Émotions p. 152 - QCM Flashcards

1
Q
  1. Quelle partie des fonctions motivationnelles est affectée à la régulation des besoins de base de l’organisme comme l’alimentation ou l’hydratation ?
    A. Les émotions
    B. Les instincts
    C. Les réactions adaptatives
    D. Les stimuli significatifs
    E. Les patrons de réactions
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les émotions
« Une partie des fonctions motivationnelles est affectée à la régulation des besoins de base de l’organisme comme l’alimentation ou l’hydratation. » (p. 152)

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2
Q
  1. Selon Darwin (1872), comment sont considérées les émotions fondamentales ?
    A. Comme des instincts
    B. Comme des stimuli significatifs
    C. Comme des patrons de réactions
    D. Comme des réactions adaptatives typiques de l’espèce
    E. Comme des constellations de réactions
    F. Aucune de ces réponses
A

A et D

« Depuis Darwin (1872), on considère que les émotions fondamentales sont des instincts, des réactions adaptatives typiques de l’espèce. » (p. 152)

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3
Q
  1. Quels sont les rôles des émotions ?
    A. Lié à la survie
    B. Social
    C. A et B
    D. Aucun de ces rôles
    E. Les émotions n’ont pas de rôle
    F. Aucune de ces réponses
A

C. A et B
« Les émotions ont souvent un rôle lié à la survie (sécurité, alimentation, … ) ou un rôle social (attachement, statut, … ). » (p. 152)

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4
Q
  1. Quels animaux ont des émotions similaires à celles des humains ?
    A. Les gorilles
    B. Les bonobos
    C. A et B
    D. Aucun de ces animaux
    E. Tous les mammifères
    F. Aucune de ces réponses
A

C. A et B
« Elles sont présentes chez la plupart des mammifères et les grands singes ont des émotions similaires à celles des humains. Par exemple, les gorilles montrent des réactions de deuil, des rires et des pleurs et les bonobos sont capables d’empathie

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5
Q
  1. Comment sont appris la plupart des déclencheurs des émotions ?
    A. Par instinct
    B. Par adaptation
    C. Au gré de nos expériences
    D. Par imitation
    E. Par apprentissage
    F. Aucune de ces réponses
A

C. Au gré de nos expériences
« La plupart des déclencheurs des émotions ont été appris au gré de nos expériences. » (p. 152)

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6
Q
  1. Qu’est-ce qui peut apparaître seulement à des intensités plus élevées ?
    A. Les émotions
    B. Les instincts
    C. Certaines composantes des patrons de réactions
    D. Les stimuli significatifs
    E. Les patrons de réactions
    F. Aucune de ces réponses
A

C. Certaines composantes des patrons de réactions
« Les patrons de réactions déclenchés sont relativement fixes, sauf que certaines composantes peuvent apparaître seulement à des intensités plus élevées. » (p. 152)

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7
Q
  1. Qu’est-ce qui active l’organisme dans des situations importantes pour son adaptation et sa survie ?
    A. Les émotions
    B. Les instincts
    C. Les réactions adaptatives
    D. Les stimuli significatifs
    E. Les patrons de réactions
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les émotions
« D’autres fonctions motivationnelles comme les émotions, activent l’organisme dans des situations importantes pour son adaptation et sa survie comme les dangers, la compétition ou l’attachement aux proches. » (p. 152)

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8
Q
  1. Qu’est-ce qui sert de signaux d’alerte et de motivation à agir malgré leurs effets perturbateurs ?
    A. Les émotions
    B. Les instincts
    C. Les réactions adaptatives
    D. Les stimuli significatifs
    E. Les patrons de réactions
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les émotions
« Malgré leurs effets perturbateurs, les émotions sont essentielles, car elles servent de signaux d’alerte et de motivation à agir. » (p. 152)

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9
Q
  1. Quels sont les trois types de réactions que comportent les émotions ?
    A. Viscérales, Motrices, Cognitives
    B. Instinctives, Adaptatives, Cognitives
    C. Viscérales, Musculaires, Cognitives
    D. Instinctives, Musculaires, Cognitives
    E. Viscérales, Adaptatives, Cognitives
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Viscérales, Motrices, Cognitives
« Les émotions comportent trois types de réactions: 1) Viscérales (ex: activation sympathique, sécrétion d’hormones), 2) Motrices (ex: expressions faciales, crispation, sursauts, cris, fuite) et 3) Cognitives (ex: sentiments, réminiscences, hypervigilance). L’émotion subjective est produite par une combinaison d’activités viscérales, motrices et cognitives. Les sensations viscérales proviennent de réactions comme les nœuds à l’estomac ou l’accélération cardiaque. » (p. 152)

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10
Q
  1. Qu’est-ce qui est produit par une combinaison d’activités viscérales, motrices et cognitives ?
    A. L’émotion subjective
    B. L’émotion objective
    C. L’émotion instinctive
    D. L’émotion adaptative
    E. L’émotion cognitive
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’émotion subjective
« Les émotions comportent trois types de réactions: 1) Viscérales (ex: activation sympathique, sécrétion d’hormones), 2) Motrices (ex: expressions faciales, crispation, sursauts, cris, fuite) et 3) Cognitives (ex: sentiments, réminiscences, hypervigilance). L’émotion subjective est produite par une combinaison d’activités viscérales, motrices et cognitives. Les sensations viscérales proviennent de réactions comme les nœuds à l’estomac ou l’accélération cardiaque. » (p. 152)

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11
Q
  1. Qu’est-ce qui provient des crispations du visage, de la mâchoire, du dos et des membres ?
    A. Les sensations viscérales
    B. Les sensations musculaires
    C. Les sensations cognitives
    D. Les sensations instinctives
    E. Les sensations adaptatives
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Les sensations musculaires
« L’émotion subjective est produite par une combinaison d’activités viscérales, motrices et cognitives. Les sensations musculaires proviennent des crispations du visage, de la mâchoire, du dos et des membres. Les émotions ont plusieurs composantes cognitives: » (p. 152)

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12
Q
  1. Quelle composante cognitive des émotions peut conduire à une hypervigilance et une distractibilité ?
    A. L’orientation involontaire de l’attention vers des objets pertinents
    B. L’évocation involontaire de souvenirs pertinents
    C. L’évaluation du degré de contrôle
    D. L’évaluation de l’effort anticipé
    E. L’évaluation de la responsabilité
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’orientation involontaire de l’attention vers des objets pertinents
« Les sensations musculaires proviennent des crispations du visage, de la mâchoire, du dos et des membres. Les émotions ont plusieurs composantes cognitives: 1) L’orientation involontaire de l’attention vers des objets pertinents (ex: ombres, regards) qui peut conduire à une hypervigilance et une distractibilité 2) L’évocation involontaire de souvenirs pertinents (ex: autres dangers, autres frustrations) » (p. 152)

