Mondialisation Flashcards

1
Q

Quelles sont les 4 visages du phénomène de la mondialisation ?

A
  • la mondialisation = un monde ouvert au sans ou les frontières ne sont plus un obstacle, plus facile de passer à travers. Elle s’accompagne du fait que le monde a de moins en moins de contrainte, de plus en plus ouvert.
  • Un monde homogène ? Si on s’y promène plus facilement, les idées circulent plus vites => alors idée que le monde est plus homogène. La mondialisation contribuerait une homogénéisation des modes de vies.
  • Un monde très bien hiérarchisé : regarder les modes de puissances, de pouvoir pour avoir un ordre de pouvoir.
  • Un monde différencié : des processus, des tendances qui peuvent ê contradictoires. Les frontières n’ont jamais été aussi imp depuis 50 ans. Des nouvelles sont crées. La mondialisation est un facteur qui appuie la création de frontières.
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2
Q

Qu’est ce que va valoriser la mondialisation ?

A

Certaines formes de travail

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3
Q

À quoi participe la mondialisation ?

A

La m° participe aux esclaves modernes du aux nouvelles formes de contraintes éco du aux nouvelles formes de travail. Les travailleurs doivent ê moins cher que les autres travailleurs, leurs valeur de travails doivent ê aussi moins élevées. Esclavage sur les travailleurs étrangers car on les paye moins cher et tout => csq du libre échange.

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4
Q

Quelles sont les def de mondialisation :

A
  • économique : une mise en équation des territoires
  • Pour la géographie : une valorisation des différenciations territoriales. La mondialisation a besoin de différence pour répondre à tous les besoins.
    = à la fois donc un objet et un processus. Processus car dure pas dans le temps, elle change avec le temps. Elle ne stagne pas
    La mondialisation est donc un processus historique d’expansion du système capitaliste dans le monde. Elle tente de gagner de nouveaux territ, de nouveaux peuples.
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5
Q

Par qui la mondialisation tente d’ê dominé ?

A

La mondialisation tente a ê dominé par les trois pôles ( mégalopoles d’Amérique du Nord, dorsale euro, Tokyo ). Avec eux des aires se dev qui diffuseraient leurs richesses, leurs idées => logique de périphérique avec une domination du monde.
Il existe aussi des pôles secondaires dans le monde entier. Elles entraînent leur propre air régionale.

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6
Q

Quelles sont les différences entre ces deux modèles ?

A
  • un modèle centre périphérique => modèle de m° des années 80/2000 avec une forte puissance américaine et européenne
  • «World in graps» la mondialisation deviendrait bcp plus multi polaire, avec différentes puissances et influences. C’est la nouvelle forme de la mondialisation d’aujourd’hui.

Cette vision permet de nous montrer que la m° dans sa dimension écono est un système hégémonique, totalisant et excluant.

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7
Q

Définition de la mondialisation ? Résistance ?

A

=> la mondialisation est un système hiérarchisé, polarisé et exclusif. Ce sont les différenciations géographiques qui produisent de la rentabilité et du bénéfice.
Cependant il existe des fortes de résistances, voulues, exprimés comme subies et passives. Avec le groupe attac pour la taxation des groupes financier.

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8
Q

Commerce internationale et intégration des activités économiques ?

A

Commerce international et intégration des activités économiques :
- de moins en moins d’industries possèdent des marchés locaux
- 60% du commerce mondial se réalise sur des composants
- Repenser l’analyse des échanges et la balance commerciale
- Debilatéraliser l’échange

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9
Q

Quelle est la perspective de la mondialisation à laquelle on fait face aujourd’hui ?

A

Perspective d’une mondialisation globalisante, universelle, automatique est brutalement remise en cause depuis le début des années 2000 par les attentats + par les mouvements altermondialistes.

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10
Q

À quel débat faisons face aujourd’hui sur la mondialisation ?

A

On fait face à des nouveaux débats et concepts qui apparaissent : monde multipolaire, régulations, hyper puissance, gouvernance, finitude écologique de la planète.

