module 1 : Comprendre les étapes de la pratique basée sur des données probantes Flashcards

1
Q

Quand a été développé le concept de la pratique basée sur des données probantes et pourquoi celle-ci à été crée?

A

Le concept d’EBP a été développé par des chercheurs, cliniciens et épidémiologistes du département d’épidémiologie clinique et de biostatistique de l’Université McMaster, à Hamilton (Gordon Guyatt, David Sackett et leurs collègues) au début des années 1980 en réponse à l’accroissement constant des données publiées que les cliniciens devaient assimiler et intégrer à leur pratique

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2
Q

Comment peut être défini L’EBP (evidence-based practice)

A

approche qui s’efforce de fonder, autant que possible, les décisions cliniques sur les données actuelles les plus probantes issues de la recherche, en particulier les essais cliniques randomisés, les revues systématiques et les méta-analyses

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3
Q

L’EBP permet de diminuer quoi

A

diminuer la dépendance que les cliniciens avaient auparavant à l’égard des connaissances acquises d’experts cliniciens ou des « traditions cliniques » (traitements utilisés de façon traditionnelle dans la profession) qui n’étaient pas remises en cause et qui n’étaient pas prouvées scientifiquement

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4
Q

quelles sont les trois composantes qui font partie du modèle des décisions clinique dans l’EBP?

A

l’expérience clinique du professionnel de la santé, les meilleures données actuelles de la recherche clinique et les préférences du patient en matière de soins

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5
Q

Quel est le but du modèle des décisions clinique dans l’EBP?

A

améliorer les soins donnés aux patients

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6
Q

vrai ou faux : Les données probantes devraient remplacer le jugement ou l’expérience du professionnel de la santé?

A

faux, NE devrait pas

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7
Q

Comment EBP complète et aide la pratique du physiothérapeute?

A

il l’aide à baser ses décisions sur les meilleures connaissances.

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8
Q

quelles sont les cinq étapes de la pratique basée sur des données probantes afin de structurer les décisions cliniques ?

A
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9
Q

qu’est-ce qui est habituellement à la base de l’EBP

A

Une problématique clinique (p. ex. : un physiothérapeute cherche l’intervention la plus efficace pour traiter un patient présentant une radiculopathie cervicale

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10
Q

quelle est la première étape de l’EBP et qu’est-ce qu’elle contient?

A

Ainsi, la première étape de la pratique basée sur les données probantes est la formulation claire et précise d’une question qui doit être en relation directe avec cette problématique clinique.

Pour ce faire, le clinicien doit tout d’abord identifier l’information qu’il doit rechercher en lien avec la problématique clinique de l’usager. Cette question doit pouvoir guider la revue de la littérature. Le clinicien doit déterminer les détails importants à inclure à sa question afin de faciliter la recherche de données probantes dans les bases de données.
Pour y arriver, il est nécessaire de décomposer la question posée en utilisant les critères « PICO ».

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11
Q

que contient une question pico

A

Pour le critère « P » :
* Décrivez les caractéristiques du patient ou de la population.
* De quel état ou maladie s’agit-il? Faites-en une description aussi précise que possible. Pensez à la manière dont vous décririez le patient à un collègue.
Pour le critère « I » :
* Quelle intervention thérapeutique proposez-vous? Quel traitement aimeriez- vous prodiguer à ce patient?
* De quelle façon traiteriez-vous ce patient? Quel test diagnostique ou de suivi aimeriez-vous utiliser?
Pour le critère « C » :
* Y a-t-il une solution de rechange à l’intervention, au test diagnostique ou au test de suivi que vous proposez?
* Aimeriez-vous comparer un traitement à un autre?
* Cet élément vous permet d’étudier les autres méthodes que vous pourriez utiliser pour traiter ou diagnostiquer ce problème. Pour le critère « O » :
* Quels sont les résultats pertinents? Qu’espérez-vous réaliser, améliorer ou changer?
* Il pourrait s’agir d’éliminer ou de soulager des symptômes particuliers, ou d’améliorer la fonction.

