Microbiologie UA2 Flashcards
Pourquoi la recherche et identification de la souche bactérienne responsable d’une maladie? pt.1
Déterminer la meilleure thérapie (antibiotique) pour traiter l’infection
Comment? pt.2
En les identifiant par leurs caractères :
- Morphologiques (critères phénotypiques)
- Moléculaires/ Génétiques (critères génotypiques)
- Métaboliques (ensemble des réactions dans une cellule anabolisme et catabolisme)
- Sensibilité aux antibiotiques
Phénotype
Ensemble des caractères apparents d’un individu
Génotype
Composition génétique d’un individu
Étapes de diagnostique bactérienne
- Prélèvement
- Transport
- Mise en culture et isolation
- Identification
Comment identifié morphologie des bactéries Macroscopique vs. Microscopique
- Forme de la colonie
- Couleur
- Élévation
- Rebords
- État frais/coloration
- Mobilité
- Forme de la bactérie
- Regroupement
Identification moléculaire
- Matériel génétique utilisé pour identifier les bactéries
- Identifier les caractéristiques antigéniques de la bactérie
- Présence ou non de toxine
Identification métabolique
- Identification grâce aux fonctions
métaboliques de la bactérie - Besoins pour la croissance
– Température
– pH
– Oxygène
– Nutriments
Diagnostique directe
Permet d’isoler et d’identifier l’agent responsable à partir d’un produit pathologique. Permet un diagnostic de certitude car il permet de visualiser l’agent infectieux en question
Diagnostic indirect
Permet de détecter les anticorps antibactériens spécifiques dans le sérum du malade (Quelle globule blanche est plus présente)
Prélèvement directe
Pris directement du tissu stérile :
Tissu hépatique
Liquide cérébrospinal (LCS), Liquide céphalo-rachidien (LCR)
Sang
Prélèvement indirecte
Prélever un exsudat inflammatoire ayant traversé une région envahi par le microbiote normal (bactéries vivantes avec nous). Exemples: Crachat, urine…
Ce procédé s’accompagne d’un risque élevé d’erreur d’interprétation car l’échantillon peut être contaminé par les germes de la flore normale.
Pour éviter ce genre d’erreur on fait une lecture sélective :
1. Soit ignorer les autres agents infectieux qu’on sait saprophyte
2. Soit utiliser des inhibiteurs de croissance des autres bactéries
Transport des échantillons
Écouvillonnage stérile est le plus utilisé afin de prélever un échantillon
Sauf que cette technique fournit des conditions de survie très pauvre.
Divers milieux de transport peuvent être utilisés afin d’augmenter la viabilité de
certains agents infectieux:
➢ Liquide tampon
➢ Un milieu de transport semi-liquide, contenant les nutriments minimaux
➢ Un milieu de transport pauvre en oxygène
Avoir un bon échantillon:
- En quantité
- Éviter sa contamination en se concentrant sur le tissu malade
- Prélever avant l’instauration du traitement
- Transport rapide de l’échantillon et dans de bonnes conditions
- Température
- Milieu de transport
Préparé l’échantillon
1- on prend une goutte mince de l’échantillon et on l’étale sur une lame :
Frottis
2- examen direct du frottis : état frais
Nous donnons une idée sur la présence bactérienne, la forme et la mobilité
3- Examen après coloration :
Permet une meilleure visualisation des bactéries et/ou des éléments cellulaire.
Avant la coloration il faut faire une fixation du frottis :
Entraine la mort de l’agent infectieux
Permet son adhérence à la lame
Évite également sa déformation
Comment se fait la fixation?
Faire sécher la lame à l’air ou bien la chauffer rapidement en utilisant la
flamme d’un bec Bunsen
Milieu de culture
- Milieu conventionnel
Culture généralisée - Milieu sélectif
Surtout utile pour l’ensemencement d’un échantillon contenant plusieurs
microorganismes
Sélection d’un microorganisme d’intérêt
On utilise parfois les antibiotiques - Milieu sélectif et différentiel
Faire la différence entre deux types de microorganisme
résistance au antibiotique
Antibiogramme : Technique de laboratoire visant à tester la sensibilité d’une souche bactérienne à un ou plusieurs antibiotiques.
