ethique 1 Flashcards
Dans le sens du substantif, éthique et moral sont synonymes
Faux, c’est dans le sens de l’ADJECTIF qu’éthique et moral sont synonymes
Selon Durkheim, la moral ne nécessite aucune réflexion
Faux, selon lui elle nécessite PEU de réflexion
La morale est un système d’obligations qui s’imposent à la conscience sous forme d’interdits ou de
préconisations
vrai
Selon Ricoeur, la morale a un effet de contrainte
Vrai, et également un effet d’universalité
Là où il n’y a pas de délibération possible, nous sommes plutôt sur le territoire de la morale
Vrai, et c’est lorsque la morale flanche (= dilemme moral) que l’on passe du coté de l’éthique
Lorsque nous avons connaissance qu’un collègue médecin est alcoolo-dependant, nous sommes face à un
dilemme éthique : d’un côté, respecter l’autonomie du médecin et de l’autre, protéger ses patients
vrai
La déontologie est une “morale appliquée” dont les normes sont valables pour des micro-sociétés
vrai
D’après le code de déontologie médicale, si un patient est séropositif, le médecin n’a pas le droit de le signaler à son partenaire même s’il risque de le contaminer, c’est son devoir de confraternité
Faux, devoir de confidentialité
Si un médecin transgresse une obligation morale, par inclusivité il déroge aussi à un code de la déontologie
vrai
La France étant un pays laïc, le médecin ne doit pas tenir compte des croyances du patient
Faux, le médecin doit tenir compte des croyances du patient et donc être informé de ce que lui impose sa religion
L’éthique est la démarche de réflexion provoquée par un dilemme immoral
Faux, par un dilemme MORAL
Selon Ricœur la morale est un système de règle d’action qui prédétermine la conduite
Faux, c’est selon Durkheim
Selon Ricœur, la morale porte une exigence d’universalité et un effet de contrainte
vrai
Les devoirs moraux sont les piliers de la vie en société
vrai
Là où il n’y a pas de délibération possible, nous sommes plutôt sur le territoire de
l’éthique
Faux, territoire de la MORALE
Si un patient dit « j’ai commis l’inceste auprès de mon enfant », le médecin ne doit pas faire un signalement car il doit respecter le secret médical
Faux, il y a des exceptions. Dans ce cas-là il doit faire un signalement
Le respect de la déontologie ne vaut que pour un groupe déterminé
vrai
Le code de déontologie garantit la respectabilité́ d’une profession auprès de tous les membres de la société
vrai
Le Professeur Even a été radié après avoir écrit un livre où il dénonce des conflits d’intérêt des médecins avec les laboratoires
vrai
Si un médecin transgresse une obligation morale, par inclusivité il déroge aussi à un code de la déontologie
vrai
Un cas clinique se traduisant par des tensions entre des valeurs relève de ladéontologie
Faux, ça relève de l’ETHIQUE
En cas de maltraitance caractérisée sur une personne âgée, il n’y a pas de problèmes
d’éthique
vrai
Un principe religieux, tout comme les principes éthiques sont révisables
Faux, ils sont non révisables
Dans notre pays les citoyens ne sont pas tenus de respecter les principes de la
religion
vrai
Le médecin ne doit pas tenir compte des croyances du patient lors de sa prise en
charge
Faux, il doit en tenir compte
La deuxième close de confiance est que le médecin est obligé de réorienter le choix
du patient dans son intérêt
vrai
Les principes éthiques qui structurent la réflexion sont révisables
vrai
Le principe formalise la morale et se concrétise à travers des valeurs
Faux, Le principe formalise la valeur et se concrétise à travers des règles
La liberté formalise le principe d’autonomie et se concrétise à travers la règle du consentement
Faux, c’est le principe d’autonomie qui formalise la liberté
Grâce au droit à l’oubli, le patient a le droit de ne plus faire paraître une mention dans son dossier médicale
vrai
Le principe de non malfaisance consiste à éviter toute souffrance au patient
Faux, éviter toutes souffrances INUTILES
La dignité est une valeur relative
Faux, ABSOLU
Le respect est la perception d’une grandeur morale en autrui qui nous révèle la valeur que nous accordons au principe d’autonomie
vrai
Du point de vue de l’éthique des vertus, l’information prudente tient dans un juste milieu entre deux extrémités fâcheuses. On ne doit ni divulguer, ni assener l’information
vrai
La philosophie politique se concentre sur des valeurs de permissions et d’interdiction
faux, philo DROIT
La philosophie morale est souvent synonyme d’éthique
vrai
La philosophie de droit se concentre sur nos droits et devoirs
Faux, définition inventée.
