intra Flashcards
psychopathologie : réfère d’une part aux
__________, puis d’autre part, à _______ , cherchant à mieux _____, ______et ______ ceux-ci
trouble mentaux
l’étude de ces troubles
comprendre
expliquer
traiter
psychopathologie développementale : peut être définie
comme une approche ______ ayant pour objet _______ dans le but de décrire_______ relatives au développement de l’inadaptation psychosociale.
scientifique
l’étude des trajectoires de développement
l’origine des différences individuelles
La psychopathologie développementale s’intéresse :
autant aux trajectoires normales que pathologiques du développement
La psychopathologie développementale tente d’identifier :
Les facteurs de risques et de protection qui amènent le développement à dévier de sa trajectoire normale
Les facteurs qui contribuent au maintien, à l’aggravation ou à la résorption des difficultés d’adaptation
La psychopathologie développementale cherche :
à comprendre les mécanismes d’action impliqués dans le développement des difficultés d’adaptation
La psychopathologie développementale évalue :
dans quelle mesure les processus diffèrent selon l’âge, sexe, contexte familial, social, etc.
En considérant le développement d’un individu comme un processus influencé par une série d’adaptations successives à son environnement, les troubles sont alors envisagés comme ______ et non comme ______
étant le résultat d’un processus développemental
un état permanent
3 perspectives - psychopathologie :
- descriptive
- développementale
- relationnelle
Perspective descriptive :
chaque enfant ou ado a sa propre réalité, mais il existe des similarités importantes dans la façon dont les difficultés d’adaptation se manifestent.
système de classification (DSM, CIM) permettent de document de façon détaillée la manifestation des différents troubles pathologiques
Perspective développementale
contexte développemental influence la manifestation des troubles psychopathologique
- enfant ou ado présentant un trouble psychopathologique développe un mode de fonctionnement dans lequel les Sx deviennent de plus en plus caractéristiques de son comportement et évoluent en fonction des expériences vécues.
perspective relationnelle :
les troubles psychopatho s’inscrivent dans un contexte relationnel : on doit s’intéresser à son environnement et aux relations qu’il entretient avec celui-ci.
Selon la perspective relationnelle, les troubles psychopatho sont considérés comme :
l’expression à un temps X de l’adaptation de l’enfant/ado à un contecte donné.
Modèle transactionnel :
exemple d’antécédents (prédicteurs)
facteurs personnels : sexe, âge, santé, traits de personnalité.
facteurs environnementaux : historique familiale, événement de vie majeurs, culture, stresseurs
Modèle transactionnel :
exemple de transaction (médiateurs)
perception de la situation : ampleur des difficultés perçues, soutien perçu, sentiement de contrôle perçu,
soutien : réseau social, dynamique familiale, aide professionnelle
Modèle transactionnel :
exemple d’issues (effects)
état de santé : psychologique, physique
sentiement de bien-être : niv. de bonheur, de satisfaction.
Selon le modèle transactionnel, les psychopathologie ____________ : ils dérivent de _______ entre les caractéristiques de l’individu et celles de son environnement, qui évoluent dans le temp
n’obéissent pas à des relation de causalité directes et linéaires
transactions complexes et continues
Selon le modèle transactionnel, les psychopathologie ne peuvent pas être attribuées ni à l’enfant, ni à son environnement, mais à une forme de _____
causalité circulaire
À partir des données d’études longitudinales et
épidémiologiques, on estime que dans les pays
industrialisés, environ XX % des enfants et adolescents
répondent aux critères diagnostiques d’au moins un trouble psychopathologique.
10%
Les ______ sont les meilleurs prédicteurs des problèmes d’adaptation ultérieurs.
problèmes d’adaptation à l’enfance
Facteurs de risque :
contribuent au développement ou à l’aggravation des difficultés ou des troubles
Facteurs de protection :
empêchent ou limitent le développement ou l’aggravation des difficultés ou des troubles
Les facteurs de risque et protection sont :
(5)
- multidimensionnels
- statiques ou temporels
3 génériques ou spécifiques - cumulatifs
- interactifs
Type de facteur :
Facteur influence l’individu pendant une période donnée, en fonction des circonstances de la vie
Temporel
Type de facteur :
Facteur qui influence le risque de développer plusieurs difficultés différentes
Cumulatif
Type de facteur :
Facteur qui influence le risque de développer une difficulté particulière
Spécifique
Type de facteur :
Facteur qui influence l’individu tout au long de sa vie
Statique
Type de facteur :
Facteur qui interagit avec d’autres de façon complexe
interactif
Type de facteur :
Facteur qui peut avoir un impact à la fois sur son cheminement académique et sur ses relations familiales
Multidimensionnel
Type de facteur :
Facteur qui augmente le risque de développer une difficulté (comme tous les autres facteurs)
Générique
Approche catégorielle ou dimensionnelle :
permet de déterminer si un trouble est présent ou non à partir d’un ensemble de critères établis
Catégorielle
Approche catégorielle ou dimensionnelle :
considèrent que les Sx se distribuent le long d’un continuum, suggérant une gradation allant de l’absence totale à la présence absolue.
