Examen 2 ( 6-8) Flashcards

0
Q

Catabolisme - Anabolisme

A
  • Dégradation des composés organiques ( protéines, glucides, lipides) en substances plus simples
  • Production d’énergie sous forme d’ATP.
  • Biosynthèse des molécules organiques complexes (protéines, glucides …) à partir de conposantes plus simples..
  • Nécessite de l’énergie sous forme d’ATP
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Q

Définition métabolisme

A

Ensemble réactions biochimiques qui se déroulent dans l’organisme ou la cellule bactérienne.

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2
Q

Toutes les réactions métaboliques nécessitent…

A

Des enzymes

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3
Q

Les enzymes…

A

Sont des protéines qui interviennent dans les réactions métaboliques

Servent de catalyseurs biologiques: accélèrent la vitesse de réaction

Agit sur un substrat de façon spécifique

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4
Q

Caractéristiques Métabolisme microbien

A

10 à 100X plus rapide que les cellules humaines

Besoin nutritionnel très varié comparativement aux cellules humaines

Habilité à utiliser d’autres composantes que l’O2 comme accepteur final d’électrons

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5
Q

Les tests biochimiques d’identification sont basés sur…

A

Le métabolisme bactérien. Les bactéries démontrent une grande diversité nutritionnelle: capacité à dégrader différents nutriments pour produire de l énergie = réactions cataboliques

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6
Q

Principe de base d’identification des bactéries par les tests biochimiques…

A

Substrat (présent dans le milieu) . Flèche enzyme, flèche produit (excrété dans le milieu) , flèche visualisation du produit par réaction colorimétrique : indicateur de pH , ajout de réactif

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7
Q

Métabolisme des glucides …

A

Production d’énergie à partir de la dégradation des glucides.

Se fait par 2 processus : - respiration cellulaire (aérobie et anaérobie) - fermentation (anaérobie)

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8
Q

Respiration cellulaire aérobie

A
  • processus aérobie
  • accepteur final d’électron : oxygène
  • 1 molécule de glucose produit 38 ATP
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9
Q

Respiration cellulaire anaérobie

A
  • processus anaérobie
  • accepteur finale d’électron : substance inorganique
  • peu d’ATP produit
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10
Q

Caractéristiques des bactéries anaérobie

A
  • croissance moins rapide, métabolisme plus lent

- moins d’énergie produite

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11
Q

Caractéristique des bactéries anaérobie- facultatives…

A
  • la présence d’O2 les fait passer en mode aérobie
  • métabolisme augmenté, croissance plus rapide.
  • en absence d’O2, passent en mode anaérobie
  • énergie produite est diminuée, croissance ralentit
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12
Q

3 étapes de la respiration cellulaire aérobie

A

1- glycolyse
2- cycle de krebs
3- chaîne de transport des électrons

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13
Q

1ère étape du métabolisme des glucides (glycolyse) …

A

Les glucose est oxydé en pyruvate (ou acide pyruvique)

  • production d’un peu d’ATP et de NADH ( donneur d’électrons qui servira à produire de l’énergie)
  • le pyruvate est oxydé en acétyl CoA (production de NADH)
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14
Q

2ieme étape de la respiration cellulaire aérobie (cycle de Krebs)

A
  • l’acétyl CoA est incorporé dans le cycle de krebs
  • oxydation de l’acétyl CoA par une série de réactions chimiques (production d’ATP, NADH, FADH2 (transporteur d’é) et CO2)
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15
Q

3ieme étape de la respiration cellulaire aérobie ( chaîne de transport des électrons )

A
  • NADH et FADH2 sont oxydés lors d’une ‘cascade’ de réactions d’oxydoreduction (en présence d’oxygène)
  • production considérable d’ATP
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16
Q

Chez les bactéries le cycle de krebs et la chaîne de transport des électrons se déroule ….

A

Au niveau de la membrane plasmique (à la place de la mitochondrie)

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17
Q

Étapes de la respiration cellulaire anaérobie

A
  • processus anaérobie
  • accepteur final d’électrons : autre que l’O2
  • accepteur final : • nitrate (NO3-) • sulfate (SO4-) • carbonate (CO3 2-)
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18
Q

Fermentation

A
  • processus anaérobie
  • accepteur finale d’électrons est une molécule organique
  • seulement 2 ATP produits

Après la glycolyse, le pyruvate est converti en d’autres produits finaux SANS PASSER PAR LE CYCLE DE KREBS: • acide lactique • alcool • acide formique • autres …

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19
Q

Métabolisme des lipides

A
  • certaines bactéries élaborent des enzymes extra cellulaires appelées lipases qui hydrolysent les lipides en acides gras et en glycérol
  • les acides gras et le glycérol sont métabolisés séparément selon les voies différentes en AcetylCoA
  • AcetylCoA est incorporé dans le cycl de krebs
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20
Q

Métabolisme de protéines

A
  • certaines bactéries élaborent des enzymes extra cellulaires appelées protéases et peptidases qui hydrolysent les protéines en peptides puis en AA
  • peut entrer dans le cycle de krebs, les AA doivent d’abord été convertis
  • la conversion peut se faire de 2 façons: decarboxylation (perte de CO2) ou désamination (perte de NH2)
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21
Q

Épreuve de la catalase …

A

Détection de l’enzyme catalase qui décompose H2O2 en O2 et H2O

L’accumulation de H2O2 est létale pour la bactérie.

