Les âmes soeurs, 1984-2001 Flashcards
L’élection de Brian Mulroney marque la fin d’un cycle de détérioration des relations qui a duré 25 ans
La relation s’est amorcé sous Diefenbaker
Il y a aura un changement de ton dans la relation
Au Canada, et partout dans le monde, on voit la monté du néo-libéralisme
- On remet en question l’ampleur de l’État Providence, qui est né durant l’après-guerre
- Cette montée s’accompagne d’une nouvelle volonté d’affronter l’URSS (surtout aux États-Unis)
Les années 80 voit un regain dans l’anti-communisme, on désire affronter l’URSS
La guerre froide reprend d’ampleur durant les années 80
Le Canada s’exprime au conflit dans le but d’avoir une meilleure relation avec les Américains
- Ça fonctionne: Notre relation s’améliore
Le Parti conservateur profite d’un regain d’énergie amené par le leadership de Brian Mulroney
Le gouvernement de Trudeau est à bout de souffle
Ses idées n’ont pas réussit à aider le Canada, alors plusieurs vont vers la droit pour aider l’économie
Le Parti conservateur remporte une victoire écrasante en 1984
Trudeau part et son parti sera très usé
Mulroney est nouveau, il a un regain d’énergie pour le parti conservateur
Il a promis au Québec de laisser sa charte et sa constitution
Chat:
- Il a promis de négocier une nouvelle version de la Constitution qui inclurait le Québec. Le Québec n’avait pas signé la Constitution de 1982 (qui a patrié la Constitution canadienne) parce que cette constitution ne prenait pas en compte les spécificités de la province. Mulroney a donc promis d’inclure le Québec dans un processus de révision pour obtenir son consentement et son adhésion à la Constitution.
Québec va voté pour les conservateurs
Pendant la campagne électorale de 1984, Mulroney avait promis de réparer les dommages à la relation canado-américaine
Il avait eu une rencontre avec Reagan avant qu’il devient le Premier Ministre, lorsqu’il est le dirigeant conservateur
- Ce n’est pas normal
- Un signal que Reagan souhaite un changement de dirigeant au Canada
- Signal que les États-Unis sont prêt à faire affaire avec Mulroney
En 1984, Mulroney donne un discours au Economic Club de New York
- “Canada is open for business again”
- Il explique que l’ancien gouvernement canadien à détruit notre relation, mais maintenant nos industries sont ouvertes économiquements
Mulroney lance le Irish Summit
- Organise une grosse fête pour Reagan
- Les deux leaders vont chanter sur l’estrade
- Du jamais vu, démontre une amitié
- Inquiète beaucoup de nationalistes canadiens
- Reagan est détesté par la gauche canadienne
- La majorité des canadiens de gauche ou centre-gauche voit en lui l’anti-thèse des valeurs canadiennes
Beaucoup des politiques de nationalisme économique mises en place par Trudeau sont abolies ou détournées de leur intention originale par le gouvernement Mulroney
Plusieurs politiques sont détournés au milieu des années 80
Il arrive au pouvoir et renverse la vapeur de toutes les politiques de Trudeau
Exemples:
- En 1985, l’agence d’examen de l’invtissement à l’étranger devient investissement Canada
- Maintenant chargé à promouvoir l’échange étranger (l’encourager)
- Trudeau l’avait mis en place pour le décourager
- Le gouvernement va vendre les actifs de la corporation de développeemnt du canada et commence le processus de privatisation de prétro-canada
- Chrétien va terminer le processus et le transforme en compagnie privé
- Aboli le programme énergétique national
Il vise une réforme de la politique étrangère du Canada
Mais il refuse de confier cet examen des politiques aux ministres des affaires étrangères
- Comme plusieurs conservateurs, il ne fait pas confiance à la fonction public fédéral, alors il confit la tâche de réformer la politique étrangère du Canada à un groupe parlementaire
- Ils émettent un rapport d’améliorer les relations avec les ÉU en 1986
Le président Reagan souhaitait que son Initiative de défense stratégique (la « guerre des étoiles ») soit intégrée au NORAD
