législation Flashcards
Le secret professionnel, institué dans l’intérêt des patients, s’oppose à tout médecin dans les conditions établies
par la loi
faux, Le secret professionnel, institué dans l’intérêt des patients, s’IMPOSE à tout médecin dans les conditions établies
par la loi
Le secret couvre tout ce qui est venu à la connaissance du médecin seulement
faux, médecin, pharmacien, dentiste, infirmier…
Le secret couvre tout ce qui est venu à la connaissance du médecin dans l’exercice de sa profession, c’est-à-dire uniquement tout ce qui lui a été confié
faux, non seulement ce qui lui a été confié, mais aussi ce qu’il a vu, entendu
ou compris
le secret médical désigne, pour le profane, l’interdiction faite au corps médical de divulguer les informations
apprises au sujet des patients
vrai
le secret médical constitue un garant de la confiance indispensable à l’instauration et à la pérennité de celle-ci, c’est un principe secondaire
faux, principe élémentaire
Le secret médical est perçu comme un mode de protection mis à la disposition du
patient
vrai
les normes régionales ne connaissent pas la notion de secret médical au sens strict mais, tout au plus, celle de vie privée
faux normes supranationales (européennes, internationale…)
Les sources juridiques du secret médical se limitent ainsi nécessairement au droit externe
faux, au droit interne, au droit national, au droit francais
il n’y a que le code pénale et le code de déontologies comme sources juridiques
faux, il y a des sources juridique d’importances diverse :
-code de déontologie
-de santé public
-code penal
L’insertion du secret médical au sein du système normatif français s’est faite par l’intermédiaire du code pénal de 1930
faux, 1810
L’objet du droit pénal est de proclamer des obligations directement
faux, on ne proclames pas des obligations, du moins PAS DIRECTEMENT
le code pénal énonce des sanctions et évoque même le secret médicale
faux, il ne parle pas de secret médical mais de secret PROFESSIONNEL
la sanction minimal est de 1an de prison et 15 000 euros d’amande
faux, maximum
Le code pénal marque explicitement la frontière du licite et de l’illicite (ce qui est permis et ce qui ne l’est pas)
faux, pas explicitement mais par déductions successives
le code penal décrit les actes illicites, il ne décrit pas les actes licites
vrai