Lecture cours 6 Flashcards
Criminologie, volume 33, numéro 2, automne, 2000, p.31-53
Quel événement a pousser à ce qu’il y ai plus de vigueur dans les forces pénales concernant la VC ?
Dans les années 70, le dévoilement de la problématique de VC, le non agissement du gouvernement est constaté, divers groupe réclame alors + de vigueur dans les forces pénales.
La VC est aujourd’hui un crime, mais elle était avant vue comme …
une problématique sociale
Quelles sont les deux finalités quant à la capacité du système pénal de traiter des causes impliquant la VC ?
a) la prévention générale : capacité de l’appareil pénal d’influencer les comportements des membre de la société. La judiciarisation est alors un moyen d’affirmer le caractère inacceptable et répréhensible de ces actes. S’attend à un effet de dissuasion, donc de diminution.
b) prévention spéciale : vise individu déjà violent, donc système pénal comme moyen de protection immédiate des victimes, mettre fin à la violence court/long terme (escalade de la violence). Selon cette prévention, il faut donc intervenir dès la 1ere violence, système pénale vue comme moyen de freiner la violence.
Quelles sont des problématiques que nous pourrions nommer concernant la judiciarisation de la VC ?
- Il y a des problèmes dans la manière dont les intervenants pénaux applique la loi (p. ex. policiers porte pas assez d’accusations).
- cléments envers les accusés conjoints qu’accusés inconnus de la victime
- le système pénale est contradictoire
Quel est la double tendance face au recours de judiciarisation ?
1 ) Conception de la criminalisation comme solution pertinente et nécessaire. Donc, croyance que l’incarcération est la seule façon de régler le problème
2 ) Présence croissance de l’État dans la sphère privé. Met la problématique + sur l’individu et de -/- sur l’institution.
En quoi consiste la double victimisation en lien avec la VC et quelle est sa plus grande conséquence ?
La poursuite pénale est vue comme le remplacement d’un contrôle par un autre forme de domination. Elle ne répond pas à leur besoins et néglige leur situation. La plus grande conséquence de la double victimisation est que la victime hésite à recourir de nouveau ou pour une première fois à l’intervention judiciaire.
De quelle façon pourrait-on éviter la double victimisation en lien avec la VC dans le système juridique ?
Il faudrait un changement profond des mentalités des acteurs pénaux, un meilleur soutien aux victimes pendant les procédures et réajustement de la pratique pénale, c’est à dire régler de l’intérieur les problèmes de mise en oeuvre et la source de ces problèmes.
Sur qui est le fardeau de la preuve dans un cas de VC et pourquoi ?
Sur les épaules de la victime, car elle est très souvent le seul témoin et elle doit prouver hors de tout doute raisonnable.
Quelle est la raison la plus commune pour laquelle la victime ne va pas en cours ?
La peur des représailles, ou le pardon de l’agresseur, donc retire sa plainte,
Quelle solutions pourrait permettre que la preuve repose uniquement sur la victime ?
La police recueille de meilleures preuves, que les médecins témoignent des blessures subites, mais il est toute fois important de tenir compte de ce que la victime veut.
Quel est la procédure en lien avec le procureur lors d’une plainte ?
Le procureur évalue la gravité objective et subjective de l’.infraction, nécessite de protéger la vict. et sa famille, les intérêts de la justice et ceux de la société. D’après l’évaluation faite, choix entre une sentence curative ou punitive, ou les deux.
Quel doit être l’objectif de la sentence ?
Doit viser la cessation de la violence et la protection des victimes et doit être dissuasive et punitive.
Quels sont les conséquences négatives des répercussions négatives d’un procès ?
Une amende ne puni pas uniquement la personne qui a commis le crime, mais aussi sa famille. La prison est susceptible de victimiser doublement le conjoint et ce n’est pas nécessairement ce que la victime désire.