ICM 1 Flashcards
A propos de la diversité des médicaments :
certains médicaments renferment un seul principe actif
vrai
A propos de la diversité des médicaments :
les laxatifs de lest se fixent à une cible moléculaire
faux
A propos de la diversité des médicaments :
un médicament peut être prescrit dans un but de diagnostic
vrai
A propos de la diversité des médicaments :
un même principe actif peut entrer dans la composition de plusieurs spécialités
vrai
a propos de la diversité des médicaments :
un médicament peut être prophylactique
vrai
a propos de la diversité des médicaments :
un médicament peut être prescrit dans le but de soulager des symptômes
vrai
a propos de la diversité des médicaments :
un médicament peut avoir une action métabollique
vrai
a propos de la diversité des médicaments :
un même principe actif peut entrer dans la composition d’une spécialité à prise orale et d’une spécialité injectable
vrai
a propos des cibles des médicaments :
toutes les cibles des médicaments du marché français ont connues
faux
a propos des cibles des médicaments :
pour une même cible moléculaire il peut exister un agoniste et un antagoniste
vrai
a propos des cibles des médicaments :
il peut exister plusieurs ligands vis-à-vis d’une même cible moléculaire
vrai
a propos des cibles des médicaments :
une spécialité peut renfermer plus d’un principe actif
vrai
a propos des récepteurs nucléaires :
certains sont dits orphelins
vrai
a propos des récepteurs nucléaires :
ce sont des facteurs de transduction
faux
a propos des récepteurs nucléaires :
certains médiateurs locaux peuvent se lier à eux
vrai
a propos des récepteurs nucléaires :
certaines hormones peuvent se lier à eux
vrai
a propos des récepteurs nucléaires :
ils se lient à la région promotrice de certains gènes
vrai
a propos des récepteurs nucléaires :
libres ils peuvent être cytosoliques
vrai
a propos des récepteurs nucléaires :
ils sont activés par des ligands lipophiles
vrai
a propos des récepteurs nucléaires :
leur domaine AB est variable
vrai
a propos
des récepteurs des hormones stéroïdes :
certains d’entre fixent la testostérone
vrai
a propos
des récepteurs des hormones stéroïdes :
certains d’entre eux fixent la progestérone
vrai
a propos
des récepteurs des hormones stéroïdes :
certains d’entre eux fixent la noradrénaline
faux noradrénaline= neurotransmetteur
a propos
des récepteurs des hormones stéroïdes :
certains d’entre eux fixent le cortisol
vrai
a propos des récepteurs des hormones thyroïdiennes :
ils sont issus de plusieurs gènes
vrai
a propos des récepteurs des hormones thyroïdiennes :
ils régulent la transcription de gènes des enzymes du métabolisme
vrai
a propos des récepteurs des hormones thyroïdiennes :
leur stimulation provoque une diminution du métabolisme basal
faux, élévation du métabolisme
a propos des récepteurs des hormones thyroïdiennes :
un effet indésirable de leur stimulation est de provoquer la “ bosse de bison “
faux
a propos des corticoïdes :
ce sont des agonistes des récepteurs aux hormones thyroïdiennes
faux
a propos des corticoïdes :
ils ont des propriétés pro-inflammatoires
faux
a propos des corticoïdes :
ils doivent s’administrer uniquement par voie intraveineuse
faux
a propos des corticoïdes :
ils sont parfois indiqué dans le traitement de l’asthme
vrai, effet anti-inflammatoire muqueuse bronchique = traitement de fond
a propos des récepteurs canaux :
ils sont impliqués dans les équilibres ioniques transmembranaires
vrai
a propos des récepteurs canaux :
ils comprennent les récepteurs adrénergiques
faux, Récepteurs adrénergiques sont des RCPG
connaitre les sous unités des récepteurs
a propos des récepteurs canaux :
ils sont tous localisés au niveau de la membrane plasmique
faux
a propos des récepteurs canaux :
la perméabilité ionique qui leur est associée peut être anionique
vrai
a propos des récepteurs nicotiniques :
ce sont des récepteurs intracellulaires
faux
a propos des récepteurs nicotiniques :
ils ne sont exprimés qu’au niveau cardiaque
faux
a propos des récepteurs nicotiniques :
ils fixent l’adrénaline
faux
a propos des récepteurs nicotiniques :
ils sont constitués de 10 sous-unités
faux connaitre les sous unités des récepteurs
a propos des canaux sodiques :
ils jouent un rôle dans la dépolarisation des cellules cardiaques
vrai
a propos des canaux sodiques :
leur mutation peut entraîner des troubles de rythme cardiaque
vrai
a propos des canaux sodiques :
leur mutation peut être responsable de certaines formes d’épilepsie
vrai
a propos des canaux sodiques :
leur capacité de transfert ionique est élevée
vrai
a propos
des canaux sodiques membranaires :
leur sous unité alpha existe sous différentes isoformes
vrai
a propos
des canaux sodiques membranaires :
ils peuvent être régulés par la concentration intracellulaire en ATP
faux régulé par voltage
a propos
des canaux sodiques membranaires :
ils peuvent être exprimés par les neurones
vrai
a propos
des canaux sodiques membranaires :
ils ont absents du système nerveux central
faux au niveau des neurones
a propos
des canaux potassiques membranaires : ils sont la cible d’action anesthésiques locaux
faux, canaux sodiques
a propos
des canaux potassiques membranaires :
ils renferment des canaux sensibles au potentiel
vrai
a propos
des canaux potassiques membranaires :
ils peuvent être impliqués dans la sécrétion d’insuline
vrai
a propos
des canaux potassiques membranaires :
ils sont exprimés par les cellules automatiques cardiaques
vrai
A propos des canaux calciques membranaires :
ils sont la cible des dihydropyridines
vrai
A propos des canaux calciques membranaires :
ils assurent le couplage entre l’excitation et la contraction musculaire cardiaque
vrai
A propos des canaux calciques membranaires :
ils participent au processus de sécrétion par les glandes endocrines
vrai
A propos des canaux calciques membranaires :
leur mutation peut être responsable de certaines formes d’épilepsie
faux, ce sont les canaux sodiques
A propos des canaux calciques membranaires :
les canaux L se caractérisent par une capacité à rester ouverts longtemps
vrai
A propos des canaux calciques membranaires :
