Évaluation jeunes Flashcards

1
Q

1- Connaître grandes tendances statistiques pour le système protection de le jeunesse et justice des mineurs

A

🍔1. Négligence est le motif le + fréquent. Négligence et risque sérieux de représente 48%. 23% mauvais traitement psychologique. 63% moins de 12 ans. 2.6% 17 ans. Tend à augmenter, car + tendance à signaler mais moins de prévention directe.
🍕Environ 30% des cas traités sont retenus. Les 0-5 ans sont les plus retenus à 37.2%. 6-12 en deuxième 31%. 13-15 27% et 16-17 22%. Car 0-5 entouré d’adultes à garderie etc et ils ont moins de mécanismes de protection que les plus vieux.
🍕Maj reste avec leur famille. 51% millieu familial. 16.9% tiers significatifs. 22% Ressources type familiale (famille d’accueil). 8% CR et RI (moins stricte que CR). La LPJ stipule importante de servier interet de l’enfant et maintenir dans famille.
🍕Gars + que fille LSJPA. 21% vs 79%. Pour les âges, 14-17 plus commun. 12-13 gars 698. 14-15 2353 gars. 16-17 2968 gars. 18+ 1383 gars.
🍕Maj sanction extrajudiciare (76%) 14% référer DPCP. 3% fin, 3% autres. Sanction extra fonctionne, 94% l’ont accompli.
🍕Rapport prédécisionnels pour les plus vieux. Proportionnellement, plus de vieux et plus de gars. Peine dans collectivité 11% fille 89% gars. Mise sous garde 96% gars 4% filles. Plus de fille en collectivité. Fille peine moins grave pour mm crimes.
🍕Catégorie délit avec peine spécifique ou sanction extra. Voie de fait 20%, Manquement conditions 11%, Vol 10%, Proférer des menaces 10%. Les 4 plus fréquents. Représente + de 50% à eux seules.

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2
Q

2- Expliquer le double mandat
3- Nommer proportion de jeunes sous double mandat et leur caractéristiques
4- Identifier les trajectoires de double mandat et les tendances selon les genres
5- Expliquer la prévalence des évènements traumatiques chez les jeunes suivis sous la LPJ et en LSJPA
6- Différencier l’intervention en LPJ et en LSJPA

A

🍔2. Jeunes qui ont eu un mandat sous la LSJPA et aussi en LPJ, pas nécessairement en même temps. Stats pour jeunes LSJPA qui ont aussi eu LPJ, pas l’inverse. (90% jeunes rapporte un événement traumatique, 62% + de 2 des jeunes ayant commis une infraction au US).
🍔3. 57.5% jeunes LSJPA ont eu intervention LPJ. 87% trouble comportements sérieux, 67% négligence, 27% abus physique, 17% abus sexuel.
🍕- Plus jeunes quand premier délit officiel 14.5 vs 15.5. - Premier délit + souvent contre la personne. - Coupable de + de délit. - Durée moyenne 3x plus longue.
🍔4. - 1. 35% Entrée LPJ et chevauchement : + commun. Entré LPJ, ensuite service LSJPA, ça se chevauche lpj finit et LSJPA continue. + gars -2. 27% Entré LPJ et inclusion : LSJPA commence après le début LPJ, mais fini avant la fin. + fille. - 3. 22% Entré LPJ et succession : un à la suite de l’autre -4. 15% Entré LSJPA : même modèle, mais LSJPA avant LPJ.
🍔5. Taux élevé, grande exposition au trauma, lié avec 85% arrive en LPJ. Sont pris une charge pour une raison, négligence etc. Ont vécu trauma, car sont sous LPJ.
🍔6. c- 1. LPJ : Protéger jeune, accompagnement, controle et surveillance. LSJPSA : pareil, mais ajoue protéger société. 🍕- 2. LPJ : Peut être volontaire, mais souvent invonlontaire. LSJPSA : invonlontaire. 🍕- 3. LPJ : Trouble compo. sérieux (-12ans), LSJPSA : meme mais + de 12 ans. 🍕- 4. LPJ : Réadaption, LSJPSA : Réadapt + réinsertion 🍕- 5. LPJ : Intervention + longue (révision, new signalement), LSJPSA : plus court (Début et fin préécrit)🍕-6. LPJ : Clientèle 63% -12 ans, LSJPSA : 12-21, gars surprésenté🍕-7. LPJ: Prévalence événements traumatique, LSJPA : meme.
🍕 Important : reste 2 lois différentes. Ressemblance, mais différence, on doit adapter nos interventions selon le cadre légal.

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3
Q

Cours 2 - 1. Expliquer pourquoi c’est important de connaître le développement de l’enfant pour la pratique criminologique
2. Expliquer la perspective développementale interactionniste
3. Nommer et expliquer les modèles et concepts de la perspective interactionniste

