Familles exam 1 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que l’approche systémique?

A

Considère individus, familles, collectivités et leurs problèmes dans un contexte plus large, considérer les problèmes comme étant des manifestations de dynamique relationnelle et interactionnelle, les familles sont des partenaires, des collaborateurs, on reconnaît les compétences et que chaque personne fait de son mieux avec les connaissances qu’elle a en ce moment

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2
Q

Pourquoi faut-il percevoir la famille comme un système?

A

La famille est interdépendante de d’autres systèmes, donc la modification d’une personne entraîne la modification des autres personnes du système. Si une pièce du système ne fonctionne pas, l’ensemble du système à de la difficulté à fonctionner.

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3
Q

Qu’est-ce que le principe de totalité?

A

Il faut tenir compte de tout le monde dans le système, il faut parler à tout le monde sinon il nous manque de l’information. Il est important de rencontrer tout le monde puisque nous pouvons ainsi voir les interactions entre les membres et les comportements individuels de chacun. Le comportement individuel d’une personne est le résultat du fonctionnement du système. Il faut avoir une vue d’ensemble et ne pas être trop collé sur le problème.

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4
Q

Dans l’approche systémique, pourquoi utilisons-nous l’image du mobile?

A

Tout changement qui se produit chez l’un des membres est ressenti par tous les autres membres à des degrés différents. Si un des membres se met à agir différemment, les autres ne peuvent pas réagir comme ils le faisaient avant. L’image du mobile est utilisée parce que même si une pièce ne semble pas importante, si on l’enlève, la dynamique change. C’est la même chose avec une pyramide humaine. Si quelqu’un bouge dans la pyramide, tout le monde est impactée, même si la personne qui bouge ne les touche pas directement.

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5
Q

Qu’est-ce le principe d’équifinalité?

A

Il y a plusieurs solutions possibles pour régler un problème. Il y a également plusieurs chemins possibles pour embarquer dans une problématique. Les mêmes conséquences peuvent avoir des origines différentes.

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6
Q

Qu’est-ce le principe d’homéostasie?

A

Tout système va tenter d’éviter les changements, les bouleversements. Il va donc créer des résistances. Ces résistances ont une fonction d’homéostasie dans la famille, afin de garder un équilibre même si l’équilibre n’est pas sain. Nous utilisons l’image du vélo, puisqu’un système stable n’est pas statique (tout comme un vélo).

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7
Q

Qu’est-ce le principe de circularité?

A

Les comportements des membres de la famille se comprennent mieux à partir du concept de causalité circulaire que du principe de causalité linéaire. Les comportements d’une personne vont influencer les comportements des autres qui vont ensuite modifier les comportements de la personne et ainsi de suite.

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8
Q

Nomme les différents contextes d’intervention familiale.

A
  • Volontaire (elle veut recevoir des services)
  • Non-volontaire (la famille est obligée de recevoir des services)
  • Situation de crise (la famille vit une crise (situationnelle, transitionnelle ou structurelle) qui provoque le besoin d’accompagnement)
  • Projets collectifs (coopératives d’habitations, cuisines collectives, loisirs sportives, etc)
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9
Q

Que sont les différentes étapes de la demande de service?

A
  1. Réfléchir et analyser la demande
  2. Reconstituer le circuit de la demande
  3. Déterminer la pertinence et la nécessité de référer
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10
Q

En quoi consiste la première étape de la demande de service (réfléchir et analyser la demande)?

A
  • Il faut porter attention à la formulation de la demande en lien avec l’idéologie dominante (Comment la problématique est vue au sein de la société, EX: un alcoolique un jour, alcoolique toujours)
  • Il faut considérer le rapport entre la demande et les services offerts (la demande est faite en fonction des services mis en place, plutôt que la complexité du problème)
  • Dans les équipes interdisciplinaires, la demande est sculptée en fonction du rôle qui est attribué à chacune des professions (la demande est souvent faite par besoins financiers ou matérielles, il faut pousser pour avoir la vraie nature de la demande)
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11
Q

En quoi consiste la deuxième étape de la demande de service (reconstituer le circuit de la demande)?

A

À qui la demande est-elle adressée? Qui la fait au nom de qui et de quoi? Qui concerne-t-elle? Pourquoi faire et pourquoi maintenant?
Est-ce que c’est une demande (faite par la famille), une commande (faite par une institution) ou un mandat (de la cour)

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12
Q

En quoi consiste la troisième étape de la demande de service (déterminer la pertinence et la nécessité de référer(?