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11
Q

De quoi avons nous besoin pour comprendre la géographie ?

A
  • interaction entre acteurs
  • Les représentations et arguments géopolitiques
  • L’articulation des niveaux et emboîtements d’échelles
    => toute démarche géo doit avoir pls lectures.
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12
Q

Comment se met en place la m° ?

A

La m° se met en place dans un contexte de cadre historique nouveau. C’est l’apparition d’un anti modèle :
1917 : une lueur se lève à l’est : la recherche d’un anti modèle spécifique
De la Russie à l’URSS : un retrait autarcique
1936/1945 : guerre impérialiste et guerre de civilisation
1945 : la guerre froide => gel partiel, compromis sociaux et économiques, affrontement.
1989/1991 : la divine surprise de la nouvelle mondialisation libérale

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13
Q

Quelles sont les causes du dev et les analyses ?

A
  • analyses libérales
  • analyses dépendantistes
  • analyses antitiermondistes
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14
Q

Qu’est ce que l’analyse libérale ?

A

Analyses libérales : explique que ces pays sont marqués par un retard car ils n’auraient pas respectés les logiques éco des échanges. Le sous dev est expliqué par un retard du non respect des règles économiques de bases qui les empêchent de rentrer dans cette phase de dev.

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15
Q

Qu’est ce que l’analyse dépendantiste ?

A

Analyses dépendantistes : qui découle du courant neo marxiste qui expliquerait les centres de L’éco mondiale se sont enrichis et que les causes du sous dev : s’expliquent par la relation de dépendance qui existe entre pays du nord qui dominent les pays des sud. Elle explique les sous dev des suds par la dépendance des pays du sud : en terme de marché, dev économique. Ces analyses vont s’appuyer sur la désorganisation qui se créer : immigration, capitaliste, de les privilèges => facteurs de cette analyse dépendante.

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16
Q

Qu’est ce que l’analyse antitiermondiste ?

A

Analyses antitiermondiste : apparues un peu plus tard, 1980’s, elles relèguent les effets du dev. Ces analyses s’appuient sur les facteurs endogènes de chaque pays. Sylvie brunel. D’après ces analyses la, le sous dev pouvait ê le produit d’un choc entre les lois du commerce et des sociétés démunies donc la cohérence interne était bousculé

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17
Q

Distinction entre globalisation et mondialisation ? Visible comment ?

A

Le terme de mondialisation désigne le dev de l’interdépendance au niveau mondial. Cependant une distinction est parfois établie entre deux mots qui désignent un même phéno :
- globalisation = l’approche économique des activités humaines à l’échelle du globe
- Mondialisation concerne l’ensemble des échanges au niveau de la planète, elle exprimerait l’interdépendance croissante des économies associée à ‘expansion des échangeas et des interactions humaines.

Suivant les contextes et les discours, la m° et la globalisation se présente comme un concept protéiforme et polysémique qui ne cesse d’évoluer en revêtant de forts investissements idéo.

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18
Q

Situation de l’éco auj dans le monde ?

A

L’éco n’a jamais été aussi mondialisé qu’aujourd’hui : flux d’échanges, de marchandises, de capitaux d’investissements, d’actifs financiers. Le triomphe du système capitaliste à la fin des 80’s a amplifié un mouvement déjà largement engagé.

19
Q

Comment est visible le phéno de mondialisation non récent ? Les diff ères ?

A

La m° n’est pas un phénomène récent, on peut le remonter au XVIè à l’époque des grandes découvertes et des débuts de la colonisation.
On peut identifier différentes formes selon les époques :
- L’ère de la spécialisation d’abord ( 1860 – 1913) : c’est l’avènement du libre échange des marchandises, des capitaux et même des hommes (c’est l’époque des grands mouvements migratoires vers l’Amérique du Nord surtout).
- L’ère de la multinationalisation ensuite (1950-1980) C’est surtout à partir des années 60 que l’on assiste à l’essor des firmes multinationales. L’économiste P. Krugman a montré que cette évo était beaucoup à la conçu parfait, aux innov techno et aux économies d’échelle.
- L’ère de l’intégration ( depuis années 80 ). La baisse des coûts de transport d’un part et le dev des communications d’autre part ont considérablement réduit les distances. Auj, la firme mondialisée sous traite ses produits jusqu’à pour certaines devenir des entreprises sans activités de fabrication.

