lectures en ligne Flashcards
Qu’est-ce que l’anxiété chez les enfants et les adolescents ?
Une réponse excessive à une menace perçue, pouvant affecter le fonctionnement émotionnel, social et scolaire.
Quels sont les principaux troubles anxieux rencontrés chez les jeunes ?
Anxiété de séparation, anxiété généralisée, phobie spécifique, anxiété sociale.
Quels sont les impacts de l’anxiété sur la vie scolaire ?
Difficultés d’apprentissage, baisse de concentration, absentéisme, risque de décrochage.
Pourquoi est-il important d’intervenir précocement ?
L’anxiété non traitée peut mener à des troubles plus graves comme la dépression et augmenter le risque de consommation de substances.
Quels sont les principaux facteurs de risque de l’anxiété chez les jeunes ?
Tempérament anxieux, surprotection parentale, expériences négatives, stress scolaire.
Comment l’évitement entretient-il l’anxiété ?
En renforçant l’idée que la situation est dangereuse, ce qui empêche l’apprentissage de nouvelles stratégies d’adaptation.
Comment évalue-t-on l’anxiété chez les jeunes ?
Par des questionnaires standardisés, des observations cliniques et des entretiens avec les parents et enseignants.
Quelle est l’intervention de référence pour traiter l’anxiété chez les jeunes ?
La thérapie cognitivo-comportementale (TCC), qui cible les pensées anxieuses et l’exposition graduelle aux situations redoutées.
Quels sont les trois types de prévention en milieu scolaire ?
Prévention universelle (tous les élèves), sélective (élèves à risque), indiquée (élèves ayant des symptômes d’anxiété).
Quel est le programme de prévention reconnu par l’OMS ?
Le programme FRIENDS, basé sur la TCC et adapté aux enfants et adolescents.
Quels sont les avantages et limites des programmes universels ?
Avantages : Atteignent tous les élèves, évitent la stigmatisation. Limites : Moins efficaces pour les enfants déjà anxieux, implantation difficile en milieu scolaire.
Pourquoi la prévention sélective peut-elle être plus efficace ?
Elle cible des enfants à risque et maximise les bénéfices avec moins de ressources.
Quels sont les obstacles à la mise en place des programmes de prévention ?
Manque de formation des enseignants, emploi du temps chargé, difficulté d’implication des parents.
Comment améliorer l’efficacité des programmes de prévention ?
Identifier les stratégies les plus efficaces (exposition), former les enseignants, impliquer davantage les parents.
Pourquoi est-il important d’adapter les interventions au contexte scolaire ?
Pour assurer leur accessibilité et éviter qu’elles ne soient perçues comme une surcharge de travail.
Pourquoi l’anxiété augmente-t-elle avec l’âge ?
Les exigences scolaires et sociales deviennent plus complexes, augmentant les sources de stress et d’inquiétude.
Quelles sont les différences de genre dans la prévalence de l’anxiété ?
Les filles sont plus touchées que les garçons, surtout après l’adolescence.
Quels sont les impacts à long terme d’un trouble anxieux non traité ?
Risque accru de dépression, de troubles de la consommation, d’isolement social et de difficultés professionnelles.
Quel est l’effet de la parentalité sur l’anxiété des enfants ?
Un style parental surprotecteur ou punitif peut renforcer l’anxiété en limitant l’autonomie et l’exposition aux défis.
Comment l’école peut-elle contribuer à l’anxiété des jeunes ?
Pression académique, harcèlement, faible soutien émotionnel et attentes irréalistes.
Pourquoi l’exposition graduée est-elle une composante clé du traitement de l’anxiété ?
Elle permet d’affaiblir la peur en habituant progressivement l’individu aux situations anxiogènes.
Quelles sont les différences entre la relaxation musculaire progressive et la tension appliquée ?
La relaxation progressive vise à détendre complètement les muscles, tandis que la tension appliquée maintient une légère contraction pour prévenir l’évanouissement.
Dans quels cas la tension appliquée est-elle particulièrement recommandée ?
Pour les phobies du sang, des injections et les soins dentaires, afin d’éviter le choc vagal.
Quel est le principe de l’exposition aux stimuli interoceptifs ?
Exposer la personne aux sensations physiques qu’elle craint pour réduire leur lien avec l’anxiété.
