Mémoire et émotion Flashcards

1
Q

L’attention est ce qui permet de mener l’information de la mémoire sensorielle à la mémoire à court terme.

A

Vrai, La mémoire sensorielle (ou mémoire immédiate) est l’aptitude à garder un événement en mémoire pendant quelques dixièmes de secondes (200 à 300ms). Elle comprend un mémoire iconique (visuel) et une mémoire échoïque (auditive). La mémoire sensorielle/immédiate n’est pas accessible à la conscience. Avec l’attention, l’information peut se rendre à la conscience à la mémoire à court terme.

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2
Q

Plusieurs régions cérébrales sont impliquées à la fois dans la mémoire et les émotions

A

Vrai, Le système limbique comporte plusieurs structures qui sont impliqués à la fois dans la mémoire et les émotions. Par exemple, l’aire septale (SA) dans le système limbique est impliqué dans la mémoire et les émotions.

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3
Q

Une lésion de l’amygdale provoque une amnésie antérograde

A

Faux, Une lésion de l’amygdale provoque une amnésie de la mémoire émotionnelle. Une lésion temporale mésiales bilatérale qui touche l’hippocampe et l’amygdale provoque une encéphalite herpétique, résections chirurgicales (patient HM), anoxie cérébrale, maladie d’Alzheimer. Une ablation de l’amygdale unilatérale provoque un comportement placide face aux événements vue par l’œil ipsilatérale à l’ablation.

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4
Q

Suite à une lésion de l’hippocampe, la capacité de mémorisation est atteinte.

A

Vrai, L’hippocampe est responsable de la mémoire sémantique et la mémoire épisodique. Une lésion temporale mésiales bilatérale qui touche l’hippocampe et l’amygdale provoque une encéphalite herpétique, résections chirurgicales (patient HM), anoxie cérébrale, maladie d’Alzheimer.

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5
Q

Il est plus facile de mémoriser une information seule qu’une combinaison d’information.

A

Faux, Il est plus difficile de mémoriser une information seule qu’une combinaison d’information. Plus un souvenir sera codé, élaboré, organisé, structuré, plus il sera facile à retrouver. Les informations isolées se mémorisent moins bien que les informations associées à des connaissances existantes.

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6
Q

La mémoire à court terme permet de manipuler les informations en temps réel

A

Faux, C’est la mémoire sensorielle/mémoire immédiate (fraction de secondes) qui permet de manipuler les informations en temps réel.

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7
Q

La mémoire à court terme et la mémoire de travail ont une capacité et une durée limitée

A

Vrai,En effet, la mémoire à court terme et la mémoire de travail ont une capacité d’environ 7 à 9 éléments en moyenne ainsi qu’une durée d’environ 12 secondes (pour que l’information pertinente persiste, elle doit être réactivée en permanence par répétition). 7-9-12 !!

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8
Q

La mémoire sensorielle est améliorée par la répétition

A

Faux, C’est la mémoire à court terme et la mémoire de travail qui son améliorée par la répétition.

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9
Q

Mémoire à court terme et mémoire de travail sont synonymes

A

Faux, MCT et MDT ne sont pas synonymes. Elles fonctionnent ensemble, mais elles ne sont pas synonymes. La MDT est quand on traite l’information. Si on fait seulement écouter sans traiter, c’est de la mémoire à court terme (MCT).

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10
Q

Pour améliorer sa mémoire à long terme, il est important d’améliorer ses stratégies de mémorisation

A

Vrai, L’étape du processus mnésique de stockage/consolidation permet de maintenir l’information en mémoire. Ça met en jeu un système de consolidation qui confère aux informations qui viennent d’être encodées un statut durable par des stratégies volontaires (des exercices, de la révision) et des mécanismes biochimiques (le sommeil).

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11
Q

L’oubli est nécessaire pour retenir l’information essentielle

A

Vrai, L’oubli peut être causé par des ratés à chacune des étapes : mauvais encodage, trace insuffisamment consolidé ou difficulté de récupération. Toutefois la capacité à oublier, à «effacer» des informations dénuées d’intérêt est aussi essentielle que la capacité à retenir des informations.

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12
Q

Une personne qui a de la difficulté à parler et cuisiner en même temps a probablement une faible mémoire de travail

A

Vrai, La mémoire de travail nous permet de faire plusieurs choses en même temps.

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13
Q

Si la mémoire à court terme est altérée, il est important en réadaptation de formuler des consignes orales simples

A

C’est vrai. Si la personne n’est pas capable de retenir les informations pour une durée d’environ 12 secondes et qui contient 7 à 9 éléments (MCT et MDT), il faut dire des consignes simples parce que la personne ne se souviendra pas de tout ce qu’on dira après de toute façon.

