EXAM Blanc Flashcards

1
Q

Un jeune homme de 28 ans, sans aucun antécédent particulier personnel ou familial se plaint de douleurs dans la poitrine. Décrivez les grandes lignes de votre interrogatoire (à l’exclusion de la recherche des antécédents puisqu’il n’en a pas)

A
  • Type de douleur ?
  • Depuis combien de temps ?
  • Facteur déclenchant ?
  • Durée ?
  • Intensité ?
  • Irradiations ?
  • Signes accompagnateurs (palpitation, angoisse) ?
  • FDR (tabac) ?
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Q

Ils ne fume pas. Ses douleurs siègent sur la pointe du cœur, elles n’ont pas d’irradiation, il s’agit d’une sensation de piqure, elle dure très peu, ça l’angoisse mais ça ne l’empêche pas de faire régulièrement son jogging. Quels est le diagnostic le plus probable ? Que faites vous, avant de prescrire d’éventuels examens complémentaires ?

A

Algies pré-cordiales.

Faire examen clinique

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Q

Son examen clinique général et cardiaque est normal, la tension est à 130/80, le pouls à 62. Quels examens complémentaires demandez-vous ?

A

ECG, biologie (troponine, D-dimères, cholestérol)

D-dimères est pour embolie

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Q

L’hémogramme, la fonction rénale, le bilan biologique de base, la troponine, les D-Dimères, l’ECG sont normaux que dites vous à ce patient ?

A

Tout est normal, il faut le rassurer. C’est plus due au stress

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5
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à cinq
A - La dépolarisation ventriculaire correspond au segment ST de l’électrocardiogramme
B - Lors d’un infarctus, les anomalies de l’ECG précèdent souvent les premiers signes cliniques
C - Les extrasystoles ventriculaires ont un QRS fin
D - L’épreuve d’effort est contre-indiquée dans l’infarctus récent
E - le bloc auriculo-ventriculaire du premier degré se caractérise par une diminution de l’espace PR sur l’ECG

A

A - La dépolarisation ventriculaire correspond au segment ST de l’électrocardiogramme –> NON, c’est la repolarisation ventriculaire
B - Lors d’un infarctus, les anomalies de l’ECG précèdent souvent les premiers signes cliniques –> FAUX, souvent inverse
C - Les extrasystoles ventriculaires ont un QRS fin –> NON
D - L’épreuve d’effort est contre-indiquée dans l’infarctus récent–> OUI
E - le bloc auriculo-ventriculaire du premier degré se caractérise par une diminution de l’espace PR sur l’ECG –> NON, c’est une augmentation de espace PR sup a 20 centième

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6
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à cinq
A - Le risque absolu s’exprime en pourcentage sur une période
B - Le LDL cholestérol est le « bon » cholestérol
C - La femme après la ménopause est plus exposée que l’homme aux maladies cardio-vasculaires
D - Le traitement hormonal substitutif de la ménopause diminue le risque cardio-vasculaire
E - L’augmentation de la CRP+ est un facteur de risque cardio-vasculaire validé

A

A - Le risque absolu s’exprime en pourcentage sur une période –> OUI
B - Le LDL cholestérol est le « bon » cholestérol – > NON, c’est du mauvais
C - La femme après la ménopause est plus exposée que l’homme aux maladies cardio-vasculaires –> NON, plus exposé que si elle est pas ménopausé mais pas plus que l’homme
D - Le traitement hormonal substitutif de la ménopause diminue le risque cardio-vasculaire –> NON
E - L’augmentation de la CRP+ est un facteur de risque cardio-vasculaire validé –> NON, c’est non validé

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7
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à cinq
A - Le souffle péricardique est pathognomonique de la péricardite
B - Les anomalies ECG de la péricardite sont strictement les mêmes que celles d’un infarctus
C - La plupart des péricardites sont d’origine virale
D - La biopsie du péricarde est indispensable au diagnostic de certaines péricardites
E - La douleur de la péricardite diminue en inspiration forcée

A

A - Le souffle péricardique est pathognomonique de la péricardite –> OUI
B - Les anomalies ECG de la péricardite sont strictement les mêmes que celles d’un infarctus –> NON
C - La plupart des péricardites sont d’origine virale –> OUI
D - La biopsie du péricarde est indispensable au diagnostic de certaines péricardites –> OUI
E - La douleur de la péricardite diminue en inspiration forcée –> NON, elle augmente. Diminue quand se penche en avant