Dimensionnelle
DSM-V : plusieurs changements ; on remaque une approche ____ dans laquelle on considère la ___ des Sx.
dimensionnelle
sévérité
Les difficultés de comportement se divisent en 2 grandes catégories :
- comportements intériorisés
- comportements extériorisés
L’opposition, le mépris, la mauvaise humeur, les crises de colère et l’agression sont des ex. de comportements :
extériorisés
L’isolement, l’évitement, les plaintes somatiques, l’anxiété et la dépression sont des ex. de comportements :
intériorisés
Les troubles de l’humeur sont des troubles qui se
manifestent par : ____
principalement par une perturbation de l’humeur : des variations pathologiques des états émotifs
Les troubles de l’humeur entraînent : ____ & et influencent _____
une souffrance significative
les capacités adaptatives de l’individu.
Théorie de Plutchik : il existe xx émotions fondamentales pouvant être représentées selon 3 dimensions :
8 émotions : joie, peur, colère, surprise, dégout, tristesse, confiance, anticipation
3 dimensions : intensité / degré de similitude / polarité
Théorie de Plutchik stipule que chaque émotion fondamentale a ____ amenant des changements sur le plan _____ et des comportements qui visent ____
une fonction spécifique
physiologique
la bonne adaptation et ultimement la survie
Selon la théorie de Plutchik, on peut parler de pathologie lorsque :
l’émotion ressentie est trop intense, les pensées et les comportements sont désorganisées et ne favorisent plus l’adaptation
Les personnes atteintes d’un trouble de l’humeur ressentent les émotions négatives avec _______ et ____ que la moyenne des gens
avec plus d’intensité et plus longtemps
Les _____ représentent une des catégories de troubles de santé mentales les plus fréquents :
troubles de l’humeur
Pourquoi les troubles de l’humeurs on un coût social élevés :
cause des altérations du fonctionnement
Les troubles dépressifs et les troubles bipolaires sont des exemple de trouble ____
de l’humeur
La dysthymie est synonyme de _____
dysthymie = trouble dépressif persistant
Le trouble cyclothymique est un trouble ____
bipolaire
La dépression est _______ selon Lacan
une mollesse de l’âme
selon la pensée psychanalytique, la dépression :
1. _______
2. ________
- peut rarement survenir avant la fin de l’adolescence
- fait partie du développement normal à l’adolescence
XXXX peut s’observer chez les jeunes, mais est davantage la manifestation d’un autre trouble
la dépression
Critères Dx - trouble dépressif majeur
A. 1 épisode dépressif majeur avec au moins 5 Sx durant période consécutive minimale de 2 semaines.
1. humeur dépressif (irritabilité chez enfant)
2. diminution marquée de l’intérêt ou plaisir
3. gain ou perte poids
4. insomnie ou hypersomnie
5. agitation ou ralentissement psychomoteur
6.fatigue ou perte d’énergie
7. sentiement dévalorisation ou culpabilité excessive
8. difficulté à penser, concentrer, indécision
9. idées suicidaire
B. Sx entrainent détresse ou perturbation du fonctionnement
C.& D. épisode pas attribuable à autre chose (drug, condition médical, autre trouble santé mentale)
E. pas d’épisode de manie ou d’hypomanie
VRAI OU FAUX : un individu ayant vécu des épisodes d’hypomanie peut recevoir un Dx de dépression majeur.
Faux, voir critère E dépression majeur.
La dépression majeure peut se manifester dans tous les
groupes d’âge, mais débute le plus souvent entre XX et XX ans.
10 & 17 ans
Durée moyenne du 1er épisode de dépression majeur est de XX à XX mois.
5 à 8 mois
Prévalence du trouble dépressif majeur
- chez les enfants
- chez les ados
enfants : 2%
ado : 4 à 8%
Au début de l’adolescence, les ____sont de 1,5 à 3 fois plus touchées par la dépression majeure.
filles
Critères Dx - Trouble dysthymique
A. humeur dépressive ou irritabilité présente 1 jour sur 2 pendant au moins 2 ans (1 an chez les enfants et ado)
2 des Sx :
1. perte ou gain d’appétit
2. insomnie ou hypersomnie
3. baisse d’énergie ou fatigue
4. faible estime de soi
5. difficulté concentration ou prise décision
6. sentiment de désespoir.
Le trouble dysthymique apparaît souvent entre XX et XX ans.
6 et 13 ans.
Si le trouble dysthymique se manifeste avant l’âge de XX ans, il est considéré comme étant précoce.