Également, NORAD est renouvelé pour 5 ans en 1986, ce qui mène à des débats au Canada
Reagan souhaite que son initiative (Star Wars) soit intégré au NORAD
Le Canada refuse, invoquant un précédant où le Canada avait été exempté le projet de Nixon dans les années 50
Le projet du président Reagan anti-missile pour l’amérique du Nord viole un traité qu’avait signer les États-Unis et l’URSS en 1972
- Reagan s’en fout, il veut continuer
Sujet très controversé au Canada et dans l’OTAN
Il aurait des satellites anti-missiles et les armes nucléaires soit déployé dans l’espace
Pendant longtemps, le Canada est contre militarisé l’espace
Le gouvernement canadien refuse d’y participer, cependant, nos forces armées sont tellement intégrés, et les compagnies privés canadiennes pouvaient y participer, qui est clair que certains Canadiens ont participés
La mise au point du missile de croisière entraîne un regain d’intérêt pour la défense aérienne
C’est un petit avion qui est également une bombe qui va à basse altitude très rapidement
Technologie développé par l’URSS, les Américains vont également le développer
- Amène un regain d’intérêt dans la surveillance du Nord Canadien
Avec les missiles de croisière, la surveillance du Nord doit être recommencer
Au cours des annés 80, le Canada et les États-Unis vont investir sur une nouvelle ligne de Radars du 70e parallèle (le Grand Nord)
Mulroney se ralie à la stratégie militaire de Reagan
Mulroney critique les politiques américaines en Amérique centrale et en Afrique du Sud
Mais il se limite pas au Canada de sanctionner pour la violation du traité de 1972
Le gouvernement canadien désapprouve de la décision Washington d’appuyer les contrats du Nicaragua
- Un groupe terroriste au Nicaragua
- Les Américains financer une rébellion anti-communiste dans les années 80
- Le Canada s’oppose de ce financement et n’empêche pas les Canadiens de faire des politiques et des échanges avec le parti socialiste de Nicaragua
Toutefois, on approuve d’envahir le Canada le Panama en 1989
Le Canada se joint aux État des Américains en 1989
- Pendant des années on snobbait, mais on se joint à cause que Mulroney veut être proche
Mulrnoney dénonce l’Appartide
- Un système de segregation raciale en Afrique du Sud et Namibia
- Il impose des sanctions économique au gouvernement américain
- Pour Reagan, l’appartide est un rempart contre le communisme et il a tendance à croire que le communisme est plus dangereux en Afrique que la ségrégation Africaine
- L’effondrement du mur de Berlin met fin au régime d’appartide
- Il est vrai que le parti communisme reçoit de l’argent de l’URSS
Au cours des années 1980, les querelles entre le Canada et les États-Unis au sujet de l’environnement s’intensifient
La question de la pollution augmente et cause une querelles entre les deux pays
Reagan déteste l’environnement
- Il croit que les lois environnemental menace la libre entreprise
Reagan, irrité par la commission mixe dans le sujet des Crands Lacs
- Commission va mettre des mises en garde
- Il va congédié les commissaires américains, ce qui met fin à la commission
- La commission sera paralysé pendant des mois
Cependant, en 1987, Mulroney va convaincre Reagan à signer un accord sur la qualité de l’eau
Les pluies acides dominent le discours environnemental des années 1980
La question des pluies d’acides se pose plus dans les années 80 que dans les années 70
On modifie le PH des lacs et des rivières et provoque l’érosion des batiments
À cause de la concentration d’industrie au mid-west américaine, le Québec et l’Ontario importe plus de gas responsables pour les pluie d’acides qu’ils en exportaient
Ottawa se plein depuis des années 70, mais Washington ne veut pas entendre
Il n’applique même pas le Clean Act, une loi créé avant le mandat de Reagan
8 États Américians et le gouvernement de l’Ontario vont trainer la commission environnemental pour qu’elle fasse sa job, il y a plein de lois qui ne sont pas appliqués
