes (lésions osseuses)
2) ostéosclérose (condensation plateaux vertébraux)
3) pincement discal

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3
Q

Hernie discale définition?

A

Extériorisation du nucléus pulposus à la partie post ou lat du disque

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4
Q

Radiculalgie définition? Evolution?

A

Pathologie fréquente. Douleur parcourant le trajet d’un nerf, le plus souvent suite à une hernie discale. Touche surtout les racines sciatiques (moins crurales et cervicales)
Evolution: 50% guérissent en 10jours, 75% en 4 semaines.
guérissent spontanément par régression du processus inflammatoire ET déshydratation de la hernie (réduction taille)

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5
Q

Trajet sciatique L5?

A

fesse, face postérieure cuisse, face externe jambe, en avant de la malléole externe et dos du pied jusqu’à l’hallux

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6
Q

Trajet sciatique S1?

A

fesse, face postérieure cuisse, face postérieure mollet, arrière malléole externe, bord externe pied jusqu’au 5ème rayon

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7
Q

Trajet cruralgie L4?

A

fesse, face antéro-externe cuisse, face antérieure genou, face antéro interne jambe, tronqué cheville

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8
Q

Trajet cruralgie L3?

A

fesse, face interne cuisse, tronquée genou

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9
Q

Muscles à tester en cas de sciatique S1?

A
  • triceps sural
  • fléchisseur hallux et orteils
    marche pointe des pieds
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10
Q

Muscles à tester en cas de sciatique L5?

A
  • tibial ant
  • fibulaires
  • extenseur hallux et orteils
  • moyen fessier
    marche talons
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11
Q

Muscles à tester en cas de cruralgie L4?

A
  • tibial antérieur

- quadriceps

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12
Q

Muscles à tester en cas de cruralgie L3?

A
  • quadriceps

- psoas

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13
Q

Mécanismes expliquant la douleur dans une radiculalgie?

A

1) compression mécanique racine

2) inflammation péri radiculaire

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14
Q

types d’hernies postérolatérales?

A

racine comprimée dans le canal rachidien

1) L4- L5 responsable sciatique L5
2) L5- S1 responsable sciatique S1

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15
Q

types d’hernies foraminales ou extra foraminales?

A

racine comprimée dans ou au delà du trou de conjugaison

1) L4-L5 responsable sciatique L4
2) L5-S1 responsable sciatique L5

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16
Q

circonstances de survenue radiculalgie?

A
  • quelques heures post lumbago
  • facteur déclenchant: effort soulèvement, faux mouvement, chute
  • installation insidieuse avec sollicitation inabituelle rachis jours précédents
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17
Q

examen clinique radiculalgie?

A
  • interrogatoire: douleur mécanique, lombaire basse plus ou moins latéralisée, impulsive
  • attitude antalgique: fréquente, irréductible; perte lordose lombaire voire cyphose lombaire
  • contractures para-vertébrales
  • douleur palpation et mobilisation
  • signe sonnette: déclenchement douleur lors de la palpation de l’espace inter épineux
  • raideur rachidienne: distance doigt/ sol, indice de schober (L5 et 10 cm au dessus, normalement gain de 5cm en flexion)
  • manoeuvre d’élongation radiculaire (lasègue, léri)
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18
Q

examens complémentaires radiculalgies?

A

1) neurologique:
- recherche déficit moteur par testing des muscles innervés par la racine en cause ET les racines sus et sous jacentes
- recherche déficit sensitif
- recherche abolition réflexe
(achilléen S1, rotulien L4)
- recherche syndrome queue de cheval (globe urinaire, perte selles, hypoesthésie péri-anale, hypotonie sphinctérienne)
2) radiographies standards: possibles signes de détérioration discale, intéret de ne pas méconnaitre une cause secondaire ou une anomalie transitionnelle (L5 fusionnée avec S1)
3) biologie: si tableau atypique
4) electromyogramme: doute sur l’origine radiculaire, n’a de valeur que si positif
5) scanner, IRM: indiqués si signes de gravité, si persistance des douleurs après traitement, si atypie faisant craindre une hernie non discale
6) myéloscanner: injection produit de contraste en intradurale et radio debout, assis et inclinaison; se fait si douleur dynamique sans compression visible au scanner et à l’IRM

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19
Q

signes de gravité radiculalgie?

A
  • déficit moteur important (sciatique ou cruralgie paralysante, testing < 3)
  • syndrome queue de cheval
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20
Q

diagnostics différentiels radiculalgie?