A

🍔1. Car c’est une partie significative de leur vie. Détermine leur future, période fragile. - Aussi, Apprentissage vicariant / social : on repete les comportements qu’on voit. - S’adapter à l’âge développementale de l’enfant. À cette âge, on s’attend a quoi ? Connaitre le développement normale permet de détecter quand c’est anormale.
🍔2. Perspective interactionniste : Lien entre différentes perspectives théoriques. Les relations et interactions entre la multiciplité des causes et déterminants possibles du développement. 3 modèles.
🍔3. Les modèles :
🍕1. Modèle biopsychosocial. Combinaison facteurs de risque et de promotion ou protection. Facteurs biologique (âge, prénataux), socio-culturels (culture, stabilité), psychologiques (cognition, estime de soi). Mélange des facteurs prédit comportement. Promotion pour toute situation, protection quand il y a un facteur de risque.
🍕2. Modèle bioécologique ou écosystème : ensemble millieux où enfant grandit et leurs interinfluence. p.10. Individu (Onto) ➡️famille, école (micro) ➡️ réseau relation interconnexion (méso) ➡️ gov, ville, enviro socioéconoe (exo) ➡️ sous-culture envir. socioculturel (macro). S’interinfluence !! Va et vient.
🍕3. Psychologie développementale : Continuum du développement normal et pathologique. Déviation de norme. Même facteurs risque, protection, promotion car mm continuum. PAS dicotomie.
- Facteurs de mécanismes multiniveaux. Interaction. Prédise et explique différence individuelles. Facteurs intéragissent ensemble et prédise comportement. Biologique = cognitifs = psycho = sociaux = environnementaux
- 🎈Équifinalité : facteurs risque et protection différent = mm probleme développementale. Trajet diff mais mm finalité. Important de s’en rappeler.
🎈 Multifinalité : mm facteur risque et prot = probleme développ. différente. 2 enfants avec mm histoire peuvent mener à développement très différent.
- La psycho dév est interdisciplinaire (langage, comportement etc). Émergence et maintient, difficulté à l’enfance ? ado ? Apparition et maintien.

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4
Q

4.Associer les périodes développementales aux bonnes tranches d’âge
5.Expliquer le développement normal et le retard de développement
6.Nommer la proportion d’enfants de la maternelle vulnérables dans au moins un domaine de développement au Québec
7. Différencier âge chronologique et âge développemental
8. Expliquer qu’est-ce que « s’adapter à l’âge de l’enfant » et pourquoi c’est important pour la pratique criminologique
10. Nommer des déterminants de la relation d’attachement à la petite enfance
11, Énumérer et différencier les styles ou patrons d’attachement
12. Expliquer le développement de l’attachement à l’adolescence

A

🍔4. Petite enfance = 0-2 ans. Âge préscolaire = 3-5 ans. Âge scolaire = 6-11 ans. Adolescence = 12-17.
🍔5. Développement normal est la norme statistique. Attendu, moyenne pour son âge. 33% de chaque coté, + ou -. Dépend de la définition. Donc retard de développement = dehors de cette norme.
🍔6. 28% des jeunes ont une vulnérabilité dans au moins un domaine au QC en 2022 en maternelle. Domaine : santé physique et bien-être, compétence sociale, maturité affective, développement cognitif et langagier, habilité communication et connaissances générales.
🍔7. Âge développementale : l’âge de la compétence, ex. développement émotionel. Peut ne pas concorder avec chronologique. Peut avoir un écart.
Âge chronologique : vrai âge physique.
🍔8. Varie selon les domaines, écart possible donc. On doit s’adapter selon l’âge, réussir à jongler entre l’âge développemental de la compétence et l’âge chronologique, sans infantiliser, mais en travaillant selon l’âge. Sinon, l’intervention sera mauvaise et inadéquate.
- Ex. Petite enfance / préscolaire : motivateur externe, conséquence immédiate. Âge scolaire : intériorisation motivateur, délai gratification, conséquences - immédiate. Ado : choisir ses combats. Conséquences naturelles.
🍔10. Déterminants : 1. Sensibilité parentale : capacité à percevoir, interpréter et répondre aux besoins des enfants. 2. Comportements effrayants (mène à désorganisé)
🍔11. 1. Sécurisant, 2. Évitant (voit le monde comme dangereux, s’attend à être blessé, éviter les relations.), 3. Anxieux ou ambivalent (se sentir insécure, manque confiance pour affronter le monde, dependat), 4. Désorganisé : alterne entre mode relationnels, agit de facon confuse et désorganisé.
🍔12. Ado apprend à réguler ses émotions, s’apaiser et répondre à ses besoins avec moins de base sécuritaire ou figure d’attachement. Il veut s’autonomiser, mais avoir un lien d’attachement, créant des conflits. Attachement avec ami et amoureux.

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5
Q
  1. Expliquer les grandes lignes du développement socio-cognitif de l’âge préscolaire à l’adolescence
  2. Expliquer les grandes lignes du développement de l’auto-régulation de l’âge préscolaire à l’adolescence
  3. Nommer les grands constats quant au développement de l’agressivité
  4. Expliquer les grandes lignes du développement de l’agressivité de l’âge préscolaire à l’adolescence
A