* Méthode de diffusion (à disques)
– Antibiotiques diffusent sur une gélose ensemencée
– Gradient de concentration
Diamètre petit/absent = Résistance
Diagnostique virale
Antigènes viraux (exemple : ELISA (Enzyme-Linked Immunosorbent Assay) littéralement « technique d’immunoadsorption par enzyme liée , pouvant être utilisé tant pour
évaluer la présence d’un antigène que celle d’un anticorps dans un échantillon)
Acide nucléique viral (exemple : PCR: Polymerase Chain Reaction) réaction de
polymérisation en chaîne, est une méthode de biologie moléculaire permettant d’obtenir rapidement, in vitro, un grand nombre de segments d’ADN identiques, à partir d’une séquence initiale
Diagnostic sérologique
Permet de déceler les anticorps anti-protéines virales. C’est un moyen de diagnostic indirect. Il faut savoir que ces tests peuvent être positifs alors que l’infection est passée: immunité acquise
Test de diagnostique virale
- Test PCR
- Elisa
Groupes sanguin
- A
- B
- AB
- O
Fonction du système respiratoire
Fournir l’oxygène à l’organisme
Éliminer le dioxyde de carbone
Contrôler le pH sanguin
Nez
L’air peut entrer par le nez et par la bouche car les deux ouvertures amène au pharynx.
o Cils : filtrent les poussières.
o Muqueuse : humidifie l’air.
o Capillaires : (dans la muqueuse) permettent de réchauffer l’air
Pharynx
C’est un conduit en forme d’entonnoir et un passage commun pour l’air et la nourriture.
Il se subdivise en trois parties:
- Nasopharynx,
- L’oropharynx
- Laryngopharynx
Larynx
Il permet le passage du pharynx à la trachée et est constitué de neuf pièces de cartilage
Épiglotte
Pièce de cartilage qui bascule afin de recouvrir la trachée au moment de la déglutition, et ce afin d’éviter que des
aliments pénètrent dans les voies respiratoires
Cordes vocales
Elles sont tendues dans le larynx, et leur
vibration permet de produire des sons
Trachée
C’est un tube composé d’une suite d’anneaux incomplets (en forme de C) de cartilage. Ces cartilages permettent de garder ouvertes les voies respiratoires
Arbre bronchique
La trachée se divise en bronches primaires, l’une se dirigeant vers le poumon droit, l’autre vers le poumon gauche. Chaque bronche primaire se subdivise en bronches secondaires, une pour chaque lobe du poumon. Chaque bronche secondaire se subdivise en bronches tertiaires puis en bronchioles
Alvéoles
Ce sont les unités anatomiques fonctionnelles des poumons. Chacune est formée d’une mince paroi de cellules épithéliales squameuses. De nombreux capillaires parcourent la surface de ces parois. Ici s’effectuent les échanges gazeux par diffusion
Poumon
Ils sont situés dans la cavité thoracique et formés de l’arbre bronchique et des alvéoles. La portion supérieure étroite est
appelée apex, et la portion large appuyée sur le diaphragme se nomme base.
Le poumon droit est divisé en trois lobes (supérieur, moyen et inférieur) et le poumon gauche divisé en deux lobes (supérieur et inférieur). Les lobes sont
séparés par des scissures, deux à droite et une à gauche.