21 ans
La différence principale entre dépression majeur et dysthymie :
La durée et la gravité des symptômes
Les symptômes du trouble dysthymique sont généralement ____ que la dépression majeur, mais sont présents de manière ____ (un épisode pouvant durer de 3 à 5 ans).
moins intense
persistante
prévalence du trouble dysthymique : estimé
entre XX% et XX%
1 et 5%
Les troubles dépressifs peuvent être difficiles à détecter
chez les enfants en raison de la possible absence _________________
d’humeur dépressive
Les Sx des troubles dépressifs peuvent être confondus avec :
des difficultés de comportement
Les enfants et les adolescents souffrant d’un état dépressif ont souvent des difficultés d’adaptation, tels que :
- Difficultés académiques;
- Difficultés relationnelles avec les pairs;
- Difficultés relationnelles avec la famille;
- Problèmes de santé
Les troubles qui présentent une forte comorbidité avec le trouble dépressif majeur :
- troubles anxieux
- troubles liés à l’abus de substance
- troubles alimentaires
- TDAH
- troubles des conduites
Les individus atteints du trouble dysthymique sont plus à risque de développer :
- un trouble anxieux
- un trouble d’abus de substance
Un début dit précoce du trouble dysthymique est associé à un risque accru de troubles :
de personnalité et d’abus de substances comorbides
un trouble dépressif à l’enfance ou à l’adolescence prédit :
- un trouble dépressif ou une autre psychopathologie à l’âge adulte
- des difficultés importantes au niveau des relations intimes
- des difficultés liés à l’emploi
- un consommation importante de psychotropes
- un risque plus élevé d’accidents et de suicide
Le pronostic des troubles dépressifs s’avère encore plus défavorable si _____ ou s’il y a _______
si le 1er épisode est pécoce, grave
ou s’il y a une comorbidité avec un trouble des conduites
Traitement - trouble dépressif - Psychoéducation :
psychoéducateur peut faire une évaluation complète des capacités adaptatives et les caractéristiques de son environnement
il peut accompagner les personnes vers une meilleures compréhension & reconnaissance de la situation
il peut élaborer un plan d’intervention afin de soutenir le jeune dans le maintien ou développement de ses capacités adaptatives et pour guider l’entourage pour offrir un environnement optimal
Traitement - trouble dépressif - Psychothérapie :
La thérapie reconnue comme étant efficace :
TCC = reconnue comme étant efficace
Traitement - trouble dépressif - Psychothérapie :
thérapeute aidera le jeune à :
- reconnaitre signe de dépression
- déconstruire les scémas de pensée qui alimentent les émotions négatives
- adopter de nouvelles pensées plus équilibrées qui amène la modification des comportements
- utiliser des technique de relaxation pour améliorer le bien être général
Traitement - trouble dépressif - médication :
antidépresseurs peuvent être prescrits dès 8 ans, mais rare avant l’âge de 12 ans.
médication envisagée seulement si les autres intervention n’ont pas donné de résultats satisfaisants
peut être prescrite conjointement aux autres interventions
Quand les cycles de variation d’humeur prennent des
proportions excessives, en termes de durée et d’intensité, il peut alors être question de trouble ____.
trouble bipolaire
Les troubles bipolaires sont caractérisés par une ou plusieurs _______ en alternance avec une ou plusieurs ________.
phases d’humeur exaltée
phases d’humeur dépressive
Le trouble bipolaire de type XX se caractérise par la présence d’au moins un épisode de manie, souvent accompagnée de phases de dépression plus ou moins sévères (bien que la dépression ne soit pas nécessaire pour le diagnostic d’un trouble bipolaire de type XX).
type 1
VRAI OU FAUX
La dépression est nécessaire pour le Dx d’un trouble bipolaire de type 1
faux
Le trouble bipolaire de type XX se caractérise par au moins un épisode dépressif majeur et au moins un
épisode hypomaniaque.
type 2
Le trouble XXX se caractérise par une alternance, pendant une période minimale de deux ans, d’épisodes hypomaniaques et dépressifs, sans toutefois que les symptômes répondent aux critères de la dépression majeure, de la manie ou de l’hypomanie.
cyclothymique
Les épisodes des troubles bipolaires durent généralement ______
de quelques semaines jusqu’à 3-6 mois.
Dans les troubles bipolaires, les épisodes dépressifs sont généralement plus ____ que les
épisodes maniaques ou hypomaniaques.
long
trouble bipolaire : un cycle long dure :
plusieurs mois pour chaque épisode et plus mois/années entre les cycles
trouble bipolaire : un cycle court :
au moins 4 cycles par an avec des épisodes de quelques semaines.