🍔13. Préscolaire : - 2-3 ans commence comportements prosociaux (preter jouet). - 2-4 ans égocentrisme, peu pas voir autre pdv que le sien. - 4-5 théorie de l’esprit : représenter état d’esprit d’autrui et prédire ses comportements. Empathie développe, s’identifier à état émotionnel sans la vivre.
🍕Ado : Développpement capacités à : - Envisager diff possibilités et détacher perspective unique, - Prévoir conséquences long terme, - Résoudre problèmes. - Égocentrisme, voit le monde avec son PDV, assoicé développement identité.
🍔14. Préscolaire : Régulation émotionnele, émergence capacité maitriser réactions émotionnelle. Importance développement langage. Mettre des mots sur ses émotions. (respo passe de parent à enfant 3 à 6 ans).
🍕Scolaire : dév régulation émotionel. Identifier, réguler et exprimer émotions. (besoire de soutien!)
🍕Développement cortex préfrontal et fonction exécutive (auto-régulation). Développement accélère après préscolaire, encore après adolescence jusqu’à 25 ans. (parfois, l’enfant peut juste pas se controler)
🍕Ado : auto-régulation insuffisante. Déséquilibre : impulsivité, veut être accepter etc. Émotion déséquilibré, mais auto-régulation pas encore bien développer.
🍔15. 5 constats : 1. Maj des enfants préscolaire recoure à agressivité physique. 2. Maj enfants apprendre avec l’âge à utiliser d’autre méthode de résolution de problème, d’autres ont besoin de + de temps. 3. Fille apprenne + vite. 4. Ado, 5% gars considéré comme agresseurs physiques chroniques. Exceptionnel chez filles. 5. Agresseurs physique chronique a adolescence sont + susceptible d’avoir été agresseurs physique à la petite enfance.
🍔16. Comportement agressif partie expliquer par facteur génétique. Se voit à 6 mois, pic entre 2-4 ans (normale). p.33.
🍕Trajectoire 2 à 11 ans. 1. Low desisters (plus haut début, baisse rapidement). 31%. 2. Moderate desisters (niveau haut 3-4 ans, diminue doucement ensuite 52%). 3. High stable (reste haut 16%). Prédicteur : gars, famille - revenu, mère sans DES et pratiques parentales hostiles.
🍕6-15 ans chez garcons p.34. Low 17% (rien). Moderate (monte a 6, mais rebaisse vite 52%). High desister Monte à 10, et rebaisse doucement 28%). Chronic (4%)

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6
Q
  1. Répondre aux questions relativement à la Grille d’évaluation du développement (GED) texte 1.
A
  1. Qu’est-ce qui peut affecter la performance de l’enfant au GED outre un réel retard de développement? : Si l’enfant est fatigué, malade, est dérangé (musique ou télé qui joue). Stressé. (Facteurs externes) créer de bonne conditions pour performer.
  2. Quelles sont les qualités psychométriques du GED? En font-elles un bon outil
    d’évaluation? : Capable de façon satisfaisante de déterminer au niveau langagière, motrice et socio-affective. Il a été validé avec un niveau de satisfaction assez élevé pour tous les groupes d’âges. (L’outil est valide. Il mesure ce qu’il doit mesurer. Seulement acceptable pour les plus jeunes de - de 6 mois. Psychométriques veut dire capacité de bien mesurer un concept psychologique. Pour les - 6 mois, moins bien. Quand meme bon!)
  3. En quoi consiste et que permet la normalisation du GED? : Favoriser l’utilisation de l’outil par tout les intervenants QC. Normaliser la norme développementale et s’assurer que ça correspond au développement des enfants, (On a rencontré un groupe d’enfant, on a vu comment ils performe pour un âge donné, et ca permet de dire est-ce que l’enfant performe comme la moyenne des enfants de son âge ? On s’attend a quoi d’un enfant de 3 ans? Normalisation du GED nous permet de le savoir. Zone normale? Référence? Permet de comparer l’enfant)
  4. Comment est implanté et utilisé le GED dans les services de la DPJ? : Formation au différent praticien pour utiliser l’outil. Beaucoup utilisé par la DPJ dans des situations de placement. Le GED est utilisé une première fois, et 6 mois après une deuxième, dépend du résultats. Situation de placement, révision de dossier au 6 mois, veut que ca progresse 0-5 ans, enfant dans leur famille pas placé.
  5. Pourquoi le GED est un outil d’évaluation incontournable dans les services de la DPJ? : Réviser avec un suivi, on le fait car on sait que la maltraitance a des répercussions sur les enfants, doit mesurer et suivre. Mieux répondre au besoin développementaux des enfants. Aide a mieux cibler l’intervention.
  6. Quels sont les résultats des enfants de 0 à 5 ans évalués avec le GED à l’étape évaluation orientation? : 50% des enfants évalué a cette étape sont dans la zone à surveiller dans au moins 2 sphère de développement. 2 a trois fois ce qui est attendu en terme de proportion.
  7. Quelles sont les propositions des auteurs, en conclusion, quant à l’utilisation du GED? : Une structure provinciale d’application de l,’outil. Devrait avoir des correctifs, pas juste pour 0-5 dans les retards, mais aussi pour aider avec les plans d’intervention. (aller plus loin que de l’évaluation, avoir des pistes d’interventions pour savoir comment gérer.)
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7
Q

Cours 3 -
1. Dire ce qu’est la maltraitance et nommer les actes
2. Nommer les constats de l’étude québécoise en CR
3. Dire si et comment la raison légale du placement reflète les expériences de maltraitance auto-rapportées
4. Définir le trauma
5. Nommer les 3 E du trauma
6. Expliquer le système d’alarme
7. Expliquer la notion de trauma complexe et nommer ses quatre éléments distinctifs

