Examen #1 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’un système de communication?

A

C’est un système de signe conventionnalisés qui utilise un canal perceptuel (Sonore/acoustique, visuel, tactile, odorant)

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Q

Quelle science a comme objet d’étude le signe?

A

Sémiologie

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3
Q

Quelle est la composition d’un signe?

A

Élément perceptuel (Forme ou stimulus) et d’un élément porteur de sens (Concept)

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4
Q

Pourquoi le feu de circulation est un système de communication?

A

Système à 3 signes, chaque signe est l’association d’une forme (Stimulus) et d’une idée (concept)

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5
Q

Quelles sont les 2 familles de signes?

A

Non intentionnels (signes naturels)
Intentionnels

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6
Q

Exemple de signes non intentionnels

A

Tonnerre et les éclairs (Forme) qui annoncent un orage
Bâillement (Concept) qui annonce la fatigue

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7
Q

Est-ce que les signes non intentionnels font partie des systèmes de communication? Pourquoi?

A

Non, car il n’y a pas besoin d’une convention entre les êtres vivants pour identifier le concept associé au stimulus

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8
Q

Quel est le synonyme des signes non intentionnels ?

A

Signes naturels

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9
Q

Exemples de signes intentionnels

A
  • Sirène des pompiers (Forme) annonce une urgence
  • Le mot étude (Forme) annonce la rentré ou l’université
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10
Q

Quels sont les 2 types de signes intentionnels?

A

Iconique
Symbolique

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11
Q

Exemples de signes iconiques

A
  • Doigts sur la bouche pour dire de se taire
  • Onomatopées
  • Émojis
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12
Q

Exemples de signes symboliques

A
  • Panneaux « Cédez le passage »
  • Les mots
  • Émoticônes
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13
Q

Vrai ou faux : Les signes symboliques sont arbitraire

A

Vrai, Puisque rien ne motive l’association du percept au concept (Pourquoi un chien est nommé « chien »?)

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14
Q

Qu’est-ce qu’un signe iconique?

A

Il existe un lien entre la forme et le concept.

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15
Q

Vrai ou faux: Le langage est réparti dans le cerveau humain. Il n’est pas localisé dans une seule partie

A

Vrai

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16
Q

Quels sont les rôles de l’hémisphère gauche?

A

Langage
Calcul
Habiletés logiques
Mots
Grammaire

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17
Q

Quels sont les rôles de l’hémisphère droit?

A

Habiletés spatiales
Reconnaissance des visages
Musique
Compréhension du discours
Sarcasme

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18
Q

Quels sont les 6 traits de Hockett étudié en classe?

A

Arbitraire
Déplacement
Productivité ou créativité
Double-articulation
Prévarication
Réflexivité

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19
Q

Définir le trait « Arbitraire » de Hockett

A

Il n’y a pas de lien intrinsèque entre le SL (Mots) et leurs significations.

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20
Q

Définir le traits « déplacement » de Hockett

A

Le langage peut être utiliser pour faire référence à des évènements passés, futurs ou absents dans l’espace immédiat

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21
Q

Définir le trait « productivité ou créativité » de Hockett

A

Les locuteurs peuvent créer et comprendre un nombre infini de phrases en combinant un nombre FINI de mots et de règles grammaticales

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22
Q

Définir le trait de la « double-articulation» de Hockett

A

Le langage est composé de 2 niveau d’unités distincts : des signes percevables (Phonèmes) et des unités de sens (Morphèmes). Ce qui permet la création d’un grand nombre de mots et de phrases à partir d’un nombre limité de sons et de morphèmes de base.

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23
Q

Expliquer le trait « prévarication » de Hockett

A

Renvoie à la possibilité pour les énoncés d’être faux, trompeurs, ou dénués de signification (Dans un sens logique)

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24
Q

Définir le trait « Réflexivité » de Hockett

A

Un locuteur peut communiquer sur la communication elle-même. = Métalinguistique

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25
Q

Quelle caractéristiques est implicitement dans toutes les traits de Hockett?

A

La sémanticité

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26
Q

Qu’est-ce que la sémanticité?