Critères Dx - Épisodes maniaque :
A. une période nettement délimitée d’au moins 1 semaine (ou moins si hospitalisation) d’humeur anormalement élevée, expansive ou irritable et d’augmentation anormale de l’activité ou de l’énergie dirigée vers un but de façon persistante presque tous les jours
B. dans la période ; 3 Sx (4 Sx si humeur = seulement irritable)
1. estime de soi exagérée ou idée de grandeur
2. besoin sommeil réduit
3. plus grande loquacité / désir parler constant
4. fuite des idées / expérience subjective de pensées qui s’emballent
5. distractibilité
6. augmentation de l’activité vers un but
7. engagement excessif dans des activité à potentiel élevé de conséquences dommageables
C. perturbation de l’humeur sévère ; altère fonctionnement
D. épisode pas du aux effets physiologiques direct d’une substance
Le trouble bipolaire est très rare chez les enfants. Il débute généralement à ___ ou au début de ___
l’adolescence
l’âge adulte
prévalence du trouble bipolaire chez les enfants et les ados :
environ 1%
Les symptômes ______ seraient plutôt rares, la plupart des jeunes présentant une hypomanie ou une cyclothymie.
maniaques
Trouble bipolaire chez les enfants plus jeunes : ils présentent :
une irritabilité
une agitation psychomotrice
une distractibilité
peuvent changer d’humeur rapidement.
peuvent parfois devenir très agressifs
avoir des hallucinations.
Pourquoi le trouble bipolaire est difficile à identifier chez les jeunes ?
- l’inversion de la polarité s’avère parfois peu évidente.
- La durée des épisodes est plus courte, pouvant être confondus avec les sautes d’humeur, qui sont courantes chez les enfants et les adolescents.
- les Sx peuvent être confondus avec un TDAH ou un trouble disruptif avec dysrégulation de l’humeur ou trouble de personnalité limite à l’ado
Trouble bipolaire : Les difficultés d’adaptation ne se limiteraient pas aux épisodes dépressifs ou maniaques, car :
le fonctionnement de plusieurs jeunes ne retrouvent pas son niveau optimal entre les épisodes
Les troubles qui présentent une forte comorbidité avec le trouble bipolaire à l’enfance et à l’adolescence sont :
TDAH
trouble d’abus de substance
trouble des conduites
troubles dépressifs
Un trouble bipolaire à l’enfance ou ado prédit :
la présence d’un trouble
- bipolaire à l’âge adulte
- comorbide
des difficultés
- au niveau des relations intimes
- liés à l’emploi
un consommation importante de psychotropes
un risque plus élevé de :
- condamnation/incacération
- dhospitalisation
- d’accidents et de suicide
un diminution de l’espérance de vie
Trouble bipolaire - le pronostic devient de plus en plus défavorable à chaque récidive. le risque de récidive est plus élevé si :
- l’âge d’apparition du 1er épisode est précoce
- les Sx sont sévères
- il y a des antécédents familiaux de trouble bipolaire
- aucun traitement n’est precrit ou respecté.
Le traitement et la prise en charge du trouble bipolaire
comprend généralement les niveaux d’intervention
hiérarchiques suivants :
1) Stabilisation de l’état et contrôle des symptômes
entraînant un risque et/ou une souffrance considérable;
2) Poursuite du traitement pour diminuer de façon
significative, voire éliminer les symptômes;
3) Maintien de la rémission et prévention de futurs
épisodes.
Traitement - trouble bipolaire - médication
traitement de 1er plan
- stabilisateurs de l’humeur et les antipsychotiques
Ils peuvent être prescrits à partir de l’âge de 12 ou 13 ans.
Les antidépresseurs peuvent aussi faire partie du traitement
Trouble bipolaire : Il s’avère difficile de choisir le bon traitement puisque les différents médicaments ne peuvent être efficaces durant _____
toutes les phases du cycle
Traitement - trouble bipolaire - psychoéducation & psychothérapie permet :
La thérapie individuelle et/ou de groupe permet ;
accompagne les jeunes et les proches pour qu’ils puissent faire face aux répercussions du trouble bipolaire dans leur vie
permet une meilleure communication et permet aux membres de la familles de mieux identifier les sources de stress et de conflit
permet de moduler les déficits de régulation
émotionnelle et de contrôle cognitif
de développer des stratégie de résolution de problème
traitement - trouble bipolaire - prévention et suivi
le jeune répondra peu aux interventions
afin de prévenir des épisodes il est essentiel que le jeune bénéficie du soutien familial, afin de
maintenir une bonne hygiène de vie (avoir une routine
stable, assurer une quantité suffisante de sommeil, limiter la consommation d’alcool, confier la gestion des finances à un tiers, diminuer les facteurs de stress et leur impact).
Il importe aussi que le jeune et son entourage soient alertes aux signes avant-coureur d’un épisode de manie ou d’hypomanie
Environ 90% des enfants et des adolescents qui ont fait un passage à l’acte avaient un trouble de santé mentale ou plus. Les troubles ______ figuraient au premier rang, suivis du trouble _______, puis du trouble ____
troubles de l’humeur
troubles d’abus de substance
trouble des conduites
Les idées suicidaires et les tentatives de suicide sont plus élevées chez les ____.
filles
Le suicide complété est quatre fois plus fréquent chez les adolescents de sexe ______ .
masculin
Afin de bien évaluer le risque suicidaire, il faut analyser :
- La vulnérabilité au suicide;
- Les stresseurs;
- Les facteurs de protection.