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13
Q
  1. Quelle composante cognitive des émotions évalue l’effort anticipé ?
    A. L’orientation involontaire de l’attention vers des objets pertinents
    B. L’évocation involontaire de souvenirs pertinents
    C. L’évaluation du degré de contrôle
    D. L’évaluation de l’effort anticipé
    E. L’évaluation de la responsabilité
    F. Aucune de ces réponses
A

D. L’évaluation de l’effort anticipé
« 3) L’évaluation du degré de contrôle (ex: faible dans la peur, élevé dans la colère) 4) L’évaluation de l’effort anticipé (ex: faible dans la joie, élevé dans la tristesse) 5) L’évaluation de la responsabilité (ex: notre colère est la faute de l’autre) » (p. 152)

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14
Q
  1. Qu’est-ce qui peut créer une boucle émotion-cognition-émotion ?
    A. L’anticipation d’évènements
    B. L’activation d’images mentales
    C. L’activité cognitive liée à une émotion
    D. A et B
    E. A, B et C
    F. Aucune de ces réponses
A

E. A, B et C
« 5) L’évaluation de la responsabilité (ex: notre colère est la faute de l’autre) L’activité cognitive liée à une émotion facilite son interprétation, elle peut la moduler et elle peut aussi l’entretenir par l’anticipation d’évènements et l’activation d’images mentales qui déclenchent la même émotion, créant ainsi une boucle émotion-cognition-émotion. L’émotion subjective dépend aussi de l’activité cognitive d’interprétation associée à l’émotion. » (p. 152)

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15
Q
  1. Qu’est-ce qui peut être ressenti comme de la peur ou de la joie selon le contexte social et cognitif ?
    A. Une activation physiologique non spécifique
    B. Une activation cognitive non spécifique
    C. Une activation émotionnelle non spécifique
    D. Une activation instinctive non spécifique
    E. Une activation adaptative non spécifique
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Une activation physiologique non spécifique
« L’émotion subjective dépend aussi de l’activité cognitive d’interprétation associée à l’émotion. Lazarus a montré qu’une activation physiologique non spécifique (ex: une dose d’adrénaline) peut être ressentie comme de la peur ou de la joie selon le contexte social et cognitif. » (p. 152)

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16
Q
  1. Qu’est-ce qui dépend aussi de l’activité cognitive d’interprétation associée à l’émotion ?
    A. L’émotion subjective
    B. L’émotion objective
    C. L’émotion instinctive
    D. L’émotion adaptative
    E. L’émotion cognitive
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’émotion subjective
« L’émotion subjective dépend aussi de l’activité cognitive d’interprétation associée à l’émotion. Lazarus a montré qu’une activation physiologique non spécifique (ex: une dose d’adrénaline) peut être ressentie comme de la peur ou de la joie selon le contexte social et cognitif. » (p. 152)

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17
Q
  1. Quel est le centre de contrôle primaire des réponses viscérales, motrices et endocriniennes des émotions ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’hypothalamus
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’hypothalamus
« L’hypothalamus est le centre de contrôle primaire des réponses viscérales, motrices et endocriniennes des émotions12. Il est responsable de l’activation du système nerveux autonome (viscéral) présente dans toutes les émotions. La stimulation de l’hypothalamus antérieur a des effets parasympathiques (digestion, décélération cardiaque) tandis que la stimulation de l’hypothalamus latéral a des effets sympathiques (accélération cardiaque, respiratoire … ). » (p. 155)

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18
Q
  1. Qu’est-ce qui est responsable de l’activation du système nerveux autonome présent dans toutes les émotions ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’hypothalamus
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’hypothalamus
« L’hypothalamus est le centre de contrôle primaire des réponses viscérales, motrices et endocriniennes des émotions. Il est responsable de l’activation du système nerveux autonome (viscéral) présente dans toutes les émotions. La stimulation de l’hypothalamus antérieur a des effets parasympathiques (digestion, décélération cardiaque) tandis que la stimulation de l’hypothalamus latéral a des effets sympathiques (accélération cardiaque, respiratoire … ). » (p. 155)

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19
Q
  1. Qu’est-ce qui peut provoquer la peur lorsqu’il est stimulé dans les zones médianes ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’hypothalamus
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’hypothalamus
« L’hypothalamus a des liens étroits avec les autres régions du système limbique dont l’amygdale et le cortex frontal, deux structures qui régulent son activité. La stimulation dans les zones médianes de l’hypothalamus peut provoquer la peur. La stimulation de l’hypothalamus peut aussi provoquer de l’agressivité ou une excitation sexuelle. » (p. 155)

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20
Q
  1. Qu’est-ce qui peut provoquer de l’agressivité ou une excitation sexuelle lorsqu’il est stimulé ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’hypothalamus
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’hypothalamus
« La stimulation dans les zones médianes de l’hypothalamus peut provoquer la peur. La stimulation de l’hypothalamus peut aussi provoquer de l’agressivité ou une excitation sexuelle. Par ailleurs, l’hypothalamus est facilement influencé par les émotions et le stress. » (p. 155)

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21
Q
  1. Qu’est-ce qui est facilement influencé par les émotions et le stress ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’hypothalamus
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’hypothalamus
« La stimulation de l’hypothalamus peut aussi provoquer de l’agressivité ou une excitation sexuelle. Par ailleurs, l’hypothalamus est facilement influencé par les émotions et le stress. C’est à travers lui que les émotions peuvent causer des dysfonctionnements autonomiques ou endocriniens (troubles digestifs, anorexie, aménorrhée, retard de croissance). » (p. 155)

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22
Q
  1. Qu’est-ce qui peut causer des dysfonctionnements autonomiques ou endocriniens (troubles digestifs, anorexie, aménorrhée, retard de croissance) ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’hypothalamus
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’hypothalamus
« Par ailleurs, l’hypothalamus est facilement influencé par les émotions et le stress. C’est à travers lui que les émotions peuvent causer des dysfonctionnements autonomiques ou endocriniens (troubles digestifs, anorexie, aménorrhée, retard de croissance). » (p. 155)