A

La relation fixe entre un signe et une signification

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27
Q

Vrai ou faux : Chez un grand nombre d’espèces, les systèmes de communication sont encodés génétiquement (donc innés)

A

Vrai

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28
Q

Vrai ou faux: Chez les êtres humains, le système de communication est innée

A

Faux: Acquis à la suite d’une exposition à un système pour l’acquérir

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29
Q

Définir la double articulation du langage selon Martinet

A

Les langes sont formées a/p d’un inventaire fini de phonèmes (Représentation mentale des sons) Ces phonèmes se combinent (1ere articulation) entre eux pour former des unités plus grandes (Morphèmes) qui sont porteuses de sens. Ces morphèmes se combinent (2e articulation) eux-mêmes pour former une infinité d’énoncés.

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30
Q

Comment l’humain est créatif avec les systèmes linguistiques?

A
  • L’humain peut construire des énoncés qu’il n’a jamais entendus auparavant.
  • Inventer de nouveaux mots
  • Enrichir le concept d’un signe existant (Le signe devient donc polysémique)
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31
Q

Qu’est-ce que la polysémie?

A

C’est le fait d’utiliser un même percept pour un concept élargie (Ex toile : Toile de peinture, toile d’araignée, toile au cinéma, toile comme rideaux, etc)

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32
Q

Définir le terme langage

A

Faculté qu’ont tous les humains

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33
Q

Définir le terme langue

A

Tous les systèmes linguistiques existant ou ayant existé.

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34
Q

Vrai ou faux: Le langage trouve son actualisation dans la parole, c’est-à-dire dans des instances d’échanges langagiers entre au moins 2 individus.

A

Faux: La langue

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35
Q

Comment se nomme les 2 individus lors d’échanges langagiers?

A

Locuteur et destinataire/allocutaire

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36
Q

Le ____ adresse un énoncé à un allocutaire (_____) dans des circonstances _______ particulières

A

Locuteur
Destinataire
Spatio-temporelles

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37
Q

Quels sont les éléments constitutifs de tout acte d’énonciation qui se réalise dans une situation de communication?

A
  • Acteurs de la communication qui s’échange des connaissances
  • Un temps et un lieu spécifiques
  • Des objets présents, qui constituent l’environnement perceptibles des protagonistes
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38
Q

Vrai ou faux: L’acte d’énonciation se réalise dans un contexte social et culturel

A

Vrai

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39
Q

Vrai ou faux: La langue est multifonctionnelle, mais pas multimodal.

A

Faux : multifonctionnelle et multimodale

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40
Q

Quels sont les indices permettent la multimodalité de la langue?

A

-Niveau sonore
- Expression a/n du visage
- Gestes du corps
- Le silence
- Musique
- Les images
- etc

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41
Q

Qu’est-ce qu’un signe linguistique?

A

Une association entre une idée (Contenu du signe) et une forme

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42
Q

Définir le signe linguistique selon Saussure

A

Le SL est constitué de l’association indissoluble (donc nécessaire) entre un contenu (signifié) du signe et une forme (Signifiant) du signe

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43
Q

Définir « signifié »

A
  • = concept
    Pour Saussure, le signifié relève la psychologie, de la pensée
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44
Q

Définir « signifiant »

A
  • Image acoustique
  • Ce n’est pas le son lui-même (= pas phonème) qui est dans le signifiant.
  • C’est l’abstraction du son qui est dans le signifiant
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45
Q

Vrai ou faux: L’image acoustique est considéré comme le son (phonétique) du mot

A

Faux: N’est pas le son lui-même.

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46
Q

Vrai ou faux: Le son se trouve dans la parole et non dans la langue

A

Vrai

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47
Q

Quels sont les caractéristiques des SL selon Saussure?

A
  • L’arbitraire radical du SL
  • Immutabilité/Mutabilité du système
  • Synchronie/Diachronie
  • Caractère linéaire du SL
  • Système bidimensionnel de la langue (Relation syntagmatique et paradigmatique
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48
Q

Définir « l’arbitraire radical du SL » selon Saussure

A

Association entre le signifiant et le signifié est arbitraire

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49
Q

Qu’est-ce que l’immutabilité et la mutabilité du système de communication selon Saussure?

A

langue = objet social hérité par l’individu, mais il ne peut pas le changer à sa guise (immutable) dû aux conventions.
Mutable: sur sa durée de vie, car il peut y avoir des glissements à différents niveaux.