20
Q

Comment est visible l’augmentation des flux de marchandises ?

A

On assiste à une augmentation des flux de marchandises : entre 1948 et 1993, le commerce mondial a été multiplié par 6 en valeur. En volume, les échanges de biens ont été multipliés par douze tandis que la production mondiale n’a fait que sextupler. Il s’agit d’une augmentation de près de 6.5% par an en moyenne. En volume également, le commerce international croît plus vite que la production mondiale. Pour 2002, le volume des échanges de marchandise représente 6.4 milliards de $. Flux : circulation massive de personnes, de biens, de capitaux, d’informations.

21
Q

Quelles sont les causes de l’augmentation du volume des échanges sont multiples ?

A

Les causes de l’augmentation du volume des échanges sont multiples :
- L’augmentation de la population provoque une croissance de la demande que les échanges satisfont en partie.
- L’amélioration du niveau de vie s’accompagne d’une croissance du pouvoir d’achat et des besoins favorables à des activités de commerce.
- Les progrès technologiques permettent d’augmenter la capacité, la vitesse et l’efficacité des moyens de transport. Par exemple : La conteneurisation5 des marchandises et l’inter modalité permettent d’utiliser sur un même trajet plusieurs modes de transport différents :camion, train, navire.

22
Q

Résumé sur l’économie et sa place ?

A
  • L’économie occupe une part croissante dans nos sociétés marchandisation de l’économie (néo-mercantile et néo-libérale) et est accompagné en même temps d’une grande volatilité de capitaux.
  • Les flux économiques qui en découlent entraînent une recomposition des territoires qui s’opère au sein d’aires régionales, et de concentration autour de grands pôles.
  • Il s’organise également de manière croissante une concurrence des territoires dans un marché global – d’où les systèmes de classement des territoires les uns par rapport aux autres.

Pour autant , l’éco d’aujourd’hui repose plus sur l’échange que sur la production, entre 1948/2000 le commerce mondial a été multiplié par 8X. Auj, le volume des échanges de marchandises : 7,2 milliards $.

23
Q

Quelles sont les causes de l’augmentation du volume des échanges sont multiples ?

A

Les causes de l’augmentation du volume des échanges sont multiples :
- aug de la pop qui provoque l’augmentation des besoins
- L’amélioration du niveau de vie
- Les progrès technologies et de l’échange
- Un encouragement également de la part de la banque mondiale et de l’OMC

24
Q

Quelles sont les origines du libre échange ?

A

Les origines du livre échange remontent dans leurs explications théoriques aux travaux de :
- A. Smith = Théorie des avantages absolus (un pays importe si la production est plus couteuse que son importation). Plus le marché est étendu plus la DIT peut être poussée.
- Ricardo= Théorie des avantages comparatifs = Un pays qui n’est pas compétitif peut quand même se spécialiser – Ce qui importe ce sont les coûts relatifs de la production c’est-à-dire l’écart de productivité

25
Q

Info imp sur les firmes transnationales ?

A

Les firmes transnationales sont des entreprises ayant des filiales dispersées dans le monde entier mais avec de solides bases nationales. Souvent leurs activités franchissent sans contrôle les frontières nationales. On compte 65 000 multinationales dans le mode qui contrôlent 500 000 filiales. Le rôle de ces transnationales est considérable. Le seul commerce des multinationales représente 2/3 du commerce international. C’est dans les pays développés que l’on trouve les sièges de 2/3 des multinationales. Notamment un tiers des cent premières transnationales sont américaines.
Les firmes multinationales développent des alliances, des fusions et des partenariats.

26
Q

Comment se gère la répartition des activités des transnationales ? Rôle des pays indus ?