les canaux L existent sous différentes isoformes
vrai isoformes de 1.1 à 1.4
A propos des canaux calciques membranaires :
certains canaux calciques sont exprimés par la rétine
vrai
A propos des canaux calciques membranaires :
les Cav 1.2 sont des canaux L
vrai
A propos des bloqueurs des canaux calciques Cav 1.2 :
leur affinité dépend de l’état du canal
vrai
A propos des bloqueurs des canaux calciques Cav 1.2 :
ils peuvent être utilisés pour traiter l’hypertension artérielle
vrai
A propos des bloqueurs des canaux calciques Cav 1.2 :
la nifédipine en fait partie
vrai
A propos des bloqueurs des canaux calciques Cav 1.2 :
ils bloquent les canaux du réticulum sarcoplasmique
faux, bloquent la membrane plasmique
A propos des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
des récepteurs de la sérotonine font partie des RCPG
vrai
A propos des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
certains des RCPG sont stimulés par des photons
vrai
A propos des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
les récepteurs à l’insuline en font partie
faux, tyrosine kenase
A propos des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
leur partie N terminale est intracellulaire
faux
A propos des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
ils sont les cibles de tous les médicaments commercialisés en 2015
faux
A propos des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
ils interagissent avec les protéines G
vrai
A propos des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
ils sont exprimés par toutes les cellules de l’organisme humain
vrai
A propos des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
il existe des récepteurs couplés aux protéines G mais qui ne possèdent pas 7 domaines transmembranaires
vrai
A propos des récepteurs des opioïdes :
ils jouent un rôle dans la nociception
vrai
A propos des récepteurs des opioïdes :
ils ont la morphine comme antagoniste
faux, agoniste
A propos des récepteurs des opioïdes :
ils sont exprimés dans la paroi de l’intestin
vrai
A propos des récepteurs des opioïdes :
leur stimulation a un effet sur le contrôle de la respiration
vrai
A propos de la désensibilisation des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
elle est dite homologue lorsqu’elle est induite par l’agoniste lui-même
vrai
A propos de la désensibilisation des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
elle conduit à l’externalisation des RCPG
faux
A propos de la désensibilisation des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
elle se traduit parfois par une dégradation enzymatique
vrai
A propos de la désensibilisation des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
elle fait intervenir la betta-arrestine
vrai
concernant la variabilité de l’efficacité thérapeutique d’un principe actif chez des patients :
elle peut être expliquée par une inobservance médicamenteuse
vrai
concernant la variabilité de l’efficacité thérapeutique d’un principe actif chez des patients :
elle peut être expliquée par des interactions médicamenteuses
vrai
concernant la variabilité de l’efficacité thérapeutique d’un principe actif chez des patients :
elle ne peut pas être expliquée par une cause génétique
faux
concernant la variabilité de l’efficacité thérapeutique d’un principe actif chez des patients :
elle peut être expliquée par le contexte physiopathologique
vrai
concernant la demi-vie d’élimination d’un principe actif :
c’est la fraction de principe actif qui est éliminée toutes les heures
faux
concernant la demi-vie d’élimination d’un principe actif :
c’est le temps nécessaire pour que la concentration plasmatique ou sanguine du principe actif atteigne son maximum
faux
concernant la demi-vie d’élimination d’un principe actif :
c’est le temps nécessaire pour que la concentration plasmatique ou sanguine du principe actif soit divisée par 2
vrai
concernant la demi-vie d’élimination d’un principe actif :
c’est le temps nécessaire pour que le principe actif soit entièrement éliminé de l’organisme
faux
concernant l’étude de l’effet du principe actif sur l’organisme :
elle correspond à la pharmacodynamie
vrai
concernant l’étude de l’effet du principe actif sur l’organisme :
elle correspond à la pharmacocinétique
faux
concernant l’étude de l’effet du principe actif sur l’organisme :
elle est réalisée dès les études pré-cliniques
vrai
concernant l’étude de l’effet du principe actif sur l’organisme :
elle peut être réalisée par des courbes dose-réponse
vrai
concernant la biotransformation des principes actifs :
elle peut conduire à la formation de métabolites inactifs
vrai
concernant la biotransformation des principes actifs :
elle peut conduire à la formation de métabolites actifs
vrai
concernant la biotransformation des principes actifs :
elle peut consister en des réactions d’oxydation
vrai
concernant la biotransformation des principes actifs :
elle a lieu exclusivement au niveau du foie
faux, le foie est le lieu PRINCIPAL mais non exclusif
concernant la filtration glomérulaire d’un principe actif :
c’est le seul mécanisme d’élimination rénale d’un principe actif
faux
concernant la filtration glomérulaire d’un principe actif :
c’est la voie principale de biotransformation d’un principe actif
faux
concernant la filtration glomérulaire d’un principe actif :
c’est un phénomène actif
faux
concernant la filtration glomérulaire d’un principe actif :
elle conduit à l’élimination du principe actif dans les urines
vrai
concernant la distribution tissulaire d’un principe actif :
elle est quantifiée par le volume de distribution
vrai
concernant la distribution tissulaire d’un principe actif :
elle est limitée par une forte liaison aux protéines plasmatiques
vrai
concernant la distribution tissulaire d’un principe actif :
elle peut être limitée par la présence d’un transporteur
vrai , ex : Glut.1
concernant la distribution tissulaire d’un principe actif :
elle est influencée par son poids moléculaire
vrai
concernant
la concentration efficace 50 d’un ligand :
elle dépend de la taille du ligand
faux
concernant
la concentration efficace 50 d’un ligand :