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50
Q

Qu’est-ce que la synchronie et la diachronie selon Saussure?

A

Synchronie = Idée de réunion dans l’espace ou le temps selon le temps. Le système est donc immutable
Diachronie = Au travers le temps. Le système est donc mutable. (Évolution des faits linguistiques dans le temps)

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51
Q

Expliquer le caractère linéaire du SL selon Saussure

A

Le signifiant du SL est linéaire.
Les sons se produisent un à la fois

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52
Q

Expliquer le système bidimensionnel de la langue

A

Relations syntagmatiques : Qui se manifestent sur l’axe linéaire de la parole, comme une chaîne (Ex: Le- gros- chien)
Relations paradigmatiques: Rapport associatif qui s’observe entre unités qui peuvent figurer dans le même contexte et qui, au moins dans ce contexte, s’excluent mutuellement (Ex: Soie, coton, nylon, laine)

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53
Q
A
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54
Q

Quels sont les pensées des philosophes sur la linguistique?

A

Ils se demandent si les mots sont appropriés pour les
études en philosophie

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55
Q

Une _____ ___ existe aussi, puisque des grammaires et des dictionnaires du
grec, du latin, et d’autres langues sont écrites.

A

Réflexion linguistique

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56
Q

Pourquoi ne dit on pas que la philosophie et la grammaire s’agit de linguistique ?

A
  1. Philosophie :la langue n’est
    pas l’objet d’étude de la discipline.
  2. Grammaires: leur objectif
    n’est pas explicatif.
  3. objectif enseignement de l’écrit
  4. objectif stabilisation de l’écrit
  5. objectif établissement d’une norme
  6. Pour être une science, la linguistique doit se
    constituer dans un cadre avec des règles
    (méthodologie, reproductibilité,
    établissement des axiomes,
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57
Q

Quelles sont les 3 fonctions de la langue?

A

fonction idéationnelle, interpersonnelle et textuelle

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58
Q

Définir la fonction idéationnelle

A

participants, procès, et circonstances

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59
Q

Définir la fonction interpersonnelle de la langue

A

établir et maintenir des relations
personnelles et sociales; réaliser des échanges; la validité et la
modalité d’une proposition

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60
Q

Définir la fonction textuelle de la langue

A

Le ‘tissage’ de texte; l’organisation (orientation)
de la proposition; la cohésion et la cohérence du discours.

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61
Q

Quels sont les différents types d’alphabet?

A
  • Alphabétique (Grec)
  • Alphabet arable
  • alphabet latin
    -Systèmes alphabétiques opaques et transparents (Ex Gallois
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62
Q

Expliquer le Systèmes alphabétiques opaques et transparents

A

Transparent : chaque graphème correspond de façon
unique à un phonème de la langue
Opaque : La correspondance graphème-phonème est
plus variable

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63
Q

Quels sont les types d’écriture ?

A

Logographique
Syllabique

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64
Q

Expliquer le système d’écriture logographique.

A

La correspondance ne se fait pas avec le son de la langue mais plutôt une
idée/concept.

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65
Q

Expliquer le système d’écriture syllabique.

A

chaque graphème représente
une syllabe. Par conséquent, il existe une relation entre la langue parlée et le système d’écriture.

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66
Q

Vrai ou faux : dans le système d’écriture logographique, il existe une relation entre la langue parlé et le système d’écriture

A

Faux : c’est dans le système syllabique

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67
Q

Vrai ou faux : Saussure a reconnu l’importance des systèmes d’écriture, il ne leur a pas accordé la priorité.

A

Vrai: car il soutenait que la langue écrite est, en tant que représentation de la langue parlée, secondaire et dérivée

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68
Q

Que veut dire « faire de la
science »?

A
  • Avoir un objet d’étude
  • basé sur des axiomes (postulats)
  • Élaboration d’hypothèses (questions de recherche)
    -récolter des donnés
  • démontrer que l’hypothèse est vrai ou fausse
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69
Q

Comment la science progresse-t-elle?

A

Comme la science foncSonne avec des hypothèses à
valider ou à réfuter, la science progresse en réfutant le
modèle précédent.

70
Q

La ___ et le ___ des ___ sont essentiels au
progrès de la science.