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14
Q

L’hippocampe est impliqué dans la mémoire déclarative

A

Vrai, L’hippocampe est impliqué dans les deux types de mémoires déclaratives, soit la mémoire sémantique (Connaissances : savoir et comprendre) et la mémoire épisodique (Souvenirs : revivre consciemment des expériences antérieurs et les attribuer au passé).

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15
Q

L’hippocampe est impliqué dans la mémoire procédurale

A

Faux, L’hippocampe est impliqué dans la mémoire déclarative

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16
Q

La mémoire émotionnelle implique l’amygdale, le cortex orbitofrontal et le gyrus fusiform

A

C’est vrai. Aussi, cette mémoire est non accessible à la conscience. La mémoire émotionnelle fonctionne en parallèle avec la mémoire déclarative.

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17
Q

Le fait de retenir une information pendant 10 minutes fait appel à la mémoire à court terme

A

Faux,Le mémoire à court terme permet de retenir les informations pour une durée d’environ 12 secondes. Le fait de retenir une information pendant 10 minutes fait appel à la mémoire à long terme (MLT) qui dure de quelques dizaines de secondes à des dizaines d’années.

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18
Q

Conduire est un apprentissage de type procédural

A

Vrai, La mémoire procédural fait partie de la mémoire à long terme. C’est une mémoire sensorimotrice qui implique les actions, comme conduire.

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19
Q

La mémoire déclarative comprend la mémoire sémantique et émotionnelle

A

Faux, Les deux types de mémoires déclaratives sont la mémoire sémantique (Connaissances : savoir et comprendre) et la mémoire épisodique (Souvenirs : revivre consciemment des expériences antérieurs et les attribuer au passé).

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20
Q

Chaque sous-système de la mémoire à long terme est indépendant des autres

A

Vrai, En effet, chaque sous-système de la mémoire à long terme peut être atteint indépendamment des autres.

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21
Q

Le cas H.M. est un exemple de dissociation entre mémoire procédurale et mémoire épisodique

A

Vrai, (déclarative). H.M. présentait des crises épileptiques sévères suite à un traumatisme crânien, C’est à 27 ans qu’il subit une opération sur la face interne du lobe temporal qui résulte au retrait du cortex, de l’amygdale, des deux tiers antérieurs de l’hippocampe et du cortex parahippocampique. Comme résultat, les crises d’épilepsie disparaissent, mais le patient présente une amnésie rétrograde d’une durée de 6 mois et une amnésie antérograde sévère

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22
Q

Une amnésie rétrograde est une incapacité ou une difficulté marquée à former de nouveaux souvenirs

A

Faux, Une amnésie rétrograde est une amnésie qui touche les souvenirs avant un accident. L’amnésie peut remonter à une durée de temps différente pour chaque personne atteinte.

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23
Q

Le circuit de Papez est impliqué dans l’encodage de l’information

A

Faux,(1e étape). Le circuit de Papez est impliqué dans le stockage / la consolidation de l’information.

24
Q

Le circuit de Papez est impliqué dans le stockage / la consolidation de l’information

A

Vrai, C’est la deuxième étape du processus mnésique. C’est le maintien en mémoire de l’information. PAPEZ STOCK ET CONSOLIDE !!

25
Q

Le circuit de Papez est impliqué dans la récupération de l’information

A

Faux, (3e étape). Le circuit de Papez est impliqué dans le stockage / la consolidation de l’information.

26
Q

Le syndrome de Korsakoff est une atteinte du circuit de Papez

A

Vrai, En effet, le syndrome de Korsakoff est une atteinte du circuit de Papez. Il est la majeure partie du temps consécutif à l’éthylisme chronique (carence en vitamine D et carence alimentaire). Il présente un tableau d’amnésie standard, une amnésie rétrograde (++ que amnésie standard), des fabulations plausibles et fantastiques, des fausses reconnaissances sur les personnes et beaucoup d’anosognosie (oublier qu’on oublie).

27
Q

Le syndrome amnésique est souvent associé à une anosognosie

A

Vrai, En effet, le syndrome amnésique occasionne fréquemment une anosognosie, soit d’oublier qu’on oublie.

28
Q

Dans le syndrome amnésique il n’y a pas d’amnésie rétrograde

A

Faux, Dans le syndrome amnésique, il y a une perturbation de la mémoire épisodique, une amnésie antérograde, une frange variable d’amnésie rétrograde ainsi qu’une anosognosie fréquente (oublie qu’on oublie).

29
Q

Un ictus amnésique survient systématiquement après un TCC

A

Faux, Un ictus amnésique a une survenu brutale qui n’est pas dû à un traumatisme. C’est un syndrome amnésique transitoire.