A

🍔1. Maltraitance = acte commis OU omis par un adulte qui pourrait ou compromet la sécurité, développement, intégrité, psychologique d’un enfant. Abandon, négligence (physique, santé et éducatif), Abus physique, Abus sexuel, mauvais traitement psycho.
🍔2. Maj des jeunes en CR rapporte au moins 1 forme de maltraince. 83% deux ou plus. 51% quatre ou cinq forme. Abus psycho + haut, physique, négligence émo, nég physique, abus sex.
🍔3. La raison légal reflète PAS les expériences de maltraitance auto-rapporté. 83% trouble comportement sérieux, 26% négligence, 5% abus sex, <5% violence psycho, <5% violence physique. Aller plus loin que juste la raison légale du placement !
🍔4. Trauma = Événement de vie (Traumatique) qui provoque réaction physique et psychologique extrême que plusieurs personnes ont du mal à surmonter. (sac à dos)
🍔5. 3e du trauma. - Événements : perçu comme une menace pour la vie, danger physique, atteinte à intégrité etc. - Expériences : vécu subjectif comme état peur, horreur, honte etc. - Effets : Conséquence associé comme TPST, trauma complexe etc.
🍔6. Système d’alarme : Cerveau pensant analyse et cerveau émotion agit face au danger. Normalement, pensant analyse et sonne l’alarme quand y’a un danger. Triger réponse peur et stress, fight, fuir or figer. Active le système neurophysiologique. Part pas si pas de danger. Mais jeune abusé, voit les chicanes over and over et le cerveau émotion va arrêter d’attendre le signal du pensant et toujours s’activer dès qu’il y a un déclencheur (Ex. adulte qui parle fort). Comportement de fight or flight s’active.
🍔7. Trauma complexe sont des événements qui sont : 1) Interpersonnelle et implique souvent trahison (parent betray), 2) Répété ou prolongé, 3) Tort direct sous forme d’abus, négligence, abandon, 4) Arrive en période vulnérable du développement, ébralant acquis développementaux. Séquelles autant complexe. Trauma complexe l’enfant est directement la cible. Souvent remis en doute et complexe à prouver.

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8
Q
  1. Discuter des facteurs de vulnérabilité de la maltraitance
  2. Résumer les théories explicatives des conséquences de la maltraitance
  3. Énumérer les types d’attachement chez les enfants victimes de maltraitance et nommer ce qu’ils prédisent
A

🍔8. Pas relié à un seul gros facteur, mais plutot par des facteurs multiples et interreliées. Perspective interactionniste : produit de la juxtaposition et influence mutuelle de divers facteurs. (individuel, familiaux..). Risque cumulatif explique mieux.
🍔9. - Théorie de l’attachement : première relation de l’enfant et style d’attachement forgent le dév de représentation intériorisé de soi et autres et affecte : - Mode relationnel ultérieur, - dév des croyances et attentes à l’égard de soi, - Comportement adoptés face à adversité et à la détresse. (si parent sécurisant, apprend adaptation positive.
- Modèle médical. Modèle du stress toxique. - Réponse de stress positive : faible activation système neurophysiologique de stress en réponse à des événements normatifs. (pas impact négatif sur cerveau). - Réponse stress tolérable : activation modéré des système neurophysiologique de stress, limité dans le temps et avec ressources. (situation rough mais avec du soutien)
1. Identification à l’agresseur : Diminuer son sentiment d’impuissant, éviter la re victimisaiton, reprendre un certain controle, dirige la culpabilité sur soi meme, pour éviter de le mettre sur soi. Plus important 1. Reprise de controle (je me fais pas agresseur, je suis agresseur) 2. La partie de l’agresseur est intégré à l’identité. Trop intolérable de rejeter l’autre, alors on intègre à l’identité.
2. Modèle des dynamiques traumagéniques : Distorsion des cognitions et émotions des victimes de traumas complexe sur eux meme ou les autres. 1. Dynamique de trahison, mène a des croyance négatives. 2. Dimension impuissance : limites, besoins et demandes sont ignoré souvent. Mauvaise perception de soi, du controle sur la vie. Difficulté d’affirmation de soi. 3. Stigmatisation, référence au cognitions négatives, intégrer a l’image de soi de l’enfant, honte et blâme de soi. 4. Sexualisation traumatique fausse croyance sur leur sexualité.
3. Modèle du trauma en soi : expérience de mauvais traitement interférente avec développement normal des capacités de soi dans trois domaines, la 1. régulation émotionnelle, 2. habilités relationnelles, 3. cohésion identitaire (difficulté intégré différente partie en soi). Enfant victime de trauma ont des défis insurmontable qui empêche leur capacité d’apprentissage essai et erreur. Il développe des stratégies d’évitement. Image négative de lui. Ensemble, ses parties de soi explique la difficulté de développement. Trauma complexe entrave le développement optimal, ca explique la nature complexe et durable des traumas complexes.
🍔10. - Enfant victime maltraitance : 65% désorganisé, 18% sécurisé, 15% anxieux, 2% évitant. Normatives : 61% sécurisé, 15% évitant, 15% désorganisé, 9% anxieux.

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9
Q
  1. Nommer et différencier les troubles associés au trauma complexe
  2. Discuter de la prévalence des diagnostics et de la comorbidité chez les enfants victimes d’abus
  3. Nommer les grandes catégories de conséquences associées au trauma complexe
  4. Expliquer et représenter ces conséquences
A