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12
Q

dans cet exemple de question identifie chaque lettre pico

A
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13
Q

Que contient la deuxième étape de EBP

A

a deuxième étape de l’EBP consiste à rechercher aussi efficacement que possible les articles pertinents qui répondent au problème clinique posé. L’accès à l’information est facilité depuis un certain nombre d’années par l’utilisation de bases de données bibliographiques qui permettent d’identifier rapidement les articles pertinents.

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14
Q

de quoi dépend le choix de la base de donnée

A

Le choix de la ou des bases de données à interroger dépend du sujet et du niveau d’exhaustivité recherché

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15
Q

vraie ou faux : aucune base de donnée ne contient toutes les informations disponibles dans tous les domaines de la réadaptation.

A

vrai

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16
Q

en quelle année les nouvelles bases de données de type EBP ont été développées

A

dans les années 2000

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17
Q

quels sont les deux types de bases de données?

A

1) Les bases de données qui fournissent directement aux utilisateurs des données revues par des experts (sommaire des résultats et évaluation) critique de la qualité des études selon une grille standardisée). Une cote de qualité ou un niveau de recommandation est normalement donné à l’étude. Voici quelques exemples : Cochrane Library, PEDro, Info AVC/Stroke Engine, Evidence-Based Medicine.

2)
Les bases de données plus générales de type bibliographique qui n’effectuent pas d’évaluation critique des études. Voici des exemples : MEDLINE, CINAHL, Embase.

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18
Q

MEDLINE et PubMed se servent de quelle logique?

A

booléenne (technique de recherche qui consiste à relier des termes à l’aide des opérateurs booléens)
- and
- or
- not

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19
Q

quand utiliser le AND

A

Pour rétrécir le champ de recherche et le limiter aux articles contenant vos termes,

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20
Q

quand utiliser OR

A

si vous souhaitez élargir votre champ de recherche et retracer l’un ou l’autre des termes recherchés (p. ex. : shoulder impingement OR shoulder tendinitis).

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21
Q

quand utiliser NOT

A

Il peut arriver parfois que, malgré tous vos efforts, vous obteniez des occurrences négatives. Ces occurrences négatives correspondent à des articles qui n’ont rien à voir avec votre question, mais qui apparaissent quand même dans vos résultats. Avant d’utiliser NOT pour éliminer ces occurrences, examinez attentivement votre chaîne de recherche et vos résultats. Supprimerez-vous des articles pertinents si vous utilisez NOT? Il convient mieux parfois de se contenter des occurrences négatives que de perdre des articles pertinents.

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22
Q

une recherche large peut fournir quelques résultats —– tandis qu’une recherche étroite peut exclure des résultats ——

A

non pertinents

pertinents

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23
Q

quels sont les options possible pour élargir la question ou préciser la question?

A

Élargir la question :

  • parcourir les citations pertinentes à la recherche d’autres termes à incorporer dans la recherche; ou
  • essayer différentes combinaisons de termes apparentés en utilisant OR.

Préciser la question :

  • prendre des termes plus spécifiques dans la recherche;
  • utiliser des descripteurs (MeSH) plutôt que des termes de la langue naturelle;
  • sélectionner des sous-descripteurs spécifiques;
  • combiner tous les aspects de la question avec l’opérateur booléen AND;
  • appliquer des limites : langue, être humain, type de publication, pays ou année de publication.
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24
Q

quoi utilisez pour chercher une expression exacte
et pour chercher des variantes orthographiques?
et pour la troncature?
et pour optimiser la recherche

A
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25
Q

Quelle que soit la base de données interrogée, le choix final des articles va dépendre de?

A

du niveau de preuve (ou niveau d’évidence) propre à chaque type d’étude.

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26
Q

quels sont les classements hiérarchiques, à quoi servent-ils?

