Livre (L'observation psychoéducative) Flashcards

1
Q

Quel est le rôle particulier de l’observation par rapport à l’ensemble des opérations professionnels de la psychoéducation ?

A

C’est le POINT DE DÉPART qui permet d’enchaîner les autres.

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2
Q

Qu’est-ce que l’observation, à titre de méthode scientifique, apporte d’essentiel au recueil de données dans le domaine des sciences humaines ?

A

Une RIGUEUR nécessaire à l’observateur afin de composer avec les obstacles liés à la perception et aux impressions.

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3
Q

Plusieurs auteurs ont tenté de définir plus spécifiquement l’observation, mais s’entendent sur le fait que l’action de base consiste à : « interpréter ce que l’on voit ».

Pourquoi Pedinielli (1994) dit que « le terme ‘‘observation’’ est ambigu » ?

A

Car il représente en réalité DEUX ACTIONS/ÉTAPES.

Il désigne à la fois le processus de PERCEPTION et celui de la DESCRIPTION.

  1. Opérations d’enregistrement de l’information (par nos sens ou un support technique)
  2. Codage des comportements
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4
Q

Si on s’entend pour dire que l’observation inclut inévitablement une étape de description postérieure, quelle étape ANTÉRIEURE s’ajoute lorsqu’on place l’observation dans une démarche scientifique ?

  1. ???
  2. Observer (activité perceptuelle de collecte de données)
  3. Décrire (compte-rendu du contenu observé)
A
  1. Chercher (se questionner par rapport aux phénomènes)
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5
Q

Vrai ou faux :

Pour étudier l’humain, l’observation est une étape et un outil scientifique essentiel, solide et suffisant.

A

Faux.

L’observation n’est pas suffisante pour étudier l’humain.

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6
Q

Il est impossible pour un observateur de tenir compte de l’ensemble des variables à la compréhension globale et complexe des comportements d’un individu.

C’est pourquoi l’observation à elle seule n’est pas suffisante : parce qu’elle représente un point de vue _________________.

a) réductionniste
b) holiste

A

a) réductionniste

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7
Q

Associez ces faits marquants de l’histoire de l’observation aux décennies correspondantes :

A.
- La pratique de l’observation devient plus rigoureuse
- Développement des méthodes d’échantillonnage
- Développement de l’observation qualitative

B.
- L’observation des comportements perd un peu de terrain en sciences humaines (mais reste essentielle)
- La place est prise par d’autres types de collectes de données (questionnaires psychométriques, entrevues structurées et semi-structurées)

A

A. 1930
B. 1960

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8
Q

Qui suis-je ?

Indice 1 : « Je me suis surtout développée par l’intermédiaire des sciences sociales. »

Indice 2 : « J’exige aux observateurs de s’adapter au milieu social qu’ils souhaitent étudier. »

Indice 3 : « Je suis une approche écologique. »

A

L’observation directe

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9
Q

Trouvez l’intrus!
Quel élément de cette liste n’est PAS une méthode d’observation INDIRECTE ?

a) Analyser l’activité cérébrale par IRM
b) Questionner un participant témoin
c) Observer le sujet à travers une vitre sans tain
d) Déterminer le niveau de cortisol par une analyse de salive

A

b) Questionner un participant témoin

(Ça équivaut à une observation directe)

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10
Q

Contrairement à plusieurs scientifiques, qui perçoivent l’observation et l’intervention comme des actes séparés, les intervenants en sciences humaines considèrent que ces deux opérations sont interreliées. Pourquoi ?

A

L’observation permet d’orienter l’intervention
&
L’intervention permet de valider les observations

(Réaliser une opération en SACHANT qu’elle influence la seconde est un risque de subjectivité)

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11
Q

Selon Angers et Bouchard (1978), l’objectivité pure est impossible à appliquer dans le contexte de l’observation participante, à laquelle ils attachent plutôt le concept d’« intersubjectivité ».

En vos mots, expliquez ce que ces auteurs tentent d’expliquer avec ce terme.

A

Voir p.30 si pas certain.e.s de nos réponses.

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12
Q

Vrai ou faux :

Ce n’est qu’en 1973 que l’éthologie a été reconnue comme discipline scientifique.

A

Vrai. (Par l’attribution de 3 premiers prix Nobel, dont un à notre grand chum Nikolaas Tinbergen)

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13
Q

Vrai ou faux :

L’observation psychoéducative est utile pour tous les champs d’activités professionnelles, sauf pour le rôle-conseil.

A

Faux.

Elle est l’étape la plus essentielle des opérations professionnelles et est donc utilisée par TOUS les psychoéducateurs !

