METHODE DES TESTS partie 3 (fonc°t affectif et relationnel) Flashcards

1
Q

définition tests projectifs

A

modèle théorique fondé sur Ѱanalyse.
Présuppose l’existence d’1 appareil Ѱique évaluable par méthodes projectives, du nom du méca de défense principal mis en jeu LA PROJECTION
= projection incs des affects et des représentations à l’ext de l’appareil Ѱique sous forme verbale, cptale ou affective.
Particulièrement adaptés à l’éval du fonc°t Ѱique puisque font appel à mécas internes (Ѱiques) et mécas externes (Ѱologiques).

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2
Q

projection

A

opération par laquelle le sujet expulse de soi et localise dans l’autre (personne ou chose) des qualités, sentiments, désirs voire objet qu’il méconnait ou refuse de lui. Défense très archaïque.

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3
Q

test de rorschach

A

Test de tâche d’encre conçu comme outil perceptif pouvant contribuer à l’approche différentielle de la schizo et identifier des styles de personnalité.

Méthode clinique permet évaluation, prévention, ∆c, propositions tttiques. Se fonde sur subjectivité du sujet, son fonc°t Ѱique, relation clinique.

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4
Q

fondements théoriques Rorschach

A
  • L’école de Paris (Chabert, Azoulay, Debray, Rausch) choisit de se baser sur fondement Ѱanalytique : concepts théoriques de métaѰologie freudienne.
  • Exner (US) propose une 2e approche fondée sur Ѱo cogn. Nécessite des recherches supplémentaires de validation de la méthodo de cotation.
  •  Les 2 approches théoriques rendent compte des faits cliniques obtenus grâce aux tâches d’encre : qualité perceptive et dimension projective des tâches elles-mêmes.
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5
Q

2 propositions de méthode théorique Ѱanalytique / RORSCHACH

A
  • l’école fçse des méthodes projectives : opérations mentales mises en œuvre lors passation rendent compte des modalités du fonc°t Ѱique propre à chaque sjt ; en particulier ds no° de continuité de normal et patho.
  • Chabert : Ǝ double sollicitation -> données sensorielles perceptives (= contenus manifestes du test) et données subjectives projectives (= contenus latents).
    L’approche Ѱanalytique permettrait donc de repérer ces contenus.
    2 aspects ds stimulus non figuratif : organisation perceptive à partir de dimension structurale de la forme de la tâche ; éléments chromatiques qui soutiennent dimension sensorielle liée à la clr
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6
Q

proposition d’exner/RORSCHACH

A

Proposition cognitivo-perceptive: Comme l’école de Paris : Cotation des qualités perceptives et de la dimension projective ; et système de cotation fondé sur données empiriques reproductibles et vérifiables.
Mais fondement théorique radicalement ≠ : perspective pragmatique, 4 opérations cognitives :
-processus d’encodage : réception et médiation des qualités du stimulus
-processus de classification du stimulus : hiérarchisation organisée des possibilités évoquées
-rejet de la censure, selon « désirabilité sociale » du sujet
-formulation de la réponse.

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7
Q

perspectives cliniques / RORSCHACH

A

méthode clinique (Ѱo formé aux ≠ méthodo de l’entretien clinique), Indications (objectif ∆c, proposition d’1 PEC tttique adéquate et spé), association TAT (finesse accrue de l’éval diag) ou tests cogn (organisation Ѱique et fonc°t cognitif fortement intriqués), restitution (soumettre les apports, éclaircissements, nouvelles questions).
/!\ à prendre en compte capacités Ѱiques et cognitives du patient à entendre ç propositions sur son fonc°t.

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8
Q

contenu, passation et cotation RORSCHACH

A

10 tâches imprimées sur 10 planches cartonnées. Noir-gris/ noir-rouge/ noir/ pastels. Pas de sens de lecture.
Passation spontanée= ordre standard, réponses chronométrées (pas de bonne ou mauvaise réponse). Recueil du matériel verbal sans rectification.
2e passation = enquête : sjt précise ses réponses.
Cotation sensiblement ≠te selon modèle théorique choisi. 4 catégories de cotation : localisation de la réponse sur la tâche, formulation de la réponse, contenu de la réponse, psce de réponse statistiquement fqtes. Exner a rajouté 2 cotations supplémentaires : degré d’organisation perceptive et cotations spéciales.

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9
Q

interprétation RORSCHACH

A

QUANTITATIVE : données cliniques transformées en données quantitatives (cf résumé formel).
QUALITATIVE: à partir des fondements théoriques de chacun des 2 modèles. évalué en fonction des tables normatives statistiques. Critère de cotation tjs interprété en relation avec d’autres critères de cotation.
Eg -> Exner : déprimé R

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10
Q

définition TAT

A

Murray, 35-> 43. méthode d’évaluation du fonc°t Ѱique, permettant de faire des hypothèses cliniques sur son organisation Ѱique, la qualité des identifications, ses relations d’objet, type d’angoisse spécifique. Permet =t de repérer les mvts d’investissements désinvestissements de l’objet.