Une intervention ___ et ____ aux enfants diminuerait la détresse, ainsi que le risque de passage à l’acte.
précoce et adaptée
L’intervention auprès d’un jeune à risque suicidaire :
agir sur les facteurs de risques et leur stresseur
soutenir les éléments qui contribuent à diminuer le risque de passage à l’acte
mobilisation des membres de l’entourage = facteur déterminant dans cette démarche
Le stress fait référence à un ensemble de réactions
______ et ________, générées par une
situation présente ou imminente, que l’individu voit comme menaçante.
physiologiques et psychologiques
Effet de l’adrénaline :
augmentation :
- de la capacité d’attention sélective
- de la tension artérielle
- du rythme cardiaque et respiratoire
dilatation des pupilles
Effet du cortisol :
- conversion des gras en sucre
- désactivation partielle du système immunitaire
- diminution de l’inflammation et de la douleur
- envoi d’un signal de faim (à la fin d’une situation stressante)
- mémorisation d’apprentissage
- ralentissement du système digestif
4 éléments qui caractérisent le stress :
contrôle faible
imprévisibilité
nouveauté
égo menacé
3 composantes du triangle de l’anxiété
pensées
malaises
comportements/réactions
l’anxiété est considérée comme problématique lorsque :
- L’intensité des sentiments de peur et d’impuissance sont exagérés par rapport à la situation réelle;
- Les pensées d’inquiétudes sont irréalistes, excessives et accaparantes;
- Les malaises physiques sont nombreux et incommodants;
- Elle influencera les agissements de l’individu au point
d’entraver son fonctionnement.
Les troubles _____ figurent parmi les troubles de santé mentale les plus fréquents chez les enfants et les
adolescents
troubles anxieux
Les troubles anxieux incluent :
- Trouble d’anxiété généralisée
- Anxiété de séparation
- Mutisme sélectif
- Phobie spécifique
- Trouble d’anxiété sociale
- Trouble panique
- Trouble obsessif-compulsif
Le trouble _______ se traduit par des préoccupations excessives et incontrôlables pendant de longues périodes au sujet de différentes choses.
trouble d’anxiété généralisée (TAG)
Le jeune qui souffre du TAG peut s’inquiéter au sujet de :
- Sa santé ou celle de ses proches;
- Sa sécurité ou celle de ses proches;
- La mort;
- Ses relations avec ses amis;
- Sa réussite scolaire;
- Les nouvelles expériences;
- Etc.
la prévalence du TAG est d’environ XX % chez les enfants et XX % chez les ado :
3%
6%
VRAI OU FAUX :
Il y a davantage de filles que de garçons qui souffrent d’un TAG, à partir de l’adolescence
vrai
Le TAG se développerait à l’enfance ou à l’adolescence,
généralement plus à partir de XX ou XX ans.
7 ou 8 ans
TAG : Les symptômes doivent être présents au moins XX jour sur 2 pendant une période minimal de XX mois.
1 jour sur 2
période minimal de 6 mois
________ : Peur ou préoccupations excessives de l’enfant d’être séparé d’une des figures d’attachement et obsession quant aux retrouvailles
Anxiété de séparation
prévalence anxiété de séparation :
environ 4-5 %
Trouble anxieux le plus fréquent chez les moins de 12 ans :
anxiété de séparation
Anxiété de séparation : les symptômes doivent avoir une durée minimale de :
4 semaines
_____ : peur excessive et déraisonnable face à un objet ou une situation qui ne représente pas un danger réel. Ce trouble ce distingue par la spécificité de l’objet ou de la situation de peur
phobie spécifique
prévalence de la phobie spécifique
environ 3-5 %
La phobie spécifique touche davantage les XXX
fille que les garçons
La plupart des cas de phobie spécifique commencent entre XX et XX ans
7 et 11 ans
Les Sx de phobie spécifique doivent avoir une durée minimal de XX mois
6 mois
Une phobie qui persiste à l’adolescence prédit une ____ du trouble à l’âge adulte.
stabilité
VRAI OU FAUX : Certains enfants ou adolescents développent une phobie spécifique à la suite d’un événement effrayant ou traumatisant, mais pour de nombreux autres, il n’y aura pas nécessairement d’incident déclencheur
vrai
trouble caractérisé par une incapacité ou limitation persistante d’un individu à parler dans un ou plusieurs contextes particuliers, alors qu’il est tout à fait capable de parler dans d’autres situations
mutisme sélectif
Les jeunes atteints de mutisme sélectif peuvent
communiquer par :
des gestes, signes de têtes, expressions faciales, en émettant des sons, souvent en chuchotant ou avec une voix altérée.