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8
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à cinq
A - Le rétrécissement aortique donne un souffle diastolique
B - L’insuffisance mitrale est responsable d’une surcharge de pression du ventricule gauche
C - L’insuffisance aortique donne un souffle systolique
D - L’usage d’amphétamines peut donner des valvulopathies VRAI
E - La fibrillation auriculaire complique volontiers le rétrécissement mitral

A

A - Le rétrécissement aortique donne un souffle diastolique –> NON, systolique
B - L’insuffisance mitrale est responsable d’une surcharge de pression du ventricule gauche –> NON
C - L’insuffisance aortique donne un souffle systolique -> NON, diastolique
D - L’usage d’amphétamines peut donner des valvulopathies –> VRAI
E - La fibrillation auriculaire complique volontiers le rétrécissement mitral–> OUI

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9
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à cinq
A - la fièvre est quasi constante dans les endocardites
B - Le diagnostic d’endocardite repose sur l’hémoculture et l’échocardiographie
C - Les endocardites peuvent être responsables de méningite
D - Le traitement des endocardites est chirurgical dans la majorité des cas
E - La prévention des endocardites repose sur l’antibiothérapie dans des situations à risque chez des malades porteurs de valvulopathie

A

A - la fièvre est quasi constante dans les endocardites -> OUI
B - Le diagnostic d’endocardite repose sur l’hémoculture et l’échocardiographie –> OUI
C - Les endocardites peuvent être responsables de méningite –> OUI
D - Le traitement des endocardites est chirurgical dans la majorité des cas –> NON, majoritairement le trt médical suffit
E - La prévention des endocardites repose sur l’antibiothérapie dans des situations à risque chez des malades porteurs de valvulopathie –> OUI

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10
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à cinq
A - L’hypertension artérielle n’est pas une maladie
B - On parle d’hypertension pour des chiffres supérieurs à 140mmHg de tension systolique
C - Les vertiges sont signes d’une hypertension grave
D - La majorité des HTA sont d’origine endocrinienne
E - L’insuffisance rénale terminale (avec nécessité de greffe et/ou dialyse) est une complication fréquente de l’hypertension artérielle

A

A - L’hypertension artérielle n’est pas une maladie –> OUI, c’est un FDR
B - On parle d’hypertension pour des chiffres supérieurs à 140mmHg de tension systolique –> NON, il y a pas de chiffre normal de la tension
C - Les vertiges sont signes d’une hypertension grave –> NON
D - La majorité des HTA sont d’origine endocrinienne–> NON, idiopathique
E - L’insuffisance rénale terminale (avec nécessité de greffe et/ou dialyse) est une complication fréquente de l’hypertension artérielle –> NON, c’est rare

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11
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à cinq
A - la douleur de l’infarctus est rétro sternale, constrictive
B - Le dosage de la BNP est utile au diagnostic d’infarctus
C - Devant une douleur d’infarctus, une asymétrie tensionnelle évoque une dissection aortique
D - Un bloc de branche gauche gêne l’interprétation de l’ECG en cas d’infarctus
E - Une dyspnée accompagne fréquemment l’infarctus

A

A - la douleur de l’infarctus est rétro sternale, constrictive –> OUI
B - Le dosage de la BNP est utile au diagnostic d’infarctus –> NON, la troponine
C - Devant une douleur d’infarctus, une asymétrie tensionnelle évoque une dissection aortique –> OUI
D - Un bloc de branche gauche gêne l’interprétation de l’ECG en cas d’infarctus –> OUI
E - Une dyspnée accompagne fréquemment l’infarctus –> NON, elle peut

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12
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à cinq
A - Les cancers en sont un facteur favorisant les phlébites
B - Des D-Dimères bas permettent d’écarter le diagnostic de phlébite
C - Le principal diagnostic différentiel est le traumatisme musculaire du mollet
D - En cas de phlébite, l’ECG est systématique
E - la diminution du ballotement passif dans la phlébite s’appelle signe de Homans

