Gestion de projet 7 mars Flashcards
à quoi gestion de projet relationnelle ?
Piloter les relations avec les parties prenantes (prestataires, commanditaires, public, usagers, clients)
En créant des conditions de mobilisation en phase amont du projet et développant son intelligence relationnelle et communicationnelle.
que peut-on dire les réseaux de communication Harold Levitt et Alex Tavelas.
> Experience : réunit cinq sujets qui ne communiquent entre eux que par écrit et qui ont pour tâche de résoudre un problème dont la solution exige le rassemblement de données réparties entre tous les individus.
BUT étudier quatre réseaux centralisé différents (centralisé, en Y, en chaîne et circulaire). Le dispositif expérimental, qui permet la modification des canaux de communication,
objectif, hypothèse de départ, résultat
La communication est meilleur lorsque le réseaux est plus centralisé
configuration en X : claire, favorise précision, tout est dirigé par leader au centre qui aura vue d’ensemble et donnera des retours précis. Par contre, charge de travail élevée.
⚠️Il n’y a pas de réseaux idéal, chaque configuration a ses points forts et faibles. Réseaux en étoile la personne C, aura bcp plus de charge.
réseaux en hexagone ( complet) => débordé par les infos (Saturation d’info)
Niveau de satisfaction. Groupe ou les gens sont content de l’organisation : réseaux complet et réseaux en cercle.
la sociométrie ( sociologie des réseaux.) MORENO
hypothèse de depart : les gens vivront mieux s’ils se retrouvent avec des gens avec qui ils partagent les intérêts.
lorsque les choses qui ne vont pas, on peut régler les problèmes en changeant des gens de groupes.
Pour lui; faut constituer les groupes en fonction des valeurs partagées et des affinités.
Il fait des test sociométriques : passer un questionnaire pour savoir avec qui on veut travailler et avec qui on veut absolument pas travailler.
Permet de mesurer cohesion du groupe, constituer des groupes …
On utilise la sociométrie Soit avant de constituer le groupe, voir cause de problèmes en cas de problèmes, effectuer des correction, faire des changements.
1) Les affinités apparaissent très rapidement. Souvent dès la première phrase, dès les premières minutes, des relations se tissent.
2) Les favoris ont tendance à se choisir mutuellement… se qui isole encore plus les isolés.
3) Les affinités sont stables dans le temps… La proportion des pairs ne varie presque pas au cours des différentes rencontres. Si une paire se renforce, c’est souvent au détriment d’une autre relation.
Les ambiguïtés de la perception =
Experience : les performances
Travaux de Jean Marc Monteil 1968
Collégiens de 14/15 ans, (4eme), faire des 4 groupes de 8 collégiens : 4 bons élèves ( moyennes sup à 15/20) de mauvais élèves ( moyenne inférieur 8/20) dissocier les bons du mauvais.
- Dans les groupes 1 et 2 : dire aux élèves qu’il ya une difference de niveau. Informer les élèves de leurs différences de niveau
- 3 et 4 : on cache aux élèves les differences de niveau
dire aux collégiens qu’on va interroger individuellement a l’issue du cours et va être noter. 1 et 3
2 et 4 : on cache l’évaluation aux collégiens.
la prise en compte du contexte : on interprète des signaux en fonction des contexte dans lequel ils s’y trouvent.
Le contexte joue sur notre perception et change la manière dont on va traiter une information.
La dimension visuelle change la perception d’un son. Les éléments contextuelles vont influencer notre perception de la situation. Contexte va aussi modifier les performances qu’on est capable ou pas d’avoir
notre cerveau remplit le vide automatiquement
Résultat expérience :
Bons élèves réussissent mieux quand ils pensent qu’ils n’ont pas d’évaluation et les mauvais réussis mieux quand il savent qu’il y a évaluation. Ils sont attentive quand ils savent qu’ils vont être interrogés.
=> Savoir qu’on est mauvais élève au milieu des bons, bloque les choses. Au contraire, savoir qu’on est un mauvais sans savoir qu’il y’a evaluation va nous permettre d’évaluer certaines competences.
Selon le contexte, on ne mobilise pas de la même manière nos capacités intellectuelles, nos compétences
- Notion de rationalité
- Rationnement limité
- limites, biais
- un raisonnement réalisé en pesant les éléments
- idée sur laquelle on essayera toujours de rendre rationnel nos décisions en s’arrêtant a un degrés satisfaisant. ( trop d’éléments à prendre en compte, pas toujours conscience des options possibles)
- De temps : de liste toutes les solutions (car on ne les connais pas),
- Conséquences du choix, intellectuels : pas les capacités pour évaluer les options,
- Conséquences et peser les pour et contres.
Tout ceci va faire qu’on s’arrêtera a la 1ere decision satisfaisante qui ne sera pas forcément rationnelle.
On ne pourra pas pousser aussi loin qu’on voudra la rationalité de nos choix.