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23
Q
  1. Qu’est-ce qui a des effets parasympathiques (digestion, décélération cardiaque) lorsqu’il est stimulé ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’hypothalamus antérieur
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’hypothalamus antérieur
« La stimulation de l’hypothalamus antérieur a des effets parasympathiques (digestion, décélération cardiaque) tandis que la stimulation de l’hypothalamus latéral a des effets sympathiques (accélération cardiaque, respiratoire … ). Par ses liens avec l’hypophyse, l’hypothalamus est aussi responsable de la sécrétion de cortisol par les glandes surrénales (axe HHS), l’hormone de stress qui augmente le métabolisme du glucose dans plusieurs émotions. » (p. 155)

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24
Q
  1. Qu’est-ce qui a des effets sympathiques (accélération cardiaque, respiratoire …) lorsqu’il est stimulé ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’hypothalamus latéral
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’hypothalamus latéral
« La stimulation de l’hypothalamus antérieur a des effets parasympathiques (digestion, décélération cardiaque) tandis que la stimulation de l’hypothalamus latéral a des effets sympathiques (accélération cardiaque, respiratoire … ). Par ses liens avec l’hypophyse, l’hypothalamus est aussi responsable de la sécrétion de cortisol par les glandes surrénales (axe HHS), l’hormone de stress qui augmente le métabolisme du glucose dans plusieurs émotions. » (p. 155)

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25
Q
  1. Quelle structure est l’intermédiaire entre le cortex cérébral et les structures de base de l’émotion dont l’hypothalamus et le tronc cérébral ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’hippocampe
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’amygdale
« L’amygdale est l’intermédiaire entre le cortex cérébral et les structures de base de l’émotion dont l’hypothalamus et le tronc cérébral1. Elle est composée de multiples noyaux situés dans la portion antérieure du lobe temporal, à l’avant de l’hippocampe. Certains noyaux communiquent avec les aires corticales sensorielles pour détecter les stimuli significatifs (dangers, menaces, provocations). » (p. 155)

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26
Q
  1. Quels noyaux servent à moduler l’activité des centres émotionnels de base comme l’hypothalamus et le PAG et ainsi coordonner les composantes viscérales, cognitives et motrices des réponses émotives ?
    A. Les noyaux de l’amygdale
    B. Les noyaux du cortex frontal
    C. Les noyaux de l’hippocampe
    D. Les noyaux du système nerveux autonome
    E. Les noyaux de la zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les noyaux de l’amygdale
« Certains noyaux communiquent avec les aires corticales sensorielles pour détecter les stimuli significatifs (dangers, menaces, provocations). D’autres noyaux servent à moduler l’activité des centres émotionnels de base comme l’hypothalamus et le PAG et ainsi coordonner les composantes viscérales, cognitives et motrices des réponses émotives. Grâce à ses connexions avec les régions corticales sensorielles et avec les structures limbiques, l’amygdale crée des associations entre des contextes sensoriels (lieux, évènements) et des réactions émotionnelles par conditionnement Pavlovien. » (p. 155)

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27
Q
  1. Qu’est-ce qui crée des associations entre des contextes sensoriels (lieux, évènements) et des réactions émotionnelles par conditionnement Pavlovien ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’hippocampe
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’amygdale
« D’autres noyaux servent à moduler l’activité des centres émotionnels de base comme l’hypothalamus et le PAG et ainsi coordonner les composantes viscérales, cognitives et motrices des réponses émotives. Grâce à ses connexions avec les régions corticales sensorielles et avec les structures limbiques, l’amygdale crée des associations entre des contextes sensoriels (lieux, évènements) et des réactions émotionnelles par conditionnement Pavlovien. L’amygdale communique aussi avec le cortex frontal et les noyaux gris pour leur transmettre des informations sur la valeur affective des stimuli. » (p. 155)

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28
Q
  1. Qu’est-ce qui communique avec le cortex frontal et les noyaux gris pour leur transmettre des informations sur la valeur affective des stimuli ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’hippocampe
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’amygdale
« Grâce à ses connexions avec les régions corticales sensorielles et avec les structures limbiques, l’amygdale crée des associations entre des contextes sensoriels (lieux, évènements) et des réactions émotionnelles par conditionnement Pavlovien. L’amygdale communique aussi avec le cortex frontal et les noyaux gris pour leur transmettre des informations sur la valeur affective des stimuli. Ces connexions nous permettent de développer nos préférences, nos aversions, nos envies et nos dépendances. » (p. 155)

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29
Q
  1. Qu’est-ce qui nous permet de développer nos préférences, nos aversions, nos envies et nos dépendances ?
    A. Les connexions de l’amygdale
    B. Les connexions du cortex frontal
    C. Les connexions de l’hippocampe
    D. Les connexions du système nerveux autonome
    E. Les connexions de la zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les connexions de l’amygdale
« L’amygdale communique aussi avec le cortex frontal et les noyaux gris pour leur transmettre des informations sur la valeur affective des stimuli. Ces connexions nous permettent de développer nos préférences, nos aversions, nos envies et nos dépendances. » (p. 155)

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30
Q
  1. Quels noyaux communiquent avec les aires corticales sensorielles pour détecter les stimuli significatifs (dangers, menaces, provocations) ?
    A. Les noyaux de l’amygdale
    B. Les noyaux du cortex frontal
    C. Les noyaux de l’hippocampe
    D. Les noyaux du système nerveux autonome
    E. Les noyaux de la zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les noyaux de l’amygdale
« Certains noyaux communiquent avec les aires corticales sensorielles pour détecter les stimuli significatifs (dangers, menaces, provocations). D’autres noyaux servent à moduler l’activité des centres émotionnels de base comme l’hypothalamus et le PAG et ainsi coordonner les composantes viscérales, cognitives et motrices des réponses émotives. Grâce à ses connexions avec les régions corticales sensorielles et avec les structures limbiques, l’amygdale crée des associations entre des contextes sensoriels (lieux, évènements) et des réactions émotionnelles par conditionnement Pavlovien. » (p. 155)

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31
Q
  1. Quelle structure est composée de multiples noyaux situés dans la portion antérieure du lobe temporal, à l’avant de l’hippocampe ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’hippocampe
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’amygdale
« L’amygdale est composée de multiples noyaux situés dans la portion antérieure du lobe temporal, à l’avant de l’hippocampe. Certains noyaux communiquent avec les aires corticales sensorielles pour détecter les stimuli significatifs (dangers, menaces, provocations). D’autres noyaux servent à moduler l’activité des centres émotionnels de base comme l’hypothalamus et le PAG et ainsi coordonner les composantes viscérales, cognitives et motrices des réponses émotives. » (p. 155)