elle reflète la puissance du ligand
vrai
concernant
la concentration efficace 50 d’un ligand :
elle reflète l’efficacité du ligand
faux
concernant
la concentration efficace 50 d’un ligand :
elle reflète la biodisponibilité du ligand
faux, attention biodisponibilité = fraction
concernant l’étude
de l’effet pharmacologique
d’un principe actif :
elle peut être réalisée sur des préparations membranaires
vrai
concernant l’étude
de l’effet pharmacologique
d’un principe actif :
elle peut être réalisée sur des organes isolés
vrai
concernant l’étude
de l’effet pharmacologique
d’un principe actif :
elle peut être réalisée sur un organisme entier vivant
vrai
concernant l’étude
de l’effet pharmacologique
d’un principe actif :
elle peut être réalisée par des courbes dose-réponse quantitatives
vrai
concernant
la biotransformation des médicaments :
elle consiste en une ou des réactions chimiques destinées à augmenter la lipophilie du principe actif
faux, augmentation l’hydrophilie
concernant
la biotransformation des médicaments :
elle peut avoir lieu au niveau du poumon
vrai
concernant
la biotransformation des médicaments :
elle peut avoir lieu au niveau du foie
vrai
concernant
la biotransformation des médicaments :
elle peut avoir lieu au niveau de l’intestin
vrai
concernant
la biodisponibilité d’un principe actif :
elle correspond à la quantité de principe actif administrée qui atteint la circulation générale
faux
concernant
la biodisponibilité d’un principe actif :
elle peut être diminuée par un effet de premier passage hépatique
vrai
concernant
la biodisponibilité d’un principe actif :
elle ne peut être évaluée qu’après une administration intraveineuse du principe actif
faux
concernant
la biodisponibilité d’un principe actif :
elle est égale à 100% après une administration intraveineuse du principe actif
vrai
concernant l’interaction
d’un agoniste avec son récepteur :
la concentration d’agoniste nécessaire pour induire un effet maximal définit l’affinité de cet agoniste pour ce récepteur
faux
concernant l’interaction
d’un agoniste avec son récepteur :
la capacité du complexe agoniste-récepteur à induire un effet pharmacologique définit l’activité intrinsèque de l’agoniste sur son récepteur
vrai
concernant l’interaction
d’un agoniste avec son récepteur :
Kd représente la concentration en agoniste nécessaire pour occuper 50%des récepteurs
vrai
concernant l’interaction
d’un agoniste avec son récepteur :
plus la valeur Kd est faible, plus l’affinité de l’agoniste pour son récepteur est élevée
vrai
concernant
la concentration efficace 50
d’un principe actif :
elle caractérise la phase d’absorption de ce principe actif
faux
concernant
la concentration efficace 50
d’un principe actif :
elle caractérise l’efficacité de ce principe actif
faux
concernant
la concentration efficace 50
d’un principe actif :
elle caractérise la phase d’élimination de ce principe actif
faux
concernant
la concentration efficace 50
d’un principe actif :
elle caractérise la phase de distribution tissulaire de ce principe actif
faux
concernant
la biotransformation d’un principe actif :
elle correspond au temps nécessaire pour diviser par 2 la concentration sanguine ou plasmatique en principe actif
faux
concernant
la biotransformation d’un principe actif :
elle est peut être influencée
par des co-médications
vrai
concernant
la biotransformation d’un principe actif :
elle peut être influencée par la fonction hépatique du patient
vrai
concernant
la biotransformation d’un principe actif :
elle peut être influencée par l’existence de polymorphismes génétiques
vrai
soit un patient traité
par ciclosporine ( un médicament immunosuppresseur biotransformé en métabolite inactif par le cytochrome P450 3A4)
chez qui un traitement
par phénobarbital (un anti-épileptique inducteur du Cytochrome P4503A4)
doit être instauré :
l’introduction du traitement par phénobarbital va entrainer une diminution des concentrations sanguines de ciclosporine
vrai
soit un patient traité
par ciclosporine ( un médicament immunosuppresseur biotransformé en métabolite inactif par le cytochrome P450 3A4)
chez qui un traitement
par phénobarbital (un anti-épileptique inducteur du Cytochrome P4503A4)
doit être instauré :
l’introduction du traitement par phénobarbital nécessitera une diminution des posologies de ciclosporine
faux
soit un patient traité
par ciclosporine ( un médicament immunosuppresseur biotransformé en métabolite inactif par le cytochrome P450 3A4)
chez qui un traitement
par phénobarbital (un anti-épileptique inducteur du Cytochrome P4503A4)
doit être instauré :
l’introduction du traitement par phénobarbital risque de diminuer l’efficacité immunosuppresseur de la ciclosporine
vrai
soit un patient traité
par ciclosporine ( un médicament immunosuppresseur biotransformé en métabolite inactif par le cytochrome P450 3A4)
chez qui un traitement
par phénobarbital (un anti-épileptique inducteur du Cytochrome P4503A4)
doit être instauré :
l’arrêt du traitement par phénobarbital devra être suivi d’une augmentation de la posologie de ciclosporine
faux
concernant la fraction libre
d’un principe actif :
elle correspond à la fraction de principe actif non liée aux protéines plasmatiques
vrai
concernant la fraction libre
d’un principe actif :
elle correspond à la fraction de principe actif susceptible de diffuser au niveau tissulaire
vrai
concernant la fraction libre
d’un principe actif :
elle correspond à la fraction de principe actif susceptible de se lier sur sa cible moléculaire
vrai
concernant la fraction libre
d’un principe actif :
elle correspond à la fraction de principe actif qui pourra être excrétée par filtration glomérullaire
vrai
concernant un antagoniste compétitif :
il possède une activité intrinsèque = 1
faux
concernant un antagoniste compétitif :
il n’est jamais toxique
faux
concernant un antagoniste compétitif :
sa puissance est quantifiée par la valeur de PA
vrai
concernant un antagoniste compétitif :
sa présence entraîne
un décalage de la courbe dose-réponse de l’agoniste vers la droite,
c’est-à-dire la nécessité de concentrations d’agoniste plus élevées pour induire le même effet qu’en l’absence d’antagoniste