Les différents biais de raisonnement :
- Mauvaise manipulation des probabilités => Surestimer probabilité des évènement survenu par le passée et sous estimer la proba des évènements qui ne sont pas encore passé.
AMDECK => outil d’évaluation de risques - Confusion entre corrélation/causalité : corrélation = éléments qui ont une même évolution, semble être liée mais pour autant il n’ya pas de causalité entre l’un et l’autre.
Effet de halo : effet par lequel on attribue à quelqu’un des qualités uniquement par base de son apparence. Ceci à des conséquences en terme de jugement et perception des choses.
Exemple tableau de taille de president qui dépassent la taille moyenne et sont grand de taille : comme pour dire que ces personnes une personne plus grande aura plus de capacité à gérer les gens/choses et d’être élue. On juge les personnes en fonction des critères physique.
effet d’ancrage + exemple
On est influencé par les informations précédant la questions. On peut avoir impression que la première questions est une indice.
Nous sommes plus influençables que nous le pensons. Dans une estimation, une proposition, même aléatoire ou non pertinente, va influencer notre jugement.
KAHneman et Tversky => % de pays africain dans le monde, quand il y a deux ancrages différentes on va automatiquement avoir 2 trucs différents.
Ancrages => question/ contexte avant permettant de situer et de presenter une réponse.
effet de dotation + exemple
L’effet de dotation (ou l’aversion à la dépossession ou l’effet de détention) est un biais cognitif et émotionnel => conduit les individus à attribuer à un bien qu’ils possèdent plus de valeur que s’ils ne le possédaient pas.
Cet effet implique que lorsque les individus entrent en possession d’un bien, ils changent leur façon de l’évaluer, notamment par la présence d’éléments affectifs.
Exemple : Experience : kHANEMEN : 1990
1 .grouoe : Posséder un mug : poser question :combien ils revendriez leur mug ? Notant moyen : 5€25
- Groupe ou on distribuait pas de mug : combien ils achèteriez leur mug ? Montant moyen : 2€50
Ceux qui ont le mug lui attribuent plus d’avaleurs que ceux qui en ont pas.
Premier groupe = effet de dotation puissant.
utilité marginale : ( khanman/ Hershey)
le changement de bien-être (ou changement d’utilité totale) qu’une personne ressent si elle consomme une unité supplémentaire d’un bien ou d’un service.
Utilités marginales Par rapport aux pertes et choses qu’on nous retires :
Insatisfaction va être plus importante. Processus inverse pour la perte. Sur la courbe convex , on observe une grosse insatisfaction pour les premiere pertes plus on perd plus on s’habitue et est indifferent. Perte est toujours plus douloureuse que le gain
Retour à experience Khaneman 1990
Les individus vont avoir une aversion aux pertes et notre satisfaction croit moins vite que notre insatisfaction.
1er groupe : quelle douleur ça ferait de perdre leur mug
2eme groupe : le bien que ça leur ferait de gagner/avoir un mug.
Experience : Hershey ( 1990) qui a mesurer des taux de souscription a une assurance civile d’état aux USA. 2 niveau de protection:
Basic : couvre de manière sommaire et coute pas chère
Plus complete : plus cher et protege beaucoup plus.
texte petit traite de manipulation : Effete d’engagement
Experience menée par Moriatty 1975 : à la plage
Prise de contact va differer selon 2 configurations :
contrôle : interpellée par le pardonne qui va se faire voler : pourriez vous surveiller mes affaires je dois m’absenter quelques minutes ?
- Demande une allumette je n’ai pas mon feu. Prise de contact.
Résultat : 95 % interviennent dans la condition d’engagement
20% dan sla condition de controle.
Comportement d’intervention découle du comportement d’acception
La demande réalisée est une demande à laquelle peu de personnes dirais non.
effet de gel Moriaty
après avoir pris une décision justifiée ou pas, les gens ont tendance à la maintenir, reproduire quand bien meme elle n’aura pas l’effet escompté
Effet pervers
Les gens s’accrochent à l’engagement. Dans d’autres cas on parle de l’escalade d’engagement :
pieces abscons
Poursuite d’un engagement dans une situation afin de respecter son engagement initial, et ce en dépit du bon sens.
Attendre le bus qui est en reatrd : plus on attend plus il est en retard plus on va attendre. Plus on s’engage plus.
Quand on commence à s’engager on a tendance à s’accrocher au lieu d’y renoncer.
illusion de la consistance comportementale
defintion de la personnalité selon Child 1968.
Prédiction sur les comportements d’avenir en fonction de comment ils se sont comportés dans le passée.
illusion de la consistance comportementale => penser qu’on va prédire les réactions des autres en référence à ce qu’ils ont fait dans le passée.
Façonne la notion de personnalité => ce qu’on a fait au paravant, on va le refaire.
Définition personnalité => facteurs interne plus ou moins stables qui vont faire que les comportement d’individu sont constant dans le temps et différents de ceux autres dans des situations semblables.