prévalence du mutisme sélectif :
entre 0.1 % et 2.2 %
mutisme sélectif début généralement avant :
5 ans
VRAI OU FAUX : le mutisme sélectif est souvent sur-Dx
Faux ; il est souvent Dx tardivement et probablement sous-dx
durée minimale des Sx du mutisme sélectif :
minimal 1 mois
Lorsqu’un adulte répond à la place d’un enfant avec mutisme sélectif ou si l’enfant évite de répondre, ceci ___ l’anxiété
renforce
TOC : caractérisé par la présence ____ et/ou ____
d’obessions
compulsions
pensées, impulsions ou représentations récurrentes et persistantes entrainant une anxiété :
obessions
comportements répétitifs ou actes mentaux que l’individu effectue afin de soulager la détresse ressentie
compulsions
exemple de signes avant-coureurs qui peuvent indiquer la présence ou l’émergence d’un TOC chez l’enfant :
résiste au changement
consacre bcp de temps au tâche routinière
refaire les même tache à répétition
se laver de façon excessive
grosse crises de colère si ne peut pas faire quelque chose d’une façon particulière
change de vêtement souvent
insiste pour ranger les choses à un endroit bien précis
bcp de temps pour ranger, réorganiser
refuse de partager
Un besoin d’ordre et de symétrie, des doutes excessifs, des pensées taboues, la crainte d’être contaminés ou d’Avoir une maladie, la crainte de se blesser ou bleser quelqu’un = des exemple de :
symptômes obsessionnels
le refus de toucher des objets, la vérification ou recomptage des choses, le besoin de respecter un ordre ou une façon de faire précise et le contrôle excessis des portes, fenetres ou serrure = des exemple de :
symptômes compulsifs
La prévalence des TOC est d’environ
0.25 à 2%
TOC : touche davantage les ___ à l’enfance
garçon
TOC débute le plus souvent entre XX et XX ans et est caractérisé par ___
entre 10 et 20 ans
chronicité
VRAI OU FAUX : L’enfant n’est pas nécessairement conscient de la nature excessive ou déraisonnable des obsessions/compulsions
vrai
VRAI OU FAUX : Le TOC est associé à une perte de temps, des difficultés de concentration, puis une perturbation du fonctionnement scolaire et social
vrai
Trouble qui se caractérise par une peur prononcée et persistante d’une ou plusieurs situations sociales dans lesquelles le sujet pourrait faire l’objet de l’observation attentive et de l’évaluation négative d’autrui
trouble d’anxiété sociale
Les jeunes qui souffrent d’un trouble ______
éprouvent une peur constante de dire ou faire une bêtise, puis ils se soucient de façon démesurée de ce que les autres peuvent penser d’eux
d’anxiété sociale
prévalence du trouble d’anxiété sociale
environ 1 - 3 %
l’anxiété sociale touche davantage les ___
fille que les garçons
VRAI OU FAUX : le trouble d’anxiété sociale début le plus souvent à l’enfant
faux : à l’adolescence
VRAI OU FAUX : le sentiement de peur dans l’anxiété sociale doit survenir en présence de jeunes du même âge, pas seulement avec des adultes
vrai
durée minimale des sx dans le trouble d’anxiété sociale :
6 mois
apparition brutale de sentiments de peur ou d’anxiété, associés à un extrême inconfort, une détresse intense.
attaque de panique
attaque de panique : les sx atteignent généralement
leur niveau d’intensité maximale en XX minutes et
disparaissent ensuite en ______
10 min
quelques minutes
attaque de panique : les sx peuvent être ____ ou ____
cognitif ou somatique
des exemple de symptômes cognitifs dans le trouble panique :
peur de la mort, peur de devenir fou ou de perdre le controle de soi, impression d’irréalité, de détachement
Exemple de symptômes somatiques dans le trouble panique :
douleur thoracique, difficulté à respirer, palpitations, sensation de vertige, nausées, bouffées de chaleur ou frissons, tremblements
____ peut survenir dans tous les troubles anxieux et peut être attendue ou inattendues
l’attaque de panique
trouble qui se définit par la survenue récurrente d’attaques de panique
trouble panique
Chez les plus jeunes, les ______ peuvent être associées à des cris, des larmes et une hyperventilation. Ils peuvent avoir de la difficulté à décrire ce qui leur arrive.
attaques de panique
Après une attaque de panique, les jeunes tendent à :
être plus colleur, plus irritables, refuser de faires des activités auxquelles ils participaient sans problème
prévalence du trouble panique :
environ 2%
à l’adolesence, le trouble panique touche davantage :
les filles
le trouble panique débute le plus souvent à l’enfance ou à l’adolescence ?
ado
________ est associé à une faible estime de soi,
des difficultés scolaires, des difficultés relationnelles, des problèmes de sommeil, la dépression, puis la consommation de psychotropes.
trouble panique
Les troubles anxieux sont très souvent comorbides entre eux, ainsi qu’avec : les troubles _____ , encore plus à l’enfance. Ils sont aussi souvent comorbides avec les troubles _____ et, chez les plus jeunes, avec le ____ .
les troubles de l’humeur
les troubles du comportement
TDAH
Davantage de symptômes anxieux à l’enfance sont associés à : _______ à l’adolescence ou à l’âge adulte.
