Femmes 2 Flashcards
Cours 8 - Médias rechercher nouveaux auditoire. Évolution médiatique
🍬Médias a recherche nouveau auditoire : Avec l’industrialisation et la compétaient intensive, crée un nouveau auditoire : les femmes.MAIS pas les mm sujets que les hommes, pas économie etc qui sont des sujets d’hommes.
- Chronique féminine : mode, feuilletons, conseil pour les femmes, épouses, mère etc.
- Fin du XIXe siècle : Presse écrite a défini intérêt des femmes comme différents des hommes = Médias reproduise ses idéologies dominantes (patriarcat) = Média contribue et reproduit relation de genre qui caractérise relation social dans famille et travail.
🍬ÉVOLUTION REPRÉSENTATION MÉDIATIQUE FEMMES DÉVIANTE ET CRIMINALISÉ
🐰1930-40 : Image femme dans média est : mère, épouse, ménagère, objet sexuel.
- Apparition compte rendus crue sur criminalité femmes et femmes en prison. La présomption générale est que : Si la femme remet en question le féminité traditionnelle, elle risque de devenir comme des hommes donc violente et avec des mœurs légères. (Masculine)
- Idée de la détenue lesbienne. En prison, vu comme anormale. Idée de la femme manipulatrice, mesquine. Bad girl.
🐰1950 : La vilaine fille. Personnage principal souvent délinquante de façon sympathique. La jeune fille qui se fait transformer, jeune et blanche.
- Se trouve entouré de femme mascu. Beaucoup allusion homo.
🐰1970 : - La Hippy : axé sur femme blanche, Charles Manson. - La terroriste : Attentat terroriste qui veut abolir capitalisme etc. Vision se reproduit dans les films.
🐰1980 : Journaux important véhicule hypothèse que la 2e vague (dénone inégalité homme et femme dans droit, culture) de féminisme a produit un essor de criminalité des femmes : reprenne thèse de Freda Adler et Rita Simon (Idée que plus égale = plus criminel. Dit que mouvement féministe encourage femmes à faire comportement contre la loi. Aussi idée que femmes sont vu + égale par les juges etc).
- Effort journalistique construction tendance de criminalité féminine comme répétition de défaut féminins = Backlash Journalism. (Utilise le journalisme pour faire un contre-discours au discours féministe. Idée que femmes criminalisé ont pas réussi à avoir mari, pas avoir enfants etc.
Suite 1990 etc.
🐰1990 : Nouvelle panique publique = Violence adolescente = Fille de gang de rue. BAD GIRLS. (Panique morale, attirait l’attention)
- Fin 1990 : Fille de gang cède sa place à la fille violente. S’inquiète de moins en moins au gang, mais plus de la violence des jeunes filles. (Idée que hausse, fille arrive dans monde violence etc)
- Dans films, idée des adolescentes qui tuent. Rejet de la fille docile des années 80. Jeune femme blanche qui tue, on tend à s’identifier à elle. Comme des métaphores, utilise la violence pour explorer émotions que les femmes ont étouffé.
- Filles blanches dépeintes comme : Méchante, Sournoises, Attachante malgré tout. VS Filles noires ou latino : Masculines, Violentes, Dangereuses.
🐰2000 : Retour de jeune femme chaste VS Sexualisation des femmes. (on regarde moins la femme criminelle.) Entre les deux : Émergence de la fille blanche agressive. (Nouvelle préoccupation pour jeunes femmes blanches. On regardait femme noire, on switch vers fille blanche.)
- Agressivité relationnelle : idée associé au fille, roulé des yeux, rire etc. Intimidation de “fille”. Alors que agressivité est un truc de gars.
🐰Années 2010 : Essor série TV sur femmes criminalisé. (Renouveau intérêt envers femme, on regarde cette criminalité)
🐰Fin 2010 et 2020 : Retour de jeune femme qui tue.
🍬Stéréotype femme criminelle masculine :
🐰Criminelle masc lesbienne : - Masculinité longtemps utilisé pour étiqueter la femme de déviante ou lesbienne. (avant, si dire que femme était masc, voulait dire lesbienne). Dans 1. Films sur prisons pour femmes (criminel en prison ou style vampire), 2. Films sur femmes meurtrières.
- Surreprésentation des femmes lesbi ou bi meurtrières.
🐰Masculinisation du personnage (Monster) : Tueuse en série (quand creuse histoire, voit que plusieurs dimensions. Ici, juste une prédatrice). - Syndrome femme battue?
- Habillement (elle vs conjointe), Gabarit, Pourvoyeuse $, Contrôle contact physique.
- Tuerie en neuf moi qui débute avec liaison homo. (On choisi de commencer avec liaison homo. Laisse croire que la liaison a commencé la tuerie et pas les conditions. Suggère que moins humaine, comme le titre.)
Cours 9 - réaction système pénal
- Femmes devant tribunaux : 18% affaires impliquent femmes. Catégorie + fréquentes : 1. Contre les biens, 2. Contre les personnes, 3. Contre administration de la justice.
