examen 3 Flashcards
douleur nociceptive
elle a son origine dans la stimulation d’un nocicepteur
2 douleur nociceptive
-somatique
-viscérale
douleur nociceptive viscérale
organes
douleur nociceptive somatique
os, ligaments, peau, …
douleur neurogène
douleur causée par une lésion des afférences sensorielles par le SNC
douleur neurogène exemples
-neuropathie diabétique
-douleur post AVC
-douleur fantôme (algohallucinose)
douleur aigue
-soudain
-moins 3 mois
-légère à sévère
-identifiable
-diminue avec le temps
douleur chronique
-graduel ou soudain
-3 mois +
-légère à sévère
-peut être inconnue
-ne disparaît pas
douleur référée
-souvent associée à la douleur viscérale
-douleur dans une partie du corps plus ou moins éloignée de son origine
douleur référée exemples
-appendicite=douleur péri ombilicale
-infarctus=douleur au cou, à la mâchoire, au bras gauche, au dos
-pancréatite=douleur à l’épaule gauche
-pyélonéphrite=douleur dorsale
facteurs influençant la perception de la douleur
-âge
-sexe
-génétique
-fonction neurologique
-culture
-signification de la douleur
-attention
-fatigue
-anxiété
-expériences antérieures
-type d’adaptation
-famille et réseau social
-facteurs spirituels
âge
-nourrissons: souffrent, souvenirs
-enfants: difficulté à verbaliser et évaluer leur douleur
-personnes âgées: modification de la tolérance
sexe
femme: + grande sensibilité à la douleur, + grande prévalence de douleur chronique
-homme: différence dans l’expression de la douleur
génétique
-sensibilité
-seuil de douleur
-seuil de tolérance
-migraines
-problèmes musculosquelettiques
culture
-divers groupes culturels donnent des significations différentes à la douleur
-l’expression de la douleur peut différencier d’une culture à l’autre
signification de la douleur
-on perçoit la douleur différemment si elle indique une perte ou une menace
attention
-plus je me concentre sur la douleur, plus elle fait mal
-lorsque je concentre mo attention sur autre chose, ma douleur diminue
fatigue
douleur->insomnie->épuisement->diminution de la capacité d’adaptation->douleur augmente
anxiété
douleur->anxiété->stimulation du système lymphatique
expériences antérieures
les expériences douloureuses antérieures influencent positivement ou négativement l’expérience de douleur vécue par le patient
famille
-la famille et les proches influencent la réponse à la douleur pour leur comportement et leur croyance
réactions physiologiques à la douleur aigue (stimulation sympathique)
-dilatation des bronches
-augmentation de la fréquence respiratoire
-augmentation de la fréquence cardiaque
-augmentation de la tension artérielle + pâleur
-augmentation glycémie
-diaphorèse
-élévation tension musculaire
-dilatation des pupilles
-diminution de la mobilité gastro-intestinale
réaction en cas de douleur faible à moyenne (aigue et physiologique)
stimulation sympathique
réaction à une douleur intense et profonde (aigue et physiologique)
stimulation parasympathique
réactions physiologiques à la douleur aigue (stimulation parasympathique)
-stimulation vagale (diminution TA et FC)
-pâleur
-nausées et vomissements
-faiblesse/épuisement
-tension musculaire
-respiration rapide et irrégulière
aspects comportementaux
-vocalisation (cris, gémissements, halètements…)
-expressions faciales (grimaces, serrements des dents, larmes…)
-mouvements corporels (tension musculaire, comportement de protection…)
-interaction sociale (irritabilité, évite la conversation, diminution attention)
réactions à la douleur chronique
-trouble de l’humeur
-trouble de la concentration
-fatigue
-isolement social
-kinésiophobie
-diminution de la confiance en soi
effets nuisibles d’une douleur aigue non-soulagée
-endocrinien: choc, hyperglycémie
-cardiovasculaire: hypertension artérielle, angine instable
-respiratoire: pneumonie, atélectasie
-rénal: trouble électrolytique
-gastro-intestinal: anorexie
-musculosquelettique: immobilité
-neurologique: confusion, délirium
-immunologique: infection
-psychique: anxiété, dépression
coanalgésie
utilisation de 2 analgésiques ou + qui interpellent des mécanismes d’action différents afin d’offrir un soulagement supérieur sans augmentation des effets secondaires
coanalgésie permet…
-mieux soulager la douleur
-augmentation de satisfaction des clients
-diminution des effets indésirable
moment opportun pour l’administration d’une dose opiacé
lors de signes d’une dépression respiratoire
entre dose
-dose supplémentaire d’analgésique du même narcotique
-pas dépasser: 50% de la dose régulière et moitié de l’intervalle de temps
-on peut donner: lorsque le pic d’action de la dose régulière est atteinte, le patient est toujours souffrant
-aviser le médecin si le patient n’est pas soulagé
clientèle à risque de dépression respiratoire
-consommation récente d’alcool ou de drogues
-bébé de moins de 6 mois
-personne âgée de + de 70 ans
-personne naïve à un opiacé
-personne soufrant de MPOC
-personne souffrant d’apnée du sommeil
-personne souffrante d’insuffisance rénale ou hépatique
-douleur intense qui cesse subitement (luxation)
-personne ayant subi un trauma crânien
-personne souffrant d’obésité
-personne qui prend d’autre médicament ayant un effet dépressif sur le SNC
étape de la progression de la dépression du SNC
- atteinte de l’état de conscience (augmentation du degré de sédation)
- atteinte de l’état respiratoire (diminution de la fréquence, du rythme, de l’amplitude)
3.atteinte grave de l’état respiratoire (diminution de la saturation)
4.atteinte systématique résultant notamment d’un apport insuffisant en O2 et d’une accumulation de CO2 (altération du pouls et de la TA) - arrêt cardiaque imminent