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14
Q

Le premier élément constitutif de l’observation psychoéducative est la problématique (vécue par l’individu), qui implique que l’intervenant doive formuler des hypothèses quant à trois éléments.

Lequel manque à cette liste ?

  1. La nature et la manifestation des difficultés
  2. Les causes (ou facteurs de risques) favorisant l’apparition des difficultés
  3. ???
A
  1. Les facteurs de maintien
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15
Q

Le second élément constitutif de l’observation psychoéducative est la planification de la collecte de données d’observation.

a) Quels sont les deux formes de cibles déterminées durant cette planification ?
b) Qu’est-ce qui les distinguent ?

A

a)
1. Les objectifs d’observation
2. Les centrations d’observation

b)
Objectifs = Inadaptations (au sens global) sur lesquels l’observation sera orientée
Centrations = Comportements (quoi?) et contextes précis (où? quand? qui?) à observer pour chaque objectif défini

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16
Q

Pour réaliser l’analyse des observations, il faut regrouper les données collectées selon le type de classement le mieux adapté aux besoins de notre démarche.

  1. Regroupement basé sur les dimensions du développement
  2. Regroupement basé sur les capacités adaptatives et les difficultés d’adaptation
  3. ???
  4. Regroupement basé sur les dimensions du fonctionnement

a) Quelle est le type de classement manquant ?

A

a) Regroupement basé sur la structure d’ensemble

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17
Q

Pour réaliser l’analyse des observations, il faut regrouper les données collectées selon le type de classement le mieux adapté aux besoins de notre démarche.

  1. Regroupement basé sur les dimensions du développement
  2. Regroupement basé sur les capacités adaptatives et les difficultés d’adaptation
  3. ???
  4. Regroupement basé sur les dimensions du fonctionnement

b) Quelles sont les 4 dimensions du développement ? (ATTENTION : DIFFÉRENTES DU COURS DE STEPH)

A

b)
1- Sociale-émotionnelle
2- Cognitive
3- Langagière
4- Physique

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18
Q

Pour réaliser l’analyse des observations, il faut regrouper les données collectées selon le type de classement le mieux adapté aux besoins de notre démarche.

  1. Regroupement basé sur les dimensions du développement
  2. Regroupement basé sur les capacités adaptatives et les difficultés d’adaptation
  3. ???
  4. Regroupement basé sur les dimensions du fonctionnement

c) Quelles sont les 5 dimensions du fonctionnement ?

A

c)
1- Comportementale
2- Émotionnelle
3- Cognitive
4- Interpersonnelle (ou sociale)
5- Le concept de soi

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19
Q

Comment appelle-t-on communément le résultat de l’interprétation des données par le professionnel ?

A

Le jugement clinique.

20
Q

Qui suis-je ?

« Je suis une étape déterminante du processus d’observation car j’ai un impact direct sur la mobilisation de l’individu et des autres acteurs concernés par le processus de changement. »

A

La communication des informations.

21
Q

Complétez l’énoncé suivant :

« Les considérations normatives, législatives et __________________ représentent les critères EXTÉRIEURS au psychoéducateur et sont de nature à alimenter son objectivité durant l’observation. Inversement, les considérations ________________ représentent des critères INTÉRIEURS au psychoéducateur, lesquelles peuvent entraîner des biais liés à la subjectivité. »

A

déontologiques
éthiques

22
Q

Nommez trois menaces potentielles à la validité et à la fiabilité des données d’observation.

A

Pages 65 à 67 pour valider.

23
Q

a) Qu’est-ce qui constitue l’objectif d’observation principal de l’intervention psychoéducative ?

b) Quelles sont les trois centrations découlant de cet objectif ? (indice : Pad…Pex…Pad+Pex… 😉)

A

a) L’adaptation humaine

b)
1. Le sujet
2. Son environnement
3. L’interaction entre les deux

24
Q

Le principal défi adaptatif de l’humaine réside dans sa capacité à s’adapter à …

A

…son environnement social.

25
Q

Vrai ou faux :

La préoccupation adaptative de la psychoéducation vise l’évitement de la marginalisation et l’accroissement de la qualité des relations entre l’individu et ses environnements.

A

Faux.

(Ne vise pas l’évitement de la marginalisation!)

26
Q

Considérant que la marginalisation est une conséquence indéniable de l’aliénation sociale et qu’elle est souvent source de souffrance, pourquoi n’est-elle pas systématiquement incluse dans la préoccupation adaptative de la psychoéducation ?