Attention de ne pas prélever de la GS , les GR sont catalase +

Ne pas utiliser anse, utiliser bâton bois

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22
Q

Épreuve de l’oxydase

A

Détections de l’enzyme cytochrome-oxydase, une enzyme qui intervient dans la chaîne respiratoire comme transporteur d’électrons

Détection par une réactif (tétraméthyl-p-phénylènediamine) qui agit comme receveur artificiel d’électrons. Changement de couleur lorsqu’oxydé par la présence du cytochrome oxydase.

A partir de GS ou chocolat

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23
Q

Coagulase

A

Identification de Staph aureus. On doit d’abord s’assurer d’avoir un Staph…

La coagulase est une enzyme qui calalyse la transformation du fibrinogène en fibrine. (Formation de caillot)

Un vivo, le caillot de fibrine sert a protéger la bactérie contre les défenses immunitaires de l’organisme.
Facteur de virulence.

Liée : sur la paroi
Libre : enzyme extra cellulaire libérée a l’extérieur de la cellule bactérienne.
Toutes 2 produites par S. Aureus. , toutes 2 réagissent avec le fibrinogène pour former caillot. Souches capsulées de Staph. Donnent faux neg.

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24
Q

Détection coagulase liée

A

Provoque une réaction d’agglutination en présence du réactif test qui contient des particules de latex recouvertes de fibrinogène.

Un contrôle négatif est fait en parallèle avec un réactif qui contient particules de latex sans fibrinogène : il doit nécessairement donner un résultat négatif.

Si agglutination du Contrôle : invalide
Vérifier pureté de la souche.
Confirmation par coagulase libre.

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25
Q

Détection de la coagulase libre

A

Colonies ajoutées à du plasma de lapin ( contient fibrinogène)
Formation de caillot = présence de coagulase libre.

Vérifier résultat après 4h d’incubation. Si négatif poursuivre incubation X 24h.

Un faux neg après 24h pourrait être causé par la présence d’une staphylokinase. Qui détruit le caillot initialement formé.

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26
Q

Test sensibilité à la bacitracine

A

Test d’identification présomptif: permet de distinguer le genre Staphylococcus du genre micrococcus.

Bacitracine Inhibe micrococcus. (> ou= a 10mm)

Staph. toujours résistants à bacitracine . (<10mm)

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27
Q

Test de sensibilité à la novobiocine

A

Test d’identification présomptif : permet d’identifier Staphylococcus saprophyticus.

Toujours résistant à novobiocine (< ou = à 16mm)

Staph autre que saprophyticus (> 16mm)

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28
Q

Une bactérie produit des colonies incolores sur une gélose MAC et une pente et un culot acide sur la gélose TSI (trois sucres-fer) fermente:

A

Le glucose et le sucrose

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29
Q

La catalase…

A

Décompose le H2O2

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30
Q

Quel réactif est utilisé dans l’épreuve Voges-Proskauer?

A

Alpha-naphtol

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31
Q

Les tubes de Durham dans le bouillon servent à…

A

Déceler la production de gaz d’un microorganisme

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32
Q

Lors de l’épreuve de réduction des nitrates, il n’y a pas de production de couleur après l’addition des réactifs et de la poudre de Zn. Quelle est votre interprétation des résultats?

A

Les nitrates sont réduits au-delà des nitrites

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33
Q

Quel réactif est utilisé dans l’épreuve de l’oxydase?

A

Tétraméthyl-para-phénylène diamine dehydrochlorure

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34
Q

Quelle réaction a lieu dans une réaction positive à l’épreuve de l’ornithine décarboxylase?

A

Réaction alcaline dans le tube avec ornithine et acide dans le tube contrôle

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35
Q

Concernant l’épreuve de l’esculine…

A
  • Un précipité noir est observé lors d’un résultat positif

- L’esculine est hydrolysé en esculétine

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36
Q

Les produits finaux de la réaction sont alcalins…

A

Lysine décarboxylase

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37
Q

L’indicateur de pH utilisé dans le milieu Kligler est…

A

Rouge de phénol

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38
Q

Les bactéries produisant l’enzyme tryptophanase désaminent le tryptophane en…

A

Indole

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39
Q

Que signifie l’apparition d’une couleur rouge seulement après l’addition de la poudre de Zn dans une épreuve de réduction des nitrates?

A

Pas de réduction des nitrates

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40
Q

Dans laquelle des épreuves utilise-t-on l’hydroxyde de K?

A

Voges-Proskauer

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41
Q

Après ensemencement, le bouchon d’un milieu Kligler doit permettre un échange d’air entre le tube et le milieu extérieur. Quelle en est la raison?

A

Permettre l’oxydation ds protéines et peptones

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42
Q

Concernant le milieu Kligler…

A

Contient citrate ferrique permettant de déceler la production de sulfure d’hydrogène.

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43
Q

La coloration jaune retrouvée dans une réaction positive de l’épreuve OMPG est dépendante de …

A

Ortho-nitrophénol

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44
Q

Quelle enzyme bactérienne est responsable de la conversion de la phénylalanine en acide pyruvique?

A

Phénylalanine désaminase

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45
Q

Quel réactif permet la détection d’une réduction des nitrates?