un risque plus élevé de troubles anxieux, de dépression ou de consommation de psychotropes
trouble anxieux : Une absence de traitement est associée à : ______ ou une ______ des symptômes.
une aggravation
chronicisation
Les enfants et les adolescents anxieux peuvent, dans
plusieurs cas et malgré une amélioration de leur condition, éprouver des difficultés d’adaptation personnelles et ____ à l’âge adulte
professionnelles
Les _______ peuvent être utilisés pour traiter l’anxiété chez les enfants et les adolescents.
inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS)
Facteurs influençant le niveau de satisfaction corporelle (petit schéma)
La pression socio-culturelle (poids, apparence)
=> comparaison sociale et internalisation
ISRS peuvent être prescrits à partir de l’âge de :
8 ans
Trouble anxieux : Selon la ____et la ____ des symptômes, une médication pourra généralement être envisagée si les autres formes de traitement s’avèrent peu ou pas efficaces.
nature et la gravité
comment s’installent les TCA ? (+ les deux dimensions importantes)
graduellement : c’est un continuum de pensées et comportements
TCA : gradation des comportements
restriction d’aliments (ex diète de chips)
regimes plus stricts
saut de repas
activité physique
compulsions alimentaires
TCA : gradation des pensées
souci de l’apparence
préoccupations liées au poids
sentiment de culpabilité
souffrance/ détresse
Troubles anxieux : Une approche familiale avec l’implication des parents est importante, car elle permet de ____ aux changements qu’ils peuvent apporter dans leurs façons d’être et d’agir, afin d’éviter de maintenir l’anxiété de leur enfant.
les conscientiser
conséquences physiques TCA
lanugo (= petit duvet soyeux sur le corps)
diminution de la température interne
am
il est important que les parents comprennent que l’anxiété de leur enfant génère des contacts et des interactions qu’il faudra remplacer s’ils souhaitent aider l’enfant à ____
délaisser ses comportements anxieux
La________ est reconnue scientifiquement pour le traitement des troubles anxieux auprès des enfants et des adolescents.
thérapie cognitivo-comportementale
TCC vise la modification des pensées et des ____ par l’entrmise de différentes techniques (4):
comportements
- pleine conscience
- résolution de problème
- restructuration cognitive
- exposition graduée
______ permet de se concentrer sur le moment présent, dans le but d’être pleinement en contact avec nos pensées, nos émotions et notre environnement.
pleine conscience
Dans la ____ on porte une attention particulière aux informations transmises par ses sens, ici et maintenant
pleine conscience
_____ permet une prise en charge active des sx anxieux.
la résolution de problèmes
Selon la perspective développementale, les troubles psychopathologiques correspondent à
des déviations développementales en constante évolution
La résolution de problèmes permet une prise en charge active des Sx anxieux. elle comporte plusieurs étapes :
- définir le problème
- trouver toutes les solutions possibles
- faire une liste des avantages/désavantages pour chaque solution
- choisir la solution qui convient le mieux
- mettre la solution en pratique
- évaluer les résultats et apporter les ajustements nécessaires
Traitement des troubles anxieux - la ____ a pour but de modifier les croyances irréalistes en questionnant les pensées
restructuration cognitive
traitement des troubles anxieux ; la restructuration cognitive peut se faire en 5 étapes :
- identifier la pensée qui génère de l’anxiété
- évaluer le degré de croyance de la pensée
- nommer les évidences en lien avec la pensée
- trouver quelles seraient les autres pensées possibles
- évaluer le degré de croyance avec ces pensées
_____ vise à affronter l’objet ou la situation de peur de façon très progressive. en procédant étape par étape, le niveau d’anxiété généré demeure à un niveau tolérable pour l’individu, se stabilise après un certain temps puis diminue progressivement jusqu’à disparaitre.
