Notions du numérique Flashcards

1
Q

Algorithme

A

Concept mathématique au service d’outils qui vont pouvoir rapprocher, classer et hiérarchiser des données qui auront pu être consultées ou produites - volontairement ou non, consciemment ou non - par des usagers d’internet.

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2
Q

Autopostage

A

Cette fonction permet de trouver automatiquement les termes génériques (autopostage ascendant) ou spécifiques (autopostage descendant) dans un thesaurus.

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3
Q

Big Data

A

Désigne les quantités énormes de données qui sont véhiculées, consultées, produites sur le web : enjeu économique, informationnel et citoyen crucial.
Il convient de sensibiliser les élèves à cet objet numérique, en faisant apparaître la manière dont eux-mêmes peuvent alimenter, même malgré eux, l’un ou l’autre de ces gisements.

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4
Q

Cloud computing

A

L’expression décrit le fait que des données, des documents ou des logiciels ne sont plus présents physiquement sur un ordinateur ou un réseau local, mais disponibles sur des serveurs distants accessibles via le web.

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5
Q

CMS (Content Management System)

A

Logiciel qui permet de gérer le contenu et l’apparence d’un site web. Grâce au CMS du portail documentaire e-sidoc, le professeur-documentaliste peut créer des sélections thématiques, de nouvelles rubriques, il peut aussi intégrer des fils
RSS et saisir des sites internet pour enrichir le portail documentaire.

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6
Q

E-reputation

A

Concept essentiel dans le monde économique posé par la chercheuse Camille Alloing, permettant de mesurer ou contrôler la réputation d’un groupe, d’une entreprise, d’une marque ou d’un produit, s’étendant bien sûr aux collectifs (partis politiques, associations, etc.) et aux individus.
Un établissement scolaire, un CDI, un enseignant, un élève ont, chacun à leur manière et avec leurs objectifs propres, à veiller à leur visibilité, afin de construire et évaluer leur identité numérique.

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7
Q

Indexation sociale

A

Effectuée essentiellement par les usagers des réseaux sociaux, elle est une des formes de l’indexation libre.
On parle aussi de folksonomie ou d’indexation collaborative. On trouve ici les pratiques qui consistent à tagger ou à liker.

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8
Q

Métadonnées

A

Il s’agit de l’ensemble des informations servant à décrire une ressource numérique comme le titre, le nom de l’auteur, l’éditeur, la date de publication, le format, la langue. Le Dublin Core est un modèle de canevas utilisé pour décrire des ressources et créer ainsi des notices descriptives.
Ces informations peuvent être visibles mais peuvent aussi faire partie du code HTML de la ressource concernée.

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9
Q

OPAC (Online Access Public Catalog)

A

Interface qui permet aux usagers d’accéder en ligne au catalogue et de rechercher des notices. Il peut signaler les nouveautés, autoriser les réservations en ligne et donner accès à d’autres ressources en ligne.

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10
Q

Opérateurs booléens

A

Termes utilisés dans une équation de recherche pour interroger une banque de données (par exemple, un OPAC) ou le web. Ces termes “et”, “ou”, “sauf” permettent d’affiner la recherche en articulant entre eux des mots clés ou des descripteurs.
Selon les outils, ils sont soit explicites et apparaissent dans l’interface de recherche, comme la recherche thématique avancée proposée par le logiciel documentaire BCDI, soit implicites comme lors de la recherche simple avec le moteur de recherche Google, où l’espace vaut pour et ».

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11
Q

SIGB (Système Intégré de Gestion de Bibliothèque)

A

Progiciel qui permet aux professionnels d’assurer la gestion de l’espace documentaire.

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12
Q

Veille

A

Évoqué dans la circulaire de missions de mars 2017, c’est un processus continu adossé à une stratégie (bâtie à partir du profil de l’établissement) et à des outils spécifiques qui permet d’offrir les informations récentes dont les usagers et les commanditaires ont besoin de façon ciblée et personnalisée.
En tant qu’expert, le professeur documentaliste joue naturellement un rôle actif dans le pilotage de la veille de l’établissement, intégrée à sa politique documentaire.

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13
Q

Web 2.0

A

Employé pour la première fois en 2004 par Tim O’Reilly, ce concept caractérise de nouvelles pratiques d’internet où l’internaute est devenu producteur de contenus.
Dans un contexte scolaire, on peut notamment citer l’ENT avec ses groupes de travail, documents partagés et gestion collective des plannings.

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14
Q

Web sémantique et web de données

A

Le web sémantique introduit la possibilité, grâce à des langages spécialement pensés pour indexer les données, que les documents puissent être interrogés sur leur contenu.
Le web de données a, quant à lui, pour objectif de structurer et de relier les données entre elles afin de faciliter leur publication et l’accès à celles-ci.

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15
Q

Internet des objets

A

Désigne une tendance à la multiplication, dans les espaces publics et privés, d’objets connectés directement au réseau et qui transmettent des données, de la puce RFID (RadioFrequency IDentification) qui peut équiper un document à la montre connectée.

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16
Q

Lecture numérique

A

Permet une navigation bien plus efficace, pouvant être un véritable support de partage en classe grâce au TNI ou en ligne sur l’ENT. Les logiques croisées de l’hypertexte, du multimédia et du réseau permettent une lecture délinéarisée
Si la perte de repères et les difficultés de mémorisation peuvent être au rendez-vous, la lecture numérique ouvre néanmoins des possibilités nouvelles comme la lecture ergative, orientée vers l’action et obéissant à un projet de recherche ciblée d’information dans un parcours de lecture programmé à cet effet.

17
Q

BYOD (Bring Your Own Device)

A

Pratique largement mise en œuvre dans les pays anglo-saxons qui consiste à demander aux élèves d’apporter leur propre matériel pour accomplir leur travail scolaire.
Permet de faire entrer sur l’appareil nomade des élèves des objets et des projets scolaires, installant une proximité entre Ecole et univers personnel.

Cadrage : il passera par la définition des règles d’usage, celle des objectifs pédagogiques ou encore par une réflexion sur les conditions techniques de mise en œuvre.

18
Q

Recherche d’information et arrivée d’internet

A

A modifié fondamentalement la donne sur les plans qualitatif et quantitatif.
L’usager-chercheur accède à des documents et des informations dont la fiabilité n’est pas forcément garantie puisque les contenus n’ont pas nécessairement fait l’objet d’un travail de contrôle et de validation.

19
Q

Inflation informationnelle

A

Sur un sujet donné, un usager-chercheur peut trouver une quantité énorme d’informations : la question du tri, de la hiérarchisation et la capacité à reformuler la requête sont alors cruciales.

20
Q

Livre électronique et livre numérique

A

Le livre électronique désigne le support technique, appelé liseuse ; le livre numérique désigne quant à lui l’œuvre elle-même dans sa version dématérialisée.