module 4 Flashcards
Les trois vagues de l’approche CC : 1ère
1950-1980
- Conditionnement classique et opérant
- Tient peu compte des aspects mentaux
*uniquement regarder le comportement
Les trois vagues de l’approche CC : 2e
1970-
- Intégration de notions cognitives
- Considère les phénomènes internes à l’individu
- Modification des pensées dysfonctionnelles
- consomme de l’alcool car repousse la souffrance
à court terme mais ne cadre pas dans ses pbjectifs
à long terme
Les trois vagues de l’approche CC : 3e
2004-
- Interdépendance entre comportement et contexte
- Reconnaissance et exploration active des émotions - Pathologie provient de processus normaux (ex.: évitement)
- Intégration d’autres approches (ex.: approche systémique)
- comportements normal mais mal gérer (ex: apprendre à gérer les vois plutôt que les éliminer)
Conditionnement classique ou répondant
Stimulus inconditionnel et stimulus conditionnel (neutre) provoque la même réponse(comportement) lorsqu’il sont associé.
exemple : chien de pavlov qui bave en attendant la cloche car elle est associé à sa nourriture. Donc la nourriture (stimulus inconditionnel) et la cloche (stimulus conditionnel, neutre) provoque la même réponse soit celui de saliver puisqu’il ont été associé ensemble.
Conditionnement opérant
Augmenter fréquence :
Renforcement positif (ajoute une conséquence agréable) (+)
Renforcement négatif (soustrait une conséquence désagréable) (-)
Diminuer la fréquence :
Punition positive (ajoute une conséquence désagréable) (+)
Punition négative (on enlever une conséquence agréable)
Renforcement différentiel (Jeffrey, 1965)
Ce qui détermine le maintien ou l’abandon des comportements, c’est la proportion relative des renforcements et des punitions
- encourage le bon comportement
et ignore le mauvais ou puni
Apprentissage social (3 types)
- Observation : Je regarde et je note comment les autres se comportent (on voit que certains comportement ont des bénéfices mais je ne produit pas le même comportement)
- Modelage : J’essaie de me comporter comme les autres (tu ne veut pas être exactement comme la personne on ne s’identifie pas nécessairement comme elle)
- Identification : Je veux être comme l’autre et me comporter comme elle/lui (imiter ses amis pour leur ressembler et faire partir de la gang)
Le courant cognitif
- L’expression intervention «comportementale et cognitive» dénote de la volonté d’intégrer les interventions comportementales à des techniques de nature cognitive (TCC);
- La deuxième vague permet de considérer les phénomènes internes de l’individu;
- L’approche TCC fait ressortir le rôle causal des variables comportementales et cognitives dans l’explication et le maintien des comportements problématiques et des troubles psychologiques;
- Le client est amené à prendre conscience de ses pensées automatiques afin de modifier le contenu de structures cognitives de base comme les croyances dysfonctionnelles et les schémas;
- La théorie A-B-C d’Albert Ellis (1999).
Le modèle A-B-C
A : Évènement (situation/environnement)
B : Cognition
C : Comportements/émotion (comportement amplifier par le genre de pensé)
Les principes fondamentaux de l’intervention cognitive
- émotions causé par les pensé plutot que par évènement (pensé et émotion)
- évènement, pensé, émotions, comportements et réactions physiologiques s’influence
- émotions dysfonctionnelles causées par pensées irréalistes (prendre conscience pour les diminuer)
- tendance à perburter leur vie par croyances irrationnelles et renforcer par l’environnement
- individu contribu et maintien sa propre détresse à cause des croyances irrationnelles
- efforts prolongé et soutenu modifie efficacement les pensé, émotions et comportements
- pensé rationnelle = réduction de fréquence, intensité, et duré des émotions
- bonne relation thérapeutique est essentielle
- modèle éducatif (type enseignant-élève)
- utilise le questionnement socratique
- les travaux à domicile sont essentiel
- active et directive ! entrevues structurées
- intervention est généralement brève
- basé sur un modèle cognitif à six étapes
L’approche cognitive est active et directive, et les entrevues sont structurées:
- Revoir brièvement les événements survenus depuis la dernière entrevue;
- Faire brièvement le lien avec l’entrevue précédente;
- Préparer le contenu de l’entrevue [choix d’un problème cible en lien avec le thème];
- Travailler sur le problème cible [restructuration cognitive + techniques comportementales];
- Parler des conséquences des changements dans la vie quotidienne du client [intégration des changements et impacts sur l’entourage]
- Donner des tâches;
- Résumer l’entrevue et fournir une rétroaction.
L’approche cognitive est basée sur un modèle cognitif qui comprend six étapes principales:
- Le client se familiarise avec les principes fondamentaux du modèle;
- Il prend conscience de ses pensées au moment où il ressent des
émotions dysfonctionnelles; - Il apprend à sonder ses pensées pour en examiner la validité.
- Il substitue des interprétations plus appropriées aux pensées inappropriées;
- Il tient compte des résultats en modifiant ses comportements inappropriés;
- Lorsque l’intervention est plus avancée, il apprend à reconnaître, puis à modifier ses attitudes dysfonctionnelles de même que les croyances dysfonctionnelles qui leur sont sous-jacentes.
Dans l’intervention …
Pensées visées
- Automatiques
- Dysfonctionnelles
- Schémas
Comment identifier ces pensées?
- Écoute du «monologue intérieur»
- Auto-observation
Comment modifier ces pensées?
- Restructuration cognitive
La restructuration cognitive
Un question d’attitude
- Empathie et curiosité
- Pas de…
- -> jugement de valeur
- -> interprétations abusives
- -> de débat pour apporter une vérité au client
Le client face à ses propres choix
- Il s’agit de pousser le client plus loin dans sa réflexion pour qu’il trouve ses propres alternatives
Les caractéristiques de la troisième vague
- Le passage d’une philosophie mécaniste, structurelle et mentaliste à une philosophie contextuelle;
- Le comportement est compris en termes de conséquence ou d’effet qu’il produit dans l’environnement. L’effet sur l’environnement acquiert un contrôle sur le comportement. C’est donc l’interdépendance entre un comportement et sa conséquence qui importe;
- Le comportement, en perpétuel mouvement dans son contexte, lui-même en changement constant, est influencé par un nombre indéfinissable de facteurs qui surviennent de façon concomitante et continue, rendant impossible l’identification d’une cause singulière (comme dans la vision mécaniste);