Le retour de l’ambivalence, 1957-1968 Flashcards
La coopération en matière de défense décline continuellement sous le gouvernement conservateur de John Diefenbaker
Cette période est marqué par la friction et l’émergence d’une nouvelle identité canadienne
Les Politiques américaines et canadiennes divergent de plus en plus
La guerre froide s’appaise durant la deuxième phase de la guerre
Les tensions vont se calmer un peu après la Guerre de Corée
Les Canadiens s’occupent plus de la menace de Domination Américaine que la menace Soviétique
Les Canadiens et les Américains commencent à travailler ensemble dans les politiques en manière de défense militaire après la Deuxième Guerre mondiale
Diefenbaker
- Gouvernement minoritaire en 1957
- Majoritaire en 1958
- Minoritaire en 1962
- Et il sera défaire en 1963
- Diefenbaker réussi à dépeindre les libéraux comme hostiles à la Grande-Bretagne et excessivement pro-américain
- Il arrive au bureau lors de la Crise de Suez, durant la Crise de Pépine
- Il réussi à gagner en disant que les libéraux ont mis à pied la Grande-Bretagne et le Canada
- Il a un manque d’expérience et il est indécis (problème)
- La fonction public fédéral était très proche des libéraux
- Cette proximité est encore plus intense dans les années 50
- On ne sait pas où commence les libéraux et où commence à fonction public
- Diefenbaker est un défenseur du lien avec la Grande-Bretagne (produit un conservatisme anglo-canadien traditionnel)
- Il n’est pas un impérialiste (les temps ont changer, la Grande-Bretagne n’a pas le même pouvoir)
- Il est anti-communiste et appel à la liberté pour l’Ukraine et les pays Baltes
- Il se méfie des États-Unis
- La participation de Diefenbaker durant la guerre froide va affecter la relation canado-américaine
- Il déteste les communistes, mais déteste les États-Unis plus
Diefenbaker approuve la création du Commandement de la défense aérienne de l’Amérique du Nord, ou NORAD
Le NORAD est un accord renouvelable, qui est renouvelé depuis les années 50 et 60 qui vise l’intégration et la coordination de la défense aérienne du continent
Le Canada et les États-Unis vont intégrer leur défense aérienne
Les États-Unis est responsable de nommée le commandant et le Canada est responsable de nommée le commandant adjoint
Dans les faits, le Norad a pour but de placer les Canadiens en dessous du commandement des Américains en temps de paix
La Premier Ministre Diefenbaker autorise le US Airforce à utiliser des missiles nucléaires pour arrêter des bombardiers soviétiques
- Il dit que l’aviation américaine peut se servir des missiles nucléaires sur le territoire canadien pour arrêter des bombardiers soviétiques
- Calcul canadien:
- Il est mieux de sacrifier une partie du grand nord pour sauver le Sud
- À cause que la majorité des Canadiens sont proche des États-Unis
- Les discussions qui apporte le NORAD ont étés faites en dessous des libéraux, mais Diefenbaker consenti
- Cependant, il n’est pas prêt à respectertout les obligations qui lui impose
- Surtout celes qui touchent les armes nucléaires
- Pour respecter les obligations du NORAD et de l’OTAN, il doit accepter que le Canada doit jouer un rôle nucléaire
Les États-Unis veulent que le Canada devient une puissance nucléaire en second plan
Le Canada se pose deux questions
- Devraient-ils héberger des armes nucléaires sur le territoire?
- Si oui, qui doit les contrôler?