A

Acide sulfanilique

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46
Q

Quel énoncé correspond à un test de MR positif? L’ajout de rouge de méthyl produit:

A

Une coloration rouge car ;a bactérie a fermenté le glucose et généré un pH de 4.4 et moins

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47
Q

L’enzyme détectée en présence du tétraméthyl-p-phénylène-diamine se nomme…

A

Oxydase

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48
Q

Quelles sont les concentrations de sucres dans la gélose TSI?

A

0.1% Glucose
1% Lactose
1% Sucrose

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49
Q

Quel résultat correspond à l’épreuve de lysine décarboxylase négative?

A

Une coloration jaune dans le tube épreuve et contrôle

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50
Q

L’indicateur de pH utilisé pour l’épreuve uréase est…

A

Rouge phénol

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51
Q

Quel réactif est utilisé dans l’épreuve de réduction des nitrates?

A

Acide sulfanilique

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52
Q

Quel énoncé ne s’applique PAS à la production d’indole…

A

Peut être décelé avec l’addition d’une solution d chlorure ferrique à 10% au milieu

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53
Q

Quel est le résultat attendu dans l’épreuve de l’ornithine décarboxylase pour une bactérie qui produit l’enzyme ornithine décarboxylase? Les tubes sont recouverts d’huile minérale.

A

Le tube contrôle est jaune et le tube test est mauve.

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54
Q

Quelle réaction utilise le paradiméthylaminobenzaldéhyde?

A

L’indole

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55
Q

Quel est l’indicateur de pH utilisé dans le milieu Simmons pour la détection du citrate?

A

Bleu de bromothymol

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56
Q

Quel énoncé s’applique au tétra-p-phénylènediamine dehydrochlorure?

A

Donne une réaction bleue après avoir réagit avec le cytochrome-oxydase.

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57
Q

Dans quelle épreuve utilise-t-on le réactif alpha-naphthylamine?

A

Réduction des nitrates

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58
Q

Interpreter le résultat de l’épreuve des nitrates suivante. Aucun changement de couleur n’apparaît après l’addition des réactifs A et B, une coloration est apparue après l’ajout de la poudre de Zn…

A

Les nitrates n’ont pas étés réduits.

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59
Q

Quel énoncé ne s’applique PAS à l’oxydase…

A

Le test se fait sur des colonies prélevées sur MAC

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60
Q

Quel est le résultat attendu si une bactérie réduit les nitrates au delà des nitrites?

A

Aucune apparition de couleur après l’ajout des réactifs A et B , il n’y a aucune coloration suite à l’ajout de la poudre de Zn

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61
Q

Résultat obtenu sur Kligler: Pente rouge, culot jaune…

A

Le glucose est ferment/

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62
Q

Bactérie qui produit une réaction acide dans un tube à épreuve et de contrôle à l’épreuve de l’ornithine décarboxylase. Interpréter…

A

Je peux valider mes résultats et la couleur observée dans les tubes épreuve et contrôle sera pourpre.

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63
Q

Une bactérie produit de l’acide phénylpyruvique à partir de la phénylalanine. Quel type de réaction s’agit-il?

A

Désamination

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64
Q

Quelle est l’interprétation d’un résultat positif dans une épreuve positive à l’uréase?

A

L’urée est dégradée en ammoniac permettant d’obtenir une couleur rose.

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65
Q

Commensalisme…

A

L’un des organismes tire avantage de l’autre sans lui nuire.

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66
Q

Mutualisme…

A

Les 2 organismes tirent un avantage de l’association. Ex. Bactéries de la flore intestinale synthétisent de la vit K

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67
Q

Rôle de la flore normale

A

Créer une barrière afin de prévenir la croissance et l’implantation de microorganismes nuisibles en: -Occupant tout l’espace
-produisant des substances bactériostatiques
-diminuant la qt d’O2 dispo.
-modifiant pH et environnement.
utilisant les nutriments dispo.

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68
Q

Parasitisme…

A

Un des organismes est favorisé au détriment de l’autre.

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69
Q

Flore normale de la peau…

A
  • Staphylococcus epidermidis (SCN)
  • Corynebacterium sp.
  • Levures (Candida sp.)
  • Autres…
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70
Q

Flore normale voies respiratoires supérieures…

A
  • Streptococcus viridans
  • Staphylococcus epidermidis
  • Staphylococcus aureus
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71
Q

Flore normale voies digestives…

A

Bouche : Steptococcus viridans, Anaérobies, levures.
Estomas: La plupart ne peuvent s’y implanter.
Duodénum : Peu de bactéries.
Côlon: Flore abondante(Entérobactéries:E.Coli. - Anaérobies; Bacteroides , Enterococcus faecalis)

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72
Q

Flore normale vaginale…

A
  • Lactobacillus(Maintient pH acide 4.5, empêche implantation de pathogènes)
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73
Q

Flore Voies urinaires

A

Stériles, mais la partie distale est colonisée par des bactéries de la FN de la peau. Miction=drainage des bactéries. pH urinaire 6.0 empêche implantation bactéries.

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74
Q

Pourquoi connaitre les flores normales?

A
  • Permet un aperçu des infections possibles.
  • Perspective de la source et des conséquences de l’infection.
  • Évaluer l’importance de la présence d’une bactérie à un site stérile vs contaminé. (ex. Staph aureus dans nez = ok , dans liquide bronchique = grave, à rapporter)
75
Q

Pathogène obligatoire:

A

Cause nécéssairement la maladie symptomatique ou asymptomatique. (Neisseria gonorrhoeae , Mycobacterium tuberculosis).