A

A - Les cancers en sont un facteur favorisant les phlébites –> OUI
B - Des D-Dimères bas permettent d’écarter le diagnostic de phlébite –> OUI
C - Le principal diagnostic différentiel est le traumatisme musculaire du mollet –> OUI
D - En cas de phlébite, l’ECG est systématique –> OUI car on craint une embolie pulmonaire
E - la diminution du ballotement passif dans la phlébite s’appelle signe de Homans –> NON, signe de Homans c’est quand on force la dorsiflexion du pied et que ca fait mal

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13
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à cinq
A - les signes fonctionnels de l’embolie pulmonaire sont dominés par la toux et la dyspnée
B - la radio pulmonaire est normale dans 30% des cas d’embolie pulmonaire
C - l’examen de référence pour le diagnostic d’embolie pulmonaire est l’angiographie pulmonaire
D - Une pancréatite aiguë est un diagnostic différentiel d’embolie pulmonaire
E - Le diagnostic d’embolie pulmonaire est le plus souvent aisé

A

A - les signes fonctionnels de l’embolie pulmonaire sont dominés par la toux et la dyspnée –> NON
B - la radio pulmonaire est normale dans 30% des cas d’embolie pulmonaire –> OUI
C - l’examen de référence pour le diagnostic d’embolie pulmonaire est l’angiographie pulmonaire –> OUI, souvent angioscanner est fait et suffit aussi
D - Une pancréatite aiguë est un diagnostic différentiel d’embolie pulmonaire –> OUI
E - Le diagnostic d’embolie pulmonaire est le plus souvent aisé –> NON

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14
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à cinq
A - l’aspirine est un antiagrégant plaquettaire
B - le caillot est constitué de fibrinogène
C - l’INR explore l’hémostase primaire
D - l’héparine est un antivitaminique K
E - l’acronyme PPSB désigne les facteurs de la coagulation vitamino-K dépendants

A

A - l’aspirine est un antiagrégant plaquettaire –> OUI
B - le caillot est constitué de fibrinogène –> NON, de fibrine
C - l’INR explore l’hémostase primaire –> NON, l’hémostase secondaire
D - l’héparine est un antivitaminique K –> NON
E - l’acronyme PPSB désigne les facteurs de la coagulation vitamino-K dépendants –> OUI

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15
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à cinq
A - la plupart des fibrillations auriculaires sont idiopathiques (sans causes)
B - La constatation d’une fibrillation auriculaire impose la recherche d’une hyperthyroïdie
C - le traitement anticoagulant s’impose dans toutes les fibrillations auriculaires
D - Le simple ralentissement de la fréquence cardiaque est une option envisageable dans la fibrillation auriculaire
E - La fibrillation auriculaire est fréquente chez l’adulte jeune

A

A - la plupart des fibrillations auriculaires sont idiopathiques (sans causes) –> NON, cardiaques
B - La constatation d’une fibrillation auriculaire impose la recherche d’une hyperthyroïdie –> OUI
C - le traitement anticoagulant s’impose dans toutes les fibrillations auriculaires –> NON, si score CHA >2
D - Le simple ralentissement de la fréquence cardiaque est une option envisageable dans la fibrillation auriculaire –> OUI
E - La fibrillation auriculaire est fréquente chez l’adulte jeune –> NON

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16
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à cinq
A - le périmètre de marche évalue la gravité d’une artériopathie des membres inférieurs
B - l’angio IRM est l’examen clé pour le diagnostic
C - les artérites inflammatoires sont les plus fréquentes
D - La chirurgie est indiquée dés le stade II
E - le tabagisme est le principal facteur de risque de l’artérite des membres inférieurs

A

A - le périmètre de marche évalue la gravité d’une artériopathie des membres inférieurs –> OUI
B - l’angio IRM est l’examen clé pour le diagnostic–> NON, c’est l’échographie
C - les artérites inflammatoires sont les plus fréquentes –> NON, athérosclérose
D - La chirurgie est indiquée dés le stade II –> NON, stade III
E - le tabagisme est le principal facteur de risque de l’artérite des membres inférieurs –> OUI

17
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à quatre
A - L’accident vasculaire cérébral ischémique, par thrombose est plus fréquent que l’accident hémorragique
B - Peu importe la nature ischémique ou hémorragique de l’AVC, car la prise en charge reste la même
C - Pour le diagnostic d’AVC le meilleur examen est le scanner
D - La survenue brutale d’un trouble de la parole qui a disparu en moins d’une demi-heure, nécessite l’appel au centre 15