Au départ, Diefenbaker semble être prêt à accepter un rôle nucléaire
Les Américains veulent une armée tactiques d’aviation canadienne et entreposer des armes nucléaires
- Tactiques: Petite, servent sur le champ de bataille
- Stratégique: Plus puissante, construit pour détruire des villes
- Les États-Unis veulent militiser le Canada avec des armes tactiques
Washington souhaite installer des armes tactiques et stratégiques sur leur bases à Terre-Neuve et Labrador
Diefenbaker est favorable à une discussion et amorce l’idée d’un système à double clé
- Si l’aviation canadienne lance une attaque nucléaire, les États-Unis doivent être d’accord
- Si les États-Unis lance une attaque nucléaire du territoire canadien, le Canada doit être d’accord
En 1959, le gouvernement canadien achète deux systèmes de missile à capacité nucléaire
Bomarc et Génie
- Missiles produits par la compagnie Boing
- Le Canada achète deux systèmes
Pour avoir un missile nucléaire, il faur avoir un produit nucléaire
- Le gouvernement canadien achète 2 systèmes qui peut intégrer des orgives nucléaires, sans ces orgives, il ne vaut rien
- Les États-Unis veulent nous fournir le produit pour la missile que possède le Canada (les orgives)
Si il y a 27 bombardiers soviétiques, on essaye pas d’atteindre le bombardier, on lance une missile nucléaire et on les détruit tous
- Pas une arme précise, on lance un missile qui cause beaucoup de dégat
Diefenbaker accepte d’acheter les missiles Bomarc et Génie
Diefenbaker annule le programme de construction de l’Avro Arrow, un chasseur d’interception supersonique canadien
Avro Arrow: Chasseur d’interception super-sonique canadien
L’indsutrie de la défense canadienne avait développer un chasseur d’interception très sophistiqué
- Un avion qui sert à une chose seulement: attaquer un bombardier et les détruire
Diefenbaker annule le projet et va acheter des chasseurs des États-Unis (Beaumarc et Génie)
- Les États-Unis nous ont encourager de laisser nos armes, mais on le fait par nous même
- Sans les commandes venant de l’étranger, ce n’est pas viable
- Coûte énormément d’argent
- On ne peut pas produire des avions super-puissants uniquement pour les États-Unis (on espèrait que les États-Unis allaient acheter Avrow)
- Des milliers d’argents et d’employés vont être gaspiller
La situation a accru la dépendance du Canada vers les outils technologiques
Les Canadiens vont avoir un choq économique de perdre l’outil, alors les États-Unis vont nous aider économiquement
L’outil était un chasseur d’interception sophistiqué, mais on passe à la phase d’avion au missiles
En 1959, on s’attendait à ce qu’un attaque vient d’un bombardier
En 1960, les relations avec les États-Unis commencent à tourner au vinaigre
Depuis la Guerre de Corée, les tensions se sont relâcher en quelques sortes
La Guerre de corée est terminé et la Guerre du Vietnam commence à peine
Dans ce contexte, plusieurs canadiens mettent en question l’intégration de défense
- Quand on a peur de l’URSS, on en pense pas
- Mais maintenant, on a moins peur et on se rend compte qu’une partie de notre armée est sous le commandement des États-Unis
- Le Canada n’a plus besoin de paniqué à cause de la guerre froide
- On ne veut plus jouer un rôle dans le conflit
L’opinion public et le ministère des affiaires étrangères sont contre la guerre froide
Le ministère de la défense national et des affaires étrangères ont des idées vastement différentes sur le rôle nucléaire du Canada
- National: veut
- Étrangère: veut pas
- Diefenbaker est du côté étranger et dit non à mettre des armes nucléaires sur le Bomarc et Génie
En 1960, Diefenbaker décide de priver les missiles d’une bonne partie de leur utilité
Diefenbaker accepte le Bomarc, mais ne veut pas mettre des armes nucléaires
Les États-Unis sont fâchés
Les Démocrates reviennent au pouvoir avec Kennedy et vont aborder la question des missiles avec Diefenbaker (le président ne croit pas au désarmement nuckéaire)
- En 1960, les Soviétiques parle beaucoup de la question du désarmement
- Pour Kennedy, c’est une façon d’endormir l’Occident
- Il veut viser une supériorité militaire écrasante pour les États-Unis et ses alliés, en imposant le respect
- Le refus de Diefenbaker à accepter son rôle le menace
- Il sait que le Bomarc ne sert à rien, mais il veut imposer le respect