A

Critique et le jugement des pairs

71
Q

Comment fonctionne la linguistique comme science?

A

La linguistique cherche à
comprendre la faculté du langage et à explique les langues.

72
Q

Quelles sont les données permettant de faire de la linguistique ?

A

• Les données neurolinguistiques ;
• Les données psycholinguistiques ;
• Les données des systèmes
linguistiques (les langues) ;
• Les données de la parole

73
Q

Pourquoi la grammaire prescrite n’est pas considérée comme une science?

A

elle ne fonctionne pas par hypothèse : elle établit le
‘bon’ usage, celui qui est attendu dans les situatiions de
communication formelle.

74
Q

Les linguistes décrivent les données (analyse ___) et
les mesurent (analyse ____).

A

Qualitative
Quantitative

75
Q

Qu’est-ce qu’un corpus?

A

Ensemble des données langagières qu’on recueille pour étudier un phénomène
linguistique

76
Q

Qu’est-ce qui peut être inclus dans un corpus?

A

de l’écrit ou de l’oral ;
• synchronique ou diachronique ;
• d’une région linguistique plus ou moins grande ;
• de certains milieux sociaux, selon des facteurs de variation (âge, scolarité, milieu
de travail, etc.) ;
• dans un contexte de communication plus ou moins formel

77
Q

Pourquoi constituer un corpus?

A

• La lexicographie: construire des dictionnaires
• La traduction
• Les bases de données
• Conservation patrimoniale : conserver des traces des pratiques langagières.
• Aide didactique : exposer des apprenants d’une langue seconde à des pratiques
langagières authentiques.
• Objectif méthodologique : éviter d’utiliser le jugement (l’intuition) linguistique des
chercheurs.

78
Q

Comment faire un corpus?

A

•Le corpus est souvent un échantillon de productions langagières.
• La représentativité d’un corpus est contrôlée par le choix des participants et leur nombre.
• On contrôle souvent la zone géographique pour représenter une variété de langue (le français québécois, le français de Marseille, etc.).
• Des critères sociodémographiques sont aussi souvent contrôlés (âge, genre,
niveau d’étude, profession, etc.)
• À l’oral, les données peuvent être obtenues par entrevue sociolinguistique ou de
façon écologique.
• Pour les langues de signes, les données sont en forme de vidéo, souvent transcrites et annotées

79
Q

Pourquoi utiliser les corpus?

A
  • Pour utiliser des données authentiques
  • Utiliser des données réelles de la langue
80
Q

Quelles sont les 4 opérations linguistiques pour l’analyse des données linguistiques?

A

Remplacement
Ajout
Effacement
Déplacement

81
Q

Pourquoi utiliser le remplacement?

A

Pour savoir si 2 phonèmes sont distincts.

82
Q

Expliquer le remplacement ( l’opération linguistique)

A

remplacement du [p] par le [b] donne un changement de mot (de sens), donc les
phonèmes /p/ et /b/ sont distinctifs. (Ex : Pas pour bas = distinctif)

83
Q

Pourquoi utiliser l’ajout comme opération linguistique?

A

Pour vérifier si un mot est composé ou non

84
Q

Pourquoi utiliser l’effacement comme opération linguistique?

A

Pour voir si une unité est un morphème (Un suffixe)

85
Q

Expliquer l’effacement (opération linguistique)

A

Par exemple, on se demande si –ette un morphème dans cuisinette, cigarette et
vedette
• En effaçant –ette, on obtien cuisin-, cigar- et ved-.
• Une cuisinette est une petite cuisine, une cigarette est un petit cigare, mais une vedette n’est pas une petite *vede.
• Donc –ette n’est pas un morphème dans vedette, mais il en est un dans cuisinette et cigarette

86
Q

Pourquoi utilisons-nous l’opération linguistique du déplacement?

A

Pour vérifier si un constituant appartient au syntagme verbal

87
Q

Expliquer l’opération linguistique du déplacement

A

Soit la phrase Elle étudiera ce dossier de A à Z en septembre.
a) *< Ce dossier >, elle étudiera de A à Z en septembre.
b) *< De A à Z >, elle étudiera ce dossier en septembre.
c) < En septembre >, elle étudiera ce dossier de A à Z.
• Le fait qu’on puisse déplacer en septembre, mais pas ce dossier ni de A à Z indique que ces deux derniers constituants appartiennent au syntagme verbal.

