Kant : CRP partie 2 Flashcards
qu’est ce que l’analytique transcendantale cherche à faire ?
cherche à rendre compte de la possibilité d’une connaissance a priori de la nature.
qu’est ce qui permet d’expliquer les principes de la physique comme science pure ?
les catégories et leur application dans l’intuition pure permettrons d’expliquer les principes à la physique comme science pure.
quelles sont les catégorie fondant la mécanique de Newton ?
les trois catégories de la relations : substance, causalité, communauté.
selon Kant ces axiomes du mécanisme trouvent leur fondement dans la métaphysique dans les catégories de la relation.
substance : la substance de la matière à travers tous ces changements n’est ni augmentée ni diminuer mais reste la même.
causalité : « tout changement dans la matière à une cause externe, un corps quel qu’il soit persiste dans son état de repos ou de mouvement dans la même direction avec la même vitesse s’il n’est pas forcé par une cause extérieure d’abandonner cet état
communauté : « Dans toute communication du mouvement l’action est toujours égale à la réaction ».
qu’est ce qui rend compte des divisions de la physique ?
les quatre classes de catégories.
quantité, qualité, relation, modalité.
quantité : s’interesse au quantum de la matière. rend possible la phoronomie cinétique. (Descartes)
qualité : s’interesse à son quale. rend possible la dynamique (Leibniz)
relation : s’interesse à la force du mouvement dans la nature. rend possible la mécanique (Newton)
modalité : s’interesse aux rapports du mouvement à notre représentation. rend possible la phénoménologie. (Kant)
quel est le rapport en Kant et Aristote ?
Kant compare sa table des catégories à celle d’Aristote.
Kant y voit des catégories ontologiques (concepts fondamentaux de l’être)
Aristote distingue 10 catégories:
- substance = toute chose qui existe par elle-même, non prédiqué par autre chose. réalité qui existe à part entière.
- qualité = comme ceci, comme cela
- quantité = combien. le grand est une catégorie de la substance
- relation = le rapport à
- lieu = où
- temps = quand
- position = être situé, position
- possession = avoir
- action = faire ceci ou cela
- passion
quelles sont les différences entre les catégories d’Aristote et celle de Kant ?
- catégories d’Aristote sont ontologiques, tandis que celle de Kant sont logique et subjective. ce sont des catégories de la pensée, des concepts purs de l’entendement.
- la table kantienne présente un caractère systématique. chaque classe de catégorie renferme 3 catégories etc. il y a donc un ordre dans les catégories.
- Kant dit avoir utilisé un fil conducteur pour trouver les catégories ( table des jugements).
Kant va aussi éliminer les catégories 5,6,7,8,9,10. :
- lieu et temps ne sont pas des catégories mais relève de l’intuition, relève de l’esthétique.
- la position relève aussi de l’esthétique car elle se pose dans le temps.
- la possession elle relève de la substance,
- Action et la passion : sont des catégories dérivées, prédicable de la catégorie causalité
il reste donc :
- substance
- qualité
- quantité
- relation
Que Kant change-t-il à cet ordre ?
- substance
- qualité
- quantité
- relation
Kant démontre que la catégorie de la substance est une catégorie de relation car on est substance en tant que relation.
donc le nouvel ordre :
- quantité
- qualité
- relation
Mais Kant ajoute 3 catégories de modalité.
Malgré les critiques, la table des catégories de Kant n’est pas sans analogie avec celle d’Aristote dès lors que plusieurs des catégories se retrouve dans les deux.
qu’est ce que la double tache de la dialectique transcendantale ?
cherche à démontrer deux choses :
- la possibilité d’une connaissance a priori a propos de l’expérience.
nous savons que nous avons des concpets purs, mais rendent-ils possible une connaissance a priori ? Kant veut démontrer de quel droit le sujet peut imposer des règles a priori à la nature à partir de ces catégories.