A

Car l’évitement de la marginalisation n’équivaut pas à l’épanouissement en société… Ça indique seulement un degré minimal de conformité auprès de la majorité :

–> L’assujettissement à la norme sociale n’est pas garante de l’adaptation.
–> Les comportements fonctionnels au sein de l’environnement social ne sont pas toujours signe d’une réponse adéquate aux besoins du sujet.
–> Le respect des valeurs culturellement dominantes et des attentes sociales peut parfois indiquer l’inadaptation (ex.: identité de genre refoulée, masking de la neurodivergence… vouloir construire un mur entre les USA et le mexique 🤡)

27
Q

La perspective normative étant insuffisante pour évaluer l’adaptation humaine, quelles sont les deux autres perspectives théoriques qui permettent une meilleure compréhension des enjeux liés à la personne ? (indices : Erikson, ACT)

A
  1. Perspective psychodynamique
  2. Perspective cognitive-comportementale
28
Q

Selon chacune de ces approches théoriques liées à la personne, décrivez l’individu adapté :

  1. Perspective normative
  2. Perspective psychodynamique
  3. Perspective cognitive-comportementale
A
  1. Il respecte les valeurs socioculturelles dominantes, les attentes sociales, les règles de conduites et les modes du groupe social auquel il appartient.
  2. Son Moi est développé; il est donc engagé dans sa vie, créateur, mobile et transformable.
  3. Son bien-être psychologique se traduit par l’adoption de comportements positifs et sociables.
29
Q

Considérant qu’elle représente l’influence théorique principale en ce qui concerne la centration sur l’environnement, nommez deux avantages de l’adoption de la perspective communautaire en psychoéducation.

A
  1. Excellent moyen d’intervenir en milieu naturel (vécu éducatif partagé)
  2. Permet d’intervenir sur les structures sociales afin que l’environnement réponde mieux aux besoins de la personne

(Pour valider d’autres réponses, voir p.81)

30
Q

À l’aide des indices ci-dessous, pouvez-vous nommer les deux perspectives théoriques liées à l’interaction personne/environnement ?

  1. Indice : Facteurs de risque et de protection
  2. Indice : Le tout est plus grand que la somme des parties
A
  1. Perspective psychodéveloppementale
  2. Perspective systémique
31
Q

Inspiré par le modèle piagétien, Renou, a proposé le concept des « Pôles de l’intervention psychoéducative » (2005). Y est inclus deux pôles représentant les réalités subjective et objective qui entrent en interaction, puis l’intervention psychoéducative, à titre de 3e pôle, qui interagit avec toutes les autres zones (les 2 réalites + l’interaction entre les 2).

Quel concept est associé à chacune des réalités ?

Pôle 1 : Réalité subjective = ???
Pôle 2 : Réalité objective = ???

A

Subjective = Perception du client

Objective = Conditions environnementales

32
Q

Quelles sont le deux catégories d’interactions proposées par Gendreau (2001), et à quels éléments de la structure d’ensemble sont-ils associés ?

A
  1. Interactions structurelles (composantes satellites)
  2. Interactions relationnelles (axe central)
33
Q

Définissez ce qui distingue une interaction existentielle d’une interaction expérientielle.

A

Interaction existentielle : Influence des capacités adaptatives et des vulnérabilités de l’individu sur l’intervention.

Interaction expérientielle : Opportunité provenant de l’intervention psychoéducative qui motive l’adoption du comportement adaptatif chez l’individu.

34
Q

Complétez l’énoncé suivant :

Le niveau de ______________ en équilibre dynamique indique un écart _____________ entre le _____ et le _____. Dans le cas du déséquilibre dynamique, cet écart est plutôt qualifié de _____________. Ce sont les deux niveaux de _______________ qui représentent un _____, contrairement à l’équilibre ____________ (trop simple) et au déséquilibre _______________ (trop exigeant).

A

convenance
approprié
PAD
PEX
tolérable
convenance
défi
statique
inhibant

35
Q

Comment s’appelle la partie de la structure d’ensemble qui relie le sujet, l’objectif et l’intervenant ?

A

L’axe central.

36
Q

Nommez les 7 composantes satellites de la structure d’ensemble et résumez, en vos mots, la fonction de chacune d’elles.

(oui I know c’est chiant, mais elles vont revenir sans arrêt durant notre formation alors aussi bien les apprendre par cœur tout de suite!)

A
  1. Programme et contenu
  2. Moyens de mise en interaction
  3. Temps
  4. Espace
  5. Code et procédures
  6. Système de responsabilités
  7. Système d’évaluation et de reconnaissance

(si pas sûrs des définitions, voir p.105)

37
Q

Observer et participer en même temps, c’est pas de la tarte ! 🙅🥧 Bouchard, Brault et Bluteau nous mettent en garde : Cette méthode ne S’IMPROVISE PAS et doit toujours s’utiliser de manière CONSCIENCIEUSE ! ⚠️

Quelles sont les trois éléments à considérer pour adopter une posture d’observation participante ?