88
Q

Qu’est-ce qu’un lexique?

A

Un réseau de l’ensemble des mots d’une langue ainsi que leur signification, leur forme et leur utilisation

89
Q

Vrai ou faux : Sens = Référence

A

Faux

90
Q

Vrai ou faux: La référence = le sens et la signification

A

Faux

91
Q

Expliquer la notion de référence

A

Référent = le fragment de réalité auquel correspond une expression linguistique

92
Q

Vrai ou faux: La langue n’a pas un SL pour chaque référent

A

Vrai

93
Q

Vrai ou faux: Le concept du SL est plus général (plus abstrait) que le référent

A

Vrai

94
Q

Vrai ou faux: Deux SL, peuvent, dans la parole, avoir la même référence

A

Vrai : Ex ‘’À qui est la VOITURE garée devant la borne?’’ - C’est mon AUTO!

95
Q

Le concept correspond à une _____

A

Catégorie

96
Q

Quels sont les types de définition pour la notion du ‘’concept’’? + les expliquer

A
  • Extension : Le concept est définit par tous les membres de la catégorie
  • Intension : Le concept est définit par les propriétés partagées (+ ou _) par les membres de la catégorie
97
Q

Qu’est-ce que l’hyponymie?

A

Relation hyponymie/hyperonymie entre 2 mots

98
Q

Définir l’hyperonyme et hyponyme

A

Hyperonyme : mot + général (Ex: Mammifères)
Hyponyme : Mot + spécifique/sens + riche (Ex: Chien)

99
Q

Deux hyponymes de même niveau sont des _____

A

Cohyponymes

100
Q

La relation d’hyponymie/hyperonyme est _____. (+ Expliquer le mot)

A

Transitive, Elle reste vraie et correct à travers les niveaux hiérarchiques. Ex (Labrador - chien - mammifère - animal. Chien = animal et Labrador = aussi un chien)

101
Q

Qui suis-je? Terme idéal qui n’est trop ni trop, ni pas assez spécifique quant à la relation hyponymie/hyperonymie

A

Niveau de base

102
Q

Quels sont les types de relations lexicales?

A
  • Hyperonymie
  • Synonymie
  • Antonymie
  • Méronymie
103
Q

Définir la synonymie

A

Ce n’est pas le fait d’avoir deux sens équivalents, mais plutôt d’avoir une identité de sens.

104
Q

Vrai ou faux: Certains mots sont synonymes dans un contexte, mais pas forcément tout le temps.

A

Vrai

105
Q

QUESTIONS DIAPO # 19 PP5

A

106
Q

Il s’agit d’une relation _____ quand on parle de synonyme et d’antonyme

A

Paradigmatique

107
Q

Définir antonymie

A

Une sémantique dite opposante.
Antonyme varie en fonction du contexte et des sens des mots polysémiques.

108
Q

Quels sont les types d’antonymie? + Les expliquer + Exemples

A
  • Complémentaire : La négation d’un terme implique nécessairement l’affirmation de l’autre dans la paires (Ex: Mort/Vivant, ouvert/fermé)
  • Gradables : Il existe des degrés intermédiaires entre deux pôles; la négation d’un terme n’entraîne pas nécessairement l’affirmation de l’autre (Ex: Petit/grand, Chaud/Froid)
109
Q

Quel est le type de relation pour les hyperonymies?

A

Relation entre une classe et un autre plus ou moins générale

110
Q

Quel est le type de relation pour la synonymie?

A

Relation d’équivalence entre deux mots différents

111
Q

Quel est le type de relation lexicales pour l’antonymie?

A

Relation entre deux mots en oppositions de sens

112
Q

Quel est le type de relation lexicales pour la méronymie?

A

Relation entre un tout et ses parties composantes à l’intérieur

113
Q

La relation de la méronymie est une relation hiérarchique ____.

A

Partie-tout

114
Q

Quelles sont les composantes de la méronymie?

A

Homonyme (le ‘’tout‘’)
Méronymie (La ‘’partie’’)

115
Q

Définir Polysémie

A

Mot ayant plusieurs sémantiques (donc plusieurs sens)

116
Q

Définir homophonie

A

Deux signes ont la même prononciation, mais dans sens qui ne sont pas liés.