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32
Q
  1. Qu’est-ce qui est peu conscient en temps normal, mais devient plus intense pendant les émotions ?
    A. Les sensations viscérales
    B. Les sensations musculaires
    C. Les sensations cognitives
    D. Les sensations instinctives
    E. Les sensations adaptatives
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les sensations viscérales
« Les sensations viscérales sont peu conscientes en temps normal, mais elles sont plus intenses pendant les émotions. Les individus ayant subi des lésions aux parties hautes de la moelle épinière (portion cervicale) rapportent une réduction des sensations viscérales et de l’intensité subjective des émotions. Les sensations viscérales permettent donc d’évaluer l’intensité émotionnelle mais pas nécessairement le type d’émotion. » (p. 156)

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33
Q
  1. Qu’est-ce qui permet d’évaluer l’intensité émotionnelle mais pas nécessairement le type d’émotion ?
    A. Les sensations viscérales
    B. Les sensations musculaires
    C. Les sensations cognitives
    D. Les sensations instinctives
    E. Les sensations adaptatives
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les sensations viscérales
« Les individus ayant subi des lésions aux parties hautes de la moelle épinière (portion cervicale) rapportent une réduction des sensations viscérales et de l’intensité subjective des émotions. Les sensations viscérales permettent donc d’évaluer l’intensité émotionnelle mais pas nécessairement le type d’émotion. Les informations sensorielles viscérales (intestins, cœur, poumons, rate … ) sont acheminées vers le cerveau par le nerf vague et après des relais dans le tronc cérébral et le diencéphale elles aboutissent à l’insula, un îlot de cortex cérébral enfoui dans le fond de la fissure latérale. » (p. 156)

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34
Q
  1. Qu’est-ce qui est acheminé vers le cerveau par le nerf vague et aboutit à l’insula après des relais dans le tronc cérébral et le diencéphale ?
    A. Les informations sensorielles viscérales
    B. Les informations sensorielles musculaires
    C. Les informations sensorielles cognitives
    D. Les informations sensorielles instinctives
    E. Les informations sensorielles adaptatives
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les informations sensorielles viscérales
« Les sensations viscérales permettent donc d’évaluer l’intensité émotionnelle mais pas nécessairement le type d’émotion. Les informations sensorielles viscérales (intestins, cœur, poumons, rate … ) sont acheminées vers le cerveau par le nerf vague et après des relais dans le tronc cérébral et le diencéphale elles aboutissent à l’insula, un îlot de cortex cérébral enfoui dans le fond de la fissure latérale. » (p. 156)

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35
Q
  1. Qu’est-ce qui traite aussi les signaux tactiles affectifs dont la douleur, les caresses agréables, la chaleur et le froid ainsi que les informations gustatives ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’insula
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’insula
« Les informations sensorielles viscérales (intestins, cœur, poumons, rate … ) sont acheminées vers le cerveau par le nerf vague et après des relais dans le tronc cérébral et le diencéphale elles aboutissent à l’insula, un îlot de cortex cérébral enfoui dans le fond de la fissure latérale. L’insula traite aussi les signaux tactiles affectifs dont la douleur, les caresses agréables, la chaleur et le froid ainsi que les informations gustatives. De l’insula, l’information viscérale est ensuite diffusée à plusieurs structures du système limbique dont l’hypothalamus, l’amygdale, le gyrus cingulaire et le cortex frontal, où elle est utilisée 1) pour réguler les fonctions viscérales mais aussi 2) pour nous renseigner sur notre corps et nos émotions ainsi que 3) pour moduler nos pensées, décisions et comportements. » (p. 156)

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36
Q
  1. Qu’est-ce qui est utilisé pour réguler les fonctions viscérales, pour nous renseigner sur notre corps et nos émotions, et pour moduler nos pensées, décisions et comportements ?
    A. L’information viscérale de l’amygdale
    B. L’information viscérale du cortex frontal
    C. L’information viscérale de l’insula
    D. L’information viscérale du système nerveux autonome
    E. L’information viscérale de la zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’information viscérale de l’insula
« L’insula traite aussi les signaux tactiles affectifs dont la douleur, les caresses agréables, la chaleur et le froid ainsi que les informations gustatives. De l’insula, l’information viscérale est ensuite diffusée à plusieurs structures du système limbique dont l’hypothalamus, l’amygdale, le gyrus cingulaire et le cortex frontal, où elle est utilisée 1) pour réguler les fonctions viscérales mais aussi 2) pour nous renseigner sur notre corps et nos émotions ainsi que 3) pour moduler nos pensées, décisions et comportements. » (p. 156)

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37
Q
  1. Qu’est-ce qui est enfoui dans le fond de la fissure latérale ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’insula
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’insula
« Les informations sensorielles viscérales (intestins, cœur, poumons, rate … ) sont acheminées vers le cerveau par le nerf vague et après des relais dans le tronc cérébral et le diencéphale elles aboutissent à l’insula, un îlot de cortex cérébral enfoui dans le fond de la fissure latérale. L’insula traite aussi les signaux tactiles affectifs dont la douleur, les caresses agréables, la chaleur et le froid ainsi que les informations gustatives. De l’insula, l’information viscérale est ensuite diffusée à plusieurs structures du système limbique dont l’hypothalamus, l’amygdale, le gyrus cingulaire et le cortex frontal, où elle est utilisée 1) pour réguler les fonctions viscérales mais aussi 2) pour nous renseigner sur notre corps et nos émotions ainsi que 3) pour moduler nos pensées, décisions et comportements. » (p. 156)

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38
Q
  1. Qu’est-ce qui est plus intense pendant les émotions ?
    A. Les sensations viscérales
    B. Les sensations musculaires
    C. Les sensations cognitives
    D. Les sensations instinctives
    E. Les sensations adaptatives
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les sensations viscérales
« Les sensations viscérales sont peu conscientes en temps normal, mais elles sont plus intenses pendant les émotions. Les individus ayant subi des lésions aux parties hautes de la moelle épinière (portion cervicale) rapportent une réduction des sensations viscérales et de l’intensité subjective des émotions. Les sensations viscérales permettent donc d’évaluer l’intensité émotionnelle mais pas nécessairement le type d’émotion. » (p. 156)

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39
Q
  1. Qu’est-ce qui est déclenché par des perceptions ou des idées menaçantes ?
    A. La joie
    B. La tristesse
    C. La peur
    D. La colère
    E. L’excitation
    F. Aucune de ces réponses
A

C. La peur
« La peur est déclenchée par des perceptions ou des idées menaçantes. À la naissance, les stimuli comme les bruits forts et la noirceur déclenchent la peur par des circuits programmés génétiquement. Ensuite, par apprentissage (conditionnement pavlovien surtout), plusieurs situations et idées peuvent déclencher une portion plus ou moins grande des réactions de peur. » (p. 156)

