module 3 Flashcards
Fonctions traditionnelles de la famille
- la fonction de procréation : la population se renouvelle.
- la fonction affective et de protection: Elle est synonyme de refuge, de sécurité.
- une fonction de socialisation : processus par lequel un individu fait :
- -> l’apprentissage des rapports sociaux et des valeurs…
- -> le rôle de première école/première instance de socialisation
Rapport homme/femme au Sénégal (obstacles)
Violences juridiques :
– Atteinte à la dignité de la femme (la puissance
maritale, la puissance paternelle, l’interdiction de
l’interruption volontaire de grossesse)
-marginalisation de la femme analphabète en français (le
français unique langue officielle dans un pays où 99% des femmes ne le comprennent pas)
Violences économiques:
- interdiction de l’action en recherche de paternité
naturelle,
- partage des biens défavorables à la femme en cas de
divorce ou de veuvage6 et même d’héritage des
parents,
- accès limité des femmes à la terre et aux ressources7, - manque de visibilité des tâches domestiques
Quelques chiffres
46 femmes nommée sur 421 !
Si c’est pas paritaire c’est exclus.
Loi sur la parité voté en 2012.
Les types idéaux-famille sénégalaise
- La solidarité communautaire,
- Prévalence de l’intérêt du groupe familial Taux de
dépendance 1/5,8 personnes,
- La cohabitation comme règle de vie,
- Autorité paternelle d’origine divine (95% de
musulmans), le code la famille tente de parler aujourd’hui, d’autorité parentale au lieu de puissance paternelle,
- Espace familial multidimensionnel.
Choix du partenaire
- Un choix rarement exclusif
Les parents apprécient le choix et le valident et orientent le choix avec des propositions.
Les amis sont déterminants dans le choix et la prise de
décision. - Un choix souvent endogamique : les cousins vont vers les cousines ( ce qui est favorisé par les cérémonies familiales).
- La belle famille est au cœur de toutes les décisions
- Un choix sociétal avec un objectif de sauvegarde de la cohésion familiale.
- Le lévirat : Le frère qui marie l’épouse d’un frère décédé.
- Le sororat : Un homme qui mari la sœur de sa femme décédée.
Le choix exogamique prends de la place de plus en plus. Car, le mouton broute là où il est attaché.
Les régimes
La polygamie peut être :
- polygynie gérontocratique
- Polygynie du chef
- polygynie économique ou de richesse (pour montrer qu’il a de l’Argent, il en a 4)
Les 2 premières formes de polygamie n’existent presque plus
L’éducation n’appartient pas aux parents géniteurs mais à toute la concession
La valeur du nom (ciment de la cohésion familiale)
De reproduction sociale
- Ainé porte le nom d’un demi frère
- Le suivant porte celui d’un parent géniteur ou d’un
frère ou d’une sœur
- Un enfant pourrait porter celui d’une ou d’un ami développer l’estime de soi
Le choix est basé sur les qualités humaines de
l’homonyme.
La place des cérémonies
L’initiation : un ensemble des cérémonies constitué d’un ensemble de rites et d’enseignements oraux qui vise la modification radicale du statut social du sujet à initier. Bois sacrés (sud), le Mbaar (nord)
LeMbaar(abri) ou bois sacrés : les initiés sont des frères de case. Entre eux, il y’a un contrat moral et social de soutenance mutuelle de protection de leur honneur et de leurs biens en tout temps.
Ces cérémonies perdent de valeur dans le nord mais, restent tenaces dans le sud du pays.
Ce lien est plus intense que le lien de sang.
Mutations des structures
- La famille sénégalaise dans les centres urbains a évolué cesdernièresannées. Delafamilletraditionnelle élargie, elle est en passe de devenir une famille nucléaire
- 42% des chefs de famille sénégalaise ne vivent qu’avec leurs conjoints et leurs enfants, (poids de la religion)
- 11% cohabitent avec leurs petits enfants, selon l‘enquête sénégalaise auprès des ménages (Esam) publiée en 1997
L’enquête sur les priorités (Esp) avait révélé en février 1993 que :
- 65% des 837.000 ménages que compte le Sénégal, sont constitués d’un seul noyau (couple ou famille biologique), avec une moyenne de 5,8 personnes.