- Il dit que le Canada doit faire sa part et quele Canada est un puissant allié d’envergeur
- Il commence à tordre le bras du Canada à accepter un rôle nucléaire
La relation entre le Premier Ministre et le Président est mauvaise
- Diefenbaker est très antipathique vers le président
- Diefenbaker est irrité que Kennedy est un superstar et que tout le monde l’adore
- Il est furieux lorsqu’il découvre un document américain dans son bureau
- Ce document expose le point de vue des États-Unis envers le Canada
Document condescendant
- Ce document expose le point de vue des États-Unis envers le Canada
- “Il faut les traiter comme des enfants, mais ils sont gentils”
- Il y a une note marginal qui dit que c’est le document de Kennedy et qui traite le premier ministre d’enfant de chienne (SOB)
- Diefenbaker montre le document à tout le monde
- Selon l’étiquette diplomatique, quand on trouve un document étranger, il faut le donner au pays
- Mais évidemment on va le lire et créer une copie
- Lorsqu’on le donne, on dit qu’on ne l’a pas lu, mais tout le monde sait que ce n’est pas le cas
Les États-Unis nous disent de le redonner, c’est mal poli qu’on l’a garder et les tensions montent
Diefenaker croit que la rhétorique anti-soviétique est allé trop loin et que les Amérciains veulent nous tordre le bras et créé une guerre nucléaire
La crise des missiles cubains vient envenimer une situation déjà tendue
La relation entre les États-Unis et Cuba se dégrade depuis la révolution cubaine (gouvernement gauchiste, Castro)
Cuba s’est rapproché à l’URSS au début des années 60
En octobre 1962, les vols de reconnaissances confirment les craintes de Kennedy: ils s’apprêtent à installer des armes stratégiques à Cuba
- Pour attaquer les Américains à partir de Cuba
Les Américains se préparent pour la guerre, Kennedy veut empêcher les Soviétiques
- Il dit qu’il faut les attaquer maintenant, avant qu’ils nous attaque
Les Soviétiques vont signer un accord et va enlever leurs missiles
Le gouvernement américain le consulte à peine le Canada durant la crise des missiles de Cuba
Ottawa est mis au courant quelques heures avant que Kennedy le rend public
Diefenbaker apprend la situation 2h avec le monde, même si nous sommes l’allié le plus proche des États-Unis
Diefenbaker est furieux, il se serait attendu que le Canada soi consulté dès le moment où les Américains ont appris que les Soviétiques voulaient déployer des missiles à Cuba
Kennedy appel quelques heures avant la crise et annonce à Diefenbaker de mettre les forces canadiennes aux hautes alertes, Diefenbaker refuse
- Il veut l’implication de l’ONU (l’URSS fait parti également)
- Le Canada veut avoir une relation constructive à Cuba
- Kennedy est furieux
Pour Kennedy, les choses sont claires, on ne doit pas avoir une enquête avec l’ONU, il faut nous protèger et passer directement au menace
Les États-Unis ne croient pas que le Canada est sur leur côté durant la crise
La crise des missiles cubains intensifiera le débat au sujet des armes nucléaires au Canada
Diefenbaker est ré-élu, mais avec un gouvernement minoraire
Il y a une évolution au sein de l’opinion public canadienne, une mince majorité des canadiens voulaient ajouter des choses nucléaires sur le Bomarc, on est d’accord avec Kennedy
Subitement, on semble plutôt appuyer un rôle nucléaire au Canada (on était contre au début
Les libéraux reviendront sur leur position et promettront, s’ils sont élus, d’équiper les missiles d’ogives nucléaires
Les libéraux vont promettre d’équipper les missiles canadiennes d’orgives nucléaires (ils deviennent pro-nucléaire)
Après 1961, les pressions américaines deviennent public
- Lors d’une conférence de presse, des membres de l’administration américaine critique Diefenbaker
- Suggère que le Canada soi mieux servi par le parti libéral
Le Canada réplique en rappelant l’ambassade canadienne de Washington
- Revient à Ottawa pour des discussions avec le gouvernement canadien
- Genre de choses que le Canada et les États-Unis ne font jamais
Il est clair pour Kennedy que les libéraux sont plus ouvert à la question nucléaire
Crise diplomatique et politique à Ottawa
Les conservateurs ont un gouvernement fragile
Lors de l’élection de 1963, Diefenbaker mène une campagne dont le ton antiaméricain atteint une intensité inouïe
Lors des élections de 1963, le Premier Ministre fait une campagne anti-américaine (pas vu depuis 1911)