- Filles devant tribunaux : 23% affaires implique fille. Catégorie + fréquente : 1. Contre bien, 2. Contre personnes. (Diminution depuis années 90, des affaires présenté tribunaux jeunesse. 43% gars et 24% filles. Contribue à la convergence des genres. Pourquoi, car LSJPA et réduction de causes d’infractions lié avec les biens)
- Réaction tribunal : - Accusations moins fréquentes chez femmes. - Verdict culpabilité plus rare chez femmes. - Arrêt procédure plus fréquent chez les femmes. - Emprisonnement plus rare chez femmes.
- Peines + fréquentes : 5% restitution femmes, 2% hommes. 22% emprisonnement femme, 35% hommes. 28% amende femmes, 30% hommes. 55% autre femmes, 51% hommes.
- Femmes sous surveillance communautaire : 18% admise en probation sont femmes. 19.3% femmes admise emprisonnement sursis sont femmes. 24.1% probation sont des filles. (Traitement différentiel entre femmes et homme, traitement préférentiel, indulgent envers les femmes)
- Lombroso : femme criminelle et prostitué.
Bourgeoise VS Classe populaire. B = honnêteté, C = anomalie.
Femmes ont une nature inférieure à homme, essentiellement mauvaise.
Femme criminelle est plus corrompue et plus irrécupérable.
(Femmes plus bruyante, audacieuse dans ce sens la de masculin, pas juste physique)
(Prostitué à la pauvre, alors que femme mauvaise bourgeoise va faire adultère)
Présentation sur tribunaux santé mental QC
Introduction :
Ce document de briefing présente une analyse des principaux thèmes et idées tirés de la présentation d’Audrey-Anne Dumais Michaud concernant le parcours des femmes au sein des tribunaux de santé mentale (TSM) au Québec, en particulier les Programmes d’accompagnement justice santé mentale (PAJ-SM). La présentation met en lumière les inégalités vécues par les femmes à l’intersection de la santé mentale et de la judiciarisation, examine le fonctionnement et l’efficacité des TSM, et s’attarde sur les caractéristiques et les expériences spécifiques des femmes participant à ces programmes.
Principaux Thèmes et Idées Clés :
1. Surjudiciarisation des Troubles de Santé Mentale et Vulnérabilité des Personnes Incarcérées :
La présentation souligne que bien que la majorité des personnes ayant des problèmes de santé mentale ne commettent pas de délits, elles ont plus d’interactions avec la police et un risque accru d’arrestation. “Deux personnes ayant un problème de santé mentale sur cinq seront arrêtées au cours de leur vie (Brink et coll., 2011).”
L’incarcération est présentée comme particulièrement problématique pour ces personnes en raison du manque de services adaptés et de l’aggravation potentielle de leurs problèmes de santé mentale. “Les problèmes de santé mentale sont souvent aggravés par le séjour en milieu carcéral (Sapers et Zinger, 2012).”
2. Femmes, Santé Mentale et Judiciarisation : Un Profil de Vulnérabilité Multiple :
Les femmes judiciarisées présentent une pluralité de difficultés antérieures à leur contact avec le système de justice pénale. “De nombreuses études qui se sont intéressées au profil des femmes judiciarisées ont mis en évidence une pluralité de difficultés vécues par celles-ci avant leur premier contact avec le système de justice pénale.”
Une proportion significative de ces femmes a été victime d’abus physiques et sexuels. “une part significative de ces femmes ont été victimes d’abus physiques et sexuels (Anumba, Dematteo et Heilbrun, 2012; Bloom, Owen et Covington , 2004).”
Elles sont plus susceptibles de présenter des problèmes d’usage de substances, plus de problèmes de santé physique liés à la pauvreté et de recevoir des soins de santé inadéquats.
Un nombre important de femmes entrant dans le système judiciaire pénal a eu des contacts préalables avec le système de santé mentale.
3. Croissance de la Population Féminine Carcérale et Inadaptation du Milieu :
Bien que minoritaires en détention, les femmes constituent le groupe carcéral à la croissance la plus rapide. “Bien que leur proportion parmi les personnes détenues soit faible, les femmes constituent le groupe carcéral enregistrant la croissance la plus rapide (Balfour, 2020; Gouvernement du Canada, 2023; Hannah-Moffat et al., 2017; Nations Unies, 2014).”
Une majorité significative des détenues sous responsabilité fédérale présente un trouble mental. “La majorité (79,2%) des détenues sous responsabilité fédérale présentent un trouble mental…”
Le milieu carcéral est jugé inadapté aux interventions thérapeutiques et au rétablissement en raison de l’isolement, du confinement et de l’accent sur la sécurité. “L’isolement, le confinement et l’accent mis sur la sécurité, inhérents à l’environnement carcéral, entravent l’application des meilleures pratiques pour traiter et offrir des services adéquats pour des problèmes de santé mentale (Gouvernement du Canada, 2023)”
4. Les Tribunaux de Santé Mentale (TSM) et la Justice Thérapeutique :
Les TSM, ou tribunaux spécialisés axés sur la résolution de problèmes, visent à aller au-delà de la culpabilité en considérant les causes des délits, notamment les problèmes de santé mentale.
