Jean-Jacques Rousseau Flashcards
Conception de l’EH de Rousseau (liberté, perfectibilité, distinction EH/animal, cœur, sentiments)
-Ne concoit pas la raison comme une caract. propre à l’humain: les animaux ont aussi quelques rudiements de raison
-la spécificité de l’homme (distinction avec animaux) provient d’une part de sa liberté et, d’autre part, de sa perfectibilité (la facutlé de se perfectionner= source de tous les malheurs de l’homme). Perfectibilité rend l’humain capable du pure comme du meilleur: peut s’améliorer comme se corrompre. De plus, les animaux ne peuvent pas d’écarter de la règle, alors que l’EH oui.
-EH est naturellement bon: c’est la société qui le corrompt (le rend méchant). Pour bien voir cette vérité, il faut distinguer l’état de nature et l’état de société
Rousseau vs la Modernité
Reproche à tous ses prédécesseurs, anciens comme modernes, de ne pas avoir réussi à comprendre l’homme naturel (n’aime pas les Anciens). Rousseau s’en prend surtout à la raison et au progrès. Il est le premier philosophe à accorder une si grande place à l’histoire de l’humanité dans sa conception de l’EH. N’est pas optimiste: l’histoire de l’humanité, P’histoire de la société, c’est l’histoire de la dépravation du cœur (sentiments naturels). Il définit la sensibilité humaine : son influence est énorme (c’est le père du romantisme).
*L’EH à l’état de nature n’est pas « heureux », mais il fournit la clé du bonheur humain : l’indépendance, la liberté et, surtout, l’unité du moi (unité intérieure et émotive). ge d’or = tribus!!] commencement de la comp. et envie, mais pas trop.
L’homme à l’état de nature vs l’homme moderne civilisé
État de nature: indépendant et simple: équilibre entre besoins et facultés (peut pourvoir par lui-même à ses besoins_ et il vit tout entier en lui-même (raison peu dev., ni langage, ni pensée, ni imagination, presque un animal). Son coeur est tranquille et son être n’est pas divisé. (corps: vitalité et santé, me: indépendance et simplicité, Coeur: innocence et équilibre)
État de société: dépendant des autres et déchiré intérieurement: besoin et désirs (non naturels) dépassent largement ses facultés et son coeru est agité par mille passions artificielle, qui découlenet toutes de son inquiétude à se comparer
Tout se joue a/n du coeur, l’homme naturel est mû par 2 principes: amour de soi et pitié. La société en crée un 3e: l’amour-propre, qui pervertit les 2 premeirs et rend la vie en société misérable. (Corps: faiblesse et maladie, me: soumission et confusion, Coeur: perversion et démesure)
Source du malheur humain : propriété privée, comparaison, amour-propre
Amour de soi: sentiment naturel qui porte l’individu à veiller à son propre bien-être et à sa conservation.Être.
Amour-propre: caract. fondamentale de l’EH dans l’état de société, qui le porte à se préférer aux autres, et à vouloir qu’on le préfére également. +Amour de l’image de soi dans le regard des autres. Paraître.