L’éthique appliquée se spécialise dans des secteurs d’activité sociaux spécifiques comme la médecine, les affaires ou l’environnement
vrai
La religion se manifeste à travers des concepts comme l’indépendance, l’impartialité, la confidentialité et
l’intégrité
Faux, ce sont les concepts de la déontologie
En matière d’éthique, les notions de respect de l’autonomie, de bienfaisance, de non-malfaisance et de justice
sont prépondérantes
vrai
Une grande distinction entre principes éthiques et religieux est que les premiers sont révisables ou pondérable
alors que les seconds non
vrai
Les devoirs moraux représentent des piliers de la vie en société, ils se regroupent en interdits et en obligations
vrai
La morale selon Ricoeur est définie par son exigence d’universalité et son effet de contrainte/nécessité
vrai
en pratique les normes morales ne sont pas universellement acceptées mais plutôt candidates à
l’universalités
vrai (au concours je pense)
D’apres le principe d’autonomie, dans sa version modérée, il réclame du médecin qu’il fasse participer le patient à la décision pour parvenir à un commun accord
vrai car dans sa version stricte le patient à le dernier mot, c’est lui qui prend les décisions concernant sa santé alors que la version modérée est le modèle de la codécision (CC je pense)
le principe d’autonomie n’est pas révisable, à la différence des autres principes
faux, TOUS les principes sont REVISABLES (CC)
le principe d’autonomie est non-négociable dans la doctrine utilitariste
faux, c’est dans la doctrine déontologiste : les valeurs privilégiées par Kant et les déontologistes sont l’autonomie et la dignité car pour honorer la dignité on doit respecter l’autonomie, il est donc NON négociable pour les déontologistes (CC)
le principe d’autonomie est une vertu centrale dans l’éthique des vertus d’Aristote
faux, valeur moderne (=éthique des PRINCIPES). Les vertus centrales dans l’éthique des vertus d’Aristote sont la PRUDENCE, la générosité, la douceur, la maniabilité, le courage… (CC)
Un médecin a le devoir de s’incliner face à un refus de soin, sans chercher à convaincre le patient réfractaire au
traitement
faux, il a le droit de chercher à le convaincre (CC)
Les normes morales sont généralement vécues comme ayant une portée universelle
vrai, en soit elles ne sont pas universelles (elles sont candidates) mais “VECUES comme ayant” sous entends “telles qu’elles sont vécues” dans l’indignation, le harcèlement etc c’est vrai (CC)
les normes morales renferment une plus grande force contraignante que les 4 principes de l’éthique
biomédicale
vrai car les principes de l’éthique médicale
sont révisables contrairement aux normes morales qui s’imposent comme les normes de la religion de façon assez contraignantes (CC)
Selon Durkheim, les normes morales s’imposent a priori aux membres de la société, et de façon catégorique
vrai, “bien agir, c’est bien obéir” : posé de façon bien contraignante, avant même d’agir on sait ce qu’il ne faut pas faire (mentir, tuer , voler…) (CC)
les normes morales n’ont aucun rapport avec les règles de la déontologie médicale
faux, la déontologie c’est une morale appliquée à une profession, il y a dans la déontologie médicale beaucoup de normes qui appartiennent à la morale (loyauté, devoir de réserve, dignité ….) (CC)
les normes morales n’ont aucun rapport avec les normes religieuses
faux, “ne pas tuer” fait partie de la religion et de la morale (CC)
Les concepts d’obligation, d’interdits et de devoirs se rapportent à la morale
vrai
La philosophie du droit se concentre sur des valeurs telles que la paix, la sécurité et l’ordre public
faux, philo POLITIQUE
Les principes religieux sont révisables selon certaines conditions
faux, NON révisable
Selon Paul Ricoeur, la morale est un système de règles d’action qui prédétermine la conduite, et bien agir,
c’est bien obéir
faux, Durkheim
La morale se présente comme un système d’obligations imposées à la conscience, comprenant des interdits, des préconisations, des prescriptions et des proscriptions
vrai
La déontologie garantit la respectabilité d’une profession auprès de tous les membres de la société
vrai
Le conflit d’intérêt est contingent et relatif
vrai
La déontologie se limite à énoncer des normes telles que l’indépendance, l’impartialité et l’intégrité
faux justement la déontologie ne se limite pas à énoncer des normes. En effet, elle offre des outils pragmatiques
pour résoudre des dilemmes éthiques même si elle ne peut pas toujours fournir des réponses claires à tous les
dilemmes moraux
La dignité humaine est un principe central de la justice éthique
vrai
Bentham se veut plutôt déontologiste tandis que Kant, lui, est plutôt utilitariste
faux, c’est l’inverse
la morale est axée sur les valeurs fondamentales qui guident nos jugements et nos appréciations dans divers domaines
faux, ETHIQUE
L’éthique se distingue par son champs d’étude
vrai
l’éthique fait partie de la branche de l’art
faux, c’est l’ESTHETIQUE
La philo morale se focalise sur le bien et le juste
vrai
la branche de l’étique médicale se spécialise dans des secteurs d’activité sociaux spécifiques
faux, c’est l’éthique APPLIQUEE
en dehors de l’éthique médicale, il existe des domaines comme l’éthique de la justice ou de l’environnement
faux justice des AFFAIRES et de l’environnement
l’éthique appliquée au secteur de la santé se divise en éthique médicale et en bioéthique
vrai
l’éthique médicale aborde des sujets contemporains et la bioéthique, des sujets plutot traditionnels