A
  • sténose lombaire
  • arthrose IAP
  • spondylolisthésis
  • kyste IAP
  • lipomatose= tumeur graisse
  • tumeur vertébrale ou intra rachidienne (métastase, chordome, neurinome)
  • spondylodiscite= infection disco-vertébrale
  • arachnoépidurite
  • ménigoradiculite
  • pseudo radiculalgie (sacroilite, douleur hanche)
  • atteinte troncs et racines extra rachidiennes (tumeur fesse, petit bassin)
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21
Q

TTT (lombo)sciatique?

A
  • repos
  • antalgiques
  • AINS: pendant 10 à 15 jours ET corticothérapie per os
  • myorelaxants
  • infiltrations: péridurale, périradiculaire
  • kiné: peu phase aigue, puis rôle prévention et renforcement musculature abdominale et spinaux en post radiculalgie
  • TENS: efficace surtout douleur neuropathique
  • tractions: pas de preuve
  • corsets: action dissuasive sans immobilisation des 2 derniers disques cependant
  • chirurgie: si hyper algique, TTT inefficace 2-3 mois, urgence (sciatique paralysante premières heures ET syndrome queue de cheval)
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22
Q

Définition névralgie cervico-brachiale? mécanisme?

A

Pathologie fréquente. Douleur au MS du rachis cervical à la main, concernant les racines C5- T1
mécanisme:
- hernie discale (C4-C5= névralgie C5)
- saillie disco-osthéophytique en regard du trou de conjugaison

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23
Q

facteurs déclenchants NCB?

A
  • mauvaise position cou
  • traumatisme
  • antécédent cervicalgie
    le plus souvent progressif (cou-> MS) mais peut être brutal
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24
Q

Trajet NCB C5?

A

face externe épaule et bras, sans dépasser le coude
déficit moteur: deltoide
pas de réflexe ostéotendineux

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25
Q

Trajet NCB C6?

A

face antérieure bras, partie externe avant-bras, pouce et index, parfois majeur
déficit moteur: biceps brachial, brachial antérieur, supinateur
réflexes ostéotendineux: bicipital, styloradial

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26
Q

Trajet NCB C7?

A

face postérieure bras et avant-bras, index, majeur et annulaire
déficit moteur: triceps brachial,
muscles radiaux, extenseur commun des doigts
réflexe ostéotendineux: tricipital

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27
Q

Trajet NCB C8?

A

face interne bras et avant-bras, auriculaire
déficit moteur: fléchisseurs doigts, interosseux, éminence hypothénar
réflexe ostéotendineux: ulno-pronateur

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28
Q

interrogatoire NCB?

A
  • atcd rachidiens
  • ancienneté douleur
  • rythme: mécanique, nocturne?
  • red flags
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29
Q

examen clinique NCB?

A
  • trajet de la douleur avec doigt
  • recherche hypoesthésie ou paresthésie distale
  • douleur possible fosse sus épineuse, bord interne et angle omoplate (branche post nerfs cervicaux)
  • faible impulsivité à la toux et la défécation (moins qu’au rachis lombaire)
  • examen cou: attitude antalgique, raideur cervicale, majoration douleur MS lors de la mobilisation du cou, les pressions
  • reproduction douleur MS par abduction, rétropulsion, rotation externe= élongation radiculaire
  • examen épaule NORMAL
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30
Q

examens complémentaires NCB?

A
  • neurologique: signes de gravité si testing < 3, signes de compression médullaire (babinski, réflexes vifs, polycinétique, diffusés, clonus, hoffman syndrome pyramidal=rapprochement pouce index après la la flexion IPD majeur)
  • biologie: pas de syndrome inflammatoire
  • radiographie: rachis cervical, face et profil pour rechercher une cause secondaire. Montre lésions dégénératives
  • scanner, irm: si signes de gravité, échec du ttt médical, doute sur cause secondaire
  • EMG: si doute diagnostic sur la topographie, valeur si positif
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31
Q

TTT NCB?

A
  • médical: repos (collier), médicaments (antalgiques, AINS, corticoides, infiltrations sous scanner), physique (traction, massage)
  • chirurgical: si échec ttt bien conduit et > 3 mois, si déficit neuro récent
32
Q

Myélopathie cervicarthrosique (MC) définition?