vrai
concernant les médicaments
à marge thérapeutique étroite :
leur activité intrinsèque est toujours inférieure à 1
faux
concernant les médicaments
à marge thérapeutique étroite :
ils sont toujours des agonistes partiels
faux
concernant les médicaments
à marge thérapeutique étroite :
leur Kd est toujours bas
faux
concernant les médicaments
à marge thérapeutique étroite :
ils possèdent une toxicité dose-dépendante
vrai
concernant
la résorption digestive d’un principe actif chez un patient donné :
elle peut être influencée par le pH digestif
vrai
concernant
la résorption digestive d’un principe actif chez un patient donné :
elle peut être influencée par la présence d’un polymorphisme génétique du gène codant pour la Pglycoprotéine
vrai
concernant
la résorption digestive d’un principe actif chez un patient donné :
elle peut être augmentée par la prise concomitante d’un pansement digestif
faux
concernant
la résorption digestive d’un principe actif chez un patient donné :
elle peut être augmentée en cas de diarrhée
faux
A propos des principes actifs :
un principe actif peut entrer dans la composition de plusieurs spécialités
vrai
A propos des principes actifs :
une spécialité peut contenir plusieurs principes actifs
vrai
A propos des principes actifs :
un principe actif peut avoir une action métabolique
vrai
A propos des principes actifs :
un principe actif peut avoir un intérêt diagnostique
vrai
a propos des principes actifs énantiomères, l’administration d’un seul énantiomère
est utile si :
la taille de la forme galénique peut être réduite
vrai
a propos des principes actifs énantiomères, l’administration d’un seul énantiomère
est utile si :
seul l’énantiomère administré est doté d’un effet thérapeutique
vrai
a propos des principes actifs énantiomères, l’administration d’un seul énantiomère
est utile si :
l’énantiomère non administré est toxique
vrai
a propos des principes actifs énantiomères, l’administration d’un seul énantiomère
est utile si :
les effets thérapeutiques de l’énantiomère administré sont plus puissants que ceux de l’énantiomère non administré
vrai
A propos
des canaux calciques membranaires :
les canaux L se caractérisent par une capacité à rester fermer longtemps
faux
A propos
des canaux calciques membranaires :
certains canaux L sont localisés sur la rétine
vrai
A propos
des canaux calciques membranaires :
les canaux L existent sous différentes isoformes
vrai
A propos
des canaux calciques membranaires :
les Ca v 3.1 sont des canaux de type L
faux
A propos
des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
certains RCPG sont stimulés par des molécules odorantes
vrai
A propos
des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
tous les récepteurs de la sérotonine sont des RCPG
faux
A propos
des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
leur partie C terminale est extracellulaire
faux
A propos
des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
ils peuvent subir une désensibilisation homologue
vrai
A propos des récepteurs transmembranaires à activité enzymatique :
les récepteurs à l’insuline sont des récepteurs à activité tyrosine-kinase
vrai
A propos des récepteurs transmembranaires à activité enzymatique :
les récepteurs au Brain Natriuretic Peptide (BNP) sont des récepteurs à activité tyrosine-kinase
faux
A propos des récepteurs transmembranaires à activité enzymatique :
leur domaine catalytique est extracellulaire
faux
A propos des récepteurs transmembranaires à activité enzymatique :
leur action est modulable par des inhibiteurs enzymatiques
vrai
A propos des principes actifs :
un même principe actif ne peut pas entrer dans la composition de spécialités différentes
faux
A propos des principes actifs :
une spécialité peut contenir plusieurs principes actifs en mélange
vrai
A propos des principes actifs :
un principe actif peut être utilisé pour établir un diagnostic médical
vrai
A propos des principes actifs :
un même principe actif ne peut pas retrouver se retrouver sous différentes formes galéniques
faux
A propos des médicaments racémiques, l’administration d’un seul énantiomère est utile si :
seul l’un des énantiomères est responsable d’effets indésirables
vrai
A propos des médicaments racémiques, l’administration d’un seul énantiomère est utile si :
les deux énantiomères ont des effets bénéfiques différents
vrai
A propos des médicaments racémiques, l’administration d’un seul énantiomère est utile si :
elle permet de réduire la taille de la forme galénique
vrai
A propos des médicaments racémiques, l’administration d’un seul énantiomère est utile si :
l’énantiomère non administré n’est responsable d’aucun effet bénéfique
vrai
A propos des canaux ioniques :
les canaux sodiques sont la cible des sulfamides antidiabétiques
faux
A propos des canaux ioniques :
la sous-unité alpha des canaux sodiques dépendants du voltage existe sous différentes isoformes
vrai
A propos des canaux ioniques :
la sous-unité alpha des canaux sodiques dépendants du voltage est dénommée KIR
faux
A propos des canaux ioniques :la mutation de canaux calciques peut être à l’origine de maladies affectant les muscles squellettiques
vrai
A propos des récepteurs à 7 domaines membranaires couplés aux protéines G :
il s’agit d’une famille d’environ 80 récepteurs
faux
A propos des récepteurs à 7 domaines membranaires couplés aux protéines G :
ils comprennent les récepteurs à l’insuline
faux
A propos des récepteurs à 7 domaines membranaires couplés aux protéines G :
tous les récepteurs à la sérotonine en font partie
faux
A propos des récepteurs à 7 domaines membranaires couplés aux protéines G :
ils comprennent des récepteurs dits orphelins
vrai
A propos des récepteurs canaux :
ils sont membranaires
vrai
A propos des récepteurs canaux :
ils comprennent des récepteurs au GABA
vrai
A propos des récepteurs canaux :
certains d’entre eux fixent l’acétycholine
vrai
A propos des récepteurs canaux :
ils participent aux équilibres ioniques membranaires
vrai
A propos des principes actifs :
un principe actif peut entrer dans la composition de plusieurs spécialités