A

A - L’accident vasculaire cérébral ischémique, par thrombose est plus fréquent que l’accident hémorragique –> OUI (70%)
B - Peu importe la nature ischémique ou hémorragique de l’AVC, car la prise en charge reste la même –> NON
C - Pour le diagnostic d’AVC le meilleur examen est le scanner –> NON, c’est IRM
D - La survenue brutale d’un trouble de la parole qui a disparu en moins d’une demi-heure, nécessite l’appel au centre 15 –> OUI

18
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à quatre
A - Un état de mal convulsif se définit comme une crise épileptique ou série de crises, sans récupération complète de la conscience d’une durée supérieure à 30 minutes
B - Les convulsions fébriles dans l’enfance sont une des causes principales des épilepsies à l’âge adulte
C - Devant un patient agité, l’utilisation de sédatifs par voie injectable est le premier geste à faire
D - Les convulsions fébriles simples sont les convulsions les plus fréquentes chez l’enfant

A

A - Un état de mal convulsif se définit comme une crise épileptique ou série de crises, sans récupération complète de la conscience d’une durée supérieure à 30 minutes
B - Les convulsions fébriles dans l’enfance sont une des causes principales des épilepsies à l’âge adulte
C - Devant un patient agité, l’utilisation de sédatifs par voie injectable est le premier geste à faire
D - Les convulsions fébriles simples sont les convulsions les plus fréquentes chez l’enfant

19
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à quatre
A - Un état de mal convulsif se définit comme une crise épileptique ou série de crises, sans récupération complète de la conscience d’une durée supérieure à 30 minutes
B - Les convulsions fébriles dans l’enfance sont une des causes principales des épilepsies à l’âge adulte
C - Devant un patient agité, l’utilisation de sédatifs par voie injectable est le premier geste à faire
D - Les convulsions fébriles simples sont les convulsions les plus fréquentes chez l’enfant

A

A - Un état de mal convulsif se définit comme une crise épileptique ou série de crises, sans récupération complète de la conscience d’une durée supérieure à 30 minutes –> OUI
B - Les convulsions fébriles dans l’enfance sont une des causes principales des épilepsies à l’âge adulte –> NON
C - Devant un patient agité, l’utilisation de sédatifs par voie injectable est le premier geste à faire –> NON, essayer d’établir un contact puis si on y arrive pas sédatifs
D - Les convulsions fébriles simples sont les convulsions les plus fréquentes chez l’enfant –> OUI

20
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à quatre
A - Devant une sciatique, les examens d’imagerie sont nécessaire d’emblée, alors que ce n’est pas le cas devant une lombalgie commune
B - Le syndrome de la queue de cheval se définit par l’apparition de signes sphinctériens et surtout d’une incontinence ou d’une rétention, d’une hypoesthésie périnéale ou des organes génitaux externes
C - Une lombalgie avec fièvre et syndrome inflammatoire biologique est une urgence
D - Les atteintes articulaires des arthrites entrainent une importante limitation à la mobilisation active et passive, alors que les atteintes périarticulaires se caractérisent par une limitation surtout de la mobilisation active

A

A - Devant une sciatique, les examens d’imagerie sont nécessaire d’emblée, alors que ce n’est pas le cas devant une lombalgie commune –> NON
B - Le syndrome de la queue de cheval se définit par l’apparition de signes sphinctériens et surtout d’une incontinence ou d’une rétention, d’une hypoesthésie périnéale ou des organes génitaux externes –> OUI
C - Une lombalgie avec fièvre et syndrome inflammatoire biologique est une urgence –> OUI, évoque une spondylodiscite
D - Les atteintes articulaires des arthrites entrainent une importante limitation à la mobilisation active et passive, alors que les atteintes périarticulaires se caractérisent par une limitation surtout de la mobilisation active –> OUI

21
Q

Cochez la réponse juste, sachant qu’il y en a de une à quatre
A - La cause la plus fréquente du syndrome de Lyell est l’allergie à la pénicilline
B - Une hospitalisation s’impose devant une bronchiolite survenant chez un nourrisson de un mois
C - une antibiothérapie précoce évite les complications pulmonaires de la bronchiolite
D - la présence d’un pli cutané persistant, d’un temps de recoloration capillaire de plus de 2 secondes, d’une polypnée augmentent la probabilité d’une déshydratation chez l’enfant