117
Q

Quelle est la différence entre homophone et homographe?

A

Homophone = mot qui se prononce de la même façon sans avoir le même sens. (Ex: Verre, ver, vers, vert)
Homographe = Mot qui s’écrit pareil sans avoir le même sens (Ex : voler : dans le ciel ou un objet)

118
Q

Définir monosémie

A

Mot ayant une forme = un sens.
Les mots de vocabulaire spécialisé sont monosémiques (Ex: Cathéter)

119
Q

Qu’est-ce qu’un lexème?

A

Une unité du lexique
Une abstraction de toutes les occurrences d’un ‘’mot’’ (Ce qu’on trouve dans les dictionnaires)

120
Q

Pourquoi le terme ‘’ lexème ’’ est préférable d’être employé au lieu du terme ‘’ mot ‘’ ?

A

Car le mot ‘’mot’’ est trop ambigüe pour des discussions linguistiques.

121
Q

Qu’est-ce que le potentielle sémantique?

A

C’est l’ensemble des sens possibles pour les mots.

122
Q

Vrai ou faux: Quand un locuteur utilise un mot, la polysémie n’est pas impliquée

A

Vrai

123
Q

DIPAPO # 32 PP5.. À lire

A
124
Q

Comment un signe devient-il polysémique dans la parole?

A

Par analogie ou par implication

125
Q

Définir Polysémie par analogie

A

Une identité partielle, entre les concepts respectivement associés à ces deux significations, sans utilisation formelle d’un terme de comparaison (On reconnaît la ressemblance)

126
Q

Définir polysémie par implication

A

Si les concepts respectivement associés à ces deux significations sont nécessairement reliés. L’existence d’un des concepts implique celle de l’autre. (Sans qu’on ait besoin de le dire)

127
Q

Nommer des types de polysémie par analogie

A

Analogie de forme
Analogie de position
Analogie de fonction
Analogie de propriété

128
Q

Nommer des types de polysémies par implication

A
  • Le contenant est pris pour exprimer le contenu
  • La partie du tout est prise pour exprimer le tout
    Le tout est pris pour exprimer une partie du tout
  • La matière de l’objet est prise pour exprimer l’objet
  • Le lieu du produit est pris pour exprimer le produit
  • Le nom du créateur est pris pour exprimer sa création
129
Q

Qui suis-je? Réseau de l’ensemble des mots d’une langue ainsi que leur signification, leur forme et leur utilisation

A

Le lexique

130
Q

Qui suis-je? Fragment de réalité auquel correspond une expression linguistique

A

Référent

131
Q

Qui suis-je? Terme correspondant à une catégorie

A

Concept

132
Q

Qui suis-je? Type de relation quand le sens de B est inclus dans le sens de A

A

Hypomynie

133
Q

Qui suis-je? Type de relation qui est transitive : Elle reste vraie et correcte à travers les niveaux hiérarchique

A

Relation hypomynie/hyperonymie

134
Q

Qui suis-je? Relation entre une classe et une autre classe plus ou moins générale (X est un type de Y)

A

Hyperonymie

135
Q

Qui suis-je? Type de relation lexicale où il y a une relation d’équivalence entre des mots différents

A

Synonymie

136
Q

Qui suis-je? Type de relation lexicale où la relation entre deux mots en opposition de sens

A

Antonymie

137
Q

Qui suis-je? Type de relation lexicale où la relation entre un tout et ses parties composantes à l’intérieur. (X fait partie de Y)

A

Méronymie

138
Q

Qui suis-je? Type d’antonyme où la négation d’un terme implique nécessairement l’affirmation de l’autre dans la paire

A

Antonyme en complémentarité

139
Q

Qui suis-je? Type d’antonymie où il existe des degrés intermédiaires entre deux pôles, la négation d’un terme n’entraîne pas nécessairement l’affirmation de l’autre

A

Antonyme gradables

140
Q

Qui suis-je? Le ‘’tout’’ dans la relation de la méronymie.

La ‘’partie’’?