A

La répartition des activités des transnationales traduit leur participation à la division internationale du travail. Les pays industrialisés restent des pays où on assemble, on y monte des produits manufacturés mais ils se spécialisent dans les activités de direction, de conception et de financement. Ils bénéficient aussi des investissements directs des transnationales. Les NPI et NPIA : Grâce à une main d’œuvre de plus en plus qualifiée et relativement bon marché, ils se spécialisent dans les activités d’assemblage. Il s’agit parfois de montage de composants de pointe.

27
Q

Quelles sont les 5 étapes du processus de multinationalisation ?

A

Schématiquement, les étapes du processus de mutinationalisation peut traduire cinq étapes :
- Dans une première phase, la firme possède des filiales nationales, mais ne fait qu’exporter ses produits dans un pays 2 et un pays 3. On se situe ici dans un pas 1 peu multinationalisé, pendant les années 50 par exemple.
- Au deuxième stade, le niveau de production exportée devenant élevé, la firme installe une filiale commerciale dans le pays 2 et passe un accord de licence avec une firme d’un pays 4. On se trouve approximativement dans les années 60.
- A partir des années 70 débutent le troisième stade, l’espace de vente nationale est devenu beaucoup trop étroit par suite de la révolution technologique. L’impératif de multinationalisation s’impose, obligeant la firme à systématiser ses implantations à l’étranger. Elle crée donc des-filiales-relais ou ateliers en 2 et 3 par rachat ou construction d’unités nouvelles.
- Pour le quatrième stade, la multinationale est désormais implantée dans 8 pays. Elle commence à planifier sa production sur un espace mondial dans le courant des années 1970-80.
- Au dernier stade, la planification de la production s’effectue dans un champ beaucoup plus ample, structuré par des relations plus complexes entre les différentes composantes de la firme.De multiples liens se développent entre filiales hors de l’espace national. Certaines unités productives aux activités complémentaires s’articulent par delà les frontières des pays d’implantation en sous-ensembles dotés d’une certaine autonomie à l’égard de la maison mère. Des flux de produits finis sont importés.

28
Q

C’est quoi le MERCOSUR ?

A

MERCOSUR: Le Mercado Comun del Sur, ou Marché commun du Cône sud (Mercosur) est une entente d’intégration économique qui a été conclue officiellement en 1991 entre l’Argentine, le Brésil, le Paraguay et l’Uruguay. Le Mercosur, avec ses 240 millions de consommateurs, est le plus grand marché à l’exportation du Canada en Amérique du Sud. L’objectif principal du Mercosur est d’augmenter l’efficacité des quatre économies membres par un processus d’ouverture des marchés et d’accélération du développement économique. C ‘est une union douanière (Droits de douanes supprimés à l ‘intérieur de l ‘ organisation) Mais les états membres appliquent un tarif extérieur commun aux pays extérieurs.

29
Q

Comment est visible la remise en cause de la souveraineté des états ? Le role des frontières ?

A

L’état comme orga souveraine qui administre une communauté établie sur un territoire défini, limité par des frontières participe de manière duale à la mondialisation. En effet, ils négocient les grands traités inter et dont parfois le choix d’intégrer des orga inter qui promeuvent le libre échange.
Des processus d’intégration et de désintégration régionale sont visibles. Le role et le poids des états étant pour partie compromis et modifié pendant le m°, les états nations ne sont plus les acteurs exclusifs ni même parfois diminuants du secteur éco inter. Ils sont confrontés à l’émergence de forces économiques et à des autorités concurrentes supérieurs.

30
Q

En quoi les frontières peuvent elles de nouveaux remparts à la mondialisation ?

A
  • les formes au secours des états nations ?
  • L’aug du nombre des frontières n’est pas antinomique avec la mondialisation
  • En 25 ans, 24 000 accords de négociations frontalières = enjeux
  • Dev d’une «frontièrophilie généralisée»
  • Les frontières restent des barrières efficaces
31
Q

Qu’est ce que le rebordering ?