A

Compression moelle cervicale sur sa face antérieure par des saillies disco-ostéophytiques. Etroitesse constitutionnelle canal rachidien souvent retrouvée. Terrain: >60 ans, H>F

33
Q

Signes cliniques MC?

A
  • MI: troubles sensitifs (sensibilité profonde), signes pyramidaux (hypertonie)= troubles de la marche
  • MS: NCB pluriradiculaire, bilatérale, signe de l’hermitte= douleur type électrique lors de la flexion du rachis cervical bas (atteintes cordons postérieurs, voies centrales proprioceptives)
  • troubles sphinctériens rares/ tardifs
34
Q

examens complémentaires MC?

A
  • radio
  • IRM, scanner
  • potentiels évoqués moteurs et sensitifs (PEM, PES)= calcul durée de transmission influx sensitifs et moteurs cervicaux et analyse fonction du plexus brachial
35
Q

TTT MC?

A
  • médical: repos, traction, collier cervical, médicaments (antalgiques, AINS), conseils d’hygiène
  • chirurgical: si échec ttt médical
36
Q

Durée guérison lombalgie?

A
  • 75% guérison 4 semaines
  • 10% 2 mois
  • 7% 6 mois
37
Q

lombalgie aigue= lumbago définition?

A

Mise en tension du disque par irruption d’un fragment de nucléus pulposus dans une fissure radiée.
Facteur déclenchant: port de charge, éternuement, long trajet voiture, début brutal souvent

38
Q

examen clinique lumbago?

A
  • douleur lombaire basse en barre, mécanique et impulsive
  • impotence fonctionnelle
  • attitude antalgique
  • raideur rachidienne
  • contracture para vertébrale
  • PAS d’irradiation type sciatique
39
Q

examens complémentaires lumbago?

A

0 si sujet jeune

si sujet âgé avec risque d’ostéoporose: radiographie rachis lombaire voire scintigraphie osseuse

40
Q

ttt lumbago?

A
  • repos mais pas strict
  • antalgique, AINS, myorelaxant
  • arrêt travail selon douleur
41
Q

évolution lumbago?

A

guérison 2-3 jours

si récidive: kiné pour hygiène rachis et renforcement musculaire

42
Q

définition lombalgie sub aigue? examens complémentaires?

A

entre 2 semaines et 3 mois.

examens: radio si > 4 semaines, scanner ou IRM si > 6-8 semaines

43
Q

yellow flags lombalgie= facteurs chroniscisation?

A

1) problèmes émotionnels (dépression, anxiété, stress, retrait activités sociales)
2) attitude et représentation inappropriée (idée que la douleur peut mener au handicap, catastrophisme)
3) comportement douloureux inapproprié (évitement et réduction des activités liées)
4) problèmes liés au travail (insatisfaction professionnelle, environnement de travail hostile)
5) environnement familial défavorable (surprotection ou manque de soutien)

44
Q

3 modèles de compréhension de la lombalgie?

A

1) modèle biomédical: corrélation anatomoclinique,
2) modèle environnemental: interaction sujet- environnement, tolérance à des sollicitations mécaniques ou psychiques
3) modèle psychoculturel: causes liées aux difficultés relationnelles, approche multidisciplinaire

45
Q

causes des lombalgies secondaires? +++

A
  • discopathie= dégénérescence discale
  • arthrose IAP
  • arthrose inter épineuse
  • spondylolisthésis
  • scoliose
  • anomalie transitionnelle
  • instabilité lombaire
46
Q

lombalgie par discopathie clinique, imagerie et ttt?

A
  • clinique: douleur mécanique parfois impulsive, difficulté au retournement, difficile d’isoler le disque lors du diagnostic
  • imagerie: absence de corrélation avec la clinique, IRM: inflammation plateaux vertébraux corrélé lombalgie
  • ttt: antalgique, AINS, kiné, corset, formes invalidantes: arthrodèse ou prothèse discale
47
Q

lombalgie origine articulaire postérieure facteurs?

A

arthrose IAP qui provoque une douleur car capsule innervée par le rameau médial de la branche post du nerf rachidien. facteur: hyperlordose, surcharge pondérale, microtraumatismes. touche plus les femmes en post ménopause, prédomine L4-L5

48
Q

lombalgie origine IAP imagerie et ttt?