faux, c’est l’inverse
l’annonce de mauvaise nouvelle concerne l’éthique appliquée
faux, l’éthique médicale
la manipulation des éléments du corps humain concerne la bioéthique
vrai
l’éthique biomédicale regroupe les problemes classiques de l’éthique médicale et les questions émergentes de la bioéthique
vrai
l’éthique est l’unique discipline intéressée par les valeurs fondamentales
faux, il y a la philo de l’art, du droit, politique aussi
indépendance, impartialité, intégrité et confraternité sont des valeurs déontologique
faux, CONFIDENTIALITE, pas confraternité
la religion se manifeste au travers des concepts tel que l’amour du prochain, la charité et la miséricorde
vrai
la morale envisage la maladie comme une épreuve
faux, c’est la religion qui l’envisage
la morale se distingue par son accent sur l’obligation et le respect, y compris le devoir de la conscience et l’interdiction de comportements inacceptables
faux, la morale se distingue par son accent sur l’obligation et le DEVOIR, y compris le RESPECT de la conscience et l’interdiction de comportements inacceptables
Les principes de la morale s’applique au depend de la croyance en dieu
faux, INdépendament
la déontologie est évoquée lorsqu’il s’agit d’impartialité et d’indépendance pour les medecins vis a vis des labo pharma
vrai
la déontologie englobe des valeurs telles que l’intégrité et la confraternité
vrai
le role du philosophe est de conceptualiser, classifier et caractériser ces normes
vrai (regle des 3C)
historiquement la morale a souvent été la source de la religion
faux, c’est l’inverse
l’obéissance en dieu est vu comme le fondement morale dans certaines sociétés
vrai
les sociétes polyhtéiste et animistes partageaient une indépendance à une entité surnaturelle
faux, une dépendance
la morale ethique est en declin dans certaines sociétes
faux, c’est la morale RELIGIEUSE
depuis le 17e siecle, la morale a été progressivement sécularisée
faux, 18e siècle
le respect de l’autonomie et la bienfaisance se caractérisent par leur capacité à être révisables ou pondérées
vrai, il s’agit de principe éthique
les principes religieux sont des dogmes ou des commandements divins
vrai
les obligations éthiques occupent une position intermédiaire entre les principes religieux et moraux
faux, les obligations MORALES occupent une position intermédiaire entre les principes religieux et ETHIQUES
les obligations morales sont comparables aux piliers de la société
vrai
les principes religieux et les principes éthiques partagent une quasi-immuabilité
faux, c’est les principes religieux et les OBLIGATIONS MORALES
le non respect des obligations morales entraine une désintégration sociale
vrai
l’éthique se présente comme un systeme d’obligation révisable imposée à la conscience sous forme d’interdits, de préconisation, prescription et proscription
faux, double piège :
-il s’agit de la définition de la morale
-c’est un système d’obligation NON révisable
les interdits moraux sont instables dans le temps et largement répendus
faux, ils sont stables
les normes morales partagent une parenté avec les normes éthiques comme le commandement “tu ne tueras point”
faux, les normes morales partagent une parenté avec les normes RELIGIEUSES
les obligations morales constituent un système de normes génératrices de comportements et d’actions sociétales
vrai
paul ricoeur est un philosophe du 18e siècle
faux, de la fin du 20e siecle
selon durkheim, les normes morales peuvent être identifiées par 2 caractéristiques distinctes : leur exigence d’universalité et leur effet de contrainte ou de nécessité
faux, c’est selon ricoeur
la contigence implique qu’il n’est pas possible d’agir autrement
faux, c’est la nécessité
selon ricoeur on ne peut pas se soustraire facilement aux normes morales
vrai
la notion d’exigence d’universabilité est non contestable
faux, elle l’est
L’éthique est une discipline axée sur les valeurs fondamentales qui guident nos jugements et nos
appréciations dans divers domaines
vrai
. En matière d’éthique, les notions de respect de l’autonomie, de bienfaisance, de solidarité et
de justice sont prépondérantes, souvent entremêlées avec les autres normes dans la réalité quotidienne
faux, c’est le respect de l’autonomie, de bienfaisance, de justice et de non-malfaisance
(pas de la solidarité)
Les principes religieux sont non révisables
vrai
Selon Durkheim, les normes morales peuvent être identifiées par deux caractéristiques distinctives :
leur exigence d’universalité et leur effet de contrainte ou de nécessité
faux, ricoeur
La finalité de la déontologie est d’assurer la respectabilité d’une profession au sein de la société
vrai
Un conflit d’intérêt devient un lien d’intérêt lorsqu’il influence de manière significative les décisions ou
les actions d’une personne, surtout dans un cadre professionnel
faux, c’est l’inverse, un LIEN d’intérêt devient un CONFLIT d’intérêt lorsqu’il influence de manière significative les décisions ou les actions d’une personne, surtout dans un cadre professionnel
On distingue trois méthodes principales pour résoudre des dilemmes moraux : l’éthique des vertus,
l’éthique des principes et l’éthique procédurale ou de discussion
vrai
Dans l’éthique des vertus d’Aristote, toute vertu est vue comme une qualité déontologique qui se situe
entre un excès et un défaut
faux, dans l’éthique des vertus d’Aristote, toute vertu est vue comme une qualité
MORALE qui se situe entre un excès et un défaut (différence entre déontologie et morale !!!)