76
Q

Pathogène opportuniste:

A

Bactérie de la flore normale qui cause une infection chez un hôte immuno-déficient ou s’il est retrouvé à un site autre que le site habituel. (E.coli - infection urinaire , S.epidermidis - conjonctivite)

77
Q

Pouvoir invasif…

A

Capacité à se répandre dans les tissus environnants.

78
Q

Pouvoir infectieux…

A

Capacité à établir un foyer infectieux.

79
Q

Pouvoir toxicogène…

A

Capacité à produire des toxines.

80
Q

Infection endogène vs exogène…

A

Endo; causée par bactérie de la flore normale.

Exo: causée par bactérie provenant de l’extérieur de l’organisme.

81
Q

Infection transmissible vs non-transmissible..

A

Transmissible; Se transmet d’un organisme à un autre. (Tuberculose, Chlamydia etc)
Non-transmissible: Ne se transmet pas (Tétanos, Botulisme…)

82
Q

Définition d’un réservoir:

A

Organisme qui héberge un agent infectieux. Poulet-Salmonella — Boeuf-E.Coli O157 — Rat-Yersina pestis — Chauve-souris (virus de la rage)

83
Q

Transmission de l’agent pathogène , portes d’entrée…

A
  • Peau et muqueuse
  • Voies respiratoires
  • Voies digestives
  • Voies génito-urinaires
  • Voie placentaire (transmission verticale)
  • Voie parentérale
84
Q

Transmission de l’agent pathogène par les voies respiratoires …

A
  • Tuberculose (Mycobacterium tuberculosis)
  • Coqueluche (Bordetella pertussis)
  • Pneumonie (Strptococcus pneumoniae)
  • Grippe, rhume, rougeole (virus)
85
Q

Transmission de l’agent pathogène par les voies digestives…

A
  • Gastro-entérites
  • Salmonellose , Shigellose
  • Campylobacter
  • E.Coli O157
  • Vibrio cholerae
86
Q

Transmission de l’agent pathogène par les voies génito-urinaires…

A
  • Infections urinaires

- ITS (Chlamydia trachomatis, Neisseria gonorrhoeae, Syphilis (treponema pallidum), Herpes (virus).

87
Q

Transmission de l’agent pathogène par voie placentaire…

A
  • Listeria monocytogenes (Listeria)

- Certains parasites (toxoplasma)

88
Q

Transmission de l’agent pathogène par la voie parentérale…

A
  • VIH
  • Hep B
  • Clostridium perfringens (gangrène gazeuse)
  • Clostridium tetani
89
Q

Pathogénicité selon la porte d’entrée…

A

Ex. Clostridium tetani est non pathogène par voie orale mais pathogène par entrée dans une plaie profonde.

90
Q

DI50

A

Qt minimale de bactéries nécessaire pour causer l’infection.(Dose infectieuse pour 50% des hôtes.)

91
Q

Facteurs influençant l’implantation d’un pathogène…

A
  • Débalancement de la FN
  • âge (enfants et personnes âgées plus susceptible)
  • Facteurs physiologiques et hormonaux
  • Facteurs génétiques
  • Facteurs environnementaux : nutrition, hygiène, climat.
92
Q

Éléments qui confèrent un pouvoir pathogène à la bactérie..

A
  • Capsule: Protège de la phagocytose
  • Pili : Permet l’adhésion aux cellules
  • Flagelle : Permet déplacement pour envahir tissus environnants.
  • Protéine M (Strep) : Permet l’adhésion aux cellules et la résistance à la phagocytose.
  • Capacité à se multiplier (à l’intérieur des macrophagocytes )
  • Enzymes extracellulaires.
93
Q

Types d’enzymes extracellulaires…

A
  • Coagulase : Formation d’un caillot de fibrine qui protège la bactérie de la phagocytose.
  • Hémolysine : Lyse des GR
  • Streptolysine : Lyse des GR, GB et autres cellules.
  • Hyaluronidase : hydrolyse l’acide hyaluronique (tissu conjonctifs) : permet la dissémination des bactéries dans les tissus.
  • Collagénase : Dégradation du collagène; dissémination des bactéries.
  • Kinase : Dégradation des caillots de fibrine
  • Leucocidine : Tue les leucocytes phagocytaires.
94
Q

Types d’enzymes extracellulaires…

A
  • Coagulase : Formation d’un caillot de fibrine qui protège la bactérie de la phagocytose.
  • Hémolysine : Lyse des GR
  • Streptolysine : Lyse des GR, GB et autres cellules.
  • Hyaluronidase : hydrolyse l’acide hyaluronique (tissu conjonctifs) : permet la dissémination des bactéries dans les tissus.
  • Collagénase : Dégradation du collagène; dissémination des bactéries.
  • Kinase : Dégradation des caillots de fibrine
  • Leucocidine : Tue les leucocytes phagocytaires.
95
Q

Les toxines:

A
  • Poisons, produit par certaines bactéries
  • Augmente le pouvoir pathogène.
  • Agissent en : - Détruisant les vaisseaux sanguins et les cellules sanguines , - Endommageant les membranes des cellules de l’hôte, - Perturbant le système nerveux(spasmes), - Inhibant la synthèse des protéines.
96
Q

Toxémie:

A

Présence de toxines dans le sang.
Effets très graves , parfois mortels : - Fièvre, diarrhée, troubles cardio-vasculaires, chocs toxiques, perturbation du SNC.