🍔11. - TPST après exposition, évènements traumatique, mort, blessure grave etc : Reviviscence (souvenirs, flashback etc), Évitement (fait des efforts pour éviter souvenirs), Altérations négative cognitions et humeur (incapacité à se rappeler aspect etc), Altération marqué par l’éveil et réactivité (hypervigilance, irritabilité). + Altération du fonctionnement ou détresse significative (affecte la vie).
- TPST-C : Mm choses, altérations de : - Régulation émotionnelle (haute réactivité émotionnel), - Concept de soi (croyance négative par rapport à soi), - Relation interpersonel (évitement relations)
- Trouble réactionnel de l’attachement et désinhibition du contact social : vécu des formes extrêmes insuffisance de soins (négligence). Attachement : Comportement inhibé et retrait émotionnel, diminution réactivité social et émotionnel, affect positif restreints, épisode inexpliqué irritabilité, tristesse. Désinhibition : réticence réduite dans approche adulte peu familier, comportement trop familier, demande pas à l’adulte, accepter partir adulte peu familier.
🍔12. Prévalence élevé : diagnostics et comorbidité. Trouble neurodéveloppementaux comme trouble humeur, anxieux, TDAH, trouble oppositionnel provocation etc. Trouble résulte pas des traumas, mais exacerbés par les traumas. Beaucoup de jeunes hommes comportement externe (60-70%) et fille beaucoup interne.

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10
Q
  1. Nommer les grandes catégories de conséquences associées au trauma complexe
  2. Expliquer et représenter ces conséquences
A

🍔13 et 14 : Complexe!! entre relié.
- DISSOCIATION ET ÉVITEMENT : échapper à situation qui dépasse capacité d’adaptation ou enfant peut pas fuir. Symptômes : se sentir détaché etc.
- PROBLÈME RELATIONNEL ET ATTACHEMENT : Attachement insécuriant, prophétie qui s’auto-réalise. (joey comportement distant avec mère, évite regard mais veut lien)
- IDENTITÉ ET CONCEPT DE SOI ALTÉRÉS : Se protéger monde extérieur au détriment du monde intérieur, Présenter vision négative de soi-meme ou vision faux positive. Faible estime de soi.
- SOMATISATION ET BIOLOGIE : Dérèglement du système neurophysiologique de stress. Altération structure et fonctionnement cerveau (amygdale, hippocampe, cortex préfrontal). Trouble somatique médic inexpliqué et problème santé physique.
- COMPORTEMENTS DYSFONCTIONNELS : Réaction survie, comporter manière imprévisible, avoir trop ou pas assez contrôle, comportement reprendre controle, émotion non-régulés, non-comblés.
- RÉPONSE ET RÉGULATION ÉMOTIONNELLE : Émotion intense qui dépasse habiletés de régulation émotionnel et capacités cognitives. Supression émotions. Difficulté à identifier, réguler et exprimer émotions.
- PROBLÈMES COGNITIFS ET D’APPRENTISSAGES : difficulté cognitive varié sévérité modéré fonctionnement intellectuel, attention, fonctions exécutives. Mémoire. Difficulté apprentissage.
- ATTRIBUTIONS ET COMPRÉHENSION DU MONDE : Percevoir monde comme lieu dangereux, imprévisible ou action positive sont futiles. Affecte espoir et confiance en l’avenir, propension à anticiper malheur, mode survie
- MENTALISATION : Demeurer aveugle à la signification propres comportements. Confusion entre réalité interne et externe, interne reflete la réalité, réalité reflete était interne. Émotion déconnecté. Expérience interne sont valides quand elles sont accompagné d’une preuve physique et concrète.
- Conséquences : Constallation complexe avec conséquence interrelié, apparition immédiate ou différé, transitoire ou non, effet sévérité du trauma.

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11
Q

Cours 4-
1. Expliquer qu’est-ce qu’une activité réservée (4 caracté)
2. Expliquer et appliquer l’activité réservée «Évaluer une personne dans le cadre d’une décision du DPJ ou du tribunal en application de la LPJ
3. Nommer quoi évaluer
4. Nommer et reconnaitre des facteurs de vulnérabilité propres à l’enfant, aux parents et à la famille ainsi que des facteurs de vulnérabilité socioéconomiques et culturels
5. Discuter de comment une situation de compromission est évalué

A

🍔1. Activité réservé : - Activité risque de préjudice (complexe, peut causer la perte d’un droit). - Compétence requises (si travaille avec jeune, évalue pas un vieux). - Vulnérabilité clientèle, - Contexte particulier.
🍔2. Évaluer une personne pour DPJ est une activité réservée par : 1. Crimino, 2. Psychoéducateur, 3. TS.
🍕 Réfère aux 4 étapes processus intervention en protection : 1. Signalement, 2. Évaluation, 3. Orientation, 4. Révision (revoir cas pour être sur mesure sont bonne, changé si besoin)
🍔3. Séquence collecte info : 1. Prise connaissance signalement et dossier de l’enfant, 2. Autre dossiers comme LSJPA, CIUSS, 3. Dossiers des parents ou personne signalé, 4. Prise contact avec signalant pour + info, 5. Rencontre enfant, 6. ^^ parent, 7. ^^ fraterie, 8. ^^ famille, 9. Rencontre si besoin avec prof etc.
🍔4 et 5. 4 facteurs analyse : 1) Caractéristique faits : nature (comportement, fait), gravité (importance conséquence), chronicité (longue période, enfance), fréquence (nombre de fois), 2) âge et caractéristique enfant, 3) capacité / volonté parent mettre fin situation, 4) Ressources du milieu pour aider.
🍕Vulnérabilité enfant : Qu’est ce qui prédispose ? Âge, autonomie, capacité physique, intellectuelle et affective.
🍕Enfants : 1) Sexe (G) et âge (jeune), 2) Trouble extérieur ou intérieur, 3) Problèmes médicaux, 4) Faibles compétences sociales. (c’est le cumul qui + chance)
🍕Parents : Plusieurs. Regarde les compétences (rôle et respo) et capacité (ressources et moyens) : grossesses non voulue, santé mentale, conso, éven vie stress, stress parental etc. p.19
🍕Familiaux : Relation parent-enfant rough, pratique coercitive, conflit, VC, faible satis conjugale, cohésion familiale.
🍕Socio-écono : Monoparentale, plusieurs enfant, - soutien social, pas emploi, faible statut socio-éco, normes légale et culturelles.
- Ressources du milieu : personne ou organisme qui peuvent aider parents.
- On évalue tous ça et prend une décision.