George 41 et Mulroney vont signer une entente pour que chaque pays fait appliqué les lois des pays (on doit appliquer nos propres droit)
- Action peu-ambitieuse
- Mais va impliquer la désindustrialisation pour réduire les pluie d’acides
C’est le gouvernement canadien qui pousse le gouvernement américain à aider à combattre les pluies d’acides
La souveraineté dans l’Arctique est une autre source de frictions dans les années 1980
La question de l’Artique est lié aux dossiers environnementaux, militaires et stratégiques
La souveraineté est une source de tensions canado-américaine, encore de nos jours
Au 19e siècle :
- En 1867, le Canada annexe la Terre de Rupert, mais on a pas encore l’Archipel
- En 1880, La Grande-Bretagne transfert le contrôle de l’Achipel de l’Artique au Canada et de ses eaux territoriales
Les États-Unis n’ont pa contesté ce transfert
- Ils auraient pu le contester diplomatiquement, les Américains voient les Canadiens comme des Anglais
- Le Canada est une colonie de la Grande-Bretagne, il n’y a pas un transfert de souveraineté
- La Grande-Bretagne ne veut plus surveiller la région, elle a besoin du Royal Navy
- Elle veut que le Canada devient un grand dominium pour faire contre-poid sur les États-Unis
- Mais les Américains n’ont jamais reconnu la souveraineté du Canada sur le passage du nord-ouest (l’eau)
- La question de souveraineté n’est pas de archipel mais dans ses eaux
- Au 19e siècle, le passage du nord-ouest est hypothétique
- Les Brittaniques ont a peine compris où se trouve le passage, c’est un passage impossible à traverser
- C’est une région inconnu, les Américains ne sont pas interessés
La controverse éclate en 1960
- Les eaux du nord-ouest sont dans l’intérêt de la sécurité publique et stratégique nord-américaine
- Nixon veut que les marines américains se promène librement dans l’Artique
- Époque des sous-marins nucléaires
- En 1880, la Grande-Bretagne peu même pas faire passé ses navires, mais maintenant le passage est ouvert
- Dans ce contexte, les États-Unis ne reconnaissent pas les eaux au Canada
- Nixon craint que s’il accepte la souveraineté, ça va causer des problèmes
- Si on reocnnait la souverainté canadienne, est-ce qu’on va être obligé d’accepter les Philipines sur les détroits de malaquant?
- Les Américains veulent la libre navigation, ça peut créer un problème dangereux
- La zone que peut traverser les États-Unis est seulement 5km
- Le Canada réclame les eaux territoriales de 5km et à quelques places le passage fait moins de 10km
- Alors dans les faits, nous disons qu’elle nous appartint encore
- Pour les Américains, c’est un dossier stratégique
- Pour les Canadiens, c’est un dossier environnemental
- Ottawa craint le risque de déversement pétrolier
Dès la fin des années 60, les américains veulent utiliser le passage pour rendre plus facile l’expédition de l’Alaska à New York
Cependant, le Canada souhaite contrôler qui y rentre et comment
En 1969, la Humble Oil Company envoie un superpétrolier converti en brise-glace pour traverser le passage du Nord-Ouest
La Humble Oil Company veut extraire du pétrole en Alaska avec son bateau le Manhattan
Il souhaite utiliser le passade du Nord Ouest à titre d’essai
- Tester la possibilité d’envoyer du pétrole d’Alaska à New York
- La compagnie fait un test et l’envoi, avec comme cartaison un seul bari de pétrol, ne veulent pas prendre trop gaspiller
Le Canada envoi un brise glace “Louis St Laurent” qui accompagne son passage
Le gouvernement canadien facilite le test, même si le Manhattan n’a pas demander la permission au Canada pour passer dans le passage
- Le gouvernement américain n’a pas reconnu la souveraineté canadienne
- Le Canada se serait attendu à ce qu’ils demandent notre permission
- Également, selon les lois maritimes, le bateau devrait flotter un drapeau canadien sur un de ses mats
- Mais ne demande pas la permission d’y accèder, il demande de l’aide du gouvernement canadien
- Washington demande à la companie de ne pas demander la permission. Il ne veut pas reconnaitraitre la souveraineté canadienne.