97
Q

Endotoxines:

A

Libérées lors de la lyse cellulaire.

  • Bactéries Gram -
  • LPS de la paroi cellulaire
  • Stable, difficile à détruire par la chaleur (résiste à l’autoclave)
  • Fièvre typhoide, méningite à méningocoques.
98
Q

Exotoxines…

A
  • Sécrétées à l’extérieur de la cellule (s’accumule dans le milieu environnant)
    -Bactérie Gram +
  • Instable, facile à détruire par la chaleur.
    3 catégories : Cytotoxines(altère les cellules hôtes) , Entérotoxines(s’attaque aux cellules du tube digestif) , Neurotoxines(perturbe la transmission de l’influx nerveux)
99
Q

Maladies causées par des exotoxines:

A
  • Botulisme (Clostridium botulinum, neurotoxine)
  • Tétanos (Clostridium tetani, neurotoxine)
  • Gangrène gazeuse (Clostridium perfringens, cytotoxique,lyse des GR)
  • Intoxication alimentaire (S.aureus, entérotoxine)
  • Scarlatine (Steptococcus pyogenes cytotoxique , endommage les capillaires=rougeurs cutanées)
  • Diarrhée des voyageurs (E.Coli entérotoxigène)
100
Q

Protection contre les exotoxines …

A
  • Organisme infecté produit anticorps (antitoxine) qui le protège contre les exotoxines.
  • Exotoxines inactivées par la chaleur ou tx chimique peuvent être utilisées comme vaccin.
  • Exotoxines inactivées = anatoxines.
101
Q

MADO:

A

-Les professionnels de la santé doivent déclarer à l’Institue de santé publique.
Ex. HIV/SIDA, Rougeole, rage, coqueluche, TB, fièvre typhoide, inf. à méningocoques.

102
Q

Stérilisation:

A

Élimination de toutes formes de vie microbienne. -Bactéries, spores, virus, parasites, champignons.

103
Q

Désinfection:

A

Élimination des agents pathogènes végétatifs sur un support inerte(object). - Nettoyage des tables de laboratoire, les spores ne sont pas détruites.

104
Q

Antisepsie:

A

Élimination des agents pathogènes sur les tissus vivants. - Avant une ponction veineuse par exemple.

105
Q

Décontamination:

A

Élimination des agents pathogènes végétatifs sur un support inerte et sur les tissus. - Nettoyage des tables au laboratoire, Avant une ponction veineuse.

106
Q

Asepsie:

A

Mesures qui empêchent l’apport de microorganismes exogènes. - Travailler près de la flamme - Flamber l’ouverture des tubes. - Ne pas parler au dessus des boîte de Pétri ouvertes - Manipuler le matériel sous une hotte biologique.

107
Q

Bactéricide:

A

Agent qui permet l’élimination des bactéries. -Produit utilisé pour décontaminer surface de travail. - Savon pour le lavage des mains.

108
Q

Fongicide, virucide, sporicide…

A

Élimine champignons, virus, spores.

109
Q

Conditions affectant l’éfficacité des agents antimicrobiens:

A
  • Concentration initiale des microorganismes et durée de l’exposition.
  • Composition de la population microbienne.
  • Température et pH
  • Environnement local
110
Q

Concentration initiale des microorganismes et durée de l’exposition:

A

Il faut plus de temps pour détruire une population importante.
- La mortalité d’une population bactérienne se fait de façon exponentielle.

111
Q

Composition de la population microbienne,,,

A
  • Certains microorganismes sont plus résistants.
  • En ordre, du plus sensible au plus résistant : Virus enveloppé, Bactérie Gram + , Virus non enveloppé, Bactérie Gram - , Mycobactérium, Spores bactériennes.
112
Q

La concentration de l’agent…

A

Règle générale, Plus le produit est concentré, plus il est efficace, sauf pour l’alcool.

113
Q

Température et pH…

A
  • Une augmentation de la température favorise l’efficacité d’un agent antimicrobien.
  • Un milieu acide favorise la destruction des microorganismes.
114
Q

Environnement local…

A
  • La présence de matières organiques (sang, selles, pus) protège les bactéries.
  • Il faut bien nettoyer les équipements avant de les stériliser.
115
Q

Modification des propriétés physiques et chimiques de la bactérie…

A
  • Altération de la paroi cellulaire
  • Altération de la perméabilité de la membrane
  • Détérioration des protéines cytoplasmiques et des enzymes
  • Détérioration des acides nucléiques
116
Q

Destruction des microorganismes par procédés physiques:

A
  • Chaleur
  • Froid
  • Filtration
  • Radiaton
117
Q

La chaleur (chap 8)

A
  • Autoclave
  • Four pasteur
  • Ébullition et ébouillantage
  • Thyndallisation
  • Inspissation
  • Pasteurisation
118
Q

L’autoclave:

A
  • Chaleur humide sous forme de valeur sous pression
  • 121 degrés , 15lbs de pression de vapeur
  • ## Meilleur procédé pour stériliser
119
Q

L’autoclave (Procédé):

A
  • Chaleur humide sous forme de valeur sous pression
  • 121 degrés , 15lbs de pression de vapeur
  • Meilleur procédé pour stériliser
  • Destruction de toute forme de vie microbienne incluant les spores.
  • ACTION: Dénaturation des protéines de structure et des enzymes.
120
Q