A

A - La cause la plus fréquente du syndrome de Lyell est l’allergie à la pénicilline –> NON
B - Une hospitalisation s’impose devant une bronchiolite survenant chez un nourrisson de un mois –> OUI, si il a moins de 6 semaines
C - une antibiothérapie précoce évite les complications pulmonaires de la bronchiolite –> NON
D - la présence d’un pli cutané persistant, d’un temps de recoloration capillaire de plus de 2 secondes, d’une polypnée augmentent la probabilité d’une déshydratation chez l’enfant –> OUI

22
Q

Citez les trois grandes classes de syncopes

A

Reflexes, Hypotension orthostatique, cardiaque

23
Q

Citez trois signes de gravité à rechercher lors d’une pneumopathie

A

Trouble de la conscience, pouls > 125/min, fréquence respiratoire > 30/min, TA<90 mmHg

24
Q

Citez trois signes de gravité à rechercher lors d’une colique néphrétique

A

SIgnes infectieux

  • Insuffisance rénale
  • Oligurie/ anurie
  • Immunosuppresion
  • Traumatisme
  • Patho rénale ou urologie connue
  • Echec du trt antalgique
  • Colique néphrétique bilatérale
  • Rein unique (fonctionnel ou anatomique)
  • Taille du calcul (>6mm)
25
Q

Cet homme de 63 ans, diabétique de type 2 depuis l’âge de 55 ans et hypertendu prend comme traitement Metformine et un inhibiteur de l’enzyme de conversion qui stabilisent bien ces deux pathologies. Vous le suivez en tant que chiropracteur pour une lombalgie commune.

Il vous dit que ce matin, en faisant les courses, il a senti une faiblesse dans ses jambes qui l’a obligé à se retenir à son chariot pour ne pas tomber. Ça a duré moins d’une minute et maintenant tout va bien. Que cela fait-il craindre ? Décrivez les grandes lignes de votre interrogatoire et de votre examen clinique dans l’optique de ce diagnostic.

A

AIT

26
Q

Cet homme de 63 ans, diabétique de type 2 depuis l’âge de 55 ans et hypertendu prend comme traitement Metformine et un inhibiteur de l’enzyme de conversion qui stabilisent bien ces deux pathologies. Vous le suivez en tant que chiropracteur pour une lombalgie commune.

Il vous dit que ce matin, en faisant les courses, il a senti une faiblesse dans ses jambes qui l’a obligé à se retenir à son chariot pour ne pas tomber. Ça a duré moins d’une minute et maintenant tout va bien. Que cela fait-il craindre ? Décrivez les grandes lignes de votre interrogatoire et de votre examen clinique dans l’optique de ce diagnostic.

A

AIT

Interrogatoire :

  • Demander si faiblesse dans mb sup
  • es ce que vous avez eu des troubles de la parole ?
  • Es ce que ca été brutale ?
  • Es ce qu’il y a eu des vertiges ?
27
Q

Cet homme de 63 ans, diabétique de type 2 depuis l’âge de 55 ans et hypertendu prend comme traitement Metformine et un inhibiteur de l’enzyme de conversion qui stabilisent bien ces deux pathologies. Vous le suivez en tant que chiropracteur pour une lombalgie commune.

Il vous dit que ce matin, en faisant les courses, il a senti une faiblesse dans ses jambes qui l’a obligé à se retenir à son chariot pour ne pas tomber. Ça a duré moins d’une minute et maintenant tout va bien. Que cela fait-il craindre ? Décrivez les grandes lignes de votre interrogatoire et de votre examen clinique dans l’optique de ce diagnostic.

A

AIT

Interrogatoire :

  • Demander si faiblesse dans mb sup
  • es ce que vous avez eu des troubles de la parole ?
  • Es ce que ca été brutale ?
  • Es ce qu’il y a eu des vertiges ?

Examen clinique : examen neuro (gonfler joues, si il sent les mains sur son visage, si son regard peut suivre doigt de l’examinateur) et complet

28
Q

L’examen neurologique est normal mais l’auscultation cardiaque relève un coeur rapide (130/minutes) et très irrégulier. Que faites-vous ?

A

On appelle le centre 15

29
Q

Que dites-vous au régulateur du centre 15 ?

A

IL a présenté des signes qui peuvent évoquer une AIT, et il a une fibrillation auriculaire qui est une cause possible d’AIT