- l’impossibilité d’une connaissance qui dépasse l’expérience.
on voit les deux grandes thèses du kantisme. d’une part la mise en évidence du pouvoir du sujet. le sujet est responsable de l’ordre et de la régularité des phénomènes que nous appelons nature, mais aussi sa critique d,Un savoir disons métaphysique qui dépasse le cadre de l’expérience que le sujet rend possible.
pour bien comprendre la DT, qu’est-ce donc la philosophie transcendantale ?
Recherche par laquelle nous connaissons que et comment certaines représentation (intuition ou concepts) sont appliqués ou possible simplement a priori
Comment ce mode de connaissance est-il possible ? De quel droit ? comment des jugements synthétiques a priori sont-ils possibles ?
C’est dans la DT que ces questions vont être résolues.
quelle est la double suspicion à propos des concepts purs de l’entendement ? (48)
on peut mettre en doute la valeur/ la validité objective : de quel droit, les catégories peuvent-elles affirmer quelque chose d’objectif à propos de l’expérience ?
maintenant, en supposant que nos catégories soient valides, est-il possible de les étendre au-delà de l’expérience et d’en faire l’usage disons métaphysique ?
sur cette question Kant dira que oui on peut défendre la validité objective des catégories, mais il faut censurer leur usage trans-empirique.
L’usage légitime des catégories doit se limiter à rendre l’expérience possible.
comment Kant prévoit une voie mitoyenne entre le scepticisme de Hume et le dogmatisme de Locke ?
va fixer des limites à la connaissance tout en lui gardant ouvert le champs de sa légitime activité.
- circonscrire le champs de l’activité légitime de l’entendement
- fixer les limites déterminées de cette activité.
que faut-il entendre par déduction ?
peut s’entendre de deux manières.
- sens axiomatique/mathématique : déduction consiste à dériver des conséquences strictes à partir d’axiomes posés au préalable.
- Si A alors B - sens juridique : la déduction cherche à rendre compte d’un droit ou d’une légitimité.
quel sens de la déduction Kant emploi-t-il ?
semble réclamer le sens juridique au début de la DT en disant qu’il s’agit de justufier la légitimité de nos concepts purs et celle d’une connaissance a priori.
qu’est ce qu’une argumentation transcendantale ?
un argument transcendantale s’enquiert des conditions a priori d’une connaissance ou d’une activité. une connaissance n’est légitime que si on admet x,y,z comme conditions de possibilité.
on ne peut pas concevoir A sans admettre au préalable x,y,z.
on ne peut pas concevoir l’expérience sans admettre au préalable les catégories comme conditions de possibilité.
que veut l’argumentation de la DT ?
montrer que notre réceptivité ne peut rendre possible des connaissances qu’en s’associant à la spontanéité.
déjà la réceptivité de notre connaissance présuppose que notre entendement est actions avec les catégories dans l’accueil de l’expérience.
l’idée de Kant est que la réceptivité de notre esprit est déjà régit pas des règles de synthèse (concepts purs) de l’entendement
qu’est ce que la triple synthèse a priori ?
Dans notre faculté de connaissance il y a une triple synthèse qui présuppose les concepts purs de notre entendement.
il y aurait 3 source subjectives de la connaissance
- les sens
- l’imagination
- l’apperception
là-dessus se fondent
- la synopsis du divers a priori par les sens
- la synthèse de ce divers par l’Imagination
- l’unité de cette synthèse par l’apperception primitive.
tous ces pouvoir on encore, outre leurs usage empirique, un usage transcendantale qui ne concerne que la forme et n’est possible qu’a priori.
dans la triple synthèse a priori, qu’est ce que la synthèse de l’appréhension dans l’intuition ?
part du principe du temps comme condition de l’appréhensions de toutes les données permettant d’ordonner toutes les représentations et de les mettre en rapport. = ordre temporel.