- Cet évènement ne cause pas de controverse, les Canadiens facilitent le test
En 1970, il y a un déversement proche de la Nouvelle-Écosse et les Canadiens réalisent qu’il y a un danger sur notre souveraineté
- L’imaginaire canadien devient fâché
- Quand la compagnie lance un deuxième test, il y a une réaction immédiate de l’opinion publique au Canada
- Le test en 1969 = c’est encouragé
- Le test en 1970 = c’est découragé
- On prévient à Washington que les pollueurs seront sanctionnés séverements
- Le fait de passer de 5km à 20km ferme le passage
- Les américains ne respectent pas les lois de 5km
- On dit que c’est des eaux internes et qu’il faut suivre les lois canadiennes
- Les navires étrangers ne peuvent pas naviguer sans demander au gouvernement canadien
- Les États-Unis ne reconnaisent pas ces changemenst et accuse le gouvernement de Trudeau d’agir unilatéralement (ils ne vont jamais le reconnaître)
- Nixon souhaite un ensemble international de règle pour encadrer la pollution et la navigation dans l’Artique
- Souhaite qu’une série de pays s’engage à signer un traité sur la pollution et navigation dans le grand nord
- Souhaite porter l’extansion de la souverainté international canadienne dans les eaux territoriales dans la cour international
Nixon veut un accord multi-lattéral ou un accord canado-américian
Mais le Canada voit le passage comme un passage canadien
Ceci ce résolut pour le moment, lorsque le deuxième essai du Manhattan indique que trop dangereux et compliqué de navigué dans les eaux, ce qui calme les tensions
Les Américains s’inquiètent seulement des eaux lorsque notre souveraineté est attaquée
En 1985, la Garde côtière des États-Unis envoie un brise-glace, le Polar Sea, dans le passage du Nord-Ouest
La Garde cotière américaine envoi, le brise-glace, le Polar Sea sans demandé l’approbation du Canada
Cette action constitue une action militaire, puisque c’est une branche de l’armée américaine
- Il sagit d’une atteinte grave à la souveraineté canadienne
- Intrusion militaire sur le sol canadien
Ottawa semble n’avoir ni l’intention ni la capacité de faire obstacle aux sous-marins soviétiques dans l’Arctique
Les développements dans les technologies sous-marines mettent en relief les stratégiques du Nord
- L’URSS pourrait attaquer l’amérique du Nord sur le sol Canadien dans le Grand Nord et il est vrai que ces soviétiques rentrent souvent dans les eaux
À Washington on dit fait au Canadiens qu’ils doivent faire attention, mais les Canadiens s’en fou
Cependant, quand le Polar Sea entre dans les eaux territoriales, on est super fâché
Reagan va entreprendre de contester la souveraineté dans les eaux
Polar Sea a pour but de faire peur aux Canadiens et obliger les Canadiens a faire un compromis sur la question du nord
- “Il y a des soviétiques, réveillez-vous ou on va violer votre souveraineté”
- Le Polar Sea est symbolique, ils veulent nous provoquer à protèger le Grand Nord
En 1988, le Canada et les États-Unis signent un accord temporaire qui oblige les États-Unis à demander la permission au Canada chaque fois qu’un navire de surface américain veut utiliser le passage
Il signe un accord temporaire, qui est encore en vigueur
En 1988, le Canada signe un accord qui oblige les Étars-Unis à demander au gouvernement canadien avec d’installer un navire de surface dans les eaux
Cependant, il y a deux ambiguités
Ambiguité 1
- Les Américains n’accepte pas implicement la souveraineté canadienne
- L’accord ne dit pas que ça l’appartient au Canada
Ambiguité 2
- Les Américains peuvent faire ce qu’ils veulent avec leurs sous-marins
- Dans la région, la guerre froide ce fait avec des sous-marins
- L’accord ne s’applique pas au sous-marins
Cet accord incite de la colère des partis de l’opposition
- On dit que Mulroney a donné la souverainté canadienne aux États-Unis
Plusieurs Américains sont fâchés et disent que Reagan a compromis la sécurité américaine (les États-Unis se sont laisser faire par le Canada)
Plusieurs nations, dont la Chine, sont soupçonnées de pénétrer dans les eaux canadiennes dans l’Arctique
Plusieurs nations vont pénétrer les eaux canadiennes dans l’Artique
La question se pose à cause que le réchauffement planètaire pourrait rendre le passage accessible durant toute l’année
- En 1880, le passage est impossible
- En 1969, c’est très difficile de navigué, mais c’est possible
- Aujourd’hui, c’est plus facile, on peut le faire presque toute l’année
Les Chinois pensent que ce serait la façon la plus facile d’envoyer leur exportations en Europe
- Ils ne devraient pas passer dans le Canal de suez ou Panama, où ils doivent payer de l’argent
Le Canada veut garder la souveraineté, mais ce ne repose pas sur des arguments solides
- On a aucune capacité sous-marine dans le grand nord