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12
Q
  1. Nommer les trois composantes essentielles de l’évaluation
  2. explorer l’entente multisectorielle
  3. Nommer et utiliser des outils d’évaluation
A

🍔6. - 1. Jugement clinique : impressions via entrevues et observations. + subjectif.
- 2. Évaluation systématique : instruments et mesure avec bonne qualité psychométrique. + objectif.
- 3. Système de soutien à la pratique (SSP) : aide décision. Simule raisonnement expert et établi base connaissance dans domaine. Outil clinique informatisé associé.
🍕 C’est l’analyse dynamique de tout les facteurs de risque et protection qui permet de conclure. Facteurs comparé et pondéré pour savoir degré de gravité et le risque d’Atteinte à sécurité ou développement.
🍔7. Entente multisectorielle : Pour enfant victime abus sexuel, mauvais traitement physique ou absence de soins menaçant santé physique. Si motif raisonnable que crime commis et compromission.
- Garanti + protection et aide et assure concertation entre les ministères : éducation, justice, sécu publique, DPJ, police, organismes communautaire etc.
🍕SIAM : service intégré en abus et maltraitance.
🍔8. Outils d’évaluations : 3 catégories.
- Évènements traumatiques : (Traumatic events screening inventory, JVQ). `
- Symptôme traumatique : (Trauma Symptoms Checklist for Children (TSC-C), Adolescent dissociative experience scale.
- Éven + sympto : UCLA PTSD reaction index, Child and Adolescent Needs and strenghts, Child Welfare Trauma Referral Tool (travail de session!)

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13
Q

Vidéo intervention autochtones. 10. Capsule narrée: grands constats/messages clés

A

🍔Surreprésentation jeunes autochtones : - 4.5X + objet signalement, - 6x + sécurité et développement considéré compromis, - 6x + objet mesure judiciaire, - 8x + placé milieu substitut.
🍕Causes explicatives : 1. Pauvreté, conditions de vie etc. 2. Mise en reserve, sédentarisation etc. oppression. 3. Peu de service pour répondre besoins famille. 5. Biais et préjugé intervenant non autochtones, cherche conformation idéaux blanc.
🍔Différente idée de concept LPJ vs autochtones. - Intêret de l’enfant noyaux VS Global, contient la famille. - Responsabilité individuel parent VS collective. - Attachement parent bio VS plusieurs membres communauté. - Permanence continuation de soin VS solution consensuel donnant chance reprendre en main. - Diligence rapide VS prend son temps.
🍔Loi C-92. Prévoit normes minimales selon 3 principes : intérêt enfant, continuité culturelle, égalité réelle. - Reconnait compétence autochtones pour légiférer en protection de la jeunesse.
🍔Normes : Art. 10 : Intêret enfant, Art.14 : Priorité soins préventifs et prénataux, Art.15 conditions économique, Art 15.1 Efforts raisonnable, Art.16 Priorité de placement, Art. 17 attachement.
🍔Prévention : - Service préventif (Priorité sur autres service, DOIT offrir tout la prévention avant. Si parent volontaire ou non, c’est la priorité.)
- Conditions socioéco (peut pas être pris en charge juste pour condition socio-éco)
- Efforts raisonnable (intervenant doit montrer efforts raisonnable pour maintenir enfant avec le donneur de soin)
🍔Intêret enfant : Considérer besoin maintenir rapport avec famille, culture, collectivité. Facteurs + précis : 1. Patrimoine culturel, spirituel. 2. Nature et solidité rapport avec parents, 3. Importance préserver identité culturelle, 4. PDV et préf du jeune, 5. Tout plan sur ses soins.
🍔Placement : - Priorité de placement (Parent, famille, nation, autre nation, autre.) selon traditions. Obligation réévaluer souvent pour que enfant revient dans milieu. - Attachement enfant : tout membre famille.
🍔Conseil de famille : Démarche volontaire. Basé sur expertise de chacun.
- Étapes : 1. Jeune et parent volontaire, 2. Contacter participants, animateur. 3. Préparer, 4. Choix d’environnement, 5. Animer, 6. Plénière familiale, 7. Fermeture.
🍔Co-Construire plan bienveillance : Solution du conseil de famille devient ligne directive intervention. - Atikamekw cercle aidant inclue membre conseil famille. Respect responsabilité. Chaque membre fait partie du plan. Incluant crimino, se mobilise entre eux et se réunisse souvent pour faire des bilans.