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40
Q
  1. Quels stimuli déclenchent la peur à la naissance par des circuits programmés génétiquement ?
    A. Les bruits forts et la noirceur
    B. Les bruits forts et la lumière
    C. Le silence et la noirceur
    D. Le silence et la lumière
    E. Les bruits faibles et la noirceur
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les bruits forts et la noirceur
« La peur est déclenchée par des perceptions ou des idées menaçantes. À la naissance, les stimuli comme les bruits forts et la noirceur déclenchent la peur par des circuits programmés génétiquement. Ensuite, par apprentissage (conditionnement pavlovien surtout), plusieurs situations et idées peuvent déclencher une portion plus ou moins grande des réactions de peur. » (p. 156)

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41
Q
  1. Qu’est-ce qui peut être détecté inconsciemment ou consciemment par des circuits impliquant le thalamus et les aires corticales sensorielles ?
    A. Les stimuli menaçants
    B. Les stimuli apaisants
    C. Les stimuli neutres
    D. Les stimuli positifs
    E. Les stimuli négatifs
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les stimuli menaçants
« Ensuite, par apprentissage (conditionnement pavlovien surtout), plusieurs situations et idées peuvent déclencher une portion plus ou moins grande des réactions de peur. Les stimuli menaçants peuvent être détectés inconsciemment ou consciemment par des circuits impliquant le thalamus et les aires corticales sensorielles. Les signaux sensoriels sont évalués en termes de menace pour l’individu par les structures du système limbique et en particulier par le cortex cingulaire antérieur et l’amygdale. » (p. 156)

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42
Q
  1. Qu’est-ce qui produit des réponses viscérales comme l’augmentation du rythme cardiaque, l’augmentation de la pression sanguine, une inhibition des fonctions digestives et une sécrétion d’adrénaline et de cortisol par les surrénales ?
    A. La joie
    B. La tristesse
    C. La peur
    D. La colère
    E. L’excitation
    F. Aucune de ces réponses
A

C. La peur
« Les signaux sensoriels sont évalués en termes de menace pour l’individu par les structures du système limbique et en particulier par le cortex cingulaire antérieur et l’amygdale. La peur produit des réponses viscérales comme l’augmentation du rythme cardiaque, l’augmentation de la pression sanguine, une inhibition des fonctions digestives et une sécrétion d’adrénaline et de cortisol par les surrénales. Sur le plan du comportement, la peur produit des expressions faciales particulières, un dos crispé, une gorge crispée donnant une voix plus tremblante, mais aussi des réflexes de sursaut amplifiés ou des réactions comme la fuite, l’inhibition motrice (freezing) ou même l’agressivité défensive. » (p. 156)

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43
Q
  1. Qu’est-ce qui produit des expressions faciales particulières, un dos crispé, une gorge crispée donnant une voix plus tremblante, mais aussi des réflexes de sursaut amplifiés ou des réactions comme la fuite, l’inhibition motrice (freezing) ou même l’agressivité défensive ?
    A. La joie
    B. La tristesse
    C. La peur
    D. La colère
    E. L’excitation
    F. Aucune de ces réponses
A

C. La peur
« La peur produit des réponses viscérales comme l’augmentation du rythme cardiaque, l’augmentation de la pression sanguine, une inhibition des fonctions digestives et une sécrétion d’adrénaline et de cortisol par les surrénales. Sur le plan du comportement, la peur produit des expressions faciales particulières, un dos crispé, une gorge crispée donnant une voix plus tremblante, mais aussi des réflexes de sursaut amplifiés ou des réactions comme la fuite, l’inhibition motrice (freezing) ou même l’agressivité défensive. La composante cognitive de la peur comporte des sentiments négatifs ( détresse, anxiété, sentiment de perte de contrôle, sentiment d’étouffement), mais aussi des modifications cognitives comme un débit de pensée plus rapide, des anticipations négatives exagérées, une hypervigilance qui augmente la sensibilité aux stimuli environnants, ainsi que des pensées intrusives qui produisent des difficultés de concentration et de l’insomnie. » (p. 156)

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44
Q
  1. Qu’est-ce qui comporte des sentiments négatifs (détresse, anxiété, sentiment de perte de contrôle, sentiment d’étouffement), mais aussi des modifications cognitives comme un débit de pensée plus rapide, des anticipations négatives exagérées, une hypervigilance qui augmente la sensibilité aux stimuli environnants, ainsi que des pensées intrusives qui produisent des difficultés de concentration et de l’insomnie ?
    A. La composante cognitive de la joie
    B. La composante cognitive de la tristesse
    C. La composante cognitive de la peur
    D. La composante cognitive de la colère
    E. La composante cognitive de l’excitation
    F. Aucune de ces réponses
A

C. La composante cognitive de la peur
« Sur le plan du comportement, la peur produit des expressions faciales particulières, un dos crispé, une gorge crispée donnant une voix plus tremblante, mais aussi des réflexes de sursaut amplifiés ou des réactions comme la fuite, l’inhibition motrice (freezing) ou même l’agressivité défensive. La composante cognitive de la peur comporte des sentiments négatifs ( détresse, anxiété, sentiment de perte de contrôle, sentiment d’étouffement), mais aussi des modifications cognitives comme un débit de pensée plus rapide, des anticipations négatives exagérées, une hypervigilance qui augmente la sensibilité aux stimuli environnants, ainsi que des pensées intrusives qui produisent des difficultés de concentration et de l’insomnie. » (p. 156)

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45
Q
  1. Qu’est-ce qui est déclenché par des circuits programmés génétiquement à la naissance ?
    A. La joie
    B. La tristesse
    C. La peur
    D. La colère
    E. L’excitation
    F. Aucune de ces réponses
A

C. La peur
« La peur est déclenchée par des perceptions ou des idées menaçantes. À la naissance, les stimuli comme les bruits forts et la noirceur déclenchent la peur par des circuits programmés génétiquement. Ensuite, par apprentissage (conditionnement pavlovien surtout), plusieurs situations et idées peuvent déclencher une portion plus ou moins grande des réactions de peur. » (p. 156)

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46
Q
  1. Qu’est-ce qui coordonne les différentes composantes de la peur, par des connexions à différentes structures dans l’hypothalamus et dans le tronc cérébral ?
    A. L’insula
    B. Le cortex frontal
    C. l’amygdale
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’amygdale
« L’amygdale coordonne les différentes composantes de la peur, par des connexions à différentes structures dans l’hypothalamus et dans le tronc cérébral1. L’hypothalamus latéral, responsable de l’activation sympathique qui cause l’augmentation du rythme cardiaque et de la pression sanguine. L’hypothalamus paraventriculaire responsable de la sécrétion de cortisol par la surrénale via l’hypophyse. » (p. 157)