La justice thérapeutique prône l’utilisation du droit et des acteurs juridiques pour contribuer au bien-être des personnes accusées, en humanisant le droit et en considérant les aspects émotionnels et psychologiques.
La justice procédurale, axée sur la participation, la dignité et la confiance dans les figures d’autorité, est présentée comme favorisant l’adhésion aux plans d’action dans les TSM.
5. Fonctionnement et Efficacité des TSM :
L’admissibilité aux TSM repose sur la présence de problèmes de santé mentale, des délits non violents, l’accès aux services communautaires et une participation “volontaire” (bien que le caractère véritablement volontaire soit questionné).
L’efficacité des TSM en termes de réduction de la récidive est jugée significative mais faible, avec une grande variabilité entre les sites.
Les TSM favorisent un meilleur arrimage entre les ressources de soins et de traitements et ont une influence positive sur l’état clinique des participants.
6. Fonctionnement des TSM au Québec (PAJ-SM) :
Les PAJ-SM visent à répondre aux difficultés identifiées dans le système judiciaire pour les personnes ayant des problèmes de santé mentale.
Leur fonctionnement varie, mais des points communs incluent :
Rencontre préalable avec un agent de liaison pour élaborer un plan d’accompagnement individualisé.
Audiences moins formelles.
Approche non accusatoire et collaboration entre les avocats de la défense et de la poursuite.
7. Profil des Femmes Accusées dans les PAJ-SM :
Les femmes représentaient 29,1% de l’échantillon étudié (n=288 sur 988 participants).
L’âge moyen, le lieu de naissance, la langue maternelle et le niveau d’éducation étaient similaires entre les femmes et les hommes.
Une différence significative a été observée au niveau du statut matrimonial, avec une plus grande proportion de femmes en couple.
Concernant les diagnostics psychiatriques, les femmes présentaient une prévalence plus élevée de troubles de personnalité (notamment le trouble de personnalité limite), tandis que les hommes étaient plus souvent diagnostiqués avec des troubles psychotiques et des troubles de personnalité antisociale. “Nos données soulignent également que 50 % de femmes ont reçu un diagnostic de trouble de personnalité limite.”
8. Facteurs de Vulnérabilisation et Conditions Imposées :
Les facteurs de vulnérabilisation étaient similaires pour les hommes et les femmes, avec une proportion légèrement plus élevée de femmes ayant vécu une hospitalisation psychiatrique.
Le taux de récidive global durant la participation au PAJ-SM était comparable entre les sexes (environ 22%).
Les femmes se voyaient généralement imposer moins de conditions judiciaires que les hommes. Les conditions les plus fréquentes pour les femmes concernaient la résidence et le couvre-feu.
L’objectif de maintenir un suivi médical ou psychosocial était le plus fréquemment inclus dans les plans d’action pour les deux sexes.
9. Victimisation et Risque : Une Association Dangereuse pour les Femmes :
La présentation met en garde contre la distinction binaire entre les personnes “dangereuses” à incarcérer et celles ayant besoin de soutien, soulignant que de nombreuses femmes dans les PAJ-SM sont à la fois auteurs et victimes. “Si nos données ont révélé que plusieurs participantes détenaient des antécédents judiciaires, les données démontrent que les femmes étaient aussi victimes.”
Ces femmes sont souvent connues des réseaux de la santé, des services sociaux et de la sécurité publique, et leurs expériences institutionnelles peuvent engendrer des traumatismes.
Il est suggéré que les TSM, comme les PAJ-SM, devraient adopter des pratiques sensibles aux traumatismes.
10. Enjeux de la Collaboration Intersectorielle :
La collaboration entre les secteurs de la justice, de la santé et des services sociaux soulève des enjeux tels que l’imposition d’une logique d’évaluation du risque, des défis liés au consentement et à la confiance, la conciliation de l’aide et du contrôle, et des dilemmes éthiques.
Conclusion :
La présentation d’Audrey-Anne Dumais Michaud met en lumière la surreprésentation des femmes ayant des problèmes de santé mentale dans le système judiciaire et les défis spécifiques qu’elles rencontrent. Les PAJ-SM représentent une tentative de réponse à ces difficultés, mais il est crucial de veiller à ce qu’ils ne deviennent pas une voie de judiciarisation accrue des problèmes psychosociaux. Les caractéristiques et les expériences de victimisation des femmes doivent être prises en compte pour développer des approches plus adaptées et sensibles aux traumatismes au sein des tribunaux de santé mentale. “Les PAJ-SM ne doivent pas devenir des programmes accentuant la judiciarisation des problématiques de santé mentale, un rempart ou une voie accélérée pour obtenir des soins en santé mentale et en services sociaux.”
Cours 10 -
🍬Justice pénale controle les non-conformistes aux rôles sociaux typiquement féminins.