La déontologie offre également des outils pragmatiques pour résoudre des dilemmes éthiques
vrai
À la différence de la morale, l’éthique réclame peu de réflexion
faux, c’est la morale qui réclame
peu de réflexion
L’éthique appliquée au secteur de la santé se divise en éthique médicale et en bioéthique
vrai
Les sociétés polythéistes ou animiste partageaient une dépendance à une entité naturelle
faux, SURNATURELLE
Un principe religieux est un sujet à négociation
faux, non négociable
La notion d’exigence d’universalité n’est pas contestable
faux, elle est contestable
Kant définit la moralité d’une action par son autonomie, c’est-à-dire la capacité de l’individu à être à l’origine de la
norme à laquelle il obéit
vrai
La finalité de la déontologie est d’assurer la respectabilité d’une profession au sein de la société
vrai
Un agent qui trahit la déontologie de son corps de métier nuit à l’ensemble de sa profession
vrai
Un lien d’intérêt devient un conflit d’intérêt lorsqu’il influence de manière significative les décisions ou les actions
d’une personne, surtout dans un cadre professionnel
vrai
Le lien d’intérêt est relatif et contingent
faux, Lien d’intérêt= naturel et universel
Le conflit d’intérêts est naturel et universel
faux, Conflit d’intérêts = relatif et contingent
Hippocrate, un penseur emblématique de l’éthique des vertus, a mis l’accent sur le concept du juste milieu dans
son œuvre « L’éthique à Nicomaque »
faux, aristote
Il est possible de combiner les doctrines de Kant (utilitariste) et de Bentham (déontologisme) pour créer une
approche éthique qui intègre à la fois l’autonomie, la bienfaisance, la non-malfaisance et la justice
faux, Tout est juste sauf que Kant= déontologisme et Bentham= utilitarisme
Pour Descartes, le bon sens est crucial pour résoudre des dilemmes (c’est la chose du monde la mieux partagée)
vrai
Le principe de malfaisance stipule qu’il ne faut pas infliger de souffrances inutiles ou sans sens à autrui
faux, non-malfaisance
Chacun doit avoir la liberté de s’exprimer et de critiquer les idées des autres tout en faisant preuve de réserve et de
tact dans leurs commentaires
vrai
la notion d’exigence d’universalité est non contestable
faux, elle l’est
les normes morales sont universellement acceptées
faux, elles ne le sont pas (ex de la peine de mort), elles sont plutôt candidate a l’universalité
dans le contexte morale, deux jugements de valeur principaux peuvent être formulés : relativiste et universaliste
faux, contexte ETHIQUE
Le jugement de valeur relativiste suggère que la morale est objective et dépendante de la culture
faux, subjective et dépendante de la culture
Le jugement de valeur relativiste suggère que la morale est subjective et indépendante de la culture
faux, subjective et dépendante de la culture
Le jugement de valeur relativiste suggère que la morale est subjective et dépendante de la culture
vrai
Le jugement de valeur relativiste suggère que la morale est objective et indépendante de la culture
faux, Le jugement de valeur relativiste suggère que la morale est subjective et dépendante de la culture
la morale varie selon les cultures
vrai
Face au relativisme, même dans les pays
pratiquant l’excision, des individus, y compris des femmes et des pères, s’opposent à cette pratique en raison de ses
dangers pour la santé
vrai
on adopte une position universaliste lorsqu’on veut aider et promouvoir une cause dans d’autres pays que le notre
vrai
l’abolition de l’excissiont l’abolition de l’excision considérée comme une victoire du relativisme sur l’universalisme
faux, victoire de l’universalisme sur le
relativisme
l’abolition de l’excision illustre l’exigence d’universalité et l’effet de contrainte sur les groupes et les individus,
conformément à la pensée de Durkheim
faux, paul ricoeur
la morale, elle est un phénomène universel, existant dans toutes les sociétés
vrai
la morale est une constante quelque soit la culture ou la société
vrai
à la différence de la morale, l’éthique demande peu de réflexion
faux, l’inverse (d’apres durkheim ?)
