ethique 1 Flashcards
Dans le sens du substantif, éthique et moral sont synonymes
Faux, c’est dans le sens de l’ADJECTIF qu’éthique et moral sont synonymes
Selon Durkheim, la moral ne nécessite aucune réflexion
Faux, selon lui elle nécessite PEU de réflexion
La morale est un système d’obligations qui s’imposent à la conscience sous forme d’interdits ou de
préconisations
vrai
Selon Ricoeur, la morale a un effet de contrainte
Vrai, et également un effet d’universalité
Là où il n’y a pas de délibération possible, nous sommes plutôt sur le territoire de la morale
Vrai, et c’est lorsque la morale flanche (= dilemme moral) que l’on passe du coté de l’éthique
Lorsque nous avons connaissance qu’un collègue médecin est alcoolo-dependant, nous sommes face à un
dilemme éthique : d’un côté, respecter l’autonomie du médecin et de l’autre, protéger ses patients
vrai
La déontologie est une “morale appliquée” dont les normes sont valables pour des micro-sociétés
vrai
D’après le code de déontologie médicale, si un patient est séropositif, le médecin n’a pas le droit de le signaler à son partenaire même s’il risque de le contaminer, c’est son devoir de confraternité
Faux, devoir de confidentialité
Si un médecin transgresse une obligation morale, par inclusivité il déroge aussi à un code de la déontologie
vrai
La France étant un pays laïc, le médecin ne doit pas tenir compte des croyances du patient
Faux, le médecin doit tenir compte des croyances du patient et donc être informé de ce que lui impose sa religion
L’éthique est la démarche de réflexion provoquée par un dilemme immoral
Faux, par un dilemme MORAL
Selon Ricœur la morale est un système de règle d’action qui prédétermine la conduite
Faux, c’est selon Durkheim
Selon Ricœur, la morale porte une exigence d’universalité et un effet de contrainte
vrai
Les devoirs moraux sont les piliers de la vie en société
vrai
Là où il n’y a pas de délibération possible, nous sommes plutôt sur le territoire de
l’éthique
Faux, territoire de la MORALE
Si un patient dit « j’ai commis l’inceste auprès de mon enfant », le médecin ne doit pas faire un signalement car il doit respecter le secret médical
Faux, il y a des exceptions. Dans ce cas-là il doit faire un signalement
Le respect de la déontologie ne vaut que pour un groupe déterminé
vrai
Le code de déontologie garantit la respectabilité́ d’une profession auprès de tous les membres de la société
vrai
Le Professeur Even a été radié après avoir écrit un livre où il dénonce des conflits d’intérêt des médecins avec les laboratoires
vrai
Si un médecin transgresse une obligation morale, par inclusivité il déroge aussi à un code de la déontologie
vrai
Un cas clinique se traduisant par des tensions entre des valeurs relève de ladéontologie
Faux, ça relève de l’ETHIQUE
En cas de maltraitance caractérisée sur une personne âgée, il n’y a pas de problèmes
d’éthique
vrai
Un principe religieux, tout comme les principes éthiques sont révisables
Faux, ils sont non révisables
Dans notre pays les citoyens ne sont pas tenus de respecter les principes de la
religion
vrai
Le médecin ne doit pas tenir compte des croyances du patient lors de sa prise en
charge
Faux, il doit en tenir compte
La deuxième close de confiance est que le médecin est obligé de réorienter le choix
du patient dans son intérêt
vrai
Les principes éthiques qui structurent la réflexion sont révisables
vrai
Le principe formalise la morale et se concrétise à travers des valeurs
Faux, Le principe formalise la valeur et se concrétise à travers des règles
La liberté formalise le principe d’autonomie et se concrétise à travers la règle du consentement
Faux, c’est le principe d’autonomie qui formalise la liberté
Grâce au droit à l’oubli, le patient a le droit de ne plus faire paraître une mention dans son dossier médicale
vrai
Le principe de non malfaisance consiste à éviter toute souffrance au patient
Faux, éviter toutes souffrances INUTILES
La dignité est une valeur relative
Faux, ABSOLU
Le respect est la perception d’une grandeur morale en autrui qui nous révèle la valeur que nous accordons au principe d’autonomie
vrai
Du point de vue de l’éthique des vertus, l’information prudente tient dans un juste milieu entre deux extrémités fâcheuses. On ne doit ni divulguer, ni assener l’information
vrai
La philosophie politique se concentre sur des valeurs de permissions et d’interdiction
faux, philo DROIT
La philosophie morale est souvent synonyme d’éthique
vrai
La philosophie de droit se concentre sur nos droits et devoirs
Faux, définition inventée.