A

Rebordering : durcissement des contrôles et des restrictions, de réaffirmation du rôle de séparation de la frontière, de marquage spatial emblématique comme les murs

32
Q

Comment est visible ce contraste fort d’ouverture aux flux de m° et celui de fermeture physique des frontières ?

A

Un contraste fort entre le mouvement d’ouverture aux flux de la mondialisation et celui de fermeture physique des frontières. Le mouvement de création de meurs reprend très fortement après 2001. Les dispositifs (miradors, clôture discontinue ou non, quartiers séparés, forces militaires, technologie biométrique…), donc les coûts, les objectifs (lutte contre l’immigration, la contrebande, raisons de sécurité ou contentieux territorial…) et l’efficacité des différents murs sont particulièrement contrastés d’un pays à l’autre. Mais toutes ces fortifications signalent un même phénomène : une logique de fortification de la frontière.
Alors que les “vieux murs” servaient à éviter que les conflits ne dégénèrent (Chypre, Inde / Pakistan, les deux Corées…), aujourd’hui, il s’agit de blinder la frontière, d’en faire une “sur- frontière”.
Mais, de façon constante, il s’agit de s’emmurer, autant que d’emmurer des indésirables à l’extérieur des frontières. Les fonctions des murs évoluent, et peuvent se rassembler en deux grandes fonctions.

33
Q

Externalisation des contrôles frontaliers ?

A

Externalisation des contrôles frontaliers : les murs sont symboliques, mais ils cachent la réalité, celle d’un contrôle beaucoup plus diffus spatialement et efficace sur le plan sécuritaire. Le phénomène croissant d’externalisation de la frontière, repris sur le modèle de la sécurisation des chaines d’approvisionnement des Etats (Supply Chain Security). Il s’agit pour les Etats, essentiellement les pays riches, à contrôler les flux migratoires. Attention, toute la frontière et sa gestion n’est pas externalisée, il s’agit uniquement du contrôle des flux migratoires et de la gestion des personnes en transit ou en circulation migratoire.

34
Q

Quels sont les trois types de situation via des frontières ?

A

On peut identifier trois types de situation :
- Transgression frontalière : des situations où l’effet de proximité génère des stratégies de comportement de consommateurs pour jouer sur les différentiels d’offre marchande de part et d’autre d’une frontière d’État. On passe la frontière et on subvertit son rôle de séparation. Peut- être licite ou illicite. Cas le plus courant.
- Pratiquer une région transfrontalière : des situations pour lesquelles le différentiel marchand génère des pratiques frontalières pérennes, pas nécessairement transgressives, qui aboutissent à une valorisation de l’espace frontalier. La frontière crée donc de part et d’autre des territoires frontière ou des provinces-frontière aux caractéristiques spécifiques ;
- Faire avec la frontière : des situations pour lesquelles l’effet frontière est plus discret en apparence, parce que l’activité marchande ne doit pas nécessairement son existence à la présence frontalière. Mais faire avec la frontière peut tout aussi bien vouloir dire développer des logiques d’effacement de celle-ci (la frontière n’a que peu d’impact sur les pratiques) que des logiques de contournement, légal ou non, de l’obstacle frontalier (le franchissement génère alors des pratiques spécifiques).

35
Q

Sur le long terme, les frontières économiques se sont effacés comment ?

A

Sur le LT, les frontières économiques se sont effacées :
niveau commercial : les droits de douanes ont chuté au 20è
- Au niveau financier avec la fin du contrôle des changes adoptée quasiment partout dans le monde
- Au niveau industriel avec la délocalisation et les stratégies mondiales avec les FMN
- Au niveau monétaire avec l’apparition de l’eur

36
Q

Les transports : premier facteur de la m°

A

Les transports sont le facteur premier de la mondialisation. En permettant aux populaire de s’affranchir de la distance, les réseaux de transport rapprochent les lieux et perturbent les principes de la continuité territoriale. Ils modifient la perception que font les indiv du proche et du lointain.
La mondialisation a intrinsèquement tendance à promouvoir la diffusion des phénomènes. Les échanges mondiaux des biens et services représentent désormais 45% du PIB et Aug depuis une dizaine d’années à un rythme double de celui des revenus, soit 7% par an.
Les transports agissent donc ainsi comme la matérialisation de la mondialisation. Ils représentent l’ancrage concret des flux.