Diefenbker accuse Pierson d’être la marionnette des Américains
- C’est vrai que le gouvernement libéral reçoit de l’aide de Kennedy
Diefenbaker dit que tout le monde est contre moi, sauf le peuple canadien
Diefenbaker perd l’élection, mais les libéraux sont élus minoritaires
pas de notes
Dès le lendemain de son entrée en fonction, Pearson autorise les armes nucléaires
Sa première décision
Les Américains ont aidait Pearson à devenir Premier Ministre
On équipe les forces terrestres en Allemagne de missiles tactiques
Les Américains nous livrent les orgives pour nos missiles
Le Canada n’est pas une force nucléaire
Durant la crise de Cuba, les États-Unis n’auraient pas demander l’approation du Canada pour déployer des missiles à cause qu’ils étaient 2h de la guerre
Système à double clé est mise en place
- Le Canada possède des armes nucléaires mais on doit demander aux États-Unis et vice versa
La plupart de nos armes nucléaires ne fonctionna pas
- Des 3 systèmes qu’ils reçoivent, seulement 1 fonctionne (est mis vers l’Allemagne)
Les Bomarc ne vont pas servir, mais démontre que nous sommes prêt à gagner
Montre que le Canada n’est pas une puissance nucléaire
L’engagement croissant des Américains au Vietnam sera un irritant majeur dans la relation canado-américaine
Le conflit commence à faire glisser l’anti-américanisme de la droite à la gauche
Va changer les perceptions international des États-Unis
Le gouvernement canadien accepte de siéger à la Commission internationale de surveillance et de contrôle avec l’Inde et la Pologne
En 1954, le Canada est appelé à sièger à la Commission de Surveillance et Contrôle (à pour représenter l’Occident(
- La Pologne est là pour représenter l’URSS
- L’Inde est là pour les pays non-identifiés
- Une conférence pour réunir le Vietnam Nord et Sud
On utilise notre siège pour informer les États-Unis et pour permettre aux Anéricains de négocier au Vietnam du Nord
- Notre rôle est dans l’intérêt des États-Unis
Les américains n’ont jamais mis beaucoup de pressions sur nous pour envoyer des troupes canadiennes au Vietnam
La france avait occupé l’indochine, guerre, Français sont partis et ont laissé un gouvernement communiste dans le nord et un gouvernement non-communiste dans le sud
Conférence met fin à la séparation de l’Indochine
Dans un discours de 1965, Pearson prône l’arrêt des bombardements américains au Vietnam du Nord
Les américains sont présents au Vietnam dès les années 60, et en 64 ils s’impliquent beaucoup plus
Initialement, il n’y a pas beaucoup de critiques sur la guerre du Vietnam au Canada ou aux États-Unis
Pearson se méfie de cette escalade
- Les américains, en s’impliquant de plus en plus dans le conflit, on lancer un bombardement aérien contre le Vietnam du Nord
- Il donne un discours dans une université américaine et prône l’arrêt des bombardements américaine
- Pearson veut des négociations de paix
Johnson veut rapporter les Nord Vietnamiens à la table de négociation par des bombardements
Le Président et le Premier Ministre ont les mêmes intentions
Pearson donne des forces au mouvement anti-guerre américain, qui est sur ses petits pas, mais commence à gagner du support
- Johnson essaye de contenir le mouvement anti-guerre
Le discours de Pearson provoque la colère de Johnson
- Folklore politique canadienne
- Johnson convoque Pearson au camp David
- Il aurait eu une discussion avec Pearson où l’aurait secouer et dit “tu piss sur mon tapis”
- Pearson ne va pas arrêter, il va appeler à la dé-escalade
Les Canadiens essayent de faires des négociations entre deux groupes qui ne peuvent pas parler
- Les États-Unis veulent écraser le Vietnam du Nord et le Vietnam du Nord veut un Vietnam unifié
Pour Pearson, un appel d’arrêt de bombardement canadien fait du sens à cause que le Canada fait parti du conseil de surveillance et contrôle de l’Indochine
Les efforts du Canada ne font qu’irruté les Américains
En 1967, les Canadiens vont demander l’arrêt d’utiliser nos armes
- Chutte importante de nos ventes d’armes aux États-Unis
L’opposition à la guerre du Vietnam prend rapidement de l’ampleur au milieu des années 1960
Le mouvement anti-guerre canadien émerge
En 1965-66: Un nombre croissant de déserteur et personnes qui fuient la conscription arrivent au Canada, ce qui contribue aux frictions canado-américaines