L’éthique appliquée se spécialise dans des secteurs d’activité sociaux spécifiques comme la médecine, les affaires ou l’environnement
vrai
La religion se manifeste à travers des concepts comme l’indépendance, l’impartialité, la confidentialité et
l’intégrité
Faux, ce sont les concepts de la déontologie
En matière d’éthique, les notions de respect de l’autonomie, de bienfaisance, de non-malfaisance et de justice
sont prépondérantes
vrai
Une grande distinction entre principes éthiques et religieux est que les premiers sont révisables ou pondérable
alors que les seconds non
vrai
Les devoirs moraux représentent des piliers de la vie en société, ils se regroupent en interdits et en obligations
vrai
La morale selon Ricoeur est définie par son exigence d’universalité et son effet de contrainte/nécessité
vrai
en pratique les normes morales ne sont pas universellement acceptées mais plutôt candidates à
l’universalités
vrai (au concours je pense)
D’apres le principe d’autonomie, dans sa version modérée, il réclame du médecin qu’il fasse participer le patient à la décision pour parvenir à un commun accord
vrai car dans sa version stricte le patient à le dernier mot, c’est lui qui prend les décisions concernant sa santé alors que la version modérée est le modèle de la codécision (CC je pense)
le principe d’autonomie n’est pas révisable, à la différence des autres principes
faux, TOUS les principes sont REVISABLES (CC)
le principe d’autonomie est non-négociable dans la doctrine utilitariste
faux, c’est dans la doctrine déontologiste : les valeurs privilégiées par Kant et les déontologistes sont l’autonomie et la dignité car pour honorer la dignité on doit respecter l’autonomie, il est donc NON négociable pour les déontologistes (CC)
le principe d’autonomie est une vertu centrale dans l’éthique des vertus d’Aristote
faux, valeur moderne (=éthique des PRINCIPES). Les vertus centrales dans l’éthique des vertus d’Aristote sont la PRUDENCE, la générosité, la douceur, la maniabilité, le courage… (CC)
Un médecin a le devoir de s’incliner face à un refus de soin, sans chercher à convaincre le patient réfractaire au
traitement
faux, il a le droit de chercher à le convaincre (CC)
Les normes morales sont généralement vécues comme ayant une portée universelle
vrai, en soit elles ne sont pas universelles (elles sont candidates) mais “VECUES comme ayant” sous entends “telles qu’elles sont vécues” dans l’indignation, le harcèlement etc c’est vrai (CC)
les normes morales renferment une plus grande force contraignante que les 4 principes de l’éthique
biomédicale
vrai car les principes de l’éthique médicale
sont révisables contrairement aux normes morales qui s’imposent comme les normes de la religion de façon assez contraignantes (CC)
Selon Durkheim, les normes morales s’imposent a priori aux membres de la société, et de façon catégorique
vrai, “bien agir, c’est bien obéir” : posé de façon bien contraignante, avant même d’agir on sait ce qu’il ne faut pas faire (mentir, tuer , voler…) (CC)
les normes morales n’ont aucun rapport avec les règles de la déontologie médicale
faux, la déontologie c’est une morale appliquée à une profession, il y a dans la déontologie médicale beaucoup de normes qui appartiennent à la morale (loyauté, devoir de réserve, dignité ….) (CC)
les normes morales n’ont aucun rapport avec les normes religieuses
faux, “ne pas tuer” fait partie de la religion et de la morale (CC)
Les concepts d’obligation, d’interdits et de devoirs se rapportent à la morale
vrai
La philosophie du droit se concentre sur des valeurs telles que la paix, la sécurité et l’ordre public
faux, philo POLITIQUE
Les principes religieux sont révisables selon certaines conditions
faux, NON révisable
Selon Paul Ricoeur, la morale est un système de règles d’action qui prédétermine la conduite, et bien agir,