- On ne peut pas détecter les sous-marins
- On peut dire que c’est des eaux souveraines, mais on ne peut pas le protéger, on ne peut même pas le naviguer
- Si on est pas capable de l’oppérer, nos revendications sont faibles
Immense problème aujourd’hui, il n’est plus hypothétique
- Au fond, les Américains défendent le Grand Nord, c’est pour ça qu’ils le veulent
- On a pas invesi, on a pas le vouloir
C’est trop sensible écologiquement si c’est ouvert à l’année longue à la navigation général
Pierre Trudeau essaie de négocier des accords sectoriels de libre-échange avec les États-Unis, mais les Américains ne manifestent guère d’intérêt pour ce genre de négociations
Au dela des querelles, le libre-échange est le plus grand accord canado-américain
Au début des année 80, le libre-échange ne fait plus parti des sujets d’actualités
Mais les problèmes économiques amène les canadiens à se poser des questions sur les tarifs
- L’économie va très mal durant les années 80, taux de chômage élevé
- Libre-échange semble être une idée qui renait
L’idée du libre-échange, qui n’avait pas été discuté en longtemps, réapparaît
Trudeau essaie de négocier des accords sectoriels
- Ex: Le pacte de l’automobile
- Libéraliser les échanges dans certains secteurs
- Trudeau dit que la troisième option à échoué et il faut ce tourner vers les États-Unis
- Cependant, les Américains ne sont pas interessés à ces négociations
Trudeau met en place une commission d’enquête qui observe l’avenir économique canadienne
- Les politiques qui ont suivis ont nuis au Canada
- La commission fait ces réponses 1 an après la demande de Trudeau, lorsqu’il n’est plus Premier Ministre
- Dit que le Canada devrait avoir un accord de libre-échange avec les Américains
La question du libre-échange n’est pas abdordée durant l’élection en 1984
En 1985, on dit que ça va créé plus d’emplois canadiens que ça va éliminé
- La classe des affaires a peur des tendances protectionniste au congrès
- Au début des années 80, la classe des affaires est maintenant pour le libre-échange
- Ils se tournent vers New York et de moins en moins vers Londres
- Virage majeur pour les affaires canadiens, continentalisme
Au Canada, les partisans du libre-échange affirment que la mesure créera beaucoup plus d’emplois qu’elle n’en éliminera
Le Congrès américain hausse les tarifs en 1984, mais le président Reagan se montre ouvert à l’idée du libre-échange
Le congrès augmente les tarifs douaniers en 1984
Cependant, Reagan est ouvert à l’idée du libre-échange
- Dans les années 80, les Républicains se convertissent au libre-échange, ils ont étés pendant logtemps le parti protectionnisme
- Il croit que la mesure va aider à éliminer le déficit comercial américain
Lors du sommet des Irlandais, Mulroney et Reagan disent qu’ils sont pour le libre-échange durant une commission royale
Le parlement canadien veut explorer ce tarif
Le premier ministre avance prudemment, il va consulté le milieu des affaires et les provinces
Le congrès américian accepte un accord commercial avec le Canada qui doit être soumis au congrès en 1987 au plus tard
- Le congrès donne deux ans à Reagan pour négocier un accord
- C’est le congrès qui détermine les politiques tarifères
Les discussions à huis clos commencent au début de 1986
Les négociations pour le libre-échange ce font à Washington, qui est un mauvais signe
- Comme quand la Grande-Bretagne a envoyé une délogation à Washingon
- Si les discussions sont aux États-Unis, ça val mal puisque c’est nous qui demande
Simon Reeseman
- Négociateur Canadien
- Dans les années 40, il a participé dans the General Agreement on Tariffs in Trade
- Il participe dans le Pacte de l’Automobile
- Il a négocié dans les années 40, 50, 60 pour le libre-échange
- Il a servi des gouvernemnts conservateurs et libéraux
- Alors, il a beaucoup d’expérience
Les négociations sont très difficiles
- Le Canada n’a pas beaucoup de pouvoir de négociation
- Nous sommes moins puissant et riche
- C’est nous qui demande pour le libre-échange, on en y tient le plus
- Reagan est favorable, mais c’est quand même le Canada qui demande
- C’est le Canada qui doit envoyer une déléguation, qui doit négocier pour 2 ans
- Au début, les Éta-Unis refusent de dévolés leur jeu
- Ils veulent attendre et voir ce que le Canada va offrir
- Situation de puissance
Septembre 1987
- Le Canada quitte la table de négociation, nous sommes frustré
- On pense qu’on perd notre temps
- La tacquique fonctionne, les Américains sont maintenant prêt à discuter
- Quelques heures avant la date limite, la stratégie fonctionne, il y a un accord en quelques jours, qui serais établi en octobre 1987
Mulroney dit comment est-ce que tu peux signer un accord de désarmement avec l’URSS et pas un accord libre-échange avec leurs ami?