vrai
A propos des principes actifs :
une spécialité ne peut pas contenir plus d’un principe actif
faux
A propos des principes actifs :
un principe actif est dit sélectif vis-à-vis d’une pathologie donnée
faux
A propos des principes actifs :
tous les principes actifs exercent leur action en se fixant à une cible moléculaire
faux
A propos des récepteurs nicotiniques :
ils ont une structure heptamérique
faux
A propos des récepteurs nicotiniques :
ils ont une perméabilité cationique
vrai
A propos des récepteurs nicotiniques :
ils sont exprimés par le muscle cardiaque
faux
A propos des récepteurs nicotiniques :
ils ne sont pas exprimés par les glandes surrénales
faux
A propos des canaux calciques dépendants du voltage :
ils assurent l’influx du calcium dans le sens extra-cellulaire vers intra-cellulaire
vrai
A propos des canaux calciques dépendants du voltage
ils sont dits L lorsqu’ils restent ouverts longtemps
vrai
A propos des canaux calciques dépendants du voltage
leurs bloqueurs possèdent des indications thérapeutiques différentes
vrai
A propos des canaux calciques dépendants du voltage
leurs bloqueurs ont la même affinité pour les différents états des canaux
faux
A propos des récepteurs des opioïdes :
ils sont inhibés par la morphine
faux
A propos des récepteurs des opioïdes :
ils jouent un rôle dans la perception douloureuse
vrai
A propos des récepteurs des opioïdes :
ils sont tous couplés à la protéine Gs
faux
A propos des récepteurs des opioïdes :
ils sont exprimés par la paroi de l’intestin
vrai
A propos des protéines G
des récepteurs
à 7 domaines transmembranaires :
le couplage à la famille Gs se traduit par une augmentation à la concentration intracellulaire de GMPc
faux
A propos des protéines G
des récepteurs
à 7 domaines transmembranaires :
la famille Gq permet le couplage aux phospholipases C
vrai
A propos des protéines G
des récepteurs
à 7 domaines transmembranaires :
la famille Gs es composée d’une sous-unité (alpha s?)question 5 2013)
vrai
A propos des protéines G
des récepteurs
à 7 domaines transmembranaires :
la famille Gi est couplée négativement à l’adénylate cyclase
vrai
les sulfamides :
sont des principes actifs de la synthèse chimique
vrai
les sulfamides :
possèdent des propriétés antimicrobiennes
vrai
les sulfamides :
possèdent des propriétés antidiabétiques
vrai
les sulfamides :
possèdent des propriétés antidiurétiques
faux
A propos des médicaments racémiques, l’administration d’un seul énantiomère
est utile si :
l’autre énantiomère ne possède que des effets indésirables
vrai
A propos des médicaments racémiques, l’administration d’un seul énantiomère
est utile si :
les deux énantiomères ont des effets bénéfiques différents
vrai
A propos des médicaments racémiques, l’administration d’un seul énantiomère
est utile si :
l’un des énantiomères est porteur d’un effet indésirable
vrai
A propos des médicaments racémiques, l’administration d’un seul énantiomère
est utile si :
elle permet de réduire la posologie du médicament
vrai
les récepteurs nicotiniques :
ont une structure hexamérique
faux
les récepteurs nicotiniques :
sont présents sur le muscle squelettique
vrai
les récepteurs nicotiniques :
ont une perméabilité anionique
faux
les récepteurs nicotiniques :
sont présents sur les glandes surrénales
vrai
A propos des canaux sodiques :
le sens du flux ionique qui les emprunte est unidirectionnel
vrai
A propos des canaux sodiques :
leur capacité de transfert ionique est faible
faux
A propos des canaux sodiques :
ils jouent un rôle dans l’initiation du potentiel d’action des cellules excitables
vrai
A propos des canaux sodiques :
leur mutation peut affecter le fonctionnement des muscles squelettiques
vrai
A propos des récepteurs couplés aux protéines G :
ils comprennent les récepteurs aux opioïdes
vrai
A propos des récepteurs couplés aux protéines G :
ils comprennent les récepteurs nicotiniques
faux
A propos des récepteurs couplés aux protéines G :
lorsqu’ils sont couplé à la protéine Gq leur activation se traduit par une augmentation de la concentration intracellulaire d’AMPc
faux
A propos des récepteurs couplés aux protéines G :
vrai
Les récepteurs nucléaires :
ce sont des facteurs de transcription
vrai
Les récepteurs nucléaires :
ils peuvent être activés par des ligands lipidiques
vrai
Les récepteurs nucléaires :
ils peuvent avoir comme ligands des hormones circulantes
vrai
Les récepteurs nucléaires :
leur domaine C est le domaine de liaison de l’ADN
vrai
les canaux potassiques membranaires :
ils interviennent dans la phase de dépolarisation des cellules excitables
faux
les canaux potassiques membranaires :
ils peuvent avoir comme principal régulateur la concentration calcique intracellulaire
vrai
les canaux potassiques membranaires :
les Katp sont fermés lorsque la concentration intracellulaire en ATP est élevée
vrai
les canaux potassiques membranaires : les Katp (SUR1/KIR6.2) jouent un rôle dans la sécrétion d'insuline
vrai
les canaux calciques dépendant du voltage :
ils assurent l’influx du calcium dans le sens intra-cellulaire vers extra-cellulaire :
faux
les canaux calciques dépendant du voltage :
ils possèdent une sous-unité (ygrec) transmembranaire
vrai
les canaux calciques dépendant du voltage :
ceux qui sont qualifiés de “L” restent ouverts longtemps
vrai
les canaux calciques dépendant du voltage :
les Ca v1.2 sont exprimés sur la membrane cellulaire des cardiomyocytes
vrai
les bloqueurs des canaux calciques Cav1.2 :
ils n’ont pas la même affinité pour les différents états des canaux
vrai
les bloqueurs des canaux calciques Cav1.2
ils possèdent plusieurs indications thérapeutiques
vrai
les bloqueurs des canaux calciques Cav1.2 :
ils présentent des effets vasculaires
vrai
les bloqueurs des canaux calciques Cav1.2 :
ils agissent en bloquant les canaux exprimés sur le réticulum sarcoplasmique
faux
les protéines G des récepteurs à 7 domaines transmembranaires :
elles sont trimériques
vrai
les protéines G des récepteurs à 7 domaines transmembranaires :
la famille Gs présente une sous-unité beta s
faux
les protéines G des récepteurs à 7 domaines transmembranaires :