c’est bien obéir
faux, Durkheim
La morale se présente comme un système d’obligations imposées à la conscience, comprenant des interdits, des préconisations, des prescriptions et des proscriptions
vrai
La déontologie garantit la respectabilité d’une profession auprès de tous les membres de la société
vrai
Le conflit d’intérêt est contingent et relatif
vrai
La déontologie se limite à énoncer des normes telles que l’indépendance, l’impartialité et l’intégrité
faux justement la déontologie ne se limite pas à énoncer des normes. En effet, elle offre des outils pragmatiques
pour résoudre des dilemmes éthiques même si elle ne peut pas toujours fournir des réponses claires à tous les
dilemmes moraux
La dignité humaine est un principe central de la justice éthique
vrai
Bentham se veut plutôt déontologiste tandis que Kant, lui, est plutôt utilitariste
faux, c’est l’inverse
la morale est axée sur les valeurs fondamentales qui guident nos jugements et nos appréciations dans divers domaines
faux, ETHIQUE
L’éthique se distingue par son champs d’étude
vrai
l’éthique fait partie de la branche de l’art
faux, c’est l’ESTHETIQUE
La philo morale se focalise sur le bien et le juste
vrai
la branche de l’étique médicale se spécialise dans des secteurs d’activité sociaux spécifiques
faux, c’est l’éthique APPLIQUEE
en dehors de l’éthique médicale, il existe des domaines comme l’éthique de la justice ou de l’environnement
faux justice des AFFAIRES et de l’environnement
l’éthique appliquée au secteur de la santé se divise en éthique médicale et en bioéthique
vrai
l’éthique médicale aborde des sujets contemporains et la bioéthique, des sujets plutot traditionnels
faux, c’est l’inverse
l’annonce de mauvaise nouvelle concerne l’éthique appliquée
faux, l’éthique médicale
la manipulation des éléments du corps humain concerne la bioéthique
vrai
l’éthique biomédicale regroupe les problemes classiques de l’éthique médicale et les questions émergentes de la bioéthique
vrai
l’éthique est l’unique discipline intéressée par les valeurs fondamentales
faux, il y a la philo de l’art, du droit, politique aussi
indépendance, impartialité, intégrité et confraternité sont des valeurs déontologique
faux, CONFIDENTIALITE, pas confraternité
la religion se manifeste au travers des concepts tel que l’amour du prochain, la charité et la miséricorde
vrai
la morale envisage la maladie comme une épreuve
faux, c’est la religion qui l’envisage
la morale se distingue par son accent sur l’obligation et le respect, y compris le devoir de la conscience et l’interdiction de comportements inacceptables
faux, la morale se distingue par son accent sur l’obligation et le DEVOIR, y compris le RESPECT de la conscience et l’interdiction de comportements inacceptables
Les principes de la morale s’applique au depend de la croyance en dieu
faux, INdépendament
la déontologie est évoquée lorsqu’il s’agit d’impartialité et d’indépendance pour les medecins vis a vis des labo pharma
vrai
la déontologie englobe des valeurs telles que l’intégrité et la confraternité
vrai
le role du philosophe est de conceptualiser, classifier et caractériser ces normes
vrai (regle des 3C)
historiquement la morale a souvent été la source de la religion
faux, c’est l’inverse
l’obéissance en dieu est vu comme le fondement morale dans certaines sociétés
vrai
les sociétes polyhtéiste et animistes partageaient une indépendance à une entité surnaturelle
faux, une dépendance
la morale ethique est en declin dans certaines sociétes
faux, c’est la morale RELIGIEUSE
depuis le 17e siecle, la morale a été progressivement sécularisée
faux, 18e siècle
le respect de l’autonomie et la bienfaisance se caractérisent par leur capacité à être révisables ou pondérées
vrai, il s’agit de principe éthique