Par contre, les relations canado-américaines vont s’améliorer avec Pearson
- Les relations s’améliorent avec son arrivé, puisqu’il est un chef avec une bonne relation américale avec les Amércains
- Cependant, il va critiquer les Américains un peu pour démontrer son l’indépendance
Diefenbaker promet de rediriger 15 % du commerce extérieur du Canada vers la Grande-Bretagne
Divers chefs canadiens ont cherché à arrêter la dépendance des États-Unis
Diefenbaker veut reconstruire la relation avec la Grande-Bretagne
Il invente le 15% en conférence de presse et tout le monde est surpris
L’économie brittaniqe n’est pas en ruine, mais les choses ne vont pas super bien
- Alors, la Grande-Bretagne nous offre le libre-échange
Diefenbaker va laisser discrètement le projet
Il parle comme Bennet, il parle du mouvement impérialisme britannique, mais le mouvement impérialisme est protectionniste, incluant avec la GB
Le commerce trans-atlantique va être en déclin, va chercher à soi redynamiser les échanges avec l’Europe
Lorsque Diefenbaker dit non au libre-échange, GB va faire des ventes avec l’Europe
Diefenbaker va être furieux, dit que c’est une trahison
Pendant la campagne électorale de 1963, Lester B. Pearson promet de réparer la relation avec les États-Unis
Les choses vont très mal entre les États-Unis et le Canada en 1963
- Ils ont même retirer leur ambassadeur
Pearson est élu pour réparer la relation avec les États-Unis
Dès son entré en fonction, il ouvre l’entrée avec l’arme nucléaire
Mais ses promesses seront d’une court durée
Walter Gordon s’inquiète du niveau de contrôle que détiennent les investisseurs américains sur l’économie canadienne
Gordon sera élu Ministre des Finances
Un riche homme d’affaire, inquiet de la porter d’investissement américaine au Canada
Avait proposé de taxé les investissements canadiens au dominion
Il propose un impôt
- Si les intérêts étrangers achètent dans les compagnie canadiennes, ils sont soumis à un imôt spécial
- Une partie de la vente sera taxé par le gouvernement canadien
Cette initiative provoque de la colère au milieu des affaires canadiennes et américaines
- Les affaires canadiennes ont besoin de la business américaines
- Les affaires américaines pensent que ça ressemble à Cuba
Il va faire marche arrière, mais fait adopté une loi qui limite la capacité étrangère à contrôler les industries canadiennes
- Ex: Difficile d’acheter des banques canadiennes si tu es une banque américaine
Le budget de 1963 de Gordon :
- Quand il émet son rapport, il est critiqué et personne l’aime
- Mais on début des années 60, les choses changent, les canadiens ont peur de l’investissement américain et la domination américaine
Peu de temps après l’abandon du projet, les États-Unis veulent mettre une taxe sur les exportations du capital américain, puisqu’ils commence à s’inquièter de la fuite des capitaux
Cette mesure inquiète le gouvernement canadien
On souhaite accueillir des investissements américains, mais on a peur de leur porté
Le Pacte de l’automobile (Accord canado-américain sur les produits de l’industrie automobile) est signé en janvier 1965
Malgré les investissements, le continentalisme continu à devenir grand
Le pacte sagit pas tant un effort de libre-échange, qu’un effort de commerce administré
- Autorise le libre-échange au sein de l’industrie automobile
- En même temps, assure une part au Canada de cette industrie nord-amériaine
- Presque comme Hyde park, mais pour l’automobile
- Les pièces et autos peuvent traverser sans être sujet de tarif douanier
Le gouvernement canadien veut que ça l’aide l’industrie automobile au Canada, puisque l’industrie canadienne va mal depuis les années 60
- Elle est une sucursade de l’industrie américaine et elle jouit d’une protection tarrifère
- Ex: ford canada veut produire des produits uniquement pour le Canada dans les usines canadiennes, elle importe des outils des ÉU (il va y avoir des tarrifs)
- Le canada ne peut pas se payer une industrie automobile indépendante, ce n’est pas un assez bon marché
- Éternelle déficite commercial et au début des années 60, la moitié est lié au secteur automobile
- Cette industrie est très importante pour le sud de l’Ontario, le problème de l’industrie cause des problèmes au Canada
L’industrie est favorable à cet accord (Rationnalisation)
- Ex: Ford, General Motor, etc.