A

Des classements hiérarchiques ont été établis, afin de déterminer le niveau d’évidence d’une étude, allant par ordre croissant de qualité (1 à 5, 1 étant le plus haut niveau d’évidence)
Ces classements sont établis à partir de la qualité de la méthodologie d’une étude en déterminant l’habileté des types d’étude à minimiser les biais.

Les niveaux sont établis selon la force du devis expérimental de l’étude. Un niveau plus élevé est synonyme d’un meilleur devis expérimental, d’une minimisation des biais et d’une meilleure homogénéité des résultats (pour les revues systématiques et méta-analyses).

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27
Q

quels sont les facteurs déterminants de la force d’une recommandation?

A

les bénéfices/risques, la qualité des données disponibles, et l’applicabilité (translation de l’évidence dans une situation clinique donnée, dans un contexte donné).

28
Q

Contrairement aux niveaux d’évidence qui sont établis pour chaque étude, une recommandation est basée sur?

A

l’ensemble des données existantes sur un sujet précis (p. ex. : une intervention ou un test diagnostic pour une population spécifique); il s’agit donc d’une analyse secondaire.

29
Q

qu’est-ce que la haute autorité de la santé (HAS)

A

La Haute Autorité de la santé a proposé une échelle de gradation des recommandations selon trois grades :
Grade A : Une recommandation de grade A est fondée sur une preuve scientifique établie par au moins deux études de fort niveau de preuve (méta-analyse, essais cliniques randomisés de grande puissance aux résultats indiscutables) = niveau de preuve 1.
Grade B : Une recommandation de grade B est fondée sur une présomption scientifique forte, fournie par des études de niveau de preuve intermédiaire (essais comparatifs randomisés de faible puissance) = niveau de preuve 2.
Grade C : Une recommandation de grade C est fondée sur des études de faible niveau de preuve (cohortes, études cas/témoins) = niveaux de preuve 3 et 4.
En l’absence de précisions, les recommandations reposent sur un accord professionnel.

30
Q

Le Grades of Recommendation Assessment, Development and Evaluation Working Group (GRADE, www.gradeworkinggroup.org) a développé un cadre de travail pour la formulation des recommandations de traitement basé sur les principes contemporains de l’EBP. Le processus GRADE met l’accent sur ?

A

l’importance de la clarification des questions incluant l’identification de tous les résultats importants pour les patients et la nécessité de résumer systématiquement toutes les preuves permettant de guider les recommandations.

31
Q

Le processus GRADE ajoute une évolution importante pour l’EBP, laquelle?

A

la définition de la qualité des preuves et les composants qui déterminent la qualité (y compris le modèle de l’étude et ses limites, la constance et la précision de l’étude, mais aussi à quel point les preuves sont directement applicables aux patients, aux interventions et aux résultats dignes d’intérêt).

32
Q

Le processus GRADE ajoute une évolution importante pour l’EBP, laquelle?

A

la définition de la qualité des preuves et les composants qui déterminent la qualité (y compris le modèle de l’étude et ses limites, la constance et la précision de l’étude, mais aussi à quel point les preuves sont directement applicables aux patients, aux interventions et aux résultats dignes d’intérêt).

33
Q

dans le but de déterminer le niveau de certitude qui suivra l’une ou l’autre recommandation qui sera bénéfique ou non que nécessite le processus GRADE?

A

nécessite que les valeurs et les préférences de formulation des recommandations soient spécifiées et requiert une attention toute particulière sur les circonstances (et sur les ressources visant à mettre les priorités en perspective)

34
Q

comment est la cotation du processus grade
- élevée
- modérée
- faible
- très faible

A

Élevée : Il est très improbable que des travaux de recherche futurs changent notre assurance dans l’estimation de l’effet.

Modérée : Il est probable que des travaux de recherche futurs aient un impact sur et changent l’estimation de l’effet.

Faible : Il est très probable que des travaux de recherche futurs aient un impact sur et changent l’estimation de l’effet.

Très faible : Toute estimation de l’effet est très incertaine.

35
Q

la recherche pour les meilleures données probantes peut mener à des études qui sont limitées au niveau de?