l’ordre temporel est a priori : l’appréhension du divers dans l’intuition présuppose qu’il y ait un ordre de temps dans cette saisit. sinon l’appréhension serait dépourvue d’unité synthétique.
l’intuition parcours et rassemble. mais ceci doit etre possible a priori. Mais il ne suffit pas de pouvoir parcourir de manière successive des représentations de temps. Il faut aussi pouvoir les reproduire pour les mettre en relation avec d’autres moments. Une seconde synthèse est donc nécessaire a priori mettent en relation deux représentation fait par l’imagination.
dans la triple synthèse a priori, qu’est ce que la synthèse de reproduction dans l’imagination ?
les représentations ne font pas que se succéder dans l’ordre du temps, elles doivent aussi pouvoir s’associer les unes avec les autres. je dois pouvoir associer cette intuition (représentation) avec d’autres que je suis capable de reproduire.
présuppose qu’il existe des règles de reproduction.
il y a des constances de reproductions des représentations. Kant illustre ça avec l’exemple du cinabre : notre pensée associe toujours ses représentations avec d’autres représentations. « Le cinabre est toujours rouge ».
les phénomènes qu’on se représentent ne sont pas des choses en soi, mais de simples jeux de nos représentations du sens interne. à l’intérieur de ce sens interne, on peut associer ces représentations et les reproduire dans l’imagination.
donc la synthèse de la reproduction dans l’imagination doit etre rendu possible par un synthèse de la reproduction a priori (synthèse a priori de moments de temps).
dans la triple synthèse a priori, qu’est ce que la synthèse de la recognition dans le concept ?
troisième synthèse nécessaire après les deux premières. il ne suffit pas d’appréhender un divers et de reproduire certaines représentations qui ne sont pas présente car une conscience de ce que nous pensons est nécessaire qu’il y ait appréhension et reproduction.
il n’y a pas de synthèse du divers sans la synthèse de la recognition.
cette synthèse de la recognition dans le concept doit etre rendu possible par une synthèse transcendantale de la recognition dans le concept qu’accomplit l’apperception transcendantale.
qu’est ce que la notion de conscience ?
Kant dira qu’il y a une unité de la conscience. qui est responsable de la synthèse de la reconnaissance de ce qui est donné. cette unité de la conscience est l’aperception. ceci correspond au je pense.
C’est cette conscience qui permet de reconnaitre dans un concept l’unité du divers parcouru et reproduit.
la notion même de concept veut dire : prendre ensemble dans l’unité. cette conscience une réunit dans une représentation le divers perçu successivement et ensuite reproduit.
qu’est ce que le principe de l’apperception transcendantale ?
C’est le point culminant de la triple synthèse. Le principe de l’unité synthétique de l’aperception est le principe suprême de tout l’usage de l’entendement.
l’aperception correspond au je pense qui accompagne toutes mes représentations, ceci porte toute mes représentation. elle est transcendantale car c’est elle qui rend possible toutes les représentations
- cette aperception synthétise nos données du temps. ( synthétise par le biais de ses 12 catégories)
la liaison n’est pas dans les objets eux-mêmes. Elle n’est qu’une opération de l’entendement car toutes synthèses présupposent un pouvoir.
ne vient pas de l’objet car nous avons affaires qu’à des phénomènes et jamais à des choses en soi (principe de la phénoménalité)
qu’est ce que l’argumentation in nuce de l’apperception ?
l’aperception est une unité synthétique. or les 12 catégories sont les 12 fonctions élémentaires d’unité appliquées a priori aux données spatio-temporel donc l’unité des phénomènes de l’espace-temps est soumise aux catégories.
qu’est ce que le non-dit de la DT ?
s’il est possible de connaitre cette “possibilisation” a priori des phénomènes c’est qu’elle est immanente à notre pouvoir de connaitre.
les propositions synthétiques a priori seront donc possible car nous pouvons les connaitre a priori.
voilà comment peut être justifié la validité objective des catégories. les catégories seules peuvent expliquer l’ordre nécessaire universel des phénomènes condition de toutes expériences.
quelles sont les 3 résultats de la DT ?