L’autoclave(fonctionnement de l’appareil):

A
  • La vapeur est libérée dans la chemise et la chambre de l’autoclave.
  • L’air de la chambre est chassé à mesure que la vapeur pénètre.
  • La vapeur continue à entrer jusqu’à 15lbs de pression et 121 degrés C.
  • *Cycle commence à ce moment.
121
Q

Utilité de l’autoclave:

A
  • Stérilisation du matériel et des milieux
  • Stérilisation des déchets médicaux
  • Ne peut être utilisé pour : Matériel thermolabile(plastique, caoutchouc) , Matériel métallique qui rouille , Substance thermolabile (Urée, sucres..)
122
Q

Stérilisation des milieux à l’autoclave:

A
  • Milieux en tube : Ne pas visser les bouchons
  • Milieux dans des contenants (Ballons) : -Remplir au 2/3 max . - 500mL = 18 min d’exposition (pour chaque 500mL supplémentaire ajouter 3min)
123
Q

Contrôle de la qualité cycle de stérilisation:

A
  • Vérification de la température et de la pression enregistrée.
  • Indicateur chimique (Ruban adhésif qui change de couleur à 121 C)
  • Indicateur biologique (Spores de Bacillus stearothermophilus. Après cycle de stérilisation, on met bactérie en condition de culture=56C)
124
Q

La pasteurisation:

A
  • Un chauffage rapide (72 x 15s) suivi d’un refroidissement rapide à 10C
  • Utilisé pour détruire pathogènes dans produit laitiers.
  • Ne détruit pas les spores.
125
Q

La pasteurisation:

A
  • Un chauffage rapide (72 x 15s) suivi d’un refroidissement rapide à 10C
  • Utilisé pour détruire pathogènes dans produit laitiers.
  • Ne détruit pas les spores.
126
Q

Ébullition et ébouillantage:

A
  • Détruit CERTAINS agents pathogènes en 10 mins (Bactéries, virus)
  • Ne garantit pas a stérilisation
127
Q

Tyndallisation:

A
  • Procédé utilisé pour stériliser des produits thermolabiles.
  • Chauffage modéré
  • Permet de détruire bactéries + spores.
  • Procédé fractionné alternant chauffage et incubation.
  • 60C x 30 min DIE x 3J
  • Incubation 35C entre chauffages.
128
Q

Inspissation:

A
  • Procédé qui permet de stériliser des milieux à base d’oeuf ou de sérum
  • Chauffage à 100C x 2h
  • Laisser coaguler à 85C x 30m
129
Q

Le four Pasteur:

A
  • Chaleur sèche
  • 160C x 2h
  • Utile pour stériliser : Objets métalliques, Verrerie, Poudres, huiles
  • CQ : Bacillus subtilus
130
Q

Le froid:

A
  • La congélation provoque la mort de nombreux microorganismes.
  • Ne peut être utilisé comme moyen de destruction des bactéries.
  • Les virus survivent bien à basse temp telle que -60C
131
Q

La filtration:

A
  • Permet d’éliminer microorganismes plus gros que les pores du filtre utilisé.
  • 2 procédés: Filtre milipore et Enceinte de biosécurité.
132
Q

Les filtres milipores:

A
  • Permet de stériliser des produits thermolabiles en solutions (urée et sucres ajoutés au milieu de culture)
  • Laisse passer les petits microorganismes (Mycoplasma, virus)
133
Q

Enceinte de biosécurité (EBS) :

A
  • Cabinet dans lequel on manipule les échantillons potentiellement contaminés.
  • Fonctionne à l’aide de filtres HEPA
  • Peuvent retenir particules de 0.3um
134
Q

EBS:

A
  • Protection du technicien pendant les manipulations
  • Protection des aires environnantes
  • TOUS les spécimens biologiques potentiellement infectieux sont manipulés dans EBS
  • Utilisé particulièrement pour la manipulation de Mycobacterium tuberculosis
  • Certaines protègent également le spécimen
135
Q

Type EBS:

A

-

136
Q

Type EBS:

A
  • Type I : Air non stérile à l’entrée, filtré à la sortie.
  • Type II : Air stérile (entré et sortie) IIB1 : Petites qt produits chimiques. IIB2: produit chimiques ok
  • Type III: Cabinet complètement fermé à pression négative.
137
Q

Radiation UV:

A
  • UV (260nm)
  • Action sur l’ADN
  • Très léthale mais ne pénètre pas bien le verre, la poussière, l’eau.
  • Les spores résistent.
  • Utilisé pour la désinfection du cabinet biologique et des salles d’op
138
Q

Radioation ionisante:

A

Rayon Gamma Cobalt 60

  • Action sur l’ADN
  • Excellent agent de stérilisation
  • Bonne pénétration dans les objets
  • Utilisé pour stériliser: Antibiotiques , hormones, divers médicaments, matériel médical …
139
Q

Incidents mineurs(déversement de liquide biologiques):

A
  • Porter des gants
  • Recouvrir de papier absorbant
  • Asperger de désinfectant
  • Laisser agir min.5 minutes
  • Hypochlorite de Na (chloronine)
  • Accel (à base de h2o2)
  • Si surface métallique ; alcool 70%
140
Q

Bris de verre dans centrifugeuse:

A
  • Laisser reposer pour réduire aérosols
  • Autoclaver les godets
  • Désinfecter la cuve avec glutaraldéhyde
141
Q

Bris de verre dans centrifugeuse:

A
  • Laisser reposer pour réduire aérosols
  • Autoclaver les godets
  • Désinfecter la cuve avec glutaraldéhyde (efficace sur spores mais pas 100%)
142
Q

Efficace sur BAAR:

A

Phénol

143
Q

Manipulation de Mycobactérium au labo

A
  • ESB Classe II
  • Si déversement : Laisser fonctionner la hotte. Décontaminer surface de travail avec: Solution phénolée 5% x 10-30 min , Glutaraldéhyde 2% x 30mins
144
Q

Décontamination au laboratoire (Hep B ou HIV)

A
  • Table de travail - Hypochlorite 1% ou Accel

- Objets métalliques: Glutaraldéhyde 2%

145
Q

Désinfection d’objet sera plus efficace si:

A
  • Aucune matière organique n’est présente.
146
Q

Le chlore:

A

Mode d’action : Oxydation des constituants cellulaires.
- Altère la composition cellulaire

Antisepsie et désinfection

147
Q

Iode:

A

Mode d’action : Oxydation des constituants cellulaires.
- Inhibe le fonctionnement des protéines

*Désinfection et antisepsie**

148
Q

Alcool:

A

Mode d’action : - Dénaturation des protéines
- Dissolution des lipides.

Désinfection et antisepsie

149
Q

Phénol:

A

Mode d’action : - Rupture de la membrane plasmique.
- Dénaturation des enzymes

**Désinfection et antisepsie(rare) **

150
Q

Aldéhyde et glutaraldéhyde:

A

Mode d’action : - Dénaturation des protéines

Désinfection

151
Q

Oxyde d’éthylène

A

Mode d’action : - Dénaturation des protéines

Stérilisation

152
Q

Accel:

A

Mode d’action : Oxydation des constituants cellulaires

Désinfection

153
Q

Endospores détruits par :

A
  • Oxyde d’éthyle

+/- par chlore et glutaraldéhyde

154
Q

Contenant ouvert de Cl doit être renouvellé chaque

A

Jour

155
Q

Verrerie au four Pasteur:

A

2h à 160C

156
Q

Solidification de sérum ou constituant de l’oeuf par coagulation à la chaleur =

A

Inspissation

157
Q

Stérilisation de glucides et solutions d’urée :

A

Par filtration

158
Q

Stérilisation de Pétri en plastique :

A

Oxyde d’éthylène

159
Q

Composé phénolé utilisé contre:

A

Mycobacterium tuberculosis

160
Q

Déversement bouillon contenant culture bactérienne:

A

Hypochlorite 1% x 30 min

161
Q

Décontaminer comptoir de laboratoire souillé de sang ou sérum :

A

Solution forte d’hypochlorite

162
Q

Four Pasteur utilisé pour stériliser:

A
  • Huiles, seringues de verre et de métal , verrerie.
163
Q

Oxyde d’éthylène;

A
  • Détruit tous les microorganismes
  • Est un agent stérilisant
  • Est utile pour la stérilisation de matériel thermolabile
164
Q

Bouillon additionné d’un glucide:

A
  • Le sucre à l’étude est incorporé dans le bouillon à 1%
  • Un indicateur de pH: -Rouge de phénol (de rouge à jaune) - Bleu de bromothymol ( de vert à jaune) - Bromocrésol pourpre (pourpre à jaune)
  • Réaction + = jaune
165
Q

OF glucose (Hugh Leifson) :

A

-Permet d’évaluer la capacité à dégrader un sucre :
En aérobiose (oxydation) , en anaérobiose (fermentation)
- Glucose 1% , peptones en très petite qt.
- Indicateur Bleu de bromothymol
- Tube contrôle , pas de glucose.

Jaune(+) = Glucose est dégradé
Vert(-) Glucose pas dégradé
Bleu(-) Peptones dégradées (Contrôle doit être bleu)

166
Q

Le milieu Kligler:

A
  • Évalue la capacité à :

- Dégrader glucose, lactose, protéines, produire gaz, produire H2S.

167
Q

Le milieu Kligler:

A
  • Évalue la capacité à :
  • Dégrader glucose, lactose, protéines, produire gaz, produire H2S.

-Contient 0.1% Glucose, 1% lactose, peptones, Indicateur rouge de phénol, citrate ferrique et thiosulfate de Na.

168
Q

Interprétation Kligler

A

Dans un premier temps, bactérie utilise glucose (acidification du milieu = jaune) . Ensuite elle va soit a) Utiliser le Lactose (LAC+) = acidification milieu reste jaune OU si incapable d’utiliser le lactose, utiliser peptones (Se fait en aérobiose sur la pente. = Pente redevient rouge)

169
Q

Milieu TSI

A

Similaire à Kligler, ajout de sucrose 1%
Pente jaune = acide = dégradation lactose ou sucrose.
Autres tests nécéssaires.
Ex. Pente jaune sur TSI, colonies incolores sur MAC = Dégrade le sucrose.

170
Q

Épreuve au rouge de méthyl (MR)

A

But: Mettre en évidence la production d’acides mixtes (lactique, acétique, formique) suite à la fermentation du glucose.
- Les acides mixtes maintiennent pH du milieu inférieur à 4.4

*Attention, Rouge = pH

171
Q

Épreuve Voges Proskauer

A

Mise évidence de la production d’acétoine suite à la fermentation du glucose.