A
imagerie:
- radio: condensation IAP
- scanner: hypertrophie massifs articulaires, vide articulaire
- IRM: épanchement intra-articulaire
ttt:
- antalgiques, AINS
- infiltrations
- rhisolyse= thermocoagulation des branches postérieures des nerfs rachidiens
- kiné
49
Q

facteurs lombalgies spondylolisthésis?

A

adulte jeune, F>H.
asymptomatique le plus souvent, dégénératif .
Si radiculalgie, arthrodèse

50
Q

ttt lombalgie origine scoliose?

A
  • médical: traction, corset, infiltration

- chirurgical: rare, intervention lourde

51
Q

lombalgie par anomalie transitionnelle?

A

néoarticulations
souvent lombalgies basses et latéralisées
ttt infiltrations

52
Q

4 axes prise en charge lombalgie chronique?

A

1) Douleur: EVA
2) Abord fonctionnel: echelles drad, eiffel, oswestru. Amélioration performance musculaire, mobilité lombo pelvienne, condition physique générale, antalgie à court terme. 2/3 séances kiné/ semaine ou programme en centre 3-6 semaines 5-6h d’exercice/ jour
3) Accompagnement psychologique
4) Réinsertion professionnelle

53
Q

types d’invalidités?

A

Si échec temps partiel, temps partiel thérapeutique, reconnaissance travailleur handicapé MDPH

1) invalidité sécurité sociale 1ère ou 2ème catégorie (75% ou 50% salaire antérieur)
2) allocation adulte handicapé (AAH) si handicap physique/ psychologique et impossibilité de trouver un emploi

54
Q

3 classes de douleur selon son ancienneté d’apparition?

A
  • aigue < 2 semaines
  • subaigue entre 2 semaines et 3 mois
  • chronique > 3 mois
55
Q

différence douleurs mécanique et inflammatoire?

A
  • mécanique: déclenchée par l’activité, calmée par le repos, pas de réveil nocturne ou positionnel, pas de raideur matinale ou courte
  • inflammatoire: douleur prédominance nocturne, réveil nocturne spontané 2ème partie de nuit, améliorée par l’activité, dérouillage matinal > 30 min
56
Q

examen morphologique sujet lombalgique?

A
  • plan frontal: scoliose si gibbosités en antéflexion, si pas de gibbosités alors attitude scoliotique et possible ILMI; torticoli
  • plan sagittal: hyper cyphose dorsale, hyperlordose cervicale ou lombaire, perte lordose cervical ou lombaire et apparition cyphose
57
Q

2 types raideurs rachidiennes?

A
  • transitoire= contracture musculaire
  • définitive= spondylarthrite ankylosante (enraidissement progressif rachis)
    mesure raideur: mouvements 3 plans de l’espace, ampliation thoracique en passif puis actif
58
Q

3 questions auxquelles répond l’interrogatoire d’un patient ayant une douleur rachidienne?

A

1) La douleur est elle d’origine rachidienne ?
2) La douleur est elle d’allure discale ou dégénérative ou fait elle craindre une origine secondaire ?
3) Y a t’il des signes de gravité ?

59
Q

red flags (signaux d’alerte) devant une radiculalgie symptomatique?

A
  • âge entre 20 et 55 ans
  • atcd néoplasique= tumeur
  • terrain immunodéprimé
  • absence d’antécédent rachidien
  • rythme inflammatoire
  • douleur non impulsive
  • absence facteur déclenchant
  • aggravation progressive
  • mauvaise réponse antalgiques et AINS
  • signes généraux
  • biologie: syndrome inflammatoire
  • douleur bilatérale/ pluriradiculaire
  • pas de signe d’élongation radiculaire
60
Q

étiologie douleurs rachidiennes projetées lombaires?

A
  • fissuration AA
  • dissection aortique
  • tumeur pelvienne, rénale
  • fibrose rétro péritonéale= accumulation tissu fibro inflammatoire péritoire
  • adénopathies profondes= inflammation chronique des ganglions lymphatiques
  • pseudoradiculalgie (sacroilite, douleur de hanche)
61
Q

étiologie douleurs rachidiennes projetées thoraciques?

A
  • cardiovasculaire
  • pleuropulmonaire
  • digestive
62
Q

étiologie douleurs rachidiennes projetées cervicales?