A

Que se passe-t-il maintenant pour que l’intervention d’un nouveau service ou d’un nouvel intervenant soit nécessaire? Que se passerait-il si cette intervention n’avait pas lieu?
Est-ce vraiment nécessaire de faire une référence? Souvent, ce qui nous pousse à référer est l’impuissance que nous ressentons.

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13
Q

Quelles sont les caractéristiques de la demande de service?

A
  • Elle peut provenir directement de la famille, d’un organisme, d’une institution ou de la cour
  • Elle peut être plus ou moins complète/structurée selon le contexte (EX: situation d’urgence)
  • Contient des infos sommaires pour permettant de se faire une première idée de la situation familiale ou illustrant ce qui semble être la problématique majeure faisant en sorte que la famille requiert des services
  • Ce n’est pas parce que ce n’est pas la famille qui a fait la demande qu’il n’y a pas de motivation au changement, le contexte joue aussi un rôle dans la demande de service
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14
Q

Que sont les principaux éléments qui doivent faire partie de la demande?

A
  • L’origine de la demande
  • La nature de la demande et les services souhaités
  • La clarification du contexte de la demande (élément déclencheur, enjeux)
  • Démarches ou services antérieurs
  • Ressources ou services actuels
  • Attentes de la personne et/ou famille
  • Synthèse des éléments de la demande et démarches subséquentes
  • Obtention des autorisations verbales ou écrites
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15
Q

Qu’est-il important de considérer à la réception d’une demande?

A

La coexistence de relations et de circonstance susceptibles d’influencer la suite du processus d’intervention:
- L’histoire personnelle et professionnelle de l’intervenant
- L’histoire de la famille
- Le contexte organisationnel qui constitue le point de rencontre, l’interface où coexistent et interagissent l’intervenant et la famille

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16
Q

Qu’est-ce que l’autoréférence?

A

L’autoréférence est de se référer à sa propre expérience relationnelle et émotionnelle, à ses connaissances, à son histoire personnelle ou à des expériences vécues semblables à celles que vit le système familial

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17
Q

Qu’est-ce que la résonance?

A

C’est la manière dont les différents systèmes en présence se font écho (l’intuitif, «mmm j’ai un feeling que je vais commencer par intervenir sur ce point»)

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18
Q

Qu’est-ce que la syntonisation?

A

Il s’agit de prendre conscience de ses propres jugements et préjugés, ainsi que ceux véhiculés par la société
EX: Qui vient me voir? Quel est le contexte d’intervention? Quel est mon mandat? Quelle est ma réaction devant ce type de personne/famille? Quelle est mon état émotif actuel?

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19
Q

Qu’est-ce que l’alliance thérapeutique?

A

C’est une stratégie qui permet à l’intervenant de créer et d’obtenir le lien de confiance et la crédibilité chez le système familial

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20
Q

Par quels marqueurs se définit l’alliance?

A
  • L’union par un engagement mutuel (contrat)
  • Se mettre au diapason de la famille (par le langage, l’histoire de la famille, ses thèmes de vie privilégiés, ses valeurs)
  • Laisser entendre à la famille que vous êtes intégré à leur manière d’être, de faire et de dire
  • Laisser place à la ventilation
  • Utiliser l’écoute active et la reformulation pour arriver à une compréhension commune de la situation
  • La personnalité de l’intervenant est importante dans l’actualisation de l’alliance
21
Q

Qu’est-ce que la partialité multidirectionnelle?

A

Cette stratégie consiste à prendre le parti de chacun des membres de la famille à tour de rôle (sans oublier les absents) sans se laisser prendre dans les jeux de coalition/triangulation su système familial
L’intervenant (avec les interventions verbales et non-verbales) démontre le même degré d’intérêt, la même intensité de préoccupations envers chacun des membres de la famille

22
Q

Comment on s’y prend pour faire la partialité multidirectionnelle?

A
  • On peut prendre la défense d’un membre de la famille à condition que cette possibilité soit offerte à chaque membre de la famille
  • On peut complimenter si c’est sincère
  • On doit donner de l’importance à chaque membre de la famille en lui signifiant, quand c’est opportun, de la considération pour une opinion ou une piste de solution émise par chacun
23
Q

Quels sont les principes de la partialité multidirectionnelle?