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47
Q
  1. Qu’est-ce qui est responsable de l’activation sympathique qui cause l’augmentation du rythme cardiaque et de la pression sanguine ?
    A. L’hypothalamus latéral
    B. L’hypothalamus paraventriculaire
    C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
    D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
    E. Le noyau dorsal du nerf vague
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’hypothalamus latéral
« L’amygdale coordonne les différentes composantes de la peur, par des connexions à différentes structures dans l’hypothalamus et dans le tronc cérébral. L’hypothalamus latéral, responsable de l’activation sympathique qui cause l’augmentation du rythme cardiaque et de la pression sanguine. L’hypothalamus paraventriculaire responsable de la sécrétion de cortisol par la surrénale via l’hypophyse. » (p. 157)

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48
Q
  1. Qu’est-ce qui est responsable de la sécrétion de cortisol par la surrénale via l’hypophyse ?
    A. L’hypothalamus latéral
    B. L’hypothalamus paraventriculaire
    C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
    D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
    E. Le noyau dorsal du nerf vague
    F. Aucune de ces réponses
A

B. L’hypothalamus paraventriculaire
« L’hypothalamus latéral, responsable de l’activation sympathique qui cause l’augmentation du rythme cardiaque et de la pression sanguine. L’hypothalamus paraventriculaire responsable de la sécrétion de cortisol par la surrénale via l’hypophyse. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale responsable de la réaction d’inhibition motrice (freezing). » (p. 157)

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49
Q
  1. Qu’est-ce qui est responsable de la réaction d’inhibition motrice (freezing) ?
    A. L’hypothalamus latéral
    B. L’hypothalamus paraventriculaire
    C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
    D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
    E. Le noyau dorsal du nerf vague
    F. Aucune de ces réponses
A

C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
« L’hypothalamus paraventriculaire responsable de la sécrétion de cortisol par la surrénale via l’hypophyse. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale responsable de la réaction d’inhibition motrice (freezing). Les nerfs faciaux et trijumeaux responsables des expressions faciales. » (p. 157)

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50
Q
  1. Qu’est-ce qui est responsable des expressions faciales ?
    A. L’hypothalamus latéral
    B. L’hypothalamus paraventriculaire
    C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
    D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
    E. Le noyau dorsal du nerf vague
    F. Aucune de ces réponses
A

D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
« La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale responsable de la réaction d’inhibition motrice (freezing). Les nerfs faciaux et trijumeaux responsables des expressions faciales. Le noyau dorsal du nerf vague responsable de l’activation parasympathique qui produit des effets sur le système digestif (contraction intestinale, envie d’uriner, défécation chez certaines espèces). » (p. 157)

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51
Q
  1. Qu’est-ce qui est responsable de l’activation parasympathique qui produit des effets sur le système digestif (contraction intestinale, envie d’uriner, défécation chez certaines espèces) ?
    A. L’hypothalamus latéral
    B. L’hypothalamus paraventriculaire
    C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
    D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
    E. Le noyau dorsal du nerf vague
    F. Aucune de ces réponses
A

E. Le noyau dorsal du nerf vague
« Les nerfs faciaux et trijumeaux responsables des expressions faciales. Le noyau dorsal du nerf vague responsable de l’activation parasympathique qui produit des effets sur le système digestif (contraction intestinale, envie d’uriner, défécation chez certaines espèces). Le noyau réticulaire du pont caudal dans le cerveau postérieur responsable du réflexe de sursaut (clignement des yeux, crispation du cou, des épaules et du dos). » (p. 157)

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52
Q
  1. Qu’est-ce qui est responsable du réflexe de sursaut (clignement des yeux, crispation du cou, des épaules et du dos) ?
    A. L’hypothalamus latéral
    B. L’hypothalamus paraventriculaire
    C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
    D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
    E. Le noyau dorsal du nerf vague
    F. Aucune de ces réponses
A

F. Aucune de ces réponses
« Le noyau dorsal du nerf vague responsable de l’activation parasympathique qui produit des effets sur le système digestif (contraction intestinale, envie d’uriner, défécation chez certaines espèces). Le noyau réticulaire du pont caudal dans le cerveau postérieur responsable du réflexe de sursaut (clignement des yeux, crispation du cou, des épaules et du dos). Les systèmes de neuromodulation de la formation réticulée et du prosencéphale responsables de l’activation corticale, de l’hypervigilance et des idées récurrentes liées à la peur. » (p. 157)

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53
Q
  1. Qu’est-ce qui est responsable de l’activation corticale, de l’hypervigilance et des idées récurrentes liées à la peur ?
    A. L’hypothalamus latéral
    B. L’hypothalamus paraventriculaire
    C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
    D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
    E. Le noyau dorsal du nerf vague
    F. Aucune de ces réponses
A

F. Aucune de ces réponses
« Le noyau réticulaire du pont caudal dans le cerveau postérieur responsable du réflex

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54
Q
  1. Qu’est-ce qui est responsable de plusieurs phénomènes liés à la peur et à d’autres émotions ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’insula
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’amygdale
« L’amygdale et ses connexions sont aussi responsables de plusieurs autres phénomènes liés à la peur et à d’autres émotions1. Les stimuli émotionnels sont détectés plus efficacement et plus rapidement que les autres stimuli et ce traitement prioritaire est dû aux connexions entre la rétine, le mésencéphale, les amygdales et les régions corticales sensorielles. » (p. 157)

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55
Q
  1. Qu’est-ce qui est détecté plus efficacement et plus rapidement que les autres stimuli ?
    A. Les stimuli émotionnels
    B. Les stimuli visuels
    C. Les stimuli auditifs
    D. Les stimuli tactiles
    E. Les stimuli gustatifs
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les stimuli émotionnels
« L’amygdale et ses connexions sont aussi responsables de plusieurs autres phénomènes liés à la peur et à d’autres émotions. Les stimuli émotionnels sont détectés plus efficacement et plus rapidement que les autres stimuli et ce traitement prioritaire est dû aux connexions entre la rétine, le mésencéphale, les amygdales et les régions corticales sensorielles. » (p. 157)