Plèvre
Une mince peau qui recouvre chaque poumon
Plèvre visérale
Couche interne de la plèvre
Plèvre pariétale
Couche externe de la plèvre
Espace pleurale
Régions entres la plèvre viscérale et pariétale; Retrouve le liquide pleurale (diminue la friction et augmente l’adhération)
Processus respiratoire
- Ventilation pulmonaire : échange de gaz entre les poumons et l’atmosphère (inspiration et expiration)
- Respiration externe : échanges gazeux (par diffusion) entre le sang des capillaires pulmonaires et les alvéoles
- Transport des gaz : le système cardiovasculaire transporte l’oxygène et le dioxyde de carbone des poumons aux
cellules et des cellules aux poumons - Respiration interne : échanges gazeux entre le sang des capillaires systémiques et les cellules de l’organisme
Loi de Boyle
Permet d’expliquer la ventilation pulmonaire et explique la relation entre la pression et le volume des gaz qui, eux,
occupent toujours tout l’espace qu’on leur donne:
Si on met un gaz dans un contenant fermé de deux litres, les molécules se
disperseront dans ce volume et exerceront une certaine pression sur les parois du
contenant. Si on met la même quantité de ce gaz dans un contenant deux fois plus petit, le gaz sera comprimé et exercera une pression deux fois plus grande sur les parois du contenant.
L’inspiration
o Lorsque le diaphragme se contracte, il descend.
o La contraction des muscles intercostaux externes soulève la cage thoracique.
o Ceci agrandit le volume de la cavité thoracique et des poumons.
o La pression alors exercée par l’air dans les poumons diminue car le volume augmente.
o Si la pression est moins forte (inférieure à 760 mmHg), l’air de l’extérieur peut pénétrer dans les poumons
L’expiration
o Le diaphragme se relâche, il remonte.
o Lorsque les muscles intercostaux externes se relâchent, la cage thoracique s’abaisse.
o Ceci diminue le volume de la cage thoracique et des poumons.
o La pression augmente donc (supérieure à 760 mm Hg) et l’air sort
Deux type d’échange gazeux
o Externe : Échange gazeux entre les alvéoles et les capillaires
o Interne : Échange gazeux entre les capillaires et les cellules
Quoi transporte la majorité de l’O2 dans le sang?
Hémoglobines
La vitesse à laquelle elle capte et libère
l’oxygène dépend de facteurs :
- pO2 et pCO2,
- température
- pH sanguin
Manières dont le PCO2 est transporté dans le corps?
Trois formes :
Gaz dissous dans le plasma (environ 10 %)
Combiné à la globine de l’hémoglobine (environ 20 %)
Sous forme d’ions de bicarbonate (HCO3-) (environ 70 %)
Nerfs qui affecte la respiration
- nerfs rachidiens intercostaux qui innervent les muscles intercostaux
- nerf rachidien phrénique qui innervent le diaphragme
Lorsque le message nerveux parcourt les nerfs rachidiens intercostaux et phrénique il y a inspiration. La phase d’expiration correspond à une absence de messages nerveux dans ces mêmes nerfs
Combien de respiration par minutes aprox.?
12 à 20 fois par minute
pH normale du sang
7,4
Les poumons aident à maintenir un équilibre sanguin adéquat en éliminant le CO2 qui baisse le pH du sang
Quelle organe peut aidé a baissé le pH du sang?
Rein; Peuvent produire une urine plus acide
Bronchite
Inflammation des bronches, souvent due à une infection virale ou bactérienne. Elle peut être aigüe ou chronique
Pneumonie
Maladie qui touche les poumons, causée par une bactérie nommé le pneumocoque. Elle peut provoquer des troubles au niveau de la respiration puisqu’elle touche le tissu pulmonaire d’un ou des deux poumons
Rhume
Aussi connu sous le nom de rhinopharyngite, est une maladie très fréquente. C’est une infection des fosses nasales et de la gorge. Le rhume reste sans danger si aucune complication rare n’apparaît
Asthme
Maladie respiratoire fréquente et chronique. Elle est due à une inflammation permanente des bronches. L’asthme se déclare par des crises dont la fréquence et l’intensité varient d’un individu à l’autre. Ce sont des épisodes de gêne respiratoire durant lesquels la personne semble essoufflée, ressent une pression dans la poitrine, tousse et présente une respiration sifflante.
Cancer du poumon
La fréquence du cancer du poumon ne fait qu’augmenter. Les premiers symptômes peuvent être la toux, l’essoufflement, les
points au cœur fréquents