- Alors Reagan va le signer
L’accord va être signer en janvier 88 par Mulroney et Reagan
L’Accord de libre-échange entre le Canada et les États-Unis va bien au-delà du simple accord commercial
L’URSS est sur le point d’effondrer, nous sommes sur le point de voir un nouvel ordre mondial
- On pense que l’avenir était le libéralisme et la mondialisation
L’Accord de libre-échange est un accord complexe et novateur
- Accord bien au dela d’un accord commercial
Au 19e siècle, le libre-échange signifie de ne pas avoir des tarifs douaniers
- Mais l’idée du libre-échange à évolué grâce à l’accord canado-américaine en 88
- L’accord a un Influence à l’international
L’accord…
- Prévoit l’élimination des tarifs dounaiers pour une période de 10 ans
- Avec une exception du secteur culturel canadien
- L’accord assoupli les mesures de contrôles sur les investissement étrangers
- Permet aux sociétés d’accèder au contrat fédéraux
- Les gouvernement fédéral ne peut pas discriminer dans le contrat d’octroi si une compagnie de l’autre pays vient dans leur pays
- Le gouvernement fédéral canadien ne peut pas discriminer à l’égard des compagnies américaine et vice versa
- Exception:
- Quand que Ford dit qu’on ne va pas signer des accords avec les américains, c’est légal à cause provincial
- Dispositions du partage de ressource
- Si une ressource est commercialement disponible, elle doit être commercialement disponible aux deux pays
- Ex: Si le pétrole est commercialement disponible, le Canada ne peut pas empêcher au États-Unis d’acheter ou d’investir dans le pétrole canadien
- Le pacte de l’automobile est maintenu
- C’est un libre-échange, mais au de là, c’est un système de gestion, garanti une part du canada dans le secteur nord-américain
- Meilleur que le libre-échange
- Garanti une position intérieur du secteur de l’automobile
- Le système de l’Offre agriculture est maintenu
- On est pas dans un système agriculture libre-échange
- Canada:
- Les consommateurs vont subventionner le secteur agricole
- États-Unis:
- L’État fédéral va subventionner le secteur agricole
- En 1988, on décide que les Américains gardent le système de subvention et nous gardons notre système, nous sommes égaux
- Permet aux sociétés qui …
- En signant l’accord, le Canada et ÉU créé une tribunal du libre-échange canado-américain qui doit gérer les différences entre les deux pays et entre les sociétés
- Clauses qui protègent les subventions américains dans l’agriculture, mais si on était dans un système de libre-échange, des compagnies canadienens auraient pû trainer le gouv américain à cause les subventions américaines auraient étés injustes
- Le mécanisme de règlement est très important pour le Canada
- ÉU obtenienent des représailles pour son exception culturel
- Les subventions canadiennes et des quotas sont protèger et garder en place, mais les ÉU peuvent avoir des représailles, mais ils ne se sont jamais servis
- Il y a rien qui empêche les Américians a accèder au nickel, cuivre du Canada
- Doit être des ressources disponible, ils ne peuvent pas nous contraidre à créer un pipeline
Un accord qui fait des centaines de pages
L’entente peut être renouveler à chaque 6 mois
Au début des années 80, la forte majorité des échanges commerciaux n’ont pas des taris douaniers à cause de l’accord de 1930
- Ex: Le Pacte de l’Automobile et le GATT
- Situation de quasi libre-échange
- Le tarif moyen est 1 ou 2 %
Chacune des deux nations cherche en fait à protéger ses intérêts commerciaux des caprices politiques de l’autre
Pourquoi signer un accord de libre ééchange quand nous y sont presque ?