A
  • L’empathie
  • L’accréditage (on croit en la capacité de tout le monde, apporter les gens à s’accorder du mérite entre eux)
  • Les attentes de l’intervenant (faire savoir nos attentes aux clients, rappeler les rôles de chacun dans la famille, les responsabilités)
  • L’inclusivité (donner une chance équitable entre chaque membre, pas d’alliance entre les membres)
  • Le timing (s’allier avec, prendre le parti de tout le monde dans la famille)
24
Q

Comment se démontre la partialité multidirectionnelle avec les adultes?

A
  • Dans le dialogue de bonne qualité que l’intervenant établit avec chaque membre de la famille
  • Toutes sortes d’actes qu’il pose pendant et entre les séances
25
Q

Comment se démontre la partialité multidirectionnelle avec les enfants?

A
  • La prise en compte de leur point de vue et l’écoute que l’intervenant y prête, par l’adoption d’un langage et d’un comportement adopté à leur âge (EX: jouer avec l’enfant)
26
Q

Quels sont les avantages d’utiliser la partialité multidirectionnelle?

A
  • Favorise le lien de confiance entre l’intervenant et chaque membre de la famille
  • Garantit à chaque membre d’avoir sa place durant la rencontre et d’exposer son point de vue dans un contexte sécurisé devant les autres
  • Il ressort aussi dans les relations entre les membres eux-mêmes. Le style relationnel qui lie l’intervenant à chaque membre de la famille offre un exemple de comment être ensemble éthiquement
27
Q

Quels sont les éléments à considérer pour favoriser l’alliance thérapeutique dans un contexte d’intervention non-volontaire?

A
  • Permettre aux familles de ventiler sur les services et l’intervention
  • Adopter une attitude respectueuse
  • Adopter une attitude de curiosité face à ce qui semble être de la résistance de la part de la famille
  • Éviter une catégorisation trop hâtive qui ferait en sorte d’attribuer la cause du problème aux caractéristiques personnelles des membres de la famille au lieu de tenir compte des facteurs contraignants de la vie quotidienne
  • Dépersonnaliser les problèmes qui sont définis comme des éléments qui n’appartiennent pas aux personnes mais qui sont situés à l’extérieur de la famille
  • «J’ai besoin de vous pour faire mon travail» = «Vous avez des ressources»
28
Q

Qui est-ce qui est le patient désigné?

A

Il s’agit de celui que le système familial nomme comme porteur du problème

29
Q

Vrai ou Faux: Tous les membres d’une famille jouent un rôle? Explique pourquoi.

A

Vrai: Tous les membres jouent un rôle qui est à la fois le résultat des interactions mais aussi le choix de la personne (conscient ou non) d’accepter ce rôle. Les relations entre les membres de la famille et le patient désigné peuvent se révéler néfastes pour l’autonomie de ce dernier (victimisation) mais qui contribuent à maintenir un certain ordre dans la structure familiale, un statut quo au niveau des rôles. Le processus par lequel les membres de la famille en arrivent à nommer un membre comme étant la source du problème est une information précieuse dans la compréhension des dynamiques familiales.

30
Q

Quelles sont les 4 étapes du questionnement circulaire?

A
  1. investiguer (questions linéaires)
  2. Explorer (questions circulaires)
  3. Faciliter le changement (questions réflexives)
  4. Corriger (questions stratégiques)
31
Q

À quoi sert l’étape 1 (investiguer) du questionnement circulaire?

A
  • Définir le problème
  • Expliquer le problème
  • L’intervenant s’intéresse aux fait
  • La famille répond sans changer sa perception
  • Hypothèse linéaire
  • Vise la description
32
Q

À quoi sert l’étape 2 (explorer) du questionnement circulaire?

A
  • Sur les différences
  • Effet sur les comportements
  • L’intervenant s’allie à la famille
  • La famille libère des informations qui ne s’étaient pas dites avant
  • Remise en question
  • Hypothèse circulaire
  • Vise la description
33
Q

À quoi sert l’étape 3 (facilite le changement) du questionnement circulaire?

A
  • Pour voir autrement
  • Sur un futur hypothétique
  • L’intervenant devient plus créatif
  • La famille s’engage vers le changement
  • Hypothèse circulaire
  • Vise l’intervention
34
Q

À quoi sert l’étape 4 (corriger) du questionnement circulaire?