- Ford ne veut plus produire tout une game de produits au Canada, elle veut intégrer ses produits aux Canada de ses industries américaines, elle souhaite rationnalisé cette industrie
- L’industrie automobilière veut une intégration canado-américaine
Johnson est égalemrent favorable à cet accord, surtout dans l’implication canadienne dans la foullé en Chypre
- Île proche de Turquie, Ottawa à aider à prévenir une guerre entre la Turquie et Grèce
- Le rapport:
- Canada a envoyer une force onusienne à Chypre qui a contribuer à calmer les tensions
- Les américains nous avaient encourager à arrêter ce conflit
- Les casques bleus canadiens vont être à Chypre pendant 30 ans
- En évitant une guerre, le Canada a contribué à sauver l’Otan
- La Grèce et la Turquie sont tout les deux des membres de l’Otan
- Dans les faits, on est rentré à Chypre pour sauver les Américains et ils ont beaucoup apprécié
- Johnson appréci l’implication du Canada dans la guerre
Le pact de l’automobile n’est pas un merci au Canada, mais les Américains sont très bien disposé au Canada
Le Time et le Reader Digest ont utilisé leur pouvoir à Washington pour ralentir le pact d’automobile, pour faire retourner Gordon sur son projet contre les ÉU
Dans l’enssemble, le Canada est sorti gagnant dans le pact, le Canada peut pas soutenir une industrie indépendante
- Le pact de l’automobile à améliorer le sort du Canada
- Dynamise l’économie du Sud de l’Ontario et aide à diminuer le déficit au Américains
- On commence à avoir un surplus et non un déficit avec les États-Unis
L’accord va provoquer la colère des protectionniste américains, on le critique
Il va exprié en 2001
C’était un système de Quota, il allait à l’encontre de l’accord internationaux de libre-échange
Si Ontario vote contre le libre-échange dans le futur, c’est à cause qu’ils ont déjà une meilleur chose : l’accord de libre-échange
Au Canada, comme dans bien d’autres nations, la guerre froide a graduellement changé l’image des États-Unis
L’américanisation de la culture est une peur commune au Canada
On tente d’améliorer le taux de contenu canadien à la radio et télévision sous Diefenbaker
- Dans les années 60, les Canadiens lisent beaucoup de magazines américains
- Mais ce serait des éditions canadiennes, plusieurs magazines américains possèdent des annonces canadiennes
- Cette situation inquiète beaucoup de Canadiens, constate que les Canadiens s’abreuve aux magazines américains
St Laurent à abandonner l’idée de taxé sur les éditions américaines à cause que Times et Reader’s Digest ont beaucoup d’influence à Washington
Diefenbaker va recommender d’interdire les annonces canadiennes dans les magazines américains, mais il a peur de Times et Reader’s Digest et va arrêter
Pearson va devoir abandonner des plans comme celui-ci également
Au Canada, comme dans bien d’autres nations, la guerre froide a progressivement changé l’image des États-Unis
La Guerre Froide a changé l’image des États-Unis
La gauche aimait les États-Unis avant, mais plus maintenant
- L’anti-américanisme devient une attitude de gauche
On voit émerger une nouvelle identité canadienne sur le maintien de la paix, des programmes sociaux et le multiculturalisme
La vision impérialiste du Canada est en déclin
Le philosophe George Grant incarne bien le lien entre les deux visages de l’antiaméricanisme
Cet anti-américanisme montre un filet anti-américain entre les deux groupes
- Ancienne identité, les conservateurs anti-américains
- La nouvelle identité, la gauche anti-américaine
L’intégration continental est vu comme une menace pour les valeurs et l’existence du Canada
George Grant écrit Lament for a nation, publié en 1965
- Va inspirer la nouvelle gauche canadienne
- Il écrit un livre très conservateur et inspire l’émergence d’une nouvelle gauche canadienne
- Inspiré par les États-Unis, en critiquant les États-Unis
Le nouvel antiaméricanisme trouvera sa plus complète expression politique dans les orientations du Nouveau Parti démocratique
Un parti qui succède l’ancien CCF
Très critique de l’intégration continental
Le CCF, un vrai parti socialiste, était en faveur de l’intégration continental, mais le NDP ne l’est pas
Changement dans l’identité canadienne entraine des changements sur la perception Canadienne des États-Unis
Cependant, il a quand même un lien entre les deux nations