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11
Q

fondements théoriques TAT

A
  • Hypothèse théorique de Murray : « Théorisation des besoins-pressions », jugée ensuite peu élaborée par cliniciens fçs. Le sujet s’identifie au personnage central et peut exprimer ses besoins, qui sont côtés en rapport avec les pressions issues de l’environnement.
  • Bellak (1954) : préconise de découvrir le contenu latent derrière le contenu manifeste, avec analyse des mécas de défense.
  • Ecole française de TAT, Shentoub, Debray : construisent et étalonnent une méthode de cotation et d’analyse des ≠ types de mécas de défense repérables ds histoires.identifient pour chaque planche contenu manifeste + contenu latent.
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12
Q

cotation TAT

A

L’analyse planche par planche permet de dégager 1ères impressions, avant d’évaluer contenu manifeste et contenu latent, en fonc° mécas de défenses. permet d’apprécier la QUALITE DU PROCESSUS ASSOCIATIF. Permet de rendre compte de la diversité des patiques Ѱiques, des aménagements défensifs, et poser des hypothèses cliniques quant à l’organisation Ѱique du sjt.

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13
Q

interprétation TAT

A

Fondée sur la présence d’1 CONFLIT entre principe de plaisir et principe de réalité, ente désirs et interdits. On confronte la pbatique Ѱique abordée par le sujet en regard du contenu latent sollicité par les planches : permet de situer le sujet, décisif pour éval ∆c (la pbatique correspond à une organisation Ѱopatho précise).

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14
Q

définition CAT

A

Version pour enfants du TAT ; 4-11 ans. Particulièrement adapté aux enfants. 10 dessins incluant des formes animales en posture humaine (si formes humaines en +: CAT-H).
Cotation et analyse sur mêmes fondements théoriques : le fonc°t Ѱique.
Matériel figuratif marqué par la prégnance de la dynamique conflictuelle, ds registre du conflit oedipien ++.
Dimension centrale de la temporalité ; récit porteur de la charge fantasmatique et des stratégies défensives.

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15
Q

Test des Aventures de Patte Noire

A

Corman, 1972. 4 phases (identification des membres, choix des planches, ≠ce entre planches aimées et non aimées, 3 souhaits à la fée).
Test produit des données cliniques élaborées sous forme de récit, transformées en fonc° des sollicitations projectives et des qualités perceptives de chaque planche.

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16
Q

Test du dessin de famille

A

Corman, 1964 : Enfant 5-6 ans. Test projectif d’évaluation de la personnalité, portant sur les relations familiales, proposé au cours d’1 entretien Ѱo semi-directif.
Permet d’émettre des hypothèses cliniques à propos des besoins, des fantasmes et des régressions de l’enfant, qui pourront être mise en relation avec le fonc°t du système familial.
entretien semi-directif (expression, satisfaction, modif) + 6 questions.

17
Q

interprétation test dessin de famille

A
se fonde sur les mécas associés à la projection, donc au fonc°t de l’appareil Ѱique.
Niveau graphique (tracé des lignes, utilisation clrs), niveau des structures formelles (seul, gpe, schéma corporel), niveau du contenu (type de famille, écarts avec famille réelle).
18
Q

interprétation patte noire

A

Interprétation basée sur le contenu manifeste et le contenu latent des planches (agressivité, culpabilité, complexe d’oedipe…). L’enfant, en se projetant ds les histoires qu’il raconte, va exprimer ses conflits incs

19
Q

test dessin du bonhomme

A

Goodenough, années 20: Détermine l’âge mental et QI pour classer l’enfant en avance/ normal/ en retard. 1 élément Kque = 1 point.
Harris (1963) : modif importantes, sépare dessins selon sexe du bonhomme, multiplie le nb d’éléments caractéristiques.
Révision de Boyer (1977): Evaluation avec échelle de maturité sur détails évolutifs du dessin par rapport à l’âge de l’enfant et évaluation de la dimension affective projetée ds le dessin.

20
Q

interprétation test du bonhomme

A

Versant affectif = évalué en fonc° de représentation des conflits Ѱiques et des mécas de défense que l’enfant projette ds dessin.
Versant perceptif = renvoie aux Kiques proprement Ѱologiques, tq estime de soi, type de relation avec autrui.

Test aide à repérer les enfants ayant des tbles spécifiques (eg déficience intellectuelle, tbles langage)

21
Q

définition tests non projectifs

A

modèle théorique fondé sur la Ѱo cognitive, qui théorise un fonct°t cognitif et émotionnel d’origine cérébrale et neurologique, fondée sur LA PERCEPTION, méca Ѱo cs.
= perception cs des sentiments, d’autrui, des relations avec les autres, donc du monde ext.