à la différence de l’éthique , la morale demande peu de réflexion
vrai
la morale est un système de règles d’action qui prédétermine la conduite selon ricoeur
faux, selon durkheim
la morale est un système de règles d’action qui prédétermine la conduite. Et bien agir c’est bien obéir selon hippocrate
faux, selon durkheim
Durkheim définissait la morale comme un ensemble de règles d’action qui orientent la
conduite
vrai
ricoeur soulignait que la morale prédétermine ce qu’il convient de faire ou de ne pas faire.
faux, durkheim
La justice est distinguée de la vengeance, la première étant
une escalade des passions, tandis que la seconde cherche une forme de symétrie et de mesure
faux, la VENGEANCE est distinguée de la JUSTICE, la première étant
une escalade des passions, tandis que la seconde cherche une forme de symétrie et de mesure
L’Ancien Testament, avec son précepte “oeil pour oeil, dent pour dent”, représente une étape vers la justice, mais ne
l’atteint pas pleinement
Vrai
Durkheim considère que l’éthique nécessite une certaine réflexion
faux, la morale
Obéir aveuglément sans pensée critique peut
conduire à des actions morales
faux, MORALE (selon durkheim)
Durkheim pourrait se référer à des événements contemporains, tels que des émeutes, où la
conduite des individus peut refléter une obéissance irréfléchie plutôt qu’une action morale réfléchie
vrai
bien que la morale établisse des normes de conduite, elle exige également un jugement critque et une
réflexion éthique
faux, un jugement ETHIQUE et une
réflexion CRITIQUE
durkheim définit la moralité d’une action par son autonomie ( c’est-à-dire la capacité de l’individu à être à l’origine de la norme à laquelle il obéit)
faux, kant
L’hétéronomie signifie obéir à une loi externe, conduisant à des actions morales
faux, actions NON morales
La déontologie se rapporte au discours sur les normes professionnelles
vrai
Bien que semblable à l’éthique, la déontologie se distingue par son application spécifique à un secteur d’activité donné
faux, semblable a la morale
l’utilitarisme garantit la respectabilité d’une profession auprès de tous les membres de la
société
faux, déontologie
Un agent qui trahit la déontologie de son corps de métier nuit à l’ensemble de sa profession (image ternie)
vrai
La finalité de la déontologie est d’assurer la respectabilité d’une profession au sein de la société.
vrai
Les fautes graves peuvent entraîner des sanctions de la part des ordres professionnels, comme l’Ordre des médecins, au dépend du fait que l’infraction soit directement liée à l’exercice de la médecine.
faux, indépendamment
Les fautes graves peuvent entraîner des sanctions de la part des ordres professionnels, comme l’HAS
faux, l’Ordre des médecins
Dans les métiers de la santé, la déontologie est également considérée comme une morale appliquée spécifique à chaque
profession
vrai
chaque filière de santé disposent de leur
propre code de déontologie, reflétant des valeurs largement partagées au sein de ces microsociétés
vrai
un médecin qui critique une infirmière, ou vice versa, commet une faute conséquentialiste
faux, une faute déontologique
le serment d’hypocrate est la matrice de l’utilitarisme
faux, du déontologisme (cc)
le serment d’hypocrate est la matrice du déontologisme
vrai
le serment d’Hippocrate résume l’ensemble de la déontologie médicale
faux , non pas l’ensemble
le serment d’hyppocrate est vieux de 1600 ans
faux, 2600 ans
le serment d’Hippocrate établit les fondements éthiques de la pratique médicale
vrai
la religion
peut être considérée comme la matrice de l’éthique commune
faux ,la matrice de la MORALE commune
la religion
peut être considérée comme la matrice de la morale commune
vrai
Le serment d’Hippocrate, prêté solennellement par les médecins, joue un rôle crucial dans leur engagement éthique et
professionnel
vrai
Un des principes fondamentaux du serment est de ne pas se laisser
influencer par la soif du gain, reflétant l’idéal selon lequel le médecin doit se consacrer principalement au
soulagement de la souffrance humaine
vrai
le principe de “ne pas se laisser influencer par la soif du gain” est adapté et modernisé dans le code de déontologie médicale
vrai
Le code souligne que le médecin peut compromettre son indépendance professionnelle pour des exceptions très spécifiques comme des raisons médiatiques
faux , Le code souligne que le médecin ne
doit PAS la compromettre que ce soit pour des raisons médiatiques, religieuses, financières ou
autres influences
les réactions et les commentaires controversés d’élus sur des sujets comme la 5G peuvent alimenter ces
débats et influencer la perception publique des enjeux de santé
vrai
Pour les experts médicaux, l’utilitarisme implique une analyse objective et impartiale des données scientifiques, tout
en tenant compte de l’ensemble des préoccupations de la société
faux, la déontologie
la question des conflits d’intérêts releve de la déontologie
vrai (cc?)
la question des conflits d’intérêts releve de l’utilitarisme
faux, déontologie
etre impartiale signifie sans partie pris
vrai
le devoir d’indépendance est une contrainte imposée à soi meme
vrai (impartialité et devoir d’indépendance)
l’indépendance c’est l’absence d’influence par un intérêt personnel dissimulé
vrai (cc?)