A
  • Pour confronter
  • Pour mener au but
  • L’intervenant exprime son opposition
  • La famille se sent contrainte à…
  • Hypothèse linéaire
  • Vise l’intervention
35
Q

Quels sont les points de repère pour classifier les questions?

A
  • L’intention de l’intervenant en posant cette question
  • La façon dont est formulée la question
  • L’effet que cette question suscite sur le client
  • L’effet que cette question suscite sur l’intervenant
  • Le ton avec lequel l’intervenant pose la question
36
Q

Qu’est-ce qu’une question linéaire?

A

Elles permettent d’investiguer les faits, d’obtenir de l’information sur l’image que la famille se fait de sa situation problématique. Elles permettent de définir le problème tel qu’il est perçu par la famille. À cette étape, on peut identifier et situer les membres du système familial. Il faut aussi identifier le vocabulaire que les membres de la famille utilisent pour parler du problème

37
Q

Quels sont les principes du questionnement circulaire?

A
  • Le questionnement circulaire consiste à amener une personne à décrire le comportement d’une autre en terme de différence et de changement
  • Il nous permet de découvrir le fonctionnement interne de la famille et surtout il permet à la famille de connaître la perception des autres membres sur son propre fonctionnement souvent pour la première fois
  • Les questions circulaires font ressortir les différences et les changements dans les comportements et attitudes des membres de la famille
38
Q

Quelle est la priorité de l’intervenant en posant des questions portant sur la différence?

A

La priorité de l’intervenant est de s’intéresser aux différences de comportements afin de rester centré sur les interactions plutôt que sur l’objet de la problématique. L’attention de l’intervenant est dirigée vers les distinctions que les réponses soulèvent entre les membres de la famille plus que sur la véracité des propos

39
Q

Quelles sont les 3 catégories de questions portant sur la différence?

A
  • Comparaisons
  • Classifications
  • Commérage
40
Q

À quoi servent les questions de comparaison?

A

On chercher à faire émerger un comportement spécifique dans une circonstance particulière. Ces question trouvent leur utilité particulièrement lorsqu’on veut saisir et avoir des détails sur le processus ayant mené à un conflit
EX: Comment réagit maman quand papa pleure?

41
Q

À quoi servent les questions de classification?

A

Les classifications se formulent en termes de plus ou moins ou d’un classement proprement dit
EX: Qui est le moins concerné par le problème?

42
Q

À quoi servent les questions de commérage?

A

L’intervenant et un autre membre de la famille échangent ouvertement du comportement d’un autre membre de la famille devant celui-ci. Il est très important de rappeler la règle du respect pour qu’il n’y ait présence de jugement sur la valeur de la personne. Les commentaires doivent viser uniquement les comportements et attitudes. Le commérage est utile pour aller chercher les plus introvertis ou passifs et sert de miroir au membre concerné et aux membres observateurs de la scène

43
Q

Que sont les questions portant sur le changement?

A

Ces questions permettent de détailler les variations de comportements dans le temps

44
Q

Que sont les deux types de questions portant sur le changement?

A
  • Les variations qui font référence au passé
  • Les variations qui projettent vers le futur
45
Q

À quoi servent les questions portant sur le changement avec variation qui font référence au passé?

A

Avec ces questions nous cherchons à obtenir de l’information sur l’élément déclencheur ou les facteurs précipitants du problème. L’objectif de ces questions est d’établir un lien entre les comportements et le contexte pour faire émerger des solutions.

46
Q

À quoi servent les questions portant sur le changement avec variation qui projettent vers le futur?

A

Ces questions servent à activer le processus de changement en s’imaginant de manière hypothétique des solutions ou un avenir où le problème se vit différemment ou n’existe pas

47
Q

Quels sont les éléments à inclure et à spécifier dans un contrat engageant l’intervenant et la famille?

A
  • Définir l’orientation privilégiée en matière de rencontre
  • Définir les règles attendues (respect, écoute, etc.)
  • Définir les limites de la confidentialité qui peut être demandée par un ou des membres de la famille
  • Définir un cadre des rencontres (le lieu (parc, bureau, domicile), durée des séances, fréquence, co intervention?)
  • Donner une version provisoire du problème et son explication.
  • Émettre un commentaire sur l’état homéostatique de la famille
  • Émettre un commentaire sur un état alternatif du système familial (utilisation du recadrage (amener la situation sous un autre angle))
  • Définir et convenir avec la famille des objectifs « atteignables » à court terme (plan d’intervention)
48
Q
A