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Q

Cours 6 - Intervention (AM = Application mesure)
1. Nommer les 4 étapes de l’AM/du PI
2. Expliquer le rôle de la personne autorisée, nommer et expliquer ses 3 responsabilités et ses 3 fonctions
3. Expliquer le projet de vie
4. Lister les étapes à suivre pour décider du projet de vie

A

🍔1. Objectifs PI : 1. Mettre fin situation compromission, 2. Éviter reproduction. Mesure volontaire ou judiciaire. Projet de vie et PI coeur de l’intervention.
- 4 étapes : 1. Appropriation de l’info clinique, 2. Élaboration du PI, 3. Mise en oeuvre du PI, 4. Révision.
🍔2. 🍕Rôle : Exerce les responsabilités indiqué par le DPJ. Il voit à l’application des mesures au nom DPJ comme planifier intervention pour mettre fin situation compromission, éviter reproduction, actualiser projet de vie.
🍕- 3 respo : 1. Mise en place mesure protection (via PI élaboré, mis en oeuvre révisé). 2. Communication avec famille (inclue vérification conditions vie enfant). 3. Recours aux ressources du milieu (soutien à l’objectif)
🍕- 3 fonctions : 1. Aide, conseil et assistance = fonction priorisée. Modifier situation compromission par changement chez enfants et parents. Ensemble interventions spécifique selon best pratique et programme. (soutien ++)
2. Contrôle = limiter certains comportement en imposant conditions (encadre liberté). Moyens concrets et efficace pour mettre fin situation compromission, encadre liberté des personnes (Ex. visite supervisé, heure de rentré etc)
3. Surveillance = veiller attention et vigilance à AM volontaires. (visite non-annoncé dans famille, vérification présence famille) (est-ce que comme on a demandé?)
🍔3. Projet de vie : Planifié quand enfant retiré de son milieu familial ou risque de l’être. (Vivre milieu stable auprès personne significative qui répond à ses besoins et avec qui iel développe lien d’attachement permanent)
🍔4. Étapes : 1. Clarifier projet de vie selon besoins enfant, capacités, engagement parent, ressources pouvant aider.
2. Déterminer et planifier projet de vie
3. Actualiser projet de vie (soutenir jeune dans acquis, moyen selon les conséquences du projet de vie du jeune) : actualisé quand enfant vit dans milieu stable de façon permanente, dans famille ou autre milieu de vie.

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Q
  1. Approche socio-judiciaire en conflits sévères de séparation: voir les questions
  2. Capsule narrée: grands constats/messages clés
A

🍔9.
1. Pourquoi un tel programme socio-judiciaire est-il important?
* Les conflits sévères de séparation (CSS) ont des conséquences néfastes sur le bien-être et le développement des enfants.
* L’intervention auprès des enfants exposés à des CSS présente des défis particuliers pour la pratique en protection de la jeunesse.
* Les CSS engendrent des coûts sociaux importants et exercent des pressions sur le système de justice.
2. Quel est l’objectif principal du programme et qui est ciblé par celui-ci?
* L’objectif principal est de concerter l’intervention des directeurs de la protection de la jeunesse et le processus judiciaire dans les cas de CSS, afin d’amener les parents à établir une coparentalité fonctionnelle.
* Le programme cible les familles pour lesquelles il a été conclu que la sécurité ou le développement d’au moins un enfant sont compromis en raison de CSS.
3. Quels thèmes/sujets sont abordés dans l’intervention?
* Le processus de séparation
* Les réactions attendues de l’enfant en lien avec la séparation et ses besoins
* Les habiletés de communication et de résolution de conflits
* La régulation des émotions
* Le rôle des beaux-parents
* L’élaboration d’un plan parental
4. Quels sont les effets perçus du programme sur la clientèle visée et les services?
* Effets sur les familles:
* Amélioration des relations entre professionnels et parents.
* Diminution des résistances des parents.
* Les parents se sentent entendus et reprennent confiance.
* Amélioration de la communication et recentrage sur les besoins de l’enfant.
* Diminution des conflits de loyauté chez les jeunes.
* Retombées sur les services:
* Meilleure gestion des ressources.
* Allègement de la charge de travail des professionnels.
* Diminution des débats en cour et optimisation du temps.
5. Identifiez les enjeux et défis rencontrés dans l’application du programme.
* Critères d’admissibilité: problèmes de santé mentale, violence conjugale.
* Fin de l’intervention: fin abrupte, manque de suivi.
* Concertation des interventions: confusion des rôles, difficulté d’harmonisation, préoccupations concernant la confidentialité.
6. Quelles sont les recommandations et les pistes d’amélioration suggérées?
* Critères d’admissibilité: Évaluer rigoureusement les allégations.
* Fin de l’intervention: Planifier la fin, offrir une liste de ressources, assurer un suivi.
* Concertation des interventions: Améliorer la formation continue, planifier des rencontres interprofessionnelles, assurer des suivis plus fréquents, avoir une équipe d’experts dédiée.

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16
Q
  1. Distinguer les projets de vie privilégiés des projets de vie alternatifs
  2. Expliquer ce qu’est un PI
  3. Expliquer le but du PI
  4. Formuler des objectifs C-SMART
A