- notre entendement est législateur a priori par rapport aux phénomènes. c’est lui qui est reponsable des lois a priori. la DT apporte ainsi la preuve de la révolution copernicienne.
- des jugements synthétiques a priori au sujet de la nature sont possibles. l’ordre nécessaire des phénomènes présuppose des règles de synthèse dans l’espace-temps, qu’introduise des catégories qui sont au service de l’aperception.
- Hume n’a pas raison. la causalité n’est pas seulement un principe subjectif dépourvu de valeur objective en se trouvant imposer a tous les phénomènes. elle bénéficie d’une validité universelle et nécessaire.
- la causalité jouit donc d’une validité objective.
qu’est ce que la seconde tache de la DT ?
la première tache voulait démontrer la validité objective des catégories. La deuxième consiste à limiter l’usage de ces catégories. donc jusqu’où s’etend leur usage légitime.
les catégories servent à ordonner des représentations de temps qui peuvent être données a priori (A est cause de B). or les catégories sont vouées à l’ordre temporel. les catégories ne peuvent sauter du temporel à l’atemporel sans perdre leur validité objective.
Si l’expérience vient confirmer la catégorie de causalité, elle lui offre son seul terrain d’exercice. Donc conclu Kant, nous ne pouvons pas dépasser le cadre de l’expérience et élever une prétention de connaissance avec nos catégories.
quelles sont les facultés de connaissance ?
analytique des concepts, analytique des principes, dialectique transcendantale
pourquoi faire intervenir une nouvelle faculté de jugement ?
il ne suffit pas de posséder des règles générales. il faut pouvoir subsumer le particulier, les données sensibles sous ces règles générales.
notre entendement, par le biais de sa faculté de juger transcendantale, impose des règles a priori a la sensibilité. c’est par jugement que le concept s’applique à l’intuition.
qu’est ce qu’exprime le concept de jugement ?
exprime d’avantage l’unité de la fonction , mais aussi l’opération déterminante de la fonction, sa prise sur le sensible.
le jugement désigne moins la proposition que l’acte de déterminer le particulier en regard à l’universel.
le jugement comme acte de détermination est une détermination du particulier.
kant en parlera dans :
- schématisme
- systèmes de principes de l’entendement pur.
Que veut le chapitre sur le schématisme ?
le chapitre répond à la question : en vertu de quel procédé un phénomène peut-il être soumis aux catégories (concepts) de l’entendement ?
kant observe qu’il y a un gouffre entre le concept intelligible et le sensible.
pour être appliqué au sensible, les catégories devront être schématisées. ce schème sera une détermination transcendantale de temps.
qu’est ce qu’un schème ?
c’est l’intermédiaire entre le sensible et l’universel.
c’est la représentation d’un procédé servant à subsumer le sensible sous un concept.
comment le schème se distingue de l’image ?
l’image est toujours une représentation sensible d’un concept quelconque. c’est toujours une représentation sensible déterminer qui le réduit à une figure particulière.
le schème est quelque chose qui ne peut être ramené à aucune image.
le schème est un monogramme de l’imagination. une représentation de l’imagination qui pré-structure, préschématise notre expérience. qui rend possible notre expérience.
quel est le rôle de l’imagination ?
c’est la faculté de se créer une image. correspond à la fantasia grec qu’Aristote considérait déjà comme intermédiaire entre les sens et la pensée.
les sens nous procurent les données sensibles et l’entendement fournit les concepts. l’Imagination assemble les données sensible pour les porter au concept. l’Imagination est donc responsable de la mise en oeuvre de l’activité de synthèse qui se tient toujours sous la dictée d’un concept de l’entendement.
l’imagination s’occupe de la besogne de la synthèse, de la liaison, d’associations, bref de la mise en oeuvre de la détermination judicative qui procède ultimement de l’aperception.