Comme l’indiquait kant, l’homme est un être social par nature et établit donc naturellement des liens avec son entourage, qu’il s’agisse d’amis, de collègues ou de proches.
faux cest selon Aristote
Un lien d’intérêt devient un conflit d’intérêt lorsqu’il influence de manière significative les
décisions ou les actions d’une personne, surtout dans un cadre professionnel
vrai, def
Un conflit d’intérêt devient un conflit d’intérêt lorsqu’il influence de manière significative les
décisions ou les actions d’une personne, surtout dans un cadre professionnel
faux, c’est la def de LIEN d’intéret
tous les liens d’intérêts sont des conflits d’intérêts
faux , tous les liens d’intérêts NE sont PAS des conflits d’intérêts
tous les conflits d’intérêts ne sont pas des liens d’intérêts
faux, tous les LIENS d’intérêts ne sont pas des CONFLITS d’intérêts
tous les liens d’intérêts ne sont pas des conflits d’intérêts
vrai
Le conflit d’intérêt et naturel est universel
faux, Le LIEN d’intérêt et naturel est universel
comme a dit aristote on est comme un animal qui vit en société
vrai
le conflit d’intérêts est relatif et contingent
vrai (cc?)
le lien d’intérêts est relatif et contingent
faux, c’est le conflit
l’intensité d’un lien d’intérêts varie en fonction des controverses publiques
vrai (cc?)
l’intensité d’un lien d’intérêts varie en fonction de l’objet de la recherche
vrai (cc?)
Les liens d’intérêts doivent être gérés avec prudence pour éviter
que des intérêts personnels ne compromettent l’objectivité et l’équité nécessaires dans la prise de décision
professionnelle.
vrai
La déontologie fournit des ressources pour résoudre certains dilemmes moraux qui peuvent sembler insolubles à
première vue
faux, dilemmes ethiques
Selon le code de déontologie médicale, un médecin doit examiner, écouter et soigner toutes les
personnes indépendamment de leur origine, genre, famille, couleur de peau, opinions ou croyances
vrai
la déontologie médicale est en accord avec la discrimination fondée sur lestatut vaccinal des patients
faux, elle s’oppose
La déontologie se limite seulement à énoncer des normes telles que l’indépendance, l’impartialité et l’intégrité
faux, NON justement, Elle offre également des outils pragmatiques pour résoudre des dilemmes éthiques
la déontologie peut toujours fournir des réponses claires à tous les dilemmes moraux
faux peut pas toujours
Depuis l’époque de Kant, la médecine a été confrontée à des dilemmes moraux
faux, d’hippocrate
on distingue 3 méthodes principales pour résoudre des dilemmes moraux : l’éthique des
principes (anciens), l’éthique des vertus (époque moderne) et l’éthique procédurale ou de discussion (époque
contemporaine
faux, l’éthique des
VERTUS (anciens), l’éthique des PRINCIPES (époque moderne) et l’éthique procédurale ou de discussion (époque
contemporaine
Aristote, un penseur emblématique de l’éthique des principes
faux, des vertus
kant a mis l’accent sur le concept du juste milieu dans son œuvre
“L’Éthique à Nicomaque”.
faux, aristote
aristote soutenait que la bonne solution morale se trouve souvent entre deux extrêmes, en adoptant
une approche équilibrée et mesurée
vrai
Dans le cas de l’annonce d’une maladie comme l’Alzheimer, l’éthique procédurale recommanderait d’éviter deux extrêmes
: cacher entièrement le diagnostic ou l’annoncer de manière trop brutale
faux, de vertus
Pour Aristote, la prudence est la vertu cardinale du médecin
vrai
Pour Hippocrate , la prudence est la vertu cardinale du médecin
faux, aristote
la prudence implique d’ajuster l’approche en fonction des circonstances individuelles, cherchant
l’équilibre et la justesse dans la prise de décision morale
vrai
Dans l’éthique des vertus d’Aristote, toute vertu est vue comme une qualité éthique qui se situe entre un excès et un
défaut
faux qualité morale
Dans l’éthique des vertus d’Aristote, toute vertu est vue comme une qualité morale qui se situe entre un excès et un
défaut
vrai
Une personne prudente est reconnue pour sa capacité à trouver
des solutions équilibrées et démesurées
faux mesurées
La prudence est associée à la sagacité, la mesure et la sagesse.
vrai
Dans un dilemme éthique, l’éthique des principes encourage la consultation d’un conseiller réputé pour sa prudence.
faux ethique des vertus
Un individu prudent sait également s’entourer de conseillers compétents
vrai
aristote, dans le corpus hippocratique, a également défendu l’idée de mesure, conseillant de ne pas se laisser aller à
une gaieté excessive, surtout dans des contextes graves
faux hippocrate
kant a défendu l’idée de mesure, conseillant de ne pas se laisser aller à
une gaieté excessive, surtout dans des contextes graves
faux hippocrate
Les médecins doivent adapter leur réponse à l’état émotionnel et aux
besoins du patient
vrai
L’éthique des vertus, selon Aristote et hippocrate, met l’accent sur la recherche du juste milieu et l’équilibre entre les
extrêmes
faux aristote et descartes
La vertu cardinale est la prudence, accompagnée de générosité, d’estime de soi et de gentillesse.
faux générosité, d’estime de soi et de DOUCEUR.