(indice : le schéma est un triangle)

A
  1. Éthique et déontologie
  2. Niveau d’interférence sur la situation
  3. Risques de voir l’observateur contraint dans sa capacité à observer
38
Q

Quelles sont les 4 types de postures de l’observation participante engagée, qui découlent des 2 facteurs suivants :

  1. Le degré de dévoilement
    1. a) ???
    2. b) ???
  2. La nature de l’implication
    1. a) ????
    2. b) ????
A
  1. Le degré de dévoilement
    1. a) Incognito (non-dévoilé)
    2. b) Connu (dévoilé)
  2. La nature de l’implication
    1. a) Passif (OPP, aka périphérique)
    2. b) Actif (OPA)
39
Q

Vrai ou faux :

L’observation libre consiste simplement à être attentif à ce qui se passe autour de soi.

A

Vrai.

40
Q

Dans vos mots, expliquez brièvement pourquoi les facteurs suivants peuvent être limitants ET facilitants quant à l’émission d’observations de qualité :

1er = La mémoire
2e = La perception
3e = La sélection de l’information
4e = La catégorisation
5e = L’interprétation de l’information

A

En cas de doute, voir p.151 à 153.

41
Q

Vrai ou faux :

Selon Pierrich Plusquellec, l’étude du langage du corps permettrait de connaître la pensée d’un individu et de déterminer s’il ment ou pas (lors de l’émission d’une affirmation verbale).

A

FAUUUUUUX!!!

(Si tu as dit vrai, Pierrich se revire dans sa tombe🧟 et envoie Smarties te vomir dessus 🐕)

42
Q

a) Outre les comportements non-verbaux, quels sont les trois autres façon de communiquer (inconsciemment) avec notre corps ?

b) Pour chacune des trois réponses, donnez un exemple de message et son interprétation scientifique.

A
  1. L’apparence physique
    ex : Mes boucles d’oreilles et mon piercing de nez.
    –> Les gens me percevraient comme plus créative, artistique et mystérieuse que la moyenne.
  2. Le ton de la voix
    ex.: Une proportion élevée entre des perturbations du discours et le nombre de mots émis.
    –> Indicateur d’anxiété.
  3. Les odeurs
    ex.: L’odeur d’une personne ayant pratiqué un sport de combat.
    –> Augmentation de l’anxiété chez les personnes en périphérie.
43
Q

À quels comportements non-verbaux s’intéressent les trois champs d’études suivants ?

  1. La proxémie
  2. L’haptique
  3. La kinésique
A
  1. La position et l’espace qui entourent une personne
  2. Le toucher (sur une personne)
  3. Le mouvement du corps (particulièrement des mains, des yeux et des muscles faciaux)
44
Q

Vrai ou faux :

L’empathie se définit par l’association de la capacité à reconnaître/comprendre/partager les états émotionnels d’autrui et à une motivation d’améliorer son bien-être.

A

Faux.

La motivation à améliorer le bien-être d’autrui fait plutôt référence à la compassion et n’est PAS TOUJOURS associée à l’empathie.

45
Q

Dans vos mots, expliquez brièvement la façon dont se manifestent les quatre grandes catégories de l’empathie :

  1. L’empathie motrice
  2. L’empathie affective
  3. L’empathie cognitive
  4. Le soucis empathique
A
  1. Imitation de l’expression émotionnelle perçue chez l’autre.
  2. Ressenti et identification de l’émotion de l’autre.
  3. Prise de perspective qui permet de projeter le ressenti dans la réalité biopsychosociale de l’autre et de lui trouver une fonction.
  4. Motivation interne qui pousse un individu à vouloir répondre au besoin de l’autre (terme utilisé pour représenter que la compassion est souvent attribuée à l’empathie).
46
Q

a) Considérant que la contagion émotionnelle est plus forte lorsqu’il s’agit d’émotions négatives (en particulier la colère), quel danger représente-t-elle pour un intervenant du domaine de la relation d’aide ?

b) Quelle stratégie cognitive a été jugée la plus efficace pour se réguler émotionnellement lorsque ça arrive ?

A

a) Elle augmente la probabilité de détresse empathique (aka épuisement de compassion)

b) La dissociation (ex.: scénario du cinéma)

47
Q

Qu’est-ce que la précision interpersonnelle ?

A

La capacité à juger avec précision une expression faciale ou tout autre canal non verbal.