Grands Arrêts De La Jurisprudence Administrative Flashcards
CE, 1991, « Brasseur »
Le refus du préfet de déférer un acte n’est pas une décision susceptible d’appel.
CE, 2001, « Commune de Venelles »
Consacre le principe de référé liberté
CE, 1994, « GACE »
Reconnaissance du principe de diversification de l’EP
- TC, 1899, « Association syndicale du canal de Gignac »
faisceau d’indices pour identifier un EP (origine, ressources, PPP, contrôle de l’autorité publique)
- CE, 1919, « Labonne »
PDR dispose d’un PAG + PM dispose d’un PA pour protéger l’OP.
- CE, 1936, « Jamart »
les ministres ont une compétence spéciale (instruction + règlementaire) au sein de leur service.
- CE, 1962, « Sicard »
Le CE consacre le fait que la signature du président ne change pas la nature du décret signé.
- CE, 1899, « Didier »
Certaines AAI sont considérées comme des tribunaux
- TC, 2000, « GIP »
Les GIP sont soumis au juge administratif.
- TC, 1921, « Bac d’Eloka »
Cet arrêt donne naissance au SPIC. Il consacre le principe selon lequel une personne public peut être soumise au droit privé en raison de la gestion de son activité.
- CE, 1956, « USIA »
Critères pour qualifier un établissement d’EPA ou d’EPIC (objet, financement, et modalité d’organisation)
- CE, 2007, « Commune d’Aix-en-Provence »
une collectivité territoriale peut créer un service public sans être obligé de conclure un contrat de délégation de service public.
- CE, 1903, « Terrier »
les personnes privées peuvent se voir déléguer des missions de service public + critère du SP pour le JA.
- CE, 1938, « Caisse primaire d’aide et de protection »
égalité de traitement entre EP exerçant des missions de SP et agents publics.
- CE, 1942, « Monpeurt »
Les chargés de SP peuvent prendre des AA même si ce sont des personnes privées.