🍔5. - Projet de vie privilégié = 1. maintien enfant dans milieu familial, 2. Retour enfant dans milieu familial.
-Projet de vie alternatifs = Placement jusqu’à majorité avec personne significative / famille accueil / service spécifique, Adoption, tutelle, projet vie sur autonomie. (INTÊRET DE L’ENFANT PRIME)
🍔6. PI = plan d’intervention. Déterminer but, objectifs, moyens et échéancier pour mettre fin situation de compromission et éviter reproduction.
- Peut être réservé si trouble santé mentale et hébergé dans centre réadapt. Vulnérabilité clientèle + contexte particulier = double problématique.
🎈 1. Appropriation info clini : S’approprier entente sur mesure volontaire / ordonnance. Prendre connaissance situation vécue enfant. Problème, enjeux etc. Rapport, communication ak intervenant, enfant, parents.
2. Élaboration PI : Analyse clinique : analyse motif compromission, besoin, force etc. Éval du risque. Déterminer but, objectifs, moyen, échéancier.
- Moyens PI : Moyens pour chq objectif. - Font consensus (enfant, parent, intervenant), sont compris par tt le monde, capacité mettre en place. - Identifier personnes respo moyens retenu, - Préciser milieux.
3. Mettre oeuvre PI : 3 fonctions personne autorisé so réaliser activités clinique, soutenir projet vie, habilité parentales, renforcer mobilisation. Assurer suivi régulier.
4. Révision PI : Bilan activité. Évaluer degré atteinte but de chq objectifs (Renforcer réussite et effort). - Mettre jour info, détermine poursuite PI, fin?
🍔7. But PI : - Viser mettre fin situation qui compromet sécurité et dév enfant. - Éviter situation reproduire. - Actualiser projet de vie.
- Plusieurs activités coordonnés dans délai + long que celui nécessaire pour atteindre un objectif. Exige souvent atteinte plusieurs objectifs. (chq obj = atteindre but PI)
🍔8. C-SMART : - Conjoints (entre parents, enfant et DPJ. Collaboration, ce qu’on vise ensemble. Quels sont vos objectifs?). - Spécifique (traduite chgts visibles attendu), - Mesurables (jugement objectif et indicateur), - Ajustés (sur mesure selon analyse clinique, modif selon situation famille), - Réaliste (selon moyen et ressources), - Temporels (échéancier avec durée et fréquence)

17
Q

ARC - Approches centré sur trauma
11. Expliquer l’émergence des approches axées sur le trauma
12. Expliquer les approches axées sur le trauma
13. Expliquer le modèle ARC
14. Nommer et expliquer les blocs du modèle ARC
15. Identifier et utiliser des activités et des stratégies d’intervention en lien avec les blocs du modèle ARC

A

🍔11. Émergence dû au taux élevé d’évenements traumatiques chez tt personnes, dont DPJ. 71% jeunes placé, 90% jeunes contrevenants. Traumas = besoins importants et défi d’intervention.
- Précaution universelle : Même en dehors DPJ, intêret approche trauma car beaucoup de gens en ont vécu. Aucun effet néfaste.
🍔12. Approches axé sur trauma vise influencer politiques et pratiques en portant attention à sensibilisation PRÉVALENCE trauma, compréhension de L’IMPACT et engagement incorporer connaissance dans politiques, procédure pour RÉPONDRE aux besoins et résister à RETRAUMATISATION.
🍔13. Modèle ARC (Attachement, régulation, compétence) pilier resistence.
- Modèle intervention (PAS psychothérapie) dans approche axé trauma. (Guide, structure et organise pratique)|
- Jeunes ak trauma complexe et donneur soin (parent, intervenant, prof etc). Flexible, plusieurs contexte.

18
Q
  1. Nommer et expliquer les blocs du modèle ARC
  2. Identifier et utiliser des activités et des stratégies d’intervention en lien avec les blocs du modèle ARC
A

🍔14. 🍕1 bloc : Fondement et base : 1. Engagement, 2. éducation, 3. routine et rythmes. Pour 1et 2 : engagement (du jeune et adulte) passe par éducation. Réaction adulte à lumière propre expérience. Éducation sur les traumas et les conséquences, comprendre système alarme. Pour 3 : sentiment sécurité + prévisibilité. Sécurisant. Sentir dans un groupe. Routine généralisé, mais flexible individuel aussi.
🍕2 bloc : Attachement. 1. Gestion affect donneurs de soin : réagir est normal, doit gérer ses affects. Prendre soin de soi pour prendre soin des autres.
2. Ajustement empathique : mettre sa lunette trauma ! Interpréter besoin non comblé et émotions non-régulé derrière comportement. Identifier déclencheur. Être détective.
3. Réponse efficace : renforcer comportement recherché. Conséquence limité et prédéterminés pour compor spécifique. Comportement dérangeant risque fin si : besoin sous-jacent répondu, régulation émotionnelle soutenue.
🍕3 bloc : Régulation. 1. Identifier et 2.moduler émotions : identifier émotion et vécu interne (apprendre comment il se sent). - Utilisation stratégies modulation émotions (comprendre permet utiliser stratégies). - Soutenir enfant dans identification et modulation émotions.
🍕4 bloc : Compétences. 1. Fonction exécutif (FE) : Soutenir dév pour que enfant : agir plutot que réagir, résoudre proble, faire choix pour reprendre controle. 2. Dével soi et identité : mode intérieur délaissé pour protéger monde extérieur, doit soutenir jeune pour comprendre qui il est. - Identifier ses caractéristiques (choix), - Identifier forces et ressources (renforc pos), - Soutenir identité intégré et multiples aspects de soi (ce qui était vs ce qui est), - Soutenir capacité projeter pos dans futur. 3. Liens relationnels : Développer compétences pour communiquer et établir / maintenir relations. - Habilité communication comme éducation, jeu de rôle. (contact visuel, ton etc)
🍕5 bloc : Intégrations des traumas. Processus de vie, pas finalité en soi. Pour construire la maison et le toit, doit avoir de bonnes bases.
🍔15. pas clair ? réfléchir a techniques selon ce qu’on a vu ?