A

de la qualité et du contenu

36
Q

vrai ou faux : les meilleures évidences peuvent provenir d’études pour lesquelles les chances d’avoir des biais sont plus grandes en raison de faiblesses au niveau du devis expérimental

A

vrai

37
Q

résume les étapes 1 et 2 de l’EBP

A
38
Q

quelle est la 3ieme étape de l’EBP?

A

évaluer de manière systématique la validité, fiabilité, pertinence et intérêt des résultats des différents articles sélectionnés et d’extraire les preuves qui sont à la base des décisions

39
Q

L’Évaluation critique des données trouvées est nécessaire afin de déterminer

A

la validité des résultats et l’applicabilité des résultats

40
Q

vrai ou faux : l’évaluation critique demande peu de temps

A

faux bcp de temps

41
Q

vrai ou faux : seulement les revues systématiques peuvent aider les cliniciens à diminuer leur temps de recherche

A

faux , revue systématiques et les méta-analyses

42
Q

vrai ou faux : un étude fondée sur un essai clinique randomisé contiendra des données de qualité

A

faux, ce n’est pas parce qu’une étude est fondée sur un essai clinique randomisé qu’elle contient des données de qualité

43
Q

quels sont les éléments fondamentaux est-il important d’examiner afin de vérifier si l’étude comporte des lacunes?

A

le but de l’étude, la taille de l’échantillon, l’évaluation des résultats et les statistiques

44
Q

quelles sont les caractéristiques souhaitées des données probantes?

A
45
Q

qu’est-ce que l’évaluation par les pairs?

A

activité collective des chercheurs qui jaugent de façon critique les travaux d’autres chercheurs (leurs « pairs »). Ces évaluations peuvent porter sur une recherche précise soumise pour publication dans une revue scientifique ou destinée à être présentée dans cadre d’une conférence. Pour les revues scientifiques, l’évaluation par les pairs est menée par des comités de lecture, qui décident si le compte- rendu d’un travail de recherche soumis pour publication est acceptable ou non.

46
Q

quelles sont les sources de variabilité et d’erreur dans les essais cliniques?

A

erreurs aléatoires, liées aux fluctuations de l’échantillonnage, (l’évaluation critique d’une étude clinique consistera à s’assurer qu’il y a eu une analyse statistique (et pas seulement descriptive) des résultats et que les tests utilisés sont adéquats.). l s’agit d’essayer de les repérer et de voir s’ils ont bien été pris en compte lors de la conception de l’étude et de l’analyse des résultats

ou erreurs systématiques (biais)
, qui dépendent de la façon dont est organisée l’étude

47
Q

quels sont les types de biais à distinguer

A

On distingue les biais de sélection dus à la constitution des échantillons;
les biais d’exécution liés à des différences dans l’application du protocole au groupe traité et au groupe contrôle; les biais dans le suivi de l’échantillon liés à des différences au niveau des pertes du groupe traité et du groupe témoin;
les biais d’information;
et les biais de confusion dus à la prise en compte de variables liées en même temps à l’intervention et à la maladie.

48
Q

les grilles d’évaluation pour effectuer une analyse critique de la littérature permettent

A

de vérifier la validité d’une étude et de décider de l’applicabilité des conclusions obtenues au pt concerné

49
Q

vrai ou faux :les grilles d’évaluation pour effectuer une analyse critique de la littérature sont adaptées aux particularités des questions cliniques?

A

vrai

50
Q

, pour vérifier la validité d’un essai clinique, il est nécessaire de savoir s’il y a eu ?

A

distribution aléatoire des patients entre le groupe traité et le groupe témoin (Guyatt et coll., 19

51
Q

s’il s’agit d’une étude évaluant les qualités métrologiques d’un test diagnostique, il faut vérifier si ?

A

le test a été comparé à l’aveugle à un test de référence (gold standard) accepté par la communauté scientifique

52
Q

Dans le cas de revues systématiques, il faut vérifier si la méthode utilisée pour la recherche des données ou des articles était ?