l’activation de la famille Gs augmente la concentration intracellulaire d’AMPc
faux
les protéines G des récepteurs à 7 domaines transmembranaires :
la famille Gq permet le couplage aux phospholipases C
vrai
concernant les principes actifs :
un principe actif peut entrer dans la composition de plusieurs spécialités
vrai
concernant les principes actifs :
une spécialité peut contenir plusieurs principes actifs
vrai
concernant les principes actifs :
un principe actif est dit sélectif vis-à-vis d’une cible donnée
vrai
concernant les principes actifs :
un principe actif exerce ,systématiquement, son action en se fixant à une cible moléculaire
faux
les récepteurs nucléaires :
ce sont des facteurs de transcription
vrai
les récepteurs nucléaires :
ils peuvent être activés par phosphorylation
vrai
les récepteurs nucléaires :
ils peuvent avoir comme ligands des hormones circulantes
vrai
les récepteurs nucléaires :
la nomenclature fait référence à moins de 10 récepteurs nucléaires
faux
les récepteurs canaux :
il est possible de moduler leur activité par liaison d’un agoniste
vrai
les récepteurs canaux :
ils présentent toujours une perméabilité cationique
faux
les récepteurs canaux :
ils comprennent les récepteurs GABA-A
vrai
les récepteurs canaux :
ils possèdent une activité catalytique
faux
les canaux potassiques membranaires :
ils interviennent dans la phase de dépolarisation des cellules excitables
faux
les canaux potassiques membranaires :
ils peuvent avoir comme principal régulateur la concentration calcique intracellulaire
vrai
les canaux potassiques membranaires :
les Katp sont fermés lorsque la concentration intracellulaire en ATP est élevée
vrai
les canaux potassiques membranaires : les Katp (SUR1/Kir6.2) jouent un rôle dans la sécrétion d'insuline
vrai
la désensibilisation des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
elle fait intervenir des protéines kinases
vrai
la désensibilisation des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
elle conduit à l’internalisation des RCPG
vrai
la désensibilisation des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
elle se traduit toujours par une dégradation enzymatique
faux
la désensibilisation des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) :
elle fait intervenir la beta_arrestine
vrai
A propos de la constante d’affinité (Kd) d’un principe actif pour un récepteur donné :
elle permet de quantifier la spécificité de ce principe actif
faux
A propos de la constante d’affinité (Kd) d’un principe actif pour un récepteur donné :
elle permet de quantifier l’activité intrinsèque de ce principe actif
faux
A propos de la constante d’affinité (Kd) d’un principe actif pour un récepteur donné :
elle permet de quantifier la biodisponibilité absolue de ce principe actif après administration par voie orale
faux
A propos de la constante d’affinité (Kd) d’un principe actif pour un récepteur donné :
plus Kd est faible, plus l’affinité du principe actif pour le récepteur est faible
faux
A propos de la concentration efficace 50 d’un agoniste :
elle reflète son hydrophilie
faux
A propos de la concentration efficace 50 d’un agoniste :
elle reflète sa puissance
vrai
A propos de la concentration efficace 50 d’un agoniste :
elle reflète son efficacité
faux
A propos de la concentration efficace 50 d’un agoniste :
elle reflète sa biodisponibilité
faux
A propos des médicaments à marge thérapeutique étroite :
ce sont des médicaments pour lesquels il existe une relation entre la concentration plasmatique de l’effet thérapeutique
vrai
A propos des médicaments à marge thérapeutique étroite :
ce sont des médicaments pour lesquels il existe une relation entre la concentration plasmatique et la toxicité
vrai
A propos des médicaments à marge thérapeutique étroite :
ce sont des médicaments pour lesquels les concentrations associées à une efficacité thérapeutique et les concentrations associées à une toxicité sont proches
vrai
A propos des médicaments à marge thérapeutique étroite :
ce sont des médicaments pour lesquels il convient de réaliser un suivi thérapeutique pharmacologique
vrai
A propos de la concentration efficace 50 d’un principe actif :
elle correspond à la concentration de principe actif qui induit l’effet étudié chez 50% des individus dans le cadre d’une courbe dose-réponse quantitative
faux
A propos de la concentration efficace 50 d’un principe actif :
elle permet de quantifier l’efficacité du principe actif
faux
A propos de la concentration efficace 50 d’un principe actif :
elle permet de quantifier la biodisponibilité du principe actif
faux
A propos de la concentration efficace 50 d’un principe actif :
elle permet de déterminer la sélectivité du principe actif
faux
A propos de la constante d’affinité (Kd) d’un ligand pour un récepteur donné :
plus elle est faible, plus l’affinité du ligand pour le récepteur est élevée
vrai
A propos de la constante d’affinité (Kd) d’un ligand pour un récepteur donné :
elle correspond à la concentration de ligand nécessaire pour induire l’effet maximal
faux
A propos de la constante d’affinité (Kd) d’un ligand pour un récepteur donné :
elle permet de quantifier l’efficacité du ligand
faux
A propos de la constante d’affinité (Kd) d’un ligand pour un récepteur donné :
elle permet de quantifier la puissance du ligand
faux
A propos de la concentration efficace 50 d’un principe actif :
elle correspond à la concentration de principe actif qui induit 50% de l’effet dans le cadre d’une courbe dose-réponse quantitative
vrai
A propos de la concentration efficace 50 d’un principe actif :
elle permet de quantifier l’efficacité du principe actif
faux
A propos de la concentration efficace 50 d’un principe actif :
elle permet de quantifier la puissance du principe actif
vrai
A propos de la concentration efficace 50 d’un principe actif :
elle permet de déterminer la sélectivité du principe actif
faux
A propos de la constante d’affinité (Kd) d’un ligand pour un récepteur donné :
plus elle est élevée, plus l’affinité du ligand pour le récepteur est élevée
faux
A propos de la constante d’affinité (Kd) d’un ligand pour un récepteur donné :