La générosité est vue comme un juste milieu entre l’avarice et la prodigalité.
vrai
L’estime de soi implique de se valoriser sans tomber dans l’orgueil excessif ou la pusillanimité.
vrai
L’estime de soi implique de se valoriser sans tomber dans l’orgueil excessif ou la prodigalité
faux l’orgueil excessif ou la pusillanimité.
La générosité est vue comme un juste milieu entre l’avarice et la pusillanimité.
faux l’avarice et la prodigalité.
La douceur est vue comme un juste milieu entre l’irascibilité et l’insensibilité
vrai
la discretion est une circonspection retenue
vrai
La discrétion est vue comme un juste milieu entre la timidité et la pudeur déshinibition
vrai
La douceur est vue comme un juste milieu entre l’irascibilité et l’orgeuil excessif
faux l’irascibilité et l’insensibilité
La discrétion est vue comme un juste milieu entre la timidité et l’irascibilité
faux la timidité et la pudeur déshinibition
Les médecins ont la liberté de penser et de critiquer, protégés par leur indépendance et la déontologie
vrai
la liberté de critiquer est encadrée par un devoir de réserve
vrai
Les médecins peuvent être critiqués ou sanctionnés non pas pour leurs opinions, mais pour ne pas avoir
respecté les formes ou les protocoles établis.
vrai
Les médecins ont la liberté de partager leur opinion et de participer à des émissions de télévision, à condition d’être
experts dans le domaine concerné
vrai
Les médecins ne peuvent pas partager leur opinion et participer à des émissions de télévision, à condition d’être
experts dans le domaine concerné
faux ils peuvent mais il faut qu’ils soient expert dans le sujet qu’ils traiteront
le respect des normes de conduite professionnelles incluent le devoir de réserve et l’autodiscipline
vrai
L’éthique des principes encourage une transformation personnelle et le développement de vertus
faux vertus
Descartes, tout comme Aristote, est un défenseur de l’éthique des vertus
vrai
Descartes est un défenseur de l’éthique des vertus, mais il met
davantage l’accent sur le devoir
faux , sur la VOLONTE
selon descartes la volonté, considérée comme une force ou une énergie intérieure.
vrai
selon hippocrate la volonté, considérée comme une force ou une énergie intérieure.
faux descartes
aristote prône
une forme d’autosuffisance, tout en soulignant l’importance de ne pas s’éloigner du bon sens dans la prise de décision
faux descartes
Pour Descartes, le bon sens est crucial pour résoudre des dilemmes.
vrai
kant dit que le bon sens est la chose du monde la mieux
partagée, comme il l’énonce au début du “Discours de la méthode”
faux descartes
Le bon sens peut être vu comme une forme de juste milieu.
vrai
le bon sens représente une sagesse populaire, même chez ceux qui ne
sont pas experts dans un domaine spécifique
vrai
La reconnaissance de la sagesse populaire est une des raisons de
valoriser la démocratie
vrai
hippocrate met l’accent sur l’importance de la volonté et de la maîtrise de soi, en particulier dans la gestion des émotions
comme la peur et la colère
faux descartes
Selon Descartes, il est important de reconnaître que la colère est une mauvaise conseillère, car elle peut mener à des
jugements hâtifs ou des actions inappropriées
vrai
descartes conseille de ne pas prendre de décisions sous l’emprise de l’émotion.
vrai
aristote recommande de s’abstenir de porter des jugements et de prendre des décisions lorsqu’on est submergé par
l’émotion
faux descartes
L’éthique des principes exclut l’éthique des vertus
faux exclut pas
Emmanuel Kant est le précurseur du déontologisme
vrai
Pour descartes, la justice est fondamentale et non négociable
faux kant
selon kant la vie humaine a une valeur intrinsèque, et son absence de
respect rend la vie sur terre sans valeur.
vrai
l’utilitarisme se base sur le principe que le but des actions est d’augmenter le bien dans le monde.
vrai
L’utilitarisme évalue les actions selon leur capacité à produire le plus grand bien pour le plus grand nombre.
vrai
L’utilitarisme pourrait favoriser des actions qui produisent le plus grand bien global, tandis que le déontologisme
s’attacherait à ne pas transgresser certains principes fondamentaux, même si cela signifie de ne pas maximiser le bienêtre global.