🍬Histoire des femmes : Construite sur la base d’un stéréotype dichotomique répandu. La M’adonne VS La putain. (Pure VS Perverse. Respecte VS respecte pas. Idée de la soumission de la femme. SI Madonne, homme agit comme protecteur. Si Putain, agit comme puniseur)
- Stéréotype racistes associés aux femmes noires : (poc pas de bonne catégorie, juste négative)
- L’amazone (violente),
- La Sapphire (bruyante, malveillante, dominatrice)
- La Mamie (passive, simple)
- La Jézabel (pilotée par sa sexualité)
- Concept chevalerie : Moyen-âge occidental = concession du patriarcat.
Technique utilisé pour masquer infériorité sociale des femmes.
A influencé code des bonnes manières qui régit relations hommes et femmes en occident jusqu’à nos jours.
🍬Rita, The Contemporary Women and crime.
Distingue deux thèses différentes sur traitement des femmes au sein de la justice pénale = Traitement préférentiel (paternaliste. Si atteint les attentes, plus clément) ET Traitement discriminatoire = femmes déchues (seulement certaine femme. Traité sévére).
🍬 Histoire femmes en justice pénale : Madonne OU Putain. = Chevalerie (Sexisme bienveillant), Maléfice (Sexisme hostile).
- Sexisme bienveillant : Protéger et récompenser femmes et filles se comportant de manière traditionnellement féminine (normes de genre).
- Sexisme hostile : Opposition ou punition des femmes et filles perçu comme usurpant rôles et pouvoirs trad masculin.
Suite
🍬Thèse chevaleresque : Croyance selon laquelle, dans appareil pénale, femmes traitées avec + d’indulgence que hommes.
Présomption = Femmes sont fragiles, soumises, moins responsables de leurs comportements. (Infanticide longtemps eu peine moins longue, car idée que femmes sont moins responsable car femmes qui le font, car elles sont fragiles)
- Thèse de femme maléfique : croyance selon laquelle dans appareil pénale, femmes traitées plus sévèrement que hommes parce que doublement déviantes : 1.Transgression loi pénale, 2.Transgression des rôles genrés traditionnels.
- Karla Homolka (idée de masculination, les médias savent pas quoi en pensé. Image maléfique, mais continue de dire que c’est l’homme qui est en cause. On fait quoi quand les femmes sont ni madonne ni putain?)
- Récapitulation : Tendance historique semble indiquer que la thèse chevaleresque est le rationel le + fréquemment employé envers femmes conformes aux stéréotypes de féminité traditionnelle = habillement, comportement, statut marital, maternité, crime (mère, marié etc)
- Thèse de la femme maléfique est le rationnel le + fréquemment employé envers femmes qui transgresse les expectatives sociales = habillement, comportement, statut martial, maternité, crime. (Célib, fraude etc)
- Thèses contradictoires : femmes ont un traitement préférentiel jusqu’à ce que la base de ce traitement préférentiel devienne de + en + inappropriée = Déplacement catégorie maléfique (suite naturel quand ca devient innaproprié de traité la femme de facon indulgence)= Attitude dichotomisée affecte la perception et traitement des femmes. Donc, justice pénal est perçu comme un moyen de contrôler les femmes non-conformes.
- 4 raisons innaproprié : 1. Gravité acte (sérieux + mal), 2. Affaiblissement de leur présomption d’annonce (si média rie de la personne, et montrer comme coupable.), 3. Quand comportement est preuve de déviation des attentes sociale (agression sex etc), 4. Répétition d’un acte.
- Chantal Pary et Michelle Richard.
🍬 Y-a-t-il un réelle utilisation objective du traitement chevaleresque et hostile en justice pénale : - Punitivité accrue envers femmes et filles de couleur, - Punitivité accrue envers femmes et filles pauvre, - Punitivté accrue envers jeunes femmes et filles. ?(Uitlisé par la justice le traitement chevaleresque. Mais seulement pour femmes lanches bien vu.)
Suite - Pénitencier
🍬18eme siècle. Femmes emprisonnés pour motif lié au mœurs (purification des mœurs, prison pour homme) = adultère, avorteuse, prostitué, incorrigible (correction parentale, incarcérer lorsqu’elle dérive du droit chemin. Juste fille)
- Historique : Pénitencier Kingston 1835 : Femmes y sont condamnés = - Habitent un petit espace dans grenier ET - Déplacé souvent dans diverse partie établissement selon ce qui est moins dérangeant pour détenu hommes (Pour hommes, pas femmes car trop peu nombreuses)
- Conditions de détentions : Privation, torture, brutalité. Femmes et enfants surtout. - Infestation insecte, maladie, punition cruel, abus sexuels. (Enfant = condamné OU né en prison)
- Pourquoi femmes sont traités de manière dégradante : 1. Nombre peu élevé, 2. Officiels milieu correctionnel adopte perception dominante rôle des femmes au XIX siècle (plus terrible, car estime plus haute que pour femmes. Métier traitement + sévère). Elles sont tenus à un niveau d’estime morale plus élevé que les hommes.
- Non-conformité des femmes : mentalement anormale, émotionnellement perturbée, sex déviante.
- Femmes détenus : plus dépravé que hommes détenu, incapable réforme.