elle correspond à la concentration de ligand nécessaire pour occuper 50% des récepteurs
vrai
A propos de la constante d’affinité (Kd) d’un ligand pour un récepteur donné :
elle permet de quantifier l’efficacité du ligand
faux
A propos de la constante d’affinité (Kd) d’un ligand pour un récepteur donné :
elle permet de quantifier la spécificité du ligand
faux
la dose létale 50 d’un principe actif :
est déterminée chez l’animal lors des études pré-cliniques
vrai
la dose létale 50 d’un principe actif :
correspond à la concentration de principe actif qui induit la mort de 50%des animaux
vrai
la dose létale 50 d’un principe actif :
permet d’évaluer l’efficacité thérapeutique de ce principe actif
faux
la dose létale 50 d’un principe actif :
permet d’étudier les voies de métabolisation de ce principe actif
faux
la constante d’affinité d’un principe actif pour un récepteur donné :
correspond à la concentration de ce principe actif nécessaire pour occuper 100% des récepteurs
faux
la constante d’affinité d’un principe actif pour un récepteur donné :
permet de quantifier la puissance du principe actif
faux
la constante d’affinité d’un principe actif pour un récepteur donné :
permet de quantifier l’efficacité du principe actif
faux
la constante d’affinité d’un principe actif pour un récepteur donné :
permet de quantifier la phase d’élimination du principe actif
faux
l’activité intrinsèque d’un ligand :
elle permet de quantifier la sélectivité d’un agoniste pour un récepteur donné
faux
l’activité intrinsèque d’un ligand :
elle permet de quantifier l’affinité d’un agoniste pour un récepteur donné
faux
l’activité intrinsèque d’un ligand :
elle est égale à 1 pour un agoniste entier
vrai
l’activité intrinsèque d’un ligand :
elle permet de prédire la posologie du principe actif chez l’Homme
faux
la concentration efficace 50 d’un principe actif :
elle caractérise la biodisponibilité de ce principe actif
faux
la concentration efficace 50 d’un principe actif :
elle caractérise la puissance de ce principe actif
vrai
la concentration efficace 50 d’un principe actif :
elle caractérise l’efficacité de ce principe actif
faux
la concentration efficace 50 d’un principe actif :
elle caractérise la phase de distribution tissulaire de ce principe actif
faux
Dans le cas de courbe dose-réponse quantitative :
la réponse mesurée est l’intensité de l’effet pour une concentration donnée de principe actif
vrai
Dans le cas de courbe dose-réponse quantitative :
la concentration efficace 50 représente la concentration en principe actif pour laquelle 50% de sujets présentent l’effet étudié
faux
Dans le cas de courbe dose-réponse quantitative :
la concentration efficace 50 permet de déterminer la puissance d’un principe actif
vrai
Dans le cas de courbe dose-réponse quantitative :
la concentration efficace 50 permet de définir l’affinité du principe actif pour son site de liaison
faux
l’activité intrinsèque d’un principe actif :
est la capacité d’un ligand à produire un effet plus ou moins important en se fixant sur un récepteur
vrai
l’activité intrinsèque d’un principe actif :
est égale à 1 pour un agoniste entier
vrai
l’activité intrinsèque d’un principe actif :
est égale à 0 pour un antagoniste
vrai
l’activité intrinsèque d’un principe actif :
est strictement supérieure à 0 et strictement inférieur à 1 pour un agoniste partiel
vrai
A propos des paramètres pharmacocinétiques d’un principe actif :
la biodisponibilité correspond à la fraction de la dose administrée qui atteint la circulation générale
vrai
A propos des paramètres pharmacocinétiques d’un principe actif :
le Tmax correspond au temps nécessaire pour atteindre la concentration maximale Cmax
vrai
A propos des paramètres pharmacocinétiques d’un principe actif :
le volume de distribution est toujours inférieur ou égal au volume plasmatique
faux
A propos des paramètres pharmacocinétiques d’un principe actif :
la clairance rénale correspond à la concentration urinaire de ce principe actif
faux
A propos de la distribution tissulaire d’un principe actif :
A. Elle peut se faire par mécanisme passif.
vrai
A propos de la distribution tissulaire d’un principe actif :
B. Elle peut être limitée par la présence de transporteurs.
vrai
A propos de la distribution tissulaire d’un principe actif :
C. Elle peut être quantifiée par la clairance totale.
faux
A propos de la distribution tissulaire d’un principe actif :
D. Elle peut dépendre de la lipophilie du principe actif.
vrai
6) A propos du volume de distribution d’un principe actif :
A. Il correspond la concentration de principe actif qui est passé dans la circulation générale.
faux
6) A propos du volume de distribution d’un principe actif :
B. Il dépend des propriétés physicochimiques du principe actif.
vrai
6) A propos du volume de distribution d’un principe actif :
Il dépend du pourcentage de liaison du principe actif aux protéines plasmatiques.
vrai
6) A propos du volume de distribution d’un principe actif :C
D. Il ne peut pas être supérieur au volume plasmatique.
faux
A propos de la biotransformation d’un principe actif :
A. Elle peut avoir lieu au niveau intestinal.
vrai
A propos de la biotransformation d’un principe actif :
B. Elle peut avoir lieu au niveau hépatique.
vrai
A propos de la biotransformation d’un principe actif :
C. Elle est quantifiée par le volume de distribution du principe actif.
faux
A propos de la biotransformation d’un principe actif :
D. Elle peut donner lieu à la synthèse de métabolites actifs.
vrai
A propos de la biodisponibilité d’un principe actif :
A. Elle correspond à la quantité de principe actif qui est éliminée dans les urines par unité de temps.
faux
A propos de la biodisponibilité d’un principe actif :
B. Elle correspond à la concentration sanguine de principe actif à l’état d’équilibre.
faux
A propos de la biodisponibilité d’un principe actif :
C. Elle peut être limitée par un effet de premier passage hépatique.
vrai
A propos de la biodisponibilité d’un principe actif :
D. Elle est égale à 100% lorsque le principe actif est administré par voie intraveineuse.
vrai
A propos de la biodisponibilité d’un principe actif :