A
  • origine ORL

- pseudo NCB (défilé cervicobrachial, douleur épaule, épicondylite)

63
Q

étiologies principales radiculalgie symptomatique? (présence red flags)

A
  • possible lésion tumorale
  • infection (spondylodiscite)
  • rhumatisme inflammatoire
  • fracture vertébrale ostéoporotique
  • pathologie microcristaline (goutte, CCA)
  • zona
  • NCB C8 (tumeur de l’apex pulmonaire)
  • maladie de paget (tissu osseux poreux)
64
Q

examen clinique dorsalgie?

A
  • recherche de reproduction de la douleur
  • recherche d’irradiation en ceinture ou hémiceinture de la douleur
  • examen neuro
  • bilans secondaires plus systématiques: radio dorsale face et profil, scanner si douleur projetée OU atteinte costovertébrale, IRM si cause secondaire, scintigraphie osseuse si doute ostéome
65
Q

étiologies dorsalgies mécaniques?

A
  • statiques: troubles statique rachidienne
  • fonctionnelles: femme jeune
  • par atteinte costovertébrale: douleur mécanique, unilatérale, retrouvée à la palpation et irradiant en hémiceinture
  • discarthrose
66
Q

ttt dorsalgies mécaniques?

A
  • antalgiques, AINS
  • kiné
  • infiltrations costovertébrales
67
Q

innervation DIV?

A

innervé en périphérie (lamelles superficielles anneaux fibreux). nucléus non innervé

68
Q

examen clinique arthrose cervicale?

A
  • douleurs moyennes et basses irradiant vers trapèzes et épaules + occiput
  • douleurs calmées au repos
  • position antalgique nocturne difficile à trouver
  • limitations active et passive des mouvements, contractures para vertébrales et trapèze
  • parfois pas de douleur mais limitation mouvement
  • recherche atteinte radiculaire et médullaire
69
Q

ttt arthrose cervicale?

A
  • repos avec collier cervical lors des poussées seulement
  • antalgiques, AINS, myorelaxant
  • kiné: massage, chaleur
70
Q

examen clinique arthrose C1-C2?

A

prédominance femme, 4% arthroses cervicales, atteinte souvent unilatérale

  • douleurs sous-occipital irradiant à l’occiput et la région rétro-auriculaire et faciale
  • douleur déclenchée palpation et mvts
  • limitation actif et passif rotations
  • déviation latérale antalgique tête
  • radio: face bouche ouverte, pincement interligne articulaire, ostéosclérose sous-chondrale, ostéophytose, géode sous-condrale
71
Q

ttt arthrose C1-C2?

A
  • antalgiques
  • AINS
  • corticoides
  • immobilisation
  • infiltration
72
Q

étiologie et examen cervicalgie post traumatique?

A
  • causes multifactorielles: psycho, lésions musculo ligamentaires, discales ou articulaires
  • cervicalgies hautes, céphalées occipitales, trapézalgies
  • limitation possible rachis cervical
  • point douloureux épineux ou paraépineux
  • signes associés: vertiges, acouphènes, signes oculaires (fatiguabilité), asthénie, anxiété
  • radio: élimine l’entorse cervicale
73
Q

facteurs prédictifs mauvaise évolution cervicalgie post traumatique?

A
  • âge
  • intensité des douleurs initiales
  • diminution mobilité cervicale
  • multiplicité plaintes somatiques
74
Q

ttt cervicalgie post traumatique?

A
  • PAS d’immobilisation

- kiné: rééducation posturale, physio cervicale

75
Q

définition canal lombaire rétréci?

A

sténose lombaire aquise:
- osseuse: prolifération ostéophytiques des IAP
- tissu mou: hypertrophie ligament jaune, protrusion discale globale, graisse épidurale
Il y a compression mécanique, stase veineuse ou ischémie artérielle

76
Q

manifestation clinique canal lombaire rétréci?

A
  • > 50 ans
  • installation progressive
  • claudication radiculaire (douleur radiculaire uni ou bilatérale lors de la marche obligeant le patient à s’arrêter)
  • associée lombalgies, paresthésies, troubles sensibilité MI
  • rarement troubles sphinctériens
77
Q

examen canal lombaire rétréci?

A
  • périmètre de marche: durée, distance, souvent améliorée par la station penchée en avant
  • pas de syndrome rachidien
  • pas de signes neurologiques
  • imagerie secondaire: radio, IRM, saccoradiculographie (exploration canal rachidien debout)
  • diagnostic différentiel: claudication artérielle (palpa pouls)
  • ttt: symptomatique, rééducation cyphose, renforcement abdominaux, infiltration péridurale, chirurgie décompression (laminectomie)