dans la théorie transcendantale du jugement, ou l’analytique des principes, qu’est ce que le principe suprême du jugement synthétique ?
le princie suprême de tous les jugements synthétiques est donc que tout objets est soumis aux conditions nécessaires de l’Unité synthétique du divers de l’intuition dans une expérience possible. mon aperception est constitutive de tout ce qui peut être objet de ma connaissance.
exprime l’identité des conditions de la connaissance (expérience) et des objets eux-mêmes de la connaissance.
c’est dire que les jugements synthétiques a priori sont valide car les objets se règlent sur notre connaissance, sur la possibilité de l’expérience que constitue l’entendement.
dans la théorie transcendantale du jugement, ou l’analytique des principes, qu’est ce que le système des principe de l’entendement pur ?
coeur de la CRP.
les principes de l’entendement pur sont les principes constitutifs de l’étude scientifique de la nature.
mais comment les justifier ?
le principes suprême du jugements synthétiques nous apprend que les principes de la science sont aussi les principes du réel. donc les principes seront les principes comme tel. la nature comprise comme l’enchainement des phénomènes quant à leur existence suivant les règles nécessaire.
d’où viennent les principes de l’entendement pur ?
les principes nous procurent une connaissance a priori du sujet de l’expérience. cette connaissance a bien sur sa source dans l’entendement humain, précisément dans les concepts purs de l’entendement humain. Elle correspond à la métaphysique de la nature de Kant.
les catégories par le biais de schèmes transcendantaux s’applique à l’intuition pure.
Les schèmes exprime la spontanéité a priori de l’entendement ou de l’imagination dans son application à l’intuition pure.
Les principes seront la formulation sous forme de propositions synthétiques a priori de cette activité de synthèse qu’accomplissent les schèmes.
qu’est ce que le grand sommet du constructivisme kantien ?
les grands principes de la réalité seront les principes constitués par nous. mais le constructivisme kantien d’ici sera assez modeste, dès lors qu’il se borde qu’aux conditions minimales de l’investigation scientifique. essentiellement : la mathématisation des phénomènes et le principe de causalité
quelles sont les formes de principe ?
- principe mathématique
- quantité : axiomes de l’intuition
- qualité : les anticipations de la perception. - principes dynamiques
- relation : les analogies de l’expérience
- modalité ; postulat de la pensée empirique en général
quels sont les principes constitutifs et régulateurs ?
les principes mathématiques sont constitutifs, et les principes dynamiques sont régulateur
la mathématique constitue les phénomènes comme des grandeurs mathématiques. les principes dynamiques portent sur les règles qui gouvernent les phénomènes et sous lesquelles ils doivent être subsumés.
dans les principes mathématique, qu’est ce que les axiomes de l’intuition ?
ce sont les premiers principes. intuition étant dans la première chose donnée aux catégories, alors les catégories soumettent les intuitions à l’axiomatique.
Leur principe est que toutes les intuitions sont des grandeurs extensives. Le sens du pluriel : ce principe est à la base de toutes les math à l’intuition pure.
comment Kant prouve-t-il les principes axiomatique ?
les phénomènes sont d’abord données dans l’espace temps.
or l’espace temps sont des conditions des phénomènes et sont d’abord donnés en nous.
le premier principe légitimera l’application de la catégorie de quantité à la forme a prirori de l’intuition par le biais du schème du nombre.
tous les phénomènes pourront donc être nombré, soumis à la mathématique.
- la mathématique est une création de notre raison.
dans les principes mathématiques, que sont les anticipations de la perception ?
traite de la qualité.
c’est le réal dans la mesure où il est senti par nous. cette sensation a un degré de sens qui peut être mesuré.
tout ce qui concerne les sensation est empirique, mais ce qui peut être anticipé a priori c’est que la sensation comportera un degré de gradation infini.