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56
Q
  1. Qu’est-ce qui est impliqué dans le conditionnement Pavlovien des réactions de peur, les difficultés d’extinction de la peur, ainsi que dans les troubles anxieux ?
    A. L’amygdale
    B. Le cortex frontal
    C. L’insula
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’amygdale
« Les stimuli émotionnels sont détectés plus efficacement et plus rapidement que les autres stimuli et ce traitement prioritaire est dû aux connexions entre la rétine, le mésencéphale, les amygdales et les régions corticales sensorielles. L’amygdale est aussi impliquée dans le conditionnement Pavlovien des réactions de peur, les difficultés d’extinction de la peur, ainsi que dans les troubles anxieux. Les lésions à l’amygdale produisent une incapacité d’apprendre de nouvelles associations entre des stimuli neutres et des stimuli émotifs (conditionnement Pavlovien) ainsi qu’une difficulté à apprendre de nouveaux comportements d’évitement. » (p. 157)

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57
Q
  1. Qu’est-ce qui produit une incapacité d’apprendre de nouvelles associations entre des stimuli neutres et des stimuli émotifs (conditionnement Pavlovien) ainsi qu’une difficulté à apprendre de nouveaux comportements d’évitement ?
    A. Les lésions à l’amygdale
    B. Les lésions au cortex frontal
    C. Les lésions à l’insula
    D. Les lésions au système nerveux autonome
    E. Les lésions à la zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les lésions à l’amygdale
« L’amygdale est aussi impliquée dans le conditionnement Pavlovien des réactions de peur, les difficultés d’extinction de la peur, ainsi que dans les troubles anxieux. Les lésions à l’amygdale produisent une incapacité d’apprendre de nouvelles associations entre des stimuli neutres et des stimuli émotifs (conditionnement Pavlovien) ainsi qu’une difficulté à apprendre de nouveaux comportements d’évitement. Les lésions bilatérales de l’amygdale chez le singe produisent le syndrome de Kluver-Bucy. » (p. 157)

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58
Q
  1. Qu’est-ce qui produit le syndrome de Kluver-Bucy, caractérisé par une hypo-émotionnalité et une hypersexualité ?
    A. Les lésions bilatérales de l’amygdale
    B. Les lésions bilatérales du cortex frontal
    C. Les lésions bilatérales de l’insula
    D. Les lésions bilatérales du système nerveux autonome
    E. Les lésions bilatérales de la zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les lésions bilatérales de l’amygdale
« Les lésions à l’amygdale produisent une incapacité d’apprendre de nouvelles associations entre des stimuli neutres et des stimuli émotifs (conditionnement Pavlovien) ainsi qu’une difficulté à apprendre de nouveaux comportements d’évitement. Les lésions bilatérales de l’amygdale chez le singe produisent le syndrome de Kluver-Bucy. Ce syndrome est surtout caractérisé par une hypo-émotionnalité: les singes deviennent moins agressifs et n’ont plus peur des stimuli qui les effrayaient auparavant. Le syndrome de Kluver-Bucy est aussi caractérisé par une hypersexualité. » (p. 157)

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59
Q
  1. Qu’est-ce qui a été pratiqué chez l’humain pour diminuer l’agressivité et les peurs incontrôlables ?
    A. L’amygdalectomie
    B. La lobotomie
    C. L’insulalectomie
    D. La sympathectomie
    E. La thalamotomie
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’amygdalectomie
« Le syndrome de Kluver-Bucy est aussi caractérisé par une hypersexualité. L’amygdalectomie a été pratiquée chez l’humain pour diminuer l’agressivité et les peurs incontrôlables. Les résultats de ces chirurgies expérimentales furent peu probants, produisant une hypo-émotionnalité, mais aussi plusieurs effets secondaires viscéraux et endocriniens. » (p. 157)

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60
Q
  1. Qu’est-ce qui a été abandonné en raison de résultats peu probants et de plusieurs effets secondaires viscéraux et endocriniens ?
    A. L’amygdalectomie
    B. La lobotomie
    C. L’insulalectomie
    D. La sympathectomie
    E. La thalamotomie
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’amygdalectomie
« L’amygdalectomie a été pratiquée chez l’humain pour diminuer l’agressivité et les peurs incontrôlables. Les résultats de ces chirurgies expérimentales furent peu probants, produisant une hypo-émotionnalité, mais aussi plusieurs effets secondaires viscéraux et endocriniens. Ce traitement a été abandonné. » (p. 157)

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61
Q
  1. Quels sont les troubles anxieux les plus fréquents ?
    A. L’anxiété sociale, le trouble panique, le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) et l’état de stress post-traumatique (SPT)
    B. L’anxiété sociale, l’anxiété généralisée, le trouble panique et l’état de stress post-traumatique (SPT)
    C. L’anxiété généralisée, le trouble panique, le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) et l’état de stress post-traumatique (SPT)
    D. L’anxiété sociale, l’anxiété généralisée, le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) et l’état de stress post-traumatique (SPT)
    E. L’anxiété sociale, l’anxiété généralisée, le trouble panique et le trouble obsessionnel-compulsif (TOC)
    F. Aucune de ces réponses
A

B. L’anxiété sociale, l’anxiété généralisée, le trouble panique et l’état de stress post-traumatique (SPT)
« Les troubles anxieux les plus fréquents sont l’anxiété sociale, l’anxiété généralisée, le trouble panique et l’état de stress post-traumatique (SPT)1. Ces troubles sont souvent associés à des stimuli déclencheurs internes ou externes. Dans l’anxiété sociale, c’est l’anticipation d’être jugé ou rejeté qui déclenche les réactions de peur exagérée en situation sociale. » (p. 158)

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62
Q
  1. Qu’est-ce qui déclenche les réactions de peur exagérée en situation sociale dans l’anxiété sociale ?
    A. L’anticipation d’être aimé ou accepté
    B. L’anticipation d’être jugé ou rejeté
    C. L’anticipation d’être ignoré ou négligé
    D. L’anticipation d’être admiré ou respecté
    E. L’anticipation d’être critiqué ou ridiculisé
    F. Aucune de ces réponses
A

B. L’anticipation d’être jugé ou rejeté
« Ces troubles sont souvent associés à des stimuli déclencheurs internes ou externes. Dans l’anxiété sociale, c’est l’anticipation d’être jugé ou rejeté qui déclenche les réactions de peur exagérée en situation sociale. Dans le trouble panique, la personne vit des épisodes de terreur associés à un sentiment de désastre appréhendé. » (p. 158)

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63
Q
  1. Qu’est-ce que la personne vit dans le trouble panique ?
    A. Des épisodes de joie associés à un sentiment de bonheur anticipé
    B. Des épisodes de tristesse associés à un sentiment de désespoir anticipé
    C. Des épisodes de colère associés à un sentiment de frustration anticipée
    D. Des épisodes de terreur associés à un sentiment de désastre appréhendé
    E. Des épisodes de surprise associés à un sentiment d’étonnement anticipé
    F. Aucune de ces réponses
A