A

‘’ Tout ‘’ : Holonyme
‘’Partie ‘’ : Méronyme

141
Q

Qui suis-je? Mots ayant plusieurs sens

A

Polysémie

142
Q

Qui suis-je? Terme quand deux signes ont la même prononciation, mais des sens qui ne sont pas liés

A

Homophonie

143
Q

Qui suis-je? Mot qui se prononce de la même façon, sans avoir le même sens

A

Homophone

144
Q

Qui suis-je? Mot qui s’écrit de la même façon, sans être le même sens

A

Homographe

145
Q

Qui suis-je? Terme pour identifier un mot qui a un seul sens

A

Monosémie

146
Q

Qui suis-je? Abstraction de toutes les occurrences d’un ‘’mot’’ (ce qu’on trouve dans les dictionnaires)

A

Lexème

147
Q

Qui suis-je? L’ensemble des sens possible pour décrire un mot

A

Le potentielle sémantique

148
Q

Qui suis-je? Patrons de polysémie lorsqu’il existe une ressemblance, une identité partielle, entre les concepts respectivement associés à ces deux signification, sans utilisation formelle d’un terme de comparaison.

A

Polysémie par analogie

149
Q

Qui suis-je? Patrons de polysémie lorsque les concepts respectivement associés à ces deux significations sont nécessairement reliés. L’existence d’un des concepts implique celle de l’autre.

A

Polysémie par implication

150
Q

Qui suis-je? système de signes conventionnalisés

A

Système de communication

151
Q

Qui suis-je? L’objet d’étude de la sémiologie

A

Les signes

152
Q

Qui suis-je? Traits de Hockett : il n’y a pas de lien intrinsèque entre les signes linguistiques (mots) et leurs signification

A

Arbitraire

153
Q

Qui suis-je? Traits de Hockett : Le langage peut être utiliser pour faire référence à des évènements passés, futurs ou absents dans l’espace immédiat

A

Déplacement

154
Q

Qui suis-je? Trait de Hockett : Les locuteurs peuvent créer et comprendre un nombre infini de phrases en combinant un nombre fini de mots et de règles grammaticales

A

Productivité

155
Q

Qui suis-je? Trait de Hockett : Le langage est composé de deux niveau d’unités distincts : Des signes percevables (Phonèmes) et des unités de sens (Ex: Morphèmes).

A

Double articulation

156
Q

Qui suis-je? Traits de Hockett : Renvoie à la possibilité pour les énoncés d’être faux, trompeurs, ou dénués de signification (dans un sens logique)

A

Prévarication

157
Q

Qui suis-je? Trait de Hockett : Un locuteur peut communiquer sur la communication elle-même

A

Réflexivité

158
Q

Qui suis-je? Faculté qu’on tous les être humains. L’enfant développe naturellement cette faculté, normalement sans effort

A

Le langage

159
Q

Qui suis-je? Terme qui réfère à tous les systèmes linguistiques existant ou ayant existé

A

Langue

160
Q

Qui suis-je? Image acoustique

A

Signifiant

161
Q

Qui suis-je? Terme utilisé par Saussure pour nommer le concept

A

Le signifié

162
Q

Qui suis-je? Type de système alphabétique dans lequel chaque graphème correspond de façon unique à un phonème de la langue

A

Système transparent

163
Q

Qui suis-je? Type de système alphabétique où il y a une correspondance graphème-phonème est plus variable.

A

Système alphabétique opaque

164
Q

Qui suis-je? Système d’écriture où la correspondance ne se fait pas avec le son de la langue mais plutôt une idée/concept

A

Système d’écriture logographique

165
Q

Qui suis-je? Système d’écriture où chaque graphème représente une syllabe. Il y a donc une relation entre la langue parlée et le système d’écriture

A

Système d’écriture syllabique

166
Q

Qui suis-je? L’ensemble des données langagières qu’on recueille pour étudier un phénomène linguistique

A

Corpus

167
Q

Qui suis-je? Opération linguistique utiliser pour savoir si deux phonèmes sont distinctifs

A

Remplacement

168
Q

Qui suis-je? Opération linguistique utiliser pour vérifier si un mot est composé ou non

A

L’ajout

169
Q

Qui suis-je? Opération linguistique utiliser pour voir si une unité est un morphème (Un suffixe)

A

L’effacement

170
Q

Qui suis-je? Opération linguistique utiliser pour vérifier si un constituant appartient au syntagme verbal

A

Le déplacement