l’exposition graduée
2 éléments viennent moduler la réponse à la pression sociale :
comparaison sociale
internalisation des standars
la déminéralisation osseuse est un exemple de conséquence ____ des troubles des conduites alimentaires
conséquence physique
la diminution de l’appart énergétique et les distorsions cognitives sont des exemples de conséquences ___ et ___ des troubles des conduites alimentaires
cognitive et psychologique
Anorexie mentale - 2 sous-types :
- type restrictif
- type accès hyperphagiques/purgatif
Anorexie mentale - critère dx :
A. restriction de l’apport énergétique
B. peur intense de prendre du poids ou devenir gros
C. altération de la perception du poids ou de la forme de son corps
Anorexie mentale - sous-type restrictif :
la perte de poids est essentiellement due au régime, au jeûne et/ou à l’exercice physique excessif
Anorexie mentale - sous-types accès hyperphagiques/purgatif :
présence d’épisodes réccurents d’hyperphagie et de vomissement et/ou de comportments purgatifs
4 degrés de sévérité de l’anorexie mentale :
léger ; imc entre 5-10
modéré ; imc entre 3-5
sévère ; imc entre 1-3
extrême ; imc sous 1
prévalence - anorexie mentale
environ 0.5 %
VRAI OU FAUX : de nombreux jeunes présentent des sx importants d’anorexie mentale sans répondre au critères du trouble
vrai
L’anorexie mentale touche davantage :
les filles
l’anorexie mentale débute généralement à ____ souvent au ___
l’adolescence - souvent au moment de la puberté
Boulimie - critère dx
A. survenue récurrente d’accès hyperphagiques, répondant au 2 caractéristiques :
1. absorption en temps limité une quantité excessive de nourriture
2. sentiement de perte de controle sur le comportement pendant la crise
B. comportement compensatoire pour prévenir prise de poids
C. accès hyperphagiques et comportement compensatoire surviennent en moyenne 1x par semaine pendant 3 mois
D. estime de soi influencée excessivement par le poids
E. le trouble ne survient pas exclusivement pendant des épisodes d’anorexie mentale
4 degrés de sévérité - boulimie
léger ; moyenne de 1-3 CC par semaine
modéré ; moyenne de 4-7 épisode de CC par semaine
sévère ; moyenne 8-13 épisode de CC / semaine
extrême ; moyenne d’au moins 14 épisode de CC / semaine
prévalence boulimie :
environ 1%
la boulimie touche davantage les ___.
filles
on retrouve une incidence de boulimie plus élevée chez les jeunes pratiquant ____ ou _____
des sports de performance ou la danse
La boulimie débute généralement à ___ ou ___
à la fin de l’ado ou au début de l’âge adulte
Quelques signes avant-coureurs peuvent indiquer la
présence ou l’émergence d’un trouble des conduites
alimentaires :
- sauter des repas
- trouver des excuses pour éviter les repas de famille
- mange plus lentement
- se pèse souvent
- manifeste un sur-investissement scolaire
Le taux de rémission de l’anorexie pourrait atteindre environ XX %, bien qu’une certaine proportion continue de présenter des symptômes ou d’autres difficultés.
50%
Vrai ou faux : Le risque de rechute est élevé dans les troubles des conduites alimentaires.
Vrai, un peu plus de 20% des cas seraient chroniques ou évolueraient en boulimie.
Le taux de mortalité des adolescentes souffrant d’anorexie mentale est estimé à XX%.
2.9 %
Trouble des conduites alimentaires :
La ______ , la présence de _____ ou de _____ et être ______ sont associées à un pronostic plus sombre.
longue durée du trouble
crises boulimiques
comorbidités
réfractaire au traitement
Lorsque la boulimie dure plusieurs années, on observe
généralement une alternance de _____ et de _____
périodes de crise et de périodes plus calmes.
trouble ______ : Lorsque la chronicité s’installe, on peut observer des gestes auto-agressifs, des troubles anxieux, des dépressions récurrentes, des addictions.
trouble alimentaire ; boulimie
taux de rémission de la boulimie pourrait atteindre environ XX %
70 %
le taux de mortalité de la boulimie à l’adolescence est estimé à environ XX %
1 %
Dans les troubles alimentaires des conduites : La _____, une ____, un trouble ____, une ____et une
mauvaise ____ seraient des indicateurs de mauvais pronostic.
consommation de psychotropes
tentative de suicide
trouble de personnalité limite
obésité
mauvaise adaptation sociale
Défi du traitement de l’anorexie mentale :
- niveau de motivation de la patiente et des parents
- non-reconnaissance du trouble
- effets indésirables associés à la renutrition
L’hospitalisation peut s’avérer nécessaire si la perte de poids est trop importante (20% ou plus en 3 mois), si ____, si les pensées liées au poids sont ____
et permanentes, s’il y a des anomalies ____, si les
comportements compensatoires sont incontrôlables, etc
les malaises sont fréquents
intrusives
cardiaques
1er phase de traitement de l’anorexie :
renutrition ; maintien ou le gain de poids ou le retour d’un rythme de croissance adéquat
La phase de renutrition est complexe et doit être très ___ afin d’éviter toute complication
progressive
L’objectif pondéral doit être discuté avec le jeune et doit
tenir comte de son ___, de ses antécédents pondéraux et du ____ permettant d’assurer un bon fonctionnement.
âge
poids minimal
Le traitement ____est celui qui a démontré la plus grande efficacité pour les enfants et adolescents anorexiques. Il repose sur l’implication des parents qui deviennent responsables de la santé et prise de poids de leur enfant
familial
Le jeune qui souffre d’un trouble des conduites alimentaires doit être suivi par un médecin sur une base régulière afin :
de permettre la prise en charge rapide d’éventuelles complications et/ou de rechutes
traitement des troubles alimentaires : il doit y avoir une éducation ___ et ___
éducation par rapport au trouble et à l’alimentation
Dans le traitement des troubles alimentaire, on souhaite que le jeune retrouve ___
le plaisir associé à l’alimentation et l’aspect social
dans le traitement des troubles alimentaires, une ____ augmente les chances de rémission
prise en charge précoce