les principes religieux sont des dogmes ou des commandements divins
vrai
les obligations éthiques occupent une position intermédiaire entre les principes religieux et moraux
faux, les obligations MORALES occupent une position intermédiaire entre les principes religieux et ETHIQUES
les obligations morales sont comparables aux piliers de la société
vrai
les principes religieux et les principes éthiques partagent une quasi-immuabilité
faux, c’est les principes religieux et les OBLIGATIONS MORALES
le non respect des obligations morales entraine une désintégration sociale
vrai
l’éthique se présente comme un systeme d’obligation révisable imposée à la conscience sous forme d’interdits, de préconisation, prescription et proscription
faux, double piège :
-il s’agit de la définition de la morale
-c’est un système d’obligation NON révisable
les interdits moraux sont instables dans le temps et largement répendus
faux, ils sont stables
les normes morales partagent une parenté avec les normes éthiques comme le commandement “tu ne tueras point”
faux, les normes morales partagent une parenté avec les normes RELIGIEUSES
les obligations morales constituent un système de normes génératrices de comportements et d’actions sociétales
vrai
paul ricoeur est un philosophe du 18e siècle
faux, de la fin du 20e siecle
selon durkheim, les normes morales peuvent être identifiées par 2 caractéristiques distinctes : leur exigence d’universalité et leur effet de contrainte ou de nécessité
faux, c’est selon ricoeur
la contigence implique qu’il n’est pas possible d’agir autrement
faux, c’est la nécessité
selon ricoeur on ne peut pas se soustraire facilement aux normes morales
vrai
la notion d’exigence d’universabilité est non contestable
faux, elle l’est
L’éthique est une discipline axée sur les valeurs fondamentales qui guident nos jugements et nos
appréciations dans divers domaines
vrai
. En matière d’éthique, les notions de respect de l’autonomie, de bienfaisance, de solidarité et
de justice sont prépondérantes, souvent entremêlées avec les autres normes dans la réalité quotidienne
faux, c’est le respect de l’autonomie, de bienfaisance, de justice et de non-malfaisance
(pas de la solidarité)
Les principes religieux sont non révisables
vrai
Selon Durkheim, les normes morales peuvent être identifiées par deux caractéristiques distinctives :
leur exigence d’universalité et leur effet de contrainte ou de nécessité
faux, ricoeur
La finalité de la déontologie est d’assurer la respectabilité d’une profession au sein de la société
vrai
Un conflit d’intérêt devient un lien d’intérêt lorsqu’il influence de manière significative les décisions ou
les actions d’une personne, surtout dans un cadre professionnel
faux, c’est l’inverse, un LIEN d’intérêt devient un CONFLIT d’intérêt lorsqu’il influence de manière significative les décisions ou les actions d’une personne, surtout dans un cadre professionnel
On distingue trois méthodes principales pour résoudre des dilemmes moraux : l’éthique des vertus,
l’éthique des principes et l’éthique procédurale ou de discussion
vrai
Dans l’éthique des vertus d’Aristote, toute vertu est vue comme une qualité déontologique qui se situe
entre un excès et un défaut
faux, dans l’éthique des vertus d’Aristote, toute vertu est vue comme une qualité
MORALE qui se situe entre un excès et un défaut (différence entre déontologie et morale !!!)
La déontologie offre également des outils pragmatiques pour résoudre des dilemmes éthiques
vrai
À la différence de la morale, l’éthique réclame peu de réflexion
faux, c’est la morale qui réclame
peu de réflexion
L’éthique appliquée au secteur de la santé se divise en éthique médicale et en bioéthique
vrai
Les sociétés polythéistes ou animiste partageaient une dépendance à une entité naturelle
faux, SURNATURELLE