🍬 Commisison royale 1848 (rapport Brown 1849) Sur allégation mauvais traitement prisonnière à Kingston. Henri Smith, premier directeur pénitenciers est accusé de tortue. (Fouet, isolement, confinement etc)
🍬 Commission Brown (1849) : 2 recommandations : 1. Abolition fouet pour femmes (mis en place), 2. Bâtisse adéquate pour loger femmes (pas mis en place).
🍬 1853 : 18 ans après Kingston, aile temporaire assigné prisonnières. Elles furent déménagées 2 autre fois dans 50 années qui suive car aile requise pour prisonniers.
🍬1913: 65 ans après appels répété pour logement adéquat. - Prison séparé pour prisonnière KP, - Conditions de détention s’améliorent (accès extérieur, potager, travail meilleure qualité, interpellation prénom).
🍬1914 : Commission royale sur pénitenciers (Rapport Macdonnell). - Recommandations = 1. démolir unité femmes, 2. loger prisonnière dans prison provinciales. Car 1. Éloignement géographique, 2. Faible risque qu’elle pose sur communauté, 3. Petit nombre prisonnières. Toutes été ignoré. (C’est cette années que 2 ans prov et 2 + 1 féd)
P4W
🍬 P4W, Détérioration conditions de détention. - Construit selon architecture de KP (sécurité max, alors que femmes ont souvent des conditions plus petite)
- Cellules sans fenêtre, pas potager, pas cour, pas exercice, pas programme éducatif, éloignement géo. (Idée trop peu pour compter)
🍬Disparités genrés entre prisonniers et prisonnières :
- Différence dans population détenues (homme pas détenu mm crime femmes, + nombreux, + longue VS les femmes. Pas mm raison)
- Différence dans nombre, mais pas architecture prison (juste kingston, mm bulding min, med, max).
- Différence dans quantité, qualité programme et service (homme +, + service) = Effets = Standard de détention inférieur pour femmes.
🍬Groupe d’étude femme purgeant peine fédéral (1989). Objectif = Évaluation caractère approprié du modèle correctionnel et son utilisation sur les prisonnières.
- Tâches du groupe d’étude : - examiner problèmes actuels et historiques des prisonnières en établissement fédéral = Éloignement geo, limite programme, sur-sécurité établissement, non-reconnaissance réalité femmes autoch, héritage programme et établissement prévus hommes.
🍬Rapport groupe étude “La création de choix”. - Recommandation 1 : Fermer prison femme Kingston. - Recomm 2 : Remplacer par 5 new établissement régionaux. (Devait fermer 1996, mais 2000. Car 20eme femme maximale pas pris en compte, devait être envoyer quelques part)
🍬5 principes féministe de création de choix : 1. Remettre femme pouvoir de controler leur vie, 2. Offrir choix valables et responsables dans programmation et ressources communautaires, 3. Traiter femmes avec respect et dignité, 4. Offrir environnement soutien, 5. Partager responsabilité réinseriton sociale femmes entre SCC et communauté.
- Philo et programmation : 1. Approche holistique, 2. Sensibilité culturelle, 3. Soutien autonomie, 4. Approche centré sur femmes (reflète la réalité sociale femmes, au centre), 5. Orientation vers la sortie.
- 5 régions. Pacific, prairies, ontario, QC, atlantic. - Nova, NE. - Okimaw Ohci (Sask seul autoch), - pour femme edmonton (Alb), - Joliette (QC), - Grand Valley (Ontario), - Fraser Valley (C-B) - Petits chalet, chambre, sécurité non-instrusive, accès dehors etc.
- La + importante réforme dans SCC pour femmes canada = Can devient un pionnier international (créer unité max dans ses unités. Du rajouter sécurité, critique.)
Cours 12 - Détention des femmes.
🍬Critiques au groupes d’étude et à l’implantation de a réforme :
1. Opposition public aux sites de constructions (gens voulait pas que ca soit en ville, donc pas accès au ressources et organismes communautaires
2. Prise de décision (ex. Sites, directrice) sans consultations des groupes de femmes et communautés (femmes dans le rapport avait pas été impliqué)
3. Petit établissement = baisse financement et - programme ? (Pas arriver!)
4. Remis en question de la notion d’emprisonnement (aucune remise en question)
5. Capacité d’une prison dicte l’usage que l’on en fait (si prison a de meilleurs programme qui répond mieux au besoin, peur que juge envoye plus les femmes en prison. Aussi, peur qu’en agrandissant, + d’incarcération. C’est arrivé.)
🍬Place d’établissement : passe de 523 en 2010 à 785 places en 2017. ALORS que c’était 150 femmes a Kingston MAX. Aujourd’hui, les pénitenciers pour femmes sont presque plein. On incarcère plus.
🎁En 1990, 84 capacité moyenne établissement pour femmes. 2017, 785. 855% d’augmentation. (Continuer augmentation géo, joliette si t’habite a sept îles c’est loin)
🍬PROVINCIAL : Nombre de femmes + élevé qu’au fédéral + Sur-sécurisation des femmes. (Fermé beaucoup de prison, souvent amener en prison pour hommes avec peu de services. Retour en arrière provincial comparé a fédéral.