- 22% sont composés de 2 noyaux
- 13% de trois noyaux
Raisons de ces mutations
1) La scolarisation.
2) Les facteurs économiques.
3) La mondialisation des cultures (pensée unique).
La famille latine. (FL)
- Une vision traditionnelle de la famille (homme+ femme enfants= famille)
- Elle est considérée comme entant un point central de la vie.
- Le nouveau et le traditionnel se mélange
Vrai ou faux. Dans les plupart des pays de l’Amérique latine l’homosexualité est accepté.
Faux !
La réligion (FL)
La religion (judéo chrétienne) occupe une place importante dans la société. La non-reconnaissance d’autres formes de familles (reconnaissance de l’union du même sexe) ou de changements qui vont à l’encontre de principes traditionnelles (divorce) ont été le fruit de la pression de l’Église catholique, entre autres.
Le divorce (FL)
- En Colombie: existe légalement depuis 1853 mais rarement utilisé (mal perçu pas l’Église). Aujourd’hui 3 de 10 mariages finissent pas un divorce (2015)
- Chile: 2004. Nouvelle Loi de mariage civil.
- Argentine :existait 1888 reformé à plusieurs reprises.
Une version plus moderne 1987
- Pérou: 1936, reformée en 1984
- accès et loi sur le divorce ! moins mal vu !
Monoparentalité (FL)
- Vue d’une très mauvais œil. Les enfants nées des femmes non-mariées portent une note dans le certificat de naissance : enfant naturel de (nom de la mère)
- Les enfants nées hors de mariage n’avaient pas les mêmes droits que les enfants nés dans un mariage (pas trouvé des informations fiables concernant les dates).
- les infos date d’il y a 20 ans donc ça la changer mais avant si on avait des enfants
et on était pas marié considéré comme naturel
et peut pas avoir les mêmes droit comme l’héritage
La solidarité dans la famille (FL)
- La famille élargie principal source d’aide et de soutien
- Famille qui est ouverte
- Une distribution traditionnel des rôles (homme-femme) : très traditionnel au niveau de la distribution
des rôles mais 50 % des femmes travaille auj
mais fait quand même le lavage et s’occupe des
enfants.
- Soin aux personnes âgées assumé par la famille (les personne âgées vivent avec les enfants ou les
petits enfants. )
La place de la femme (FL)
- Les femmes occupent une place centrale dans la famille. En cas de divorce la garde des enfants est accordé à la mère
- La figure de Marie (symbole) occupe une place centrale dans la reproduction de certains valeurs associés au féminin (sacrifie, maternité, pureté)
- La garde partagé rarement utilisé
- Une déresponsabilisation des hommes…
- Une manque de reconnaissance du rôle du père?
- s’il y a un divorce les garde des enfants est
à la mère automatiquement. La garde partagé
est quesment inexistant.
Principales problématiques (FL)
- La pauvreté (5,7% Uruguay, 40,9% au Salvador)
- Absence de filet de sécurité social (lien avec la solidarité
familiale)
- Le manque de temps
- La violence (plus grand tolérance face à
la violence)
- L’infidélité (polygamie pour les hommes car c’est bien vu
mais pas pour les femmes car considéré comme
une pute)
Une population qui est jeune (FL)
Distribution des personnes selon la tranche d’âge
0-14 años: 25,3% 15-24 años: 18% 25-54 años: 41,6% 55-64 años: 8,3% 65 años y más: 6,7%
Taux de natalité : 16,73 nacimientos/1000 habitantes
Québec : 10,5% enfants/1000 habitants
La culture (FL)
- Une culture qui est machiste mais qui se transforme il y a une coexistence avec d’autres pratiques.
- Une culture qui est le fruit d’un métissage. La Colombie (africain, européens et autochtones) (49% métis, 37% blancs 10% afro-colombiens ).
- Une culture de la colonisation qui reproduit l’inégalité
- Avoir une image de la fille parfait mais
prendre sa place dans la société également.
Grossesses (FL)
- Le pourcentage de grossesses à l’adolescence parmi le plus élevés au monde
- Les couples ont des enfants lors qu’il sont jeunes
- L’avortement est légale (Cuba, Honduras, Salvador, Nicaragua, République Dominicaine). Certains pays appliquent de restrictions pour le recours à l’avortement.
Voir famille québécoise et culture arabe dans les documents.
cours 3