22
Q

définition perception

A

processus de recueil et de ttt de l’info sensorielle.

23
Q

définition FACES

A

Olson, 85-2009 : étudie le fonc°t familial d’une famille ou de sujets à partir de 3 concepts théoriques : cohésion, flexibilité et communication ; constituant ainsi une éval ponctuelle de l’équilibre familial. Peut être utilisé comme outil ∆c et ou ttque. Ѱdvptale.
Kques Ѱologiques du fonc°t familial / modèle Circumplex = grille d’analyse des scores des sjts en terme de cohésion et flexibilité.

24
Q

définition cohésion familiale

A

concept exprimant les liens, les attaches émotionnelles, les sentiments entre les ≠ membres de la famille ; ainsi que degré d’autonomie de chaque personne au sein du système familial.EVALUATION= déterminée par +sieurs aspects du cpt indépendance, limites familiales, coalition, temps, espace, amis, prise de décicion, intérêts, loisirs.

25
Q

définition flexibilité familiale

A

possibilité d’une famille à modifier ses règles de vie en situation particulière. EVALUATION= idem/ cpt assurance, autorité, discipline, négociation, rôles, règles,
feed-back.

26
Q

définition communication

A

dimension facilitatrice à travers laquelle la famille peut modifier son niveau de cohésion et de flexibilité. Si ouverte et positive : permet à la famille de passer d’un
niveau à un autre, de retourner à un niveau équilibré. EVALUATION= selon qualités d’expression, écoute, ouverture, clarté, continuité, respect et considération

27
Q

construction de l’échelle FACES

A

2 Echelles équilibrées pour dimensions centrales (cohésion et flexibilité) ; échelles déséquilibrées : 2 extrêmes de cohésion (désengagement fusion) et 2 extrêmes de flexibilité (chaos rigidité).
-10 items relatifs à la communication.
-10 items relatifs satisfaction.
Echelle de Likert.

28
Q

caractéristiques du fonc°t familial

A

équilibrée (score élevé/ dim équilibrées, bas/ 4 dim désép, famille ordinaires)
cohésives rigides (score élevé cohésion-rigidité, bas / ts autres, fonc°t ok si pas de chgt), moyennes (scores moyens partout sauf rigidité, fonc°t ok).
désép flex (scores élevés sur ttes dim sauf rigidité, bonnes capacités d’adaptation mais diff à catégoriser), déséq chao (score bas / 2 dim équi, score bas / fusion rigidité, famille pbatiques, peu de prox

29
Q

hypothèses théorico-cliniques FACES

A

Familles équilibrées mieux adaptées, Mieux traverser les transitions, Fonctionnement ds l’extrême de façon transitoire, retour à l’équilibre ds tps bref.
Cohésion et de flexibilité se modifient pour répondre aux situations de stress et franchir étapes de vie.
Aptitudes communicatives positives permettent adaptation et chgt de niveau de cohésion et de flexibilité si nécessaire, avant retour à l’équilibre.
 Hypothèses de chgt au cours du temps  modèle théorique relevant de Ѱo dvptale.
L’étape de vie ds laquelle se trouve couple ou famille a impact important sur système familial.

30
Q

définition attachement

A

Bowlby, satisfaction du besoin inné chez les bébés de proximité et le sentiment de sécurité procuré par cette proximité. compréhension théorique de la genèse du lien fondamental entre un bébé et ceux qui l’élèvent, comme un besoin primaire d’attachement.

31
Q

types d’attachement

A

« Situation étrange » de Mary Ainsworth (1963) : enfant d’1 an, activation des cpts d’attachement en induisant léger stress par départ et retour à +sieurs reprises de son parent.

32
Q

IPPA

A

Armsden et Greenberg, 87-2006, Inventory of Parent and Peer Attachement. Evalue la qualité de l’attachement d’1 sujet ado par rapport à ses parents et à ses pairs, au travers des dimensions affectives et cognitives de ses parents et ses amis proches. Auto-questionnaire. 3 dimensions: confiance (confiance mutuelle et respect), com, sentiment d’abandon (colère et abandon).

33
Q

conclusion échelles du fonc°t affectif et relationnel

A

METHODOLOGIES DIFFERENTES SELON REFERENTIEL THEORIQUE POUR ETUDE DU FONC°T AFFECTIF ET RELATIONNEL : PERCEPTIF/PROJECTIF.
CPT ET ATTITUDES -> EVAL FONDEE SUR PERCEPTION, QUESTIONNAIRE ѰOMETRIQUE. EXPLORATION DES KQUES EXTERIEURES DONC EXPLICITES DU FONC°T DE LA PERSONNALITE.
AFFECTS ET CONFLITS ѰIQUES -> EVAL FONDEE SUR PROJECTION. EXPLORE LES KQUES IMPLICITES DU FONC°T DE LA PERSONNALITE. EVAL DES TBLES ѰOPATHO.