🎁- Hier : Établissement Gomin, Établissement Tanguay = Aujourd’hui : Centre de détention de Québec - secteur féminin ET Établissement Leclerc.
- Gomin a fermé car trop insalubre. Elles ont été transféré au centre de détention.
- Tanguay fermé pareille. On l’est envoie à Leclerc. Devenu prison pour femmes, mais avait été fermé en 2012 car insalubre. Femmes envoyé la bas en 2016. Au début, homme et femme mais hommes ont été enlevé.
🍬Caractéristiques de la détention :
1. Forte croissance populations carcérales féminines (femmes celle qui croit le plus, en deuxième les personnes agé (50+)
2. Sur-sécurité des établissements, (si minimum et médium, sécurisé comme un médium donc traiter comme sécurité médium mm si minimum)
3. Large portion peine purgé en prison (Manque de service pour maison transition femme etc, donc prison)
🍬Caractéristiques prisonnières : - 1. Peine = 52% purgent 2 à 4 ans. - 2. État civil = Célibataire 70%, - 3. Âge = 20-39 ans 58% +/-. 50 ans et + 16%.
🎁Augmentation de l’âge femmes admise dans pénitenciers. - 2002, 80 30-39, 39 40-49, 8 50-59.- 2015 125 30-39, 68 40-49, 41 50-59.
Suite cours 12, caractéristiques prisonnière. Autochtone. Besoins criminogène. Impacts. Commission
🍬Caractéristiques prisonnières : - Enfants moins de 18 ans 75%, - Monoparental + 50%, - Scolarité : sans secondaire 50%.
- Emploi avant incarcération 24%, - Automutilation : 2011-12 (243), 2013-2014 (559). - Victimisaiton la plupart.
- Dépendance 80%, - Sur-médication 87.5% (Psychotropes 63%’ Ordonnance active 46%), - Santé mentale 51%.
🍬Prisonnières autochtones : - Femmes purgeant peine ressort provincial 38%
- Fédéral 50%. (Plus de doublé, maj femmes sec max sont autochtones. 65%.)
🍬Besoins criminogènes des femmes :
- Prisons prov : Toxicomanie 94%, (pas les mm raisons que les hommes, femmes car douleur physique ou psychologique alors qu’homme disent pour le plaisir), Employabilité 81%, Fonctionnalité en société 79% (interaction sociale etc.)
- Prison fédérales : Problèmes personnels ou affectifs 94%, Toxicomanie 74%, Employabilité 74%, Interactions sociales 74%.
🍬 Effets différentiels de la prison sur les femmes (diff effet homme vas femme) : + sévèrement vulnérabilisé.
- Pauvreté, Ressources financières, Responsabilité familiales, Sous-scolarisation, Habilité transférables en milieu de travail, Emplois moins rémunérées.
🍬Impacts de l’incarcération :
- Santé physique (problème d’asthme etc.Parfois avant incarcération car pauvre, mais parfois incarcération le cause ou l’empire) , - Santé mentale (dépression, trouble émotionnels), - Stress post-traumatique, - Transmission de maladies (hépatite, maladies aéroportés).
🍬Commission d’enquête sur certains événement survenues à la prison des femmes de Kingston (1996) = Juge Louise Arbour.
- Faire enquête et rapport sur état et administration des affaires du SCC en ce qui a trait aux incidents survenues a partir du 22 avril 1994 a prison de femmes à Kingston.
🎁Création de choix 1990 = Cinq nouveau pénitenciers en construction en 1994.
- Personnel muté / personnel inexpérimenté. Événement du 22 avril 1994. (Savent que bientôt, transféré. Anxité des femmes et des agences, se font transféré déjà etc. Alors, le personnel qui reste est peu expérimenté)
Cours 13- Conditions femmes, suite de Kingston.
🍬Chronologie des évènements du 22-26 avril : - 22 avril : Brève violente confrontation entre 5 femmes et quelques agentes correctionnelles. Isolement des 6 femmes.
- 24 avril : Trois femmes : - Otages, - Tentative suicide, - Automutilation.
- 26 avril : Manifestation agentes correc pour transfert des 6 femmes. Équipe pénitentiaire d’intervention D’urgence. (ÉPIU) Fouille a nue fait. Pas le droit car homme, juste dans situation ou aucune femme ce qui n’était pas le cas. Supposés être en dernier recours.
- 27 avril : 9 femmes = retour isolement, tenue mince en papier, attachées. Fouille cavités corporelles.
🎁 Conditions d’incarcération en isolement : Pas d’exercice, dentifrice, brosse a dent, papier, savon non fournie. Pas appel. Pas libre, vêtement. Pas visite. Coupure eau. Coupure communication verbale avec agentes correctionnelle. (Tentative récompense celle qui écoute, si écoute pâte a dent. Contre le SCC, peut pas utiliser des droits pour récompenser)
🍬- 7 déc 1994 - 19 jan 1995 : Retrait isolement.