  • Pour visualiser l’acétoine on doit ajouter 2 réactifs (Alpha-naphtol et KOH 40%)
  • Réaction + , coloration rose à rouge.
172
Q

Épreuve ONPG (toujours en même temps que MAC et/ou Kligler)

A

Évaluer capacité à dégrader le lactose

  • Pour dégrader lactose besoin 2 enzymes : b-galactoside-perméase et b-galactosidase.
  • Si possède seulement la 2ieme, dégrade le lactose plus lentement.
  • Principe: Le toluène est utilisé pour lyser la bactérie et ainsi libérer le b-galactosidase dans le milieu.
  • La b-galactosidase libérée hydrolyse ONPG en galactose et en ortho-nitrophénol, = coloration jaune.
173
Q

Épreuves pour le lactose (MAC et SS, Kligler/TSI, ONPG). Souvent les 3 en concordance.

A

.

174
Q

Épreuve de la gélatinase par la technique de Frazier

A

Principe: Les A.A produit sont solubles dans le réactif. La gélatine non.-dégradée est insoluble.

Après ajout du réactif (HgCl2 et HCl) , Zone claire autour de la croissance = (+)
Zone opaque autour de la croissance = (-)

175
Q

Métabolisme des A.A. (2 réactions)

A

Désamination(Perte de NH2) et décarboxylation(Perte de CO2)

176
Q

Réaction de décarboxylation (2):

A
  • Détectecter enzyme décarboxylase. - LDC (lysine) , ODC (ornithine).
  • Enzyme attaque la portion carboxyle de l’A.A.
  • Il en résulte la production d’une amine qui est de pH alcalin.
  • Bromocrésol pourpre. (Alkalin = violet , Acide= Jaune)
  • Anaérobiose(huile)
  • Dans un premier temps, utilisation glucose = acidification, mais en présence de décarboxylase , l’a.a. est dégradé et milieu devient alcalin = redevient violet.
177
Q

Réaction de désamination (2)

A
  • Détecter enzymes désaminases - PDA(phénylalanine) - Tryptophanase
  • Enzyme attaque portion amine de l’a.a.
  • Il en résulte la formation de composés acides.
178
Q

Réaction de désamination (2)

A
  • Détecter enzymes désaminases - PDA(phénylalanine) - Tryptophanase
  • Enzyme attaque portion amine de l’a.a.
  • Il en résulte la formation de composés acides.
  • Aérobiose.
  • Mise en évidence nécessite ajout de réactifs.
  • PDA:M.E.É. de acide phénylpyruvique par ajout de chlorure ferrique = coloration ver olive foncé.
  • Trypto(Indole) : M.E.É de l’indole faite par ajout réactif Kovac/James. Apparition coloration rouge.
179
Q

Test de Nagler

A

Détection de la lécithinase.
- Mise en évidence de l’activité enzymatique de la lécithinase qui agit sur la lécithine (présente dans les oeufs).
- Les diglycérides (produit de la réaction) , sont insolubles dans le milieu; forment précipité (zone de précipitation autour de la strie bactérienne).
Contrôle avec anti-lécithinase sur moitier de la gélose.

180
Q

Réduction des nitrates (NO3)

A

Détecter nitrate-réductase.
- Bouillon contenant NO3.
- Après incubation, ajout de 1)acide sulfanilique et 2)alpha-naphtylamine. Si milieu devient rouge = NO3 réduit en NO2. (NO2+, N2-).
Si aucun changement, ajout de Pd de Zn. Si Coloration rouge = NO3 toujours présent donc NO2-, N2-.
Si aucun changement = Bactérie a réduit nitrates au dela des nitrites en N. NO2-, N2+.

181
Q

Citrate de Simmons

A

Détection de la citrase.

  • Certaines bactéries utilisent le citrate comme source de carbone à l’aide de l’enzyme citrase.
  • Milieu contient citrate seulement(pas de glucose ni protéines)
  • Utilisation citrate = alcalinisation.
  • Bleu de bromothymol.
  • Milieu bleu = (+)
182
Q

Hydrolyse de l’urée

A

Détection de l’uréase.

  • Hydrolyse de l’urée.
  • Produit final = ammoniac
  • pH alcalin (+)
  • Indicateur rouge de phénol.
183
Q

DNase

A

Détecter DNase (désoxyribonucléase)

  • Capacité à dégrader ADN en nucléotides.
  • Bactérie ensemencée sur milieu contenant ADN.
  • Après incubation, ajout révélateur(HCL)
  • Permet mise en évidence nucléotides présents autour de la strie, qui sont soluble dans HCL.
  • Zone claire autour de la strie = (+)
184
Q

Hydrolyse de l’esculine sur milieu bile esculine

A

Enzyme détectée: B-glucosidase.

  • Esculine en esculétine.
  • Esculétine forme précipité noir en présence de citrate ferrique.
  • Bactérie doit être capable de croître en présence de bile.
  • Précipité noir = (+)
185
Q

Hydrolyse de l’hippurate

A

Détecter l’hippuricase

  • Hydrolyse de l’hippurate (en glycine)
  • En présence du révélateur(ninhydrine) la glycine donne une coloration pourpre.
  • Coloration pourpre = (+)