A

appropriée (bases de données, critère d’inclusion et d’exclusion)

53
Q

quels sont les éléments essentiels d’un essai clinique?

A

il arrive que certains de ces éléments soient manquant en réadaptation. Le clinicien doit évaluer si le fait qu’un de ces éléments soit manquant mène ou non à un biais important qui nuirait à la validité interne et externe de l’étude

54
Q

quels sont les éléments essentiels d’une revue systématique?

A
55
Q

vrai ou faux : il y a des revues systématiques qui évaluent les tests diagnostiques et les tests de suivi.

A

vrai

56
Q

vrai ou faux : Idéalement, seules les études présentant un niveau d’évidence, donc celles dans lesquelles les biais ont été minimisés, devraient être incluses dans une revue systématique

A

vrai

57
Q

vrai ou faux : les essais cliniques randomisés présentant une bonne méthodologie devraient être priorisés au détriment des études quasi expérimentales ou non expérimentales

A

vrai

58
Q

vrai ou faux : il n’est pas rare de voir des revues systématiques qui incluent des études quasi expérimentales ou non expérimentales. Toutefois, la force des recommandations de ces revues systématiques sera plus haute que celle d’une revue systématique incluant seulement des essais cliniques randomisés.

A

FAUX : il n’est pas rare de voir des revues systématiques qui incluent des études quasi expérimentales ou non expérimentales. Toutefois, la force des recommandations de ces revues systématiques sera plus BASSE que celle d’une revue systématique incluant seulement des essais cliniques randomisés.

59
Q

quels sont les éléments essentiels d’une étude qui évalue les qualités diagnostiques d’un test?

A
60
Q

quels sont les les éléments essentiels d’une étude évaluant les qualités métrologiques d’un test de suivi ?

A

Lorsque vous lisez une étude évaluant les qualités métrologiques d’un test de suivi, vous devez vous assurer que la validité, la fidélité et la sensibilité aux changements du test ont été évaluées auprès d’un échantillon représentatif de la population chez qui ce test sera effectué.

61
Q

qu’est-ce que le physiothérapeute doit faire lors de l’étape 4 soit intégrer les résultats à L’expérience clinique et aux valeurs de l’usager

A

il doit mettre en pratique les recommandations en lien avec ces tests.

Il doit tout d’abord identifier les résultats et recommandations les plus importants pour sa réalité clinique. Par la suite, il doit évaluer les recommandations qui sont applicables à sa clientèle. Les résultats de l’évaluation ne seront applicables à un patient donné que si ce dernier n’est pas différent des patients inclus dans l’étude.

Il convient ensuite d’évaluer les risques et les bénéfices potentiels du traitement sur le patient en question. S’il y a des risques, le physiothérapeute doit déterminer la façon de les diminuer.
Le physiothérapeute devra également déterminer les habiletés spécifiques requises.

62
Q

vrai ou faux : EBP se limite à la recherche des données prouvées scientifiquement

A

faux fait aussi appel à l’expertise clinique individuelle pour déterminer la mise en application ou non des preuves dans la prise de décision clinique concernant un pt particulier

aux valeurs et préférences de l’usager

elle vise à améliorer la prise en charge des pt

63
Q

quelle est la 5ieme et dernière étape de EBP?

A

l’évaluation des décisions cliniques prises par le physiothérapeute à partir de l’état direct de l’usager

le physiothérapeute ne doit pas oublier d’interpréter les résultats aux tests de suivi selon la sévérité de l’atteinte, les conditions associées et les facteurs psychosociaux.

64
Q

comment un physiothérapeute peut se tenir à jour dans ses connaissances?

A

vérifier régulièrement dans les bases de données pour voir si de nouvelles données probantes sont disponibles et si des revues systématiques ou des méta-analyses ont été publiées.

65
Q

quels sont les avantages de la pratique basée sur des données probantes?

A
66
Q

quels sont les désavantages de la pratique basée sur des données probantes?

A