- 20 janvier : rapport enquête SCC sur 22 avril et événement dans unité isolement. (Moyen, critique un peu)
- 14 février : rapport SCC critiqué par Enquêteur correctionnel. (Critique sévèrement l’événement et le rapport)
- 21 février : Solliciteur général CAN annonce enquête indépendante.
- Conclusion générale : Plusieurs composantes et situation lié au évènement du 22 avril 1994 ne respectaient ni la lettre ni l’esprit des lois en vigueur.
🍬Recommandation : 1. Création de poste de sous-commissaire pour femmes (par une femme), 2. Consultation groupe femme dans élaboration programme correctionnels, 3. Priorité absolue a libération et réinsertion, 4. Nomination d’une enquêtrice du BEC, 5. Abolition de l’intervention des ÉPIU dans pénitenciers pour femmes (femmes now), 6. Utilisation isolement préventif selon loi, 7. Obligation de visites quotidiennes en isolements par cadres supérieurs, 8. Abolition de pratiques de l’isolement prolongé (8 mois trop long), 9. Sensibilisation des juges au réalité correc des femmes, 10. Transmission des vidéos des ÉPIU au BEC, 11. Examen par le SCC de l’ensemble de ses directives administratives pour assure conformité avec la loi, 12. Dédommagement des détenues concernées.
(Ré)-insertion des femmes criminalisé
🍬Définir la réinsertion sociale
- Insérer de nouveau quelque chose quelque part (plusieurs femme ont jamais été inséré in the forts place, donc inséré) + Agir pour que quelqu’un puisse se réadapter à la vie sociale (idée que si récidive pas, réinseré. Def problématique)
- Réinsertion VS Désinsertion.
🎁- Être inséré signifie avoir une place, assuré de position sociale différenciés et reconnues = socialisation primaire, secondaire.
- Intégration d’individus dans un milieu social différent du leur. (Défi, si on veut diminuer rédicive pour réinsertion, doit changer la personne de milieu s’il était problématique)
🎁Déracinement VS enracinement : On déracine les gens. Peut les tuer, les mal adaptés. Importance de s’assurer de les replanté dans leur nouveau milieu de facon adéquates. On doit réaliser qu’on déracine, et ensuite qu’on doit enraciner.
🍬Succès réinsertion social : S’évalue par autonomie financier dans respect du pacte sociale et contribution au bien-être collectif.
VS - S’évalue par nature et densité des échanges entre individu et son environnement (considère que vision + garante d’une baisse de récidive. Personne qui trouve sa place et se sent reconnu + de chance.
🍬Réinsertion sociale en prison : - Les grandes oubliées des clientèles judiciaires (pas le temps faire programme en 4 semaine. Effet de la prison mais sans le programme, est-ce pertinent?) = Syndrome portes tournante (brie autonomie, perte capacité controle) = Perte d’autonomie, Dépouillement.
🍬Caractéristiques des femmes en détention : - Surreprésentation femme autochtones, - 20-39 ans, - Célib, - Monoparentales, - Sous-scolarisé, - Sous-employés, - Sur-médicamenté, - Victimisation avant incarcération, - 3.3% perpétuté ou peine indéterminé.
🍬Défi réinsertion sociale des femmes : Logement (Itinérance femme plus caché couché surfine), Employabilité, Récup enfants, Pauvreté, Abus sexuels, Automutilaiton, Drogues, Changement réseaux sociaux, Loisirs et détente.
- La création de choix : (Pas tant suffit, esotmpé. On vise le risque de récidive. Risque zéro estompé pour le choix). - Risque zéro privilégié au détriment choix rationnels. - Échec stratégie communautaire. (Trop peu pour compter)
Suite de la réinsertion sociale
🍬Réinsertion sociale en communauté : Intégration socioprofessionnelle des femmes doit tenir compte de : 1. Perte d’autonomie (retour en prison fréquent a eu un effet, perte autonomie),
2. Dépouillement matériel (Pour travail, doit avoir logement et linge),
3. Conflit en emploi et délit (si vol, pas engager magasin. Comprendre l’impact sur la recherche d’emploi),
4. Horaire chargé (psycho, programme, maison transition et doit travailler. Reconnaitre que c’est frustrant et laissez la colère.)
🍬Objectif intervention auprès des femmes :
1. Prise conscience du conditionnement social (accepter réalité femmes), 2. Réduction sentiment culpabilité, 3. Croyance en soi-même (doit répondre besoin de base pour atteindre croyance en soi), 4. Expression besoins et désirs (pourquoi ressent colère, quelques chose manque. C’est quoi le besoin?), 5. Prise de décision autonome.
🍬Intervention qui fonctionne pour femmes : 1. Centrée sur besoins relationnels (très important, envers intervenant etc), 2. Centré sur besoins familiaux (enfant très important, donc logement etc), 3. Centré sur conso (prendre compte raison conso)
🍬Réinsertion sociale : Organismes correctionnel et sécurité publique + Ressources communautaires.
🎁Pourquoi collab avec ressources commu?