30
Q

La gravité de l’amnésie post-traumatique est fortement corrélée à la gravité du TCC

A

Vrai, En effet, l’APT est consécutive à un TCC avec coma. Période de durée variable d’amnésie antérograde totale accompagnée d’amnésie rétrograde avec gradient temporel; Récupération progressive; corrélée à la gravité du TCC : TCC grave si APT > 24 heures; prédictive des séquelles : probabilité forte de séquelles mnésiques définitives si APT > 3 semaines.

31
Q

L’amnésie épileptique transitoire dure généralement plus d’une heure

A

Faux, L’amnésie épileptique transitoire a une durée brève, soit de moins d’une heure. C’est des crises temporales avec un comportement normal et adapté pendant l’épisode oublié. Il y a un caractère répétitif des crises.

32
Q

Émotion et humeur sont synonymes

A

Vrai, Une émotion dure de quelques secondes à quelques heures et une humeur dure de quelques heures à quelques jours, mais ils sont essentiellement la même chose.

33
Q

Les émotions provoquent des changements au niveau du système nerveux végétatif

A

Vrai,Lors d’une émotion, il y a des changements d’activité du système nerveux végétatif, soit au niveau de la sudation, de la fréquence cardiaque, du débit sanguin (rougissement ou pâleur), de la piloérection et de la motilité intestinale.

34
Q

L’aire septale est impliquée uniquement dans les processus émotionnels

A

Faux, L’aire septale est impliqué dans les processus émotionnels et dans la mémoire.

35
Q

L’amygdale est impliquée dans la signification émotionnelle

A

Vrai, L’expérience de Downer (1950) chez le singe prouve cela. Après une ablation unilatérale de l’amygdale et la section du chiasme optique et des commissures reliant les deux hémisphères :
Œil ipsilatéral à l’amygdale intact = comportement craintif envers l’homme et fréquemment agressif
Œil ipsilatéral à la lésion = comportement placide

36
Q

L’amygdale joue un rôle primordial dans le vécu et la reconnaissance de la peur

A

Vrai, Si une personne a une lésion des amygdales, elle a une difficulté à percevoir le contenu émotionnel et à ressentir la peur. L’amygdale est impliquée dans la mémoire émotionnelle.

37
Q

Toutes les stimuli émotionnels sont perçus de manière similaire d’une personne à l’autre

A

Faux, Les stimuli émotionnels ne sont pas perçus de manière similaire d’une personne à l’autre.

38
Q

Les aires préfrontales médiales sont importantes dans les émotions

A

Vrai, Toutes les aires préfrontales sont impliqués dans la régulation volontaire et automatique des émotions. Dans le cas de lésions préfrontales médiales, il y a de l’apathie, une absence d’émotions ressenti et de la difficulté à percevoir les émotions d’autrui.

39
Q

D’un point de vue des émotions, la localisation de la lésion au niveau du cortex préfrontal a peu d’importance cliniquement puisque toutes les lésions du cortex préfrontal conduisent à un tableau clinique similaire

A

Faux, Le cortex préfrontal médial est impliqué dans la boucle émotionnel (avec le striatum ventral et les noyaux thalamiques). Cette boucle cortico-basale ganglio-thalamique est impliquée dans le circuit de la récompense et la recherche du plaisir. Dans le cas de lésions préfrontales médiales, il y a de l’apathie, une absence d’émotions ressenti et de la difficulté à percevoir les émotions d’autrui.
Dans les lésions orbitofrontales ont un tableau clinique différent. Il y a un trouble d’inhibition comportemental. Il y a désinhibition, impulsivité et liabilité émotionnelle (Changement abrupt de l’état émotionnel sans raison particulière, réponse émotionnelle involontaire et inappropriée (rires et pleurs pathologiques), émotion déclenchée par des stimuli non spécifiques)

40
Q

La labilité émotionnelle est un état normal

A

Faux, La liabilité émotionnel n’est pas un état normal. Elle est une conséquence d’une lésion orbitofrontale. La liabilité émotionnelle cause des changements abrupts de l’état émotionnel sans raison particulière, des réponses émotionnelles involontaires et inappropriées (rires et pleurs pathologiques) ainsi que des émotions déclenchées par des stimuli non spécifiques)

41
Q

Les aires préfrontales et le cortex cingulaire rostral sont impliqués dans la régulation émotionnelle

A

Vrai,La régulation émotionnel implique toutes les aires préfrontales (régulation volontaire et automatique) ainsi que le cortex cingulaire rostral (déviation de l’attention du stimulus émotionnel)

42
Q

La boucle émotionnelle explique pourquoi il est difficile de se maintenir à un régime alimentaire strict

A

C’est vrai, parce que la boucle émotionnelle est impliquée dans le circuit de la récompense et la recherche du plaisir. Quand on mange, on est récompensé par cette boucle émotionnelle.

