Lecture cours 2 Flashcards
Vrai ou faux. Les auteurs du DSM estiment que les causes de la plupart des troubles mentaux sont sujettes au doute.
Vrai.
Les comportements pathologiques ne témoignent pas toujours de perturbations biologiques. Dans la grande majorité des cas, les troubles s’expliqueraient par des interactions entre des dimensions biologique, psychologique, sociale et environnementale.
Vrai ou faux. Les techniques d’imagerie cérébrale permettent de visualiser directement le cerveau.
Faux.
Les techniques d’imagerie cérébrale permettent de visualiser la structure du cerveau ainsi que son fonctionnement, mais ne permettent pas de visualiser le cerveau DIRECTEMENT.
Elles permettent par contre d’étudier avec une grande précision l’évolution de son activité électrique au fils du temps
Vrai ou faux. Pour certains types de troubles, des psychothérapies se révèlent aussi efficaces que les traitements pharmacologiques.
Vrai.
Notamment pour les troubles anxieux et la dépression.
Vrai ou faux. Au Québec, on peut, en situation d’urgence, placer contre son gré en garde préventive une personne malade mentalement, et cela, sans l’autorisation du tribunal.
Vrai.
Pour qu’une personne soit amenée dans un établissement de santé contre son gré, il faut qu’un intervenant ou une personne intéressée, ayant estimé qu’il y avait danger grave et immédiat, ait communiqué avec les forces policières, ou que la police ait elle-même constaté le danger.
La garde préventive est décidée par le médecin du CLCS ou du centre hospitalier sans le consentement de la personne et sans autorisation du tribunal.
- Le médecin n’a pas à procéder à un examen psychiatrique
- Le délai maximal de la garde préventive contre le gré de la personne est de 72h.
Vrai ou faux. Le Rorschach est le seul test projectif utilisé comme test de personnalité.
Faux.
Il y a aussi le TAT (Thematic Apperception test).
Parmi les affirmations suivantes au sujet des tests projectifs, repérez celle qui est fausse.
a) Certains tests projectifs peuvent aider à distinguer les troubles psychologiques les uns des autres.
b) La probabilité d’une cotation différente entre deux cliniciens est plus élevée dans ces tests que dans les tests objectifs.
c) En raison des nombreuses critiques touchant ces tests, ils ne sont plus utilisés de nos jours.
d) L’interprétation de ces tests est flexible.
e) La désirabilité sociale est une distorsion moins marquée dans ces tests.
c) En raison des nombreuses critiques touchant ces tests, ils ne sont plus utilisés de nos jours.
Le Rorschach et le TAT constituent encore des méthodes de référence pour les psychologues cliniciens.
Indiquez à quelle sorte d’outil d’évaluation correspond le but suivant:
“Cibler une fonction cérébrale particulière afin de proposer des hypothèses fonctionnelles. Par exemple, l’évaluation des mécanismes de la mémoire sert à dépister la maladie d’Alzheimer.”
a) Les épreuves neuropsychologiques.
b) Les tests objectifs.
c) Les tests de QI.
d) Les tests projectifs.
a) Les épreuves neuropsychologiques.
Parmi les affirmations suivantes au sujet des anxiolytiques, repérez celle qui est fausse.
a) Le recours conjoint aux anxiolytiques et à la psychothérapie comporte des risques.
b) La consommation régulière d’anxiolytiques peut engendrer des problèmes d’insomnie plus importants qu’auparavant lorsqu’on cesse le traitement.
c) L’utilisation régulière des anxiolytiques peut engendrer de la tolérance.
d) Les anxiolytiques sont prescrits sans danger sur de longues périodes, car il faut au minimum cinq semaines avant d’en ressentir les bienfaits.
e) La consommation régulière d’anxiolytiques peut engendrer une plus forte anxiété lorsqu’on cesse le traitement.
d) Les anxiolytiques sont prescrits sans danger sur de longues périodes, car il faut au minimum cinq semaines avant d’en ressentir les bienfaits.
Longues périodes = danger.
Courtes périodes = sans danger et efficaces dans le traitement de l’anxiété et de l’insomnie.
- Toutefois, ils ne permettent pas aux patients d’apprendre à adopter des comportements mieux adaptés pour affronter leurs problèmes.
- Ils peuvent même les inciter à s’en remettre à une molécule pour s’ajuster au stress, au lieu de se doter d’attitudes qui les aideraient à y faire face.
Les recherches prouvent que la prévention en santé mentale se révèle efficace dans de nombreuses problématiques. Parmi les problématiques suivantes, quelle est celle qui ne fait pas partie des problématiques pour laquelle les interventions de prévention sont efficaces?
a) La réduction de la dépression chez les adolescents à risque.
b) La réduction de la transmission du VIH dans les populations à risque.
c) La réduction des troubles alimentaires chez les jeunes femmes.
d) La réduction de la schizophrénie chez les jeunes adultes.
d) La réduction de la schizophrénie chez les jeunes adultes.