- Ils veulent protèger leurs intérêts commerciaux
Ottawa espère que ça mettra les exportations canadiennes à l’abri du protectionnisme du congrès
- Peur que notre situation de quasi libre-échange fait objet d’une érosion protectionniste du congrès
- Priorité canadienne est le commerce
- Nous obtenons accès au marché garanti des américains
Washington
- Espère avoir accès au ressource naturelles canadiennes
- La nationalisation de Trudeau était vu comme une menace aux ressources énergétiques
- Priorité américaine est la sécurité énergétique
- Ils obtiennent nos ressources, surtout pétrolières et gasières
De 1986 à 1988, l’opposition au libre-échange augmente constamment au Canada
Au début des négociations, la plupart des Canadiens sont pour le libre échange
L’Ontario a peur que le libre-échange mène à la fin du Pacte de l’automobile
Cependant, la longueur des négociations, ainsi que les secrets qui l’entour créé de la méfiance chez les Canadiens
- À tout les jours, les médias canadiens sont à Washington et ils demandent à Simon Reeseman qu’est-ce qui est arrivé, mais tout ce passe à huit-clots
- Plusieurs canadiens se demandent qu’est-ce qui ce passe à Washington
- À mesure que les opposants se mobilisent et passe leur message, plus la méfiance gagne de la popularité
- Citizens Concerned About Free Trade est un des lobby le plus importants
- Divers groupe d’opposition se forment avant même qu’on ait un Accord
- Certaines industries, comme le textile et l’industrie culturel, sont contre l’accord
La question du libre-échange divise le parti libéral
- Le parti est généralement favorable à la libéralisation du commerce
- Sous l’influence des éléments de centre gauche, ils vont s’opposer
- Ils se posent la question, qu’est-ce qu’on fait ?
- Plus l’opposition augmente, plus les libéraux finissent par s’opposer au libre-échange
- Le parti libéral est sous le Trudeauisme
- Élément de centre-gauche, qui milite contre le libre-échange
- NPD s’oppose fermement au libre-échange
Qui s’y oppose :
- Les populations Urbaines
- La majorité de l’élite culturel et intellectuel
- Universités canadiennes, à peu près tout les profs sont contre
- Pour ceux qui définissent le Canada par ses programmes sociaux, ils voient cet accord comme une menace national
- Entraineront la disparition des programmes sociaux, qui forme l’essence même du pays
- L’opinion publique, surtout de gauche, croit que les compagnies amériaines d’assurance santé vont apporter le canada en cour pour mettre fin du programme de médecine
Le Québec et l’Alberta appuient l’accord, alors que l’Ontario s’y oppose
David Peterson, le Premier Ministre de l’Ontario, libéral
- Sont économie est fort intégré à selui des États-Unis
- L’Ontario joît de quelque chose mieux que le libre-échange à cause de l’accord de l’automobile
- Il a peur que le libre-échange met fin au pacte de l’automobile
L’Alberta, les Prairies et le Québec
- Ils sont très pour le libre-échange, puisqu’ils vont bénificier grandemnt
- Au Québec, le sentiment anti-américain ne jou pas un très grand rôle dans l’identité
- Le sentiment anti-américian est de la dynamite chez le Canada, mais c’est plus vrai chez les anglophones
- Le Premier Ministre Bourassa est très pour l’Accord
- Le mouvement nationaliste
- Il pense que ça va diminuer la dépendance du Québec vers le Canada
- L’Alberta, les Prairies et le Québec sont pour à cause qu’ils ont des ressources naturelles
La Colombie-Brittanique
- Sa population est divisé, puisqu’à l’Urbain, on est contre
- Au Rural, nous sommes pour
Maritimes
- Ils ont une dépendance des dépenses gouvernemental, alors c’est contre
Cependant, certains sont pour
La majorité des anglophones s’opposent, les Québécois l’appuient
L’accord est signé au début de 1988, mais il faut le ratifié
- Passe à travers le congrès et le parlement
Les libéraux menacent de retarder le processus de ratification si le premier ministre ne déclenche pas une élection sur la question du libre-échange
Mulroney a une majorité écroisante au parlement
Les libéraux menacent de retarder le processus au sénat, qui est majoritairement liéral, si les conservateurs ne déclenchent pas une élection
- Le libre-échange n’était pas une idée de Mulroney durant l’élection et disent qu’il doit demander au peuple canadien
- Turner, le chef libéral, dit que s’ils n’ont pas une élection, le sénat va bloquer le libre-échange
Comme Laurier, Mulroney va déclencher une élection