A. Elle correspond à la concentration de principe actif qui est passé dans la circulation générale.
faux
A propos de la biodisponibilité d’un principe actif :
B. Elle est égale à 100 % lorsque le principe actif est administré par voie intraveineuse.
vrai
A propos de la biodisponibilité d’un principe actif :
C. Elle peut être réduite par un effet de premier passage hépatique.
vrai
A propos de la biodisponibilité d’un principe actif :
D. Elle permet de quantifier la phase d’élimination du principe actif.
faux
A propos de la distribution tissulaire d’un principe actif :
A. Elle est limitée par la liaison du principe actif aux protéines plasmatiques.
vrai
A propos de la distribution tissulaire d’un principe actif :
B. Elle est influencée par la lipophilie du principe actif.
vrai
A propos de la distribution tissulaire d’un principe actif :
C. Elle est quantifiée par le volume de distribution du principe actif.
vrai
A propos de la distribution tissulaire d’un principe actif :
D. Elle peut être limitée par la présence de transporteurs.
vrai
A propos de la biotransformation d’un principe actif :
A. Elle peut avoir lieu au niveau du foie.
vrai
A propos de la biotransformation d’un principe actif :
B. Elle peut avoir lieu au niveau des poumons.
vrai
A propos de la biotransformation d’un principe actif :
C. Elle peut consister en des réactions de glucuroconjugaison.
vrai
A propos de la biotransformation d’un principe actif :
D. Elle peut consister en des réactions d’oxydation.
vrai
La biotransformation des principes actifs :
A. peut conduire à la synthèse de métabolites actifs.
vrai
La biotransformation des principes actifs :
B. a lieu exclusivement au niveau du foie.
faux
La biotransformation des principes actifs :
C. est quantifiée par la demi-vie d’élimination.
faux
La biotransformation des principes actifs :
D. peut consister en des réactions de glucuroconjugaison.
vrai
La filtration glomérulaire d’un principe actif :
A. correspond à une réaction d’oxydation.
faux
La filtration glomérulaire d’un principe actif :
B. ne concerne que la fraction libre de principe actif.
vrai
La filtration glomérulaire d’un principe actif : s’effectue par un phénomène passif.
vrai
La filtration glomérulaire d’un principe actif :D. conduit à la synthèse de métabolites actifs.
faux
La distribution tissulaire d’un principe actif :
A. dépend du pourcentage de liaison du principe actif aux protéines plasmatiques.
vrai
La distribution tissulaire d’un principe actif :
B. est influencée par le poids moléculaire du principe actif.
vrai
La distribution tissulaire d’un principe actif :
C. est quantifiée par la biodisponibilité du principe actif.
faux
La distribution tissulaire d’un principe actif :
D. peut être limitée par la présence de transporteurs.
vrai
2011
6. La biodisponibilité d’un principe actif :
A. Elle correspond à la quantité de principe actif qui est éliminée par unité de temps.
sanguine de principe actif à l’état d’équilibre.
faux
- La biodisponibilité d’un principe actif :
B. Elle correspond à la concentration sanguine de principe actif à l’état d’équilibre
faux
- La biodisponibilité d’un principe actif :
C. Elle correspond à la fraction de la dose de principe actif administrée qui atteint la circulation générale.
vrai
- La biodisponibilité d’un principe actif :
D. Elle est égale à 100 % lorsque le principe actif est administré par voie intraveineuse.
vrai
Les facteurs influençant la distribution tissulaire d’un principe actif chez un patient sont :
A. Le poids moléculaire du principe actif.
vrai
Les facteurs influençant la distribution tissulaire d’un principe actif chez un patient sont :
B. La lipophilie du principe actif.
vrai
Les facteurs influençant la distribution tissulaire d’un principe actif chez un patient sont :
C. Le pourcentage de liaison du principe actif aux protéines plasmatiques.
vrai
Les facteurs influençant la distribution tissulaire d’un principe actif chez un patient sont :
D. La voie d’administration du principe actif.
faux
La biotransformation d’un principe actif :
A. Elle consiste en une (ou des) réaction(s) chimique(s) destinée(s) à renforcer la liposolubilité du principe actif.
faux
La biotransformation d’un principe actif :
B. Elle a lieu uniquement au niveau du foie.
faux
La biotransformation d’un principe actif :
C. Elle peut consister en des réactions d’oxydation du principe actif.
vrai
La biotransformation d’un principe actif :
D. Elle peut consister en des réactions de glucuroconjugaison du principe actif.
vrai
- La pharmacocinétique:
A. Correspond à l’étude du devenir du médicament dans l’organisme.
vrai
- La pharmacocinétique:
B. Correspond à l’étude de l’effet du principe actif sur sa cible moléculaire.
faux
- La pharmacocinétique:
C. Repose sur l’étude des concentrations de médicament obtenues suite à l’administration d’une dose unique ou de doses répétées de médicament.
vrai
- La pharmacocinétique:
D. Permet l’étude de la relation dose de principe actif-concentration plasmatique ou sanguine en principe actif.
vrai
Le volume de distribution d’un principe actif est un paramètre pharmacocinétique qui:
A. Caractérise la phase d’absorption du principe actif.
faux
Le volume de distribution d’un principe actif est un paramètre pharmacocinétique qui:
B. Caractérise la phase de distribution du principe actif.
vrai
Le volume de distribution d’un principe actif est un paramètre pharmacocinétique qui:
C. Caractérise la phase de métabolisation du principe actif.
faux
Le volume de distribution d’un principe actif est un paramètre pharmacocinétique qui:
D. Caractérise la phase d’élimination du principe actif.
faux
La biodisponibilité d’un principe actif:
A. Correspond à la quantité de principe actif qui est éliminée par unité de temps.
faux
La biodisponibilité d’un principe actif:
B. Correspond à la concentration sanguine de principe actif.
faux
La biodisponibilité d’un principe actif:
C. Correspond à la fraction de la dose de principe actif administrée qui atteint la circulation générale.
vrai
La biodisponibilité d’un principe actif:
D. Est égale à 100% lorsque le principe actif est administré par voie intraveineuse.
vrai