Organismes de petit taille intégré dans commu sont + susceptibles de répondre aux besoins des personnes judiciarisées = Ont les compétences reconnue + structure modeste devient souplesse. (Permet adaptation a leur besoin, beaucoup plus souple et ouvert aux changement contrairement aux SCC)
- Offre services commu : hébergement, encadrement, suivi psychosocial, thérapie etc.
🎁MTL = - Société Elizabeth Fry, - Continuité-famille. QC = - Soc Eli Fry, - Centre femmes aux trois a (accueil, aide, autonomie)
🍬Résumé : Réinsertion sociale période cruciale pour femmes = - devoir combler lacunes qu’on attribue, - Devoir développer compétences malgé tout ce que perdu, - Devoir consolider acquis sur longue période. POURTANT :
- Sont trop peu pour compter + requière investissement considéré trop onéreux = réinsertion femme est un combat politique et moral.
Cours 14 - Abolitionnisme pénal.
À l’examen : question juste sur la pensé abolitionniste, critique et revendications. Rien sur la JR ni la justice transformatif.
🎁Abolition : une vision à la fois politique et un mouvement social qui vise à éliminer l’emprisonnement et surveillance policière, et qui pousse à la création de nouveaux systèmes de soins vitaux manquants dans nos communautés.
🎁Argument en faveur de l’abolition de la prison :
- Prison échoue à rencontrer ses objectifs
- Prison est déshumanisante
- La prison renforce les systèmes d’oppression
- La prison ne s’attaque pas aux causes sous-jacentes aux comportements criminalisés. (Au lieu de s’attaquer a inégalité social, prévenir ses comportements, on choisi de réagir par la punition)
- La prison est une industrie qui contribue à l’économie capitaliste (cercle vicieux)
- Prison est nuisible pour les communautés (diminue cout maison, lien sociaux etc)
- Prison reconduit les logiques colonialistes
- Prison détourne les fonds qui pourraient être investies dans communautés.
🎁Revendications abolitionnistes
- Dé-financement police = décarcéralisation = abolition de prison = abolition système pénal. (Pas tous se rend au système pénal, certain s’arrête a la décar et souhaite sortir ceux qui sont pas dangereux et garder les autres)
🎁Mais qui nous protégera = nous. Abolitionnisme prône la responsabilité collective. (Ceux qui sont le plus judiciarisé sont ceux qui appel le - la police)
🎁La pensée abolitionniste se nourrit de : - Mouvement anticapitaliste, - Mouvement anticoloniaux, - Mouvement antiracistes, - Perspectives féministes, - Mouvements LGBTQ+ etc.
🎁Contribution des féministes Noires au mouvement abolitionniste :
- Angela Davis et Ruth Wilson Gilmore.
🎁Abolitionnisme et féminisme, distinction importante. - Perspectives féministes abolitionniste (du travail du sexe) (vient de féministe radical) VS - Féminisme abolitionniste anicarcéral.
Fin abolition
🎁Féminisme et abolitionnisme peuvent à première vue sembler antagonistes..
🎂Féminisme carcéral. - S’appuie sur pouvoir répressif et punitif de l’État pour lutter contre la violence faite aux femmes = Mettre fin violence en incarcérant les auteurs de violence et imposant des peines plus sévères = Mise sur le pouvoir dissuasif du droit pénal pour prévenir la violence.ce
- Pourtant, étude montre que intervention pénale freine pas violence faite aux femmes, maj des femmes font pas appel à police et criminalisation se répercute de facon disproprtionné sur homme pauvres et racisés.
🎁Féminisme anti carcéral. - Reconnaître que violence genré existe et se reproduit à l’intérieur des structures étatiques - le système pénal ET - Prône une société ou sécurité repose pas sur la violence ou menace de, mais sur la responsabilité collective = - Prône l’abolition du système pénal et propose des réponses communautaires et transformatrices aux torts.
🎁Les femmes faces à la prison : - Femmes victimisés, - judiciarisées, - proche de détenues.
🎁Faire justice autrement. Justice réparatrice = Approche qui vise la réparation des torts causé et répondre aux besoins des concernées, mettant accent sur victime, la personne ayant commis le tort, communauté = - Réparer les torts ET - Restaurer les liens.
🎁Justice transformatrice = au delà de la réparation = La responsabilité communautaire / collective.
Responsabilité communautaire : - Soutien de personne victime, sécurité, autodétermination, - Responsabilité de la personne qui a commis le tort et changement de comportement, - Changement communautaire, valeur et pratique non oppressive, - Changements politiques et structurels des conditions ayant permis le préjudice.
🎁Faire justice autrement : 4 caractéristiques des pratiques de justice transformatrices = 1. Processus collectif, 2. Individualisation du besoin de sécurité des victimes, 3. Prise en compte de diversité des rapports de domination structurelle ou s’inscrive les torts causés, 4. Implication sur le long terme.
🎁La justice transformatrice vise ET nécessite transformation sociale.
- Justice transformatrice = (transformation) société.
- Société individualiste = (transformation) = société solidaire = justice transformatrice.