37
Q

Qu’on mis en place les innovations technologiques de la révo industrielle ?

A

Les innovations technologiques de la révo industrielle dans le domaine des transports et commu ont provoqué en plusieurs phases successives, une accélération de la conquête des espaces et de la réduction des temps de circulation.
La mondialisation est donc avant tout caractérisé par une formidable contraction de l’espace temps au service de ce qu’on a appelé la nouvelle économie.

38
Q

Peut on parler pour autant d’une mobilité généralisée et d’une fin des territoires ?

A

Peut on parler pour autant d’une mobilité généralisée et d’une fin des territoires ?
- 83% des déplacements se réalisent dans un périmètre de 20 minutes
- Renchérissement actuelle des transports
- Revalorisation des circuits courts
- Pas eu de changement auteur dans les vitesses commerciales des moyens de transport depuis 50 ans
- La principale innov : porte sur les trains à grande vitesse
- Le monde contempo fonctionne avec «un portefeuille» de vitesses relativement stabilisées

39
Q

Trois étapes à l’origine de la mondialisation qui forment système et permettent un décollage progressif ?

A

Trois étapes à l’origine de la mondialisation qui forment système et permettent un décollage progressif :
- les transports ne permettent pas la m°
- Transport et mondialisation, les deux se stimulent
- Depuis 1990 c’est l’essor d’internet, des portables des mobilités cumulées.

40
Q

Sentiment d’homogénéité ?

A

l’accroissement généralisé des flux matériels et immatériels donnent une apparence d’homogénéité. ceci implique une réduction des temps de diffusion. or tous les territoires ne sont pas également inscrits et/ou investies dans la mondialisation.

41
Q

Internet une dé hiérarchie du monde ?

A

Internet a connu un essor spectaculaire depuis 15 ans : 25 millions d’internautes en 1990. Soit seul 42% de la pop mondiale est connectée à internet. Les lieux de l’interconnexion restent les lieux de forte polarisation et de diffusion de l’innovation.

42
Q

Un modèle centre périphérie même pour internet ?

A

Compte tenu de ces dyna de réseau, internet tend à s’étendre en plaque autour de quelques foyers principaux et au contraire à négliger les zones à faibles potentiels : le raccordement ne se fait donc pas selon une logique de progression linéaire mais bien selon les gisements.
À l’échelle mondiale, la centralité pour le réseau internet est ciblée dans les pays industrialisés et à l’intérieur de ceux ci dans les grandes métropoles.

Les périphéries d’internet se situent essentiellement en Afrique, Amérique centrale, pays d’Europe centrale. Mais dans les pays en dev apparaissent de nouvelles dynamiques.

43
Q

Des flux inégaux internet : une disparité ?

A

Des flux inégaux : ta triade qui regroupe a elle seule près de 82% des communications inter. Internet reproduit les mêmes disparités au niveau des utilisateurs qui se localisent essentiellement dans les pays indus. Quant aux flux, ils sont assez similaires aux flux aériens.

La privatisation de certains opérateurs, le passage à un régime de concurrence la ou œuvraient des monopoles éco et territoriaux ont profondément modifié le «paysage» des réseaux.
Internet reflète ainsi les disparités et cela à toutes les échelles. Internet n’agit donc pas comme un vecteur d’uniformisation. Internet ne contribue pas à diminuer les inégalités d’accès.

44
Q

2 marchés et 2 systèmes transnationaux de drogues répertoriés ?

A

2 systèmes et 2 marchés transnationaux des drogues répertoriées :
première drogue : licites qui reposent sur les industries pharmaceutiques sous tutelles de l’état.
Illicites = stupéfiants, reportent sur les agents disparates, trafiquants sous surveillance police douanes.