ethique 2 Flashcards
Le CCNE estime qu’il faut parler de « repérage orienté des dysfonctionnements de l’acuité auditive » plutôt que de «
suspicion de surdité »
faux, Le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) recommande d’éviter de parler de “suspicion de surdité”.
Cependant, la formulation correcte recommandée n’est pas “dysfonctionnement de l’acuité auditive” mais “repérage orienté des TROUBLES de l’audition” (CC)
La recommandation du CCNE d’informer les parents en amont et d’éviter le mot « sourd » a été suivie par le ministère
de la santé
Vrai c’est bien en AMONT (CC)
Le ministère de la santé informe les futurs parents que le test de surdité sera imposé en vertu du risque de perte de
chance de l’enfant sourd
faux, Le test n’est PAS imposé mais proposé dans le respect du principe d’autonomie, permettant aux parents de
donner leur consentement de manière éclairée (CC)
La femme enceinte ne doit pas être stressée par l’information d’un test de dépistage de la surdité en maternité, en
vertu du principe de non-malfaisance
faux, l’information ne doit PAS être retenue POUR éviter le stress; au contraire, elle doit être donnée pour préparer les parents et réduire le stress potentiel au moment du test (CC)
Le ministère de la santé informe que si l’enfant est sourd, il sera appareillé d’une prothèse auditive en vertu du
principe de bienfaisance
faux, rien indique que lorsqu’il portera une prothèse auditive, cet enfant n’aura pas lui même des parents sourds qui lui diront qu’il peut apprendre le langage des signes. Donc dire que SI IL EST sourd IL SERA appareillé est faux (c’est dit comme si c’était la seule solution, issue). Il est dit que l’enfant sera accompagné, qu’il bénéficiera d’un accompagnement (ce sera un implant nucléaire et pas seulement une prothèse ????) (CC)
Prendre garde à l’effet de sidération produit chez le patient fait partie des recommandations de la HAS sur l’annonce de mauvaises nouvelles
vrai, Il est important de faire attention à l’effet de choc ou de sidération que peut provoquer l’annonce d’une mauvaise
nouvelle chez un patient. Il s’agit d’éviter de le submerger, en utilisant par exemple la technique du sandwich qui consiste à amener la mauvaise nouvelle de manière progressive. (CC)
Informer le patient en présence de son conjoint fait partie des recommandations de la HAS sur l’annonce de mauvaises nouvelles
faux (CC)
Ne pas céder à la rationalisation fait partie des recommandations de la HAS sur l’annonce de mauvaises nouvelles
vrai, Les professionnels de santé sont encouragés à ne pas céder à la rationalisation lors de l’annonce d’une mauvaise nouvelle, ce qui implique d’éviter de se retrancher derrière des explications cliniques détaillées qui pourraient être
perçues comme insensibles ou éloignées des préoccupations émotionnelles du patient (CC)
Banaliser la maladie grave pour la dédramatiser fait partie des recommandations de la HAS sur l’annonce de mauvaises nouvelles
faux, Il ne faut pas banaliser une maladie grave dans une tentative de la dédramatiser, car cela pourrait minimiser les préoccupations légitimes du patient et de ses proches (exemple des cheveux qui tombent) (CC)
Ne pas réagir mal à propos à l’introjection agressive fait partie des recommandations de la HAS sur l’annonce de mauvaises nouvelles
faux, Il y a eu une confusion entre les termes “INTROjection” (prendre sur soi, intérioriser) et “PROjection”. Il est important de ne pas réagir de manière
inappropriée si le patient projette de l’agressivité, ce qui est un mécanisme de défense naturel en réponse à une
mauvaise nouvelle. Le professionnel doit rester empathique et soutenir le patient dans cette épreuve, sans prendre
personnellement cette agressivité (CC)