43
Q

Le circuit de la récompense est un circuit sous-cortical

A

Faux, Le circuit de la récompense n’est pas un circuit sous-cortical. Il implique les composées du cortex préfrontal médial, le stiatum ventral et les noyaux thalamiques.

44
Q

Dépendance est addiction sont synonymes

A

Faux,La dépendance: Envie de consommer à nouveau la substance psychoactive, pour ne pas subir les effets désagréables consécutifs à l’arrêt de sa prise. Il s’agit ici de retrouver son état normal, et non plus de se sentir mieux.
L’addiction: Incapacité pour l’individu de s’empêcher de consommer la substance, bien qu’ayant connaissance des conséquences négatives qui s’ensuivront.

45
Q

Plusieurs mécanismes distincts permettent d’expliquer les addictions

A

Vrai,
Recherche de plaisir : (augmentation de la motivation à consommer de la drogue). Au début de l’addiction, plaisir à consommer la substance addictive => libération de dopamine dans le noyau accumbens. À long terme, perturbation du système : besoin incessant de plaisir (craving)

Recherche de soulagement et de bien-être => libération de sérotonine et activation des récepteurs aux endorphines (antalgique endogène et sensation de bien-être). Stimulation répétée -> diminution de la production endogène d’endorphine -> augmentation de la tolérance

À long terme, modification de la plasticité synaptique -> modifie les souvenirs liés à l’expérience pour le rendre encore plus agréable

46
Q

Dans l’addiction, la personne a conscience des connaissances négatives liées à la drogue mais ne peut pas s’empêcher de consommer

A

Vrai, L’addiction: Incapacité pour l’individu de s’empêcher de consommer la substance, bien qu’ayant connaissance des conséquences négatives qui s’ensuivront.

47
Q

Les noyaux thalamiques sont impliqués dans la boucle émotionnelle

A

Vrai, La boucle émotionnelle implique les composées du cortex préfrontal médial, le striatum ventral et les noyaux thalamiques.

48
Q

Le syndrome de Korsakoff est un désordre émotionnel en conséquence de l’alcoolisme chronique

A

Faux, Le syndrome de Korsakoff est une atteinte du circuit de Papez. Il est la majeure partie du temps consécutif à l’éthylisme chronique (carence en vitamine D et carence alimentaire). Il présente un tableau d’amnésie standard, une amnésie rétrograde (++ que amnésie standard), des fabulations plausibles et fantastiques, des fausses reconnaissances sur les personnes et beaucoup d’anosognosie.

49
Q

Les fabulations sont caractéristiques du syndrome de Korsakoff

A

Vrai, Fabulations plausibles : Utiliser ce qu’il y a dans son environnement et se fait des souvenirs par rapport à ça. Elle crée des souvenirs qui sont faux. Ex: Écouter une émission et le lendemain dire que le personnage principal est son marie.
Fabulations fantastiques : Créer des souvenirs qui ne sont pas possibles, comme que la personne a passé la soirée avec un extra-terrestre.

50
Q

La mémoire joue un rôle dans les addictions

A

Vrai, La plupart des drogues agissent sur le système limbique. À long terme, il y a une modification de la plasticité synaptique qui modifie les souvenirs liés à l’expérience de pris de substance pour les rendre encore plus agréables.

51
Q

Le craving s’explique par le réseau dopaminergique

A

Vrai, Recherche de plaisir : (augmentation de la motivation à consommer de la drogue). Au début de l’addiction, plaisir à consommer la substance addictive => libération de dopamine dans le noyau accumbens. À long terme, perturbation du système : besoin incessant de plaisir (craving)

52
Q

Les personnes qui souffrent d’addiction ont souvent un manque de volonté

A

Faux, L’addiction ne représente ni une faiblesse, ni un manque de volonté.

53
Q

Le cortex cingulaire rostral est responsable de la déviation de l’attention du stimulus émotionnel

A

Vrai, De ce fait, le cortex cingulaire rostral est impliqué dans la régulation émotionnelle.

54
Q

Chez les individus avec schizophrénie l’activité du cortex préfrontal médial est réduite

A

Vrai, En effet, ces individus peuvent avoir des symptômes qui s’apparentent aux lésions préfrontales médiales, soit de de l’apathie, une absence d’émotions ressenti et de la difficulté à percevoir les émotions d’autrui.

55
Q

La dépression majeure est un trouble émotionnel

A

Faux