vrai
le deontologisme pourrait favoriser des actions qui produisent le plus grand bien global, tandis que l’utilitarisme
s’attacherait à ne pas transgresser certains principes fondamentaux, même si cela signifie de ne pas maximiser le bienêtre global.
faux inversé deontologisme et utilitariosme
Pour les utilitaristes, le bien fondamental est identifié au bonheur.
vrai
Il est possible de combiner les doctrines de Kant (déontologisme) et de Bentham (utilitarisme) pour créer une approche éthique qui intègre à la fois l’autonomie, la
bienfaisance, la non-malfaisance et la justice.
vrai
Il est possible de combiner les doctrines de Kant (déontologisme) et de Bentham (utilitarisme) pour créer une approche éthique qui intègre à la fois l’autonomie, la
bienfaisance, la malfaisance et la justice.
faux non malfaisance
l’autonomie, la
bienfaisance, la non-malfaisance et la justice peuvent être considérées comme les piliers fondamentaux de l’approche fusionnée entre kant et bentham
vrai
la perspective kantienne stricte où l’autonomie et la justice sont négociables, l’approche fusionnée dekant et bentham traite ces principes comme révisables et non négociables.
faux la perspective kantienne stricte où l’autonomie et la justice sont NON négociables, l’approche fusionnée dekant et bentham traite ces principes comme révisables et NEGOCIABLES.
La délibération éthique implique une équipe médicale, sans des paramédicaux
faux avec
Les décisions sont prises en considérant comment respecter l’autonomie du patient, minimiser le bien-être, maximiser
la souffrance, et respecter la dignité du patient
faux Les décisions sont prises en considérant comment respecter l’autonomie du patient, MAXIMIMISER le bien-être, MINIMISER la souffrance, et respecter la dignité du patient
La dignité humaine est un principe central de la justice éthique
vrai
Chaque individu conserve sa dignité intrinsèque,
indépendamment de son état physique ou de ses capacités.
vrai
Les auteurs américains Beauchamp et Childress suggèrent d’utiliser les quatre principes éthiques - autonomie,
bienfaisance, non-malfaisance et justice - pour structurer les discussions éthiques
vrai
Les auteurs américains Beauchamp et Childress reconnaissent que dans certains cas, il peut être nécessaire de hiérarchiser les principes lorsqu’ils entrent en conflit.
vrai
L’interprétation de l’autonomie doit rester la meme
faux elle peut varier
Dans une approche modérée, la décision finale revient au patient, même si
elle est potentiellement nuisible
faux stricte
Dans une approche stricte, la décision finale revient au patient, même si
elle est potentiellement nuisible
vrai
Dans une approche modérée, l’accent est mis sur un dialogue continu et la codécision,
cherchant à persuader le patient de reconsidérer sa décision en faveur de son bien-être
vrai
Dans une approche strict, l’accent est mis sur un dialogue continu et la codécision,
cherchant à persuader le patient de reconsidérer sa décision en faveur de son bien-être
faux modérée
La non malfaisance implique d’agir pour le bien du patient, idéalement d’une manière que le patient reconnaisse comme
bénéfique.
faux la bienfaisance
Le principe d’inspiration utilitariste se concentre sur la maximisation
du bien-être
vrai
Le principe de non-malfaisance stipule qu’il ne faut pas infliger de souffrances inutiles ou sans sens à autrui
vrai
Le principe de bienfaisance stipule qu’il ne faut pas infliger de souffrances inutiles ou sans sens à autrui
faux non malfaisance
La souffrance inutile, comme l’humiliation du patient ou
l’acharnement thérapeutique non raisonnable, est contraire au principe de bienfaisance
faux non malfaisance
Appliquer le principe de bienfaisance, qui stipule que rien ne se souvient de rien, nous amène à nous référer au principe
de non-malfaisance
vrai
Appliquer le principe de non malfaisance, qui stipule que rien ne se souvient de rien, nous amène à nous référer au principe de bienfaisance
faux inevrse bienfaisance et non malfaisance
il est important de considérer équitablement toutes les personnes, car la justice est à la fois une vertu et un principe
vrai
l’équité dans la distribution du temps de parole est essentielle, ce qui signifie que chaque participant doit
avoir l’occasion de s’exprimer
vrai ethique procédurale
dans l’ethique procédurale tous les participants sont considérés comme
compétents et capables d’argumenter, indépendamment de leur statut professionnel.
vrai
selon l’ethique des principes chacun doit avoir la liberté de s’exprimer et de critiquer les idées des autres, tout en faisant preuve de réserve
et de tact dans leurs commentaires
faux ethique procedurales
Il est nécessaire de pouvoir revoir son point de vue et d’être prêt à se remettre en question lors des réunions
vrai
faire preuve d’humilité, se remettre en question etc sont des principes font partie intégrante des règles de l’éthique procédurale ainsi que des règles relatives à la discussion
éthique
vrai