D. Des épisodes de terreur associés à un sentiment de désastre appréhendé
« Dans l’anxiété sociale, c’est l’anticipation d’être jugé ou rejeté qui déclenche les réactions de peur exagérée en situation sociale. Dans le trouble panique, la personne vit des épisodes de terreur associés à un sentiment de désastre appréhendé. Dans le SPT, l’évènement traumatisant conduit à une hypersensibilité émotionnelle, des idées intrusives récurrentes et des phobies (ex: sang, noirceur, eau … ). » (p. 158)

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64
Q
  1. Qu’est-ce qui conduit à une hypersensibilité émotionnelle, des idées intrusives récurrentes et des phobies dans l’état de stress post-traumatique (SPT) ?
    A. L’évènement heureux
    B. L’évènement traumatisant
    C. L’évènement neutre
    D. L’évènement triste
    E. L’évènement surprenant
    F. Aucune de ces réponses
A

B. L’évènement traumatisant
« Dans le trouble panique, la personne vit des épisodes de terreur associés à un sentiment de désastre appréhendé. Dans le SPT, l’évènement traumatisant conduit à une hypersensibilité émotionnelle, des idées intrusives récurrentes et des phobies (ex: sang, noirceur, eau … ). Les troubles anxieux comportent des dysfonctionnements des circuits cérébraux de la peur. » (p. 158)

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65
Q
  1. Qu’est-ce qui est impliqué dans l’anticipation des sensations aversives et a souvent une activité élevée durant l’anticipation d’évènements stressants chez les personnes anxieuses ?
    A. Le cortex frontal
    B. L’insula
    C. L’amygdale
    D. Le système nerveux autonome
    E. La zone grise périaqueducale
    F. Aucune de ces réponses
A

B. L’insula
« Les troubles anxieux comportent des dysfonctionnements des circuits cérébraux de la peur. Les composantes viscérales, motrices et cognitives de la peur sont exagérées ou hypersensibilisées. Dans les troubles anxieux, on observe souvent : Une hyperactivité de l’insula et d’autres structures limbiques. L’insula est impliquée dans l’anticipation des sensations aversives et les personnes anxieuses ont souvent une activité insulaire élevée durant l’anticipation d’évènements stressants. Une hypersensibilité de la réponse d’alerte, une réponse de la formation réticulée qui active à la fois le cortex (par la noradrénaline) et le système sympathique. » (p. 158)

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66
Q
  1. Qu’est-ce qui est responsable de l’activation corticale, de l’hypervigilance et des idées récurrentes liées à la peur ?
    A. L’hypothalamus latéral
    B. L’hypothalamus paraventriculaire
    C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
    D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
    E. Le noyau dorsal du nerf vague
    F. Aucune de ces réponses
A

F. Aucune de ces réponses
« Une hypersensibilité de la réponse d’alerte, une réponse de la formation réticulée qui active à la fois le cortex (par la noradrénaline) et le système sympathique. Cette hypersensibilité contribue à l’hypervigilance et aux pensées intrusives. Le système limbique suractivé biaise les pensées vers des thèmes anxiogènes (nos préoccupations) et ces pensées entretiennent à leur tour l’anxiété. Une hypersensibilité de l’axe HHS responsable de la sécrétion de cortisol par les glandes surrénales. » (p. 158)

67
Q
  1. Qu’est-ce qui est responsable de la sécrétion de cortisol par les glandes surrénales ?
    A. L’hypothalamus latéral
    B. L’hypothalamus paraventriculaire
    C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
    D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
    E. Le noyau dorsal du nerf vague
    F. Aucune de ces réponses
A

F. Aucune de ces réponses
« Cette hypersensibilité contribue à l’hypervigilance et aux pensées intrusives. Le système limbique suractivé biaise les pensées vers des thèmes anxiogènes (nos préoccupations) et ces pensées entretiennent à leur tour l’anxiété. Une hypersensibilité de l’axe HHS responsable de la sécrétion de cortisol par les glandes surrénales

68
Q
  1. Qu’est-ce qui augmente l’activité neuronale dans l’amygdale et dans le gyrus cingulaire antérieur dans le SPT ?
    A. L’imagerie mentale de scènes heureuses
    B. L’imagerie mentale de scènes neutres
    C. L’imagerie mentale de scènes tristes
    D. L’imagerie mentale de scènes traumatiques
    E. L’imagerie mentale de scènes surprenantes
    F. Aucune de ces réponses
A

D. L’imagerie mentale de scènes traumatiques
« Dans le SPT, l’imagerie mentale de scènes traumatiques augmente l’activité neuronale dans l’amygdale et dans le gyrus cingulaire antérieur. De plus, le SPT comporte des difficultés d’extinction des réactions de peur quand le danger n’est plus présent. » (p. 158)

69
Q
  1. Qu’est-ce qui comporte des difficultés d’extinction des réactions de peur quand le danger n’est plus présent ?
    A. L’anxiété sociale
    B. L’anxiété généralisée
    C. Le trouble panique
    D. L’état de stress post-traumatique (SPT)
    E. Le trouble obsessionnel-compulsif (TOC)
    F. Aucune de ces réponses
A

D. L’état de stress post-traumatique (SPT)
« Dans le SPT, l’imagerie mentale de scènes traumatiques augmente l’activité neuronale dans l’amygdale et dans le gyrus cingulaire antérieur. De plus, le SPT comporte des difficultés d’extinction des réactions de peur quand le danger n’est plus présent. Ces difficultés sont en partie dues à un sous-fonctionnement du cortex orbitofrontal qui perd un peu sa capacité à inhiber les réactions émotives déclenchées par l’amygdale et les autres structures du système limbique. » (p. 158)

70
Q
  1. Qu’est-ce qui est en partie responsable des difficultés d’extinction des réactions de peur dans le SPT ?
    A. Un sur-fonctionnement du cortex orbitofrontal
    B. Un sous-fonctionnement du cortex orbitofrontal
    C. Un sur-fonctionnement de l’amygdale
    D. Un sous-fonctionnement de l’amygdale
    E. Un sur-fonctionnement du gyrus cingulaire antérieur
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Un sous-fonctionnement du cortex orbitofrontal
« De plus, le SPT comporte des difficultés d’extinction des réactions de peur quand le danger n’est plus présent. Ces difficultés sont en partie dues à un sous-fonctionnement du cortex orbitofrontal qui perd un peu sa capacité à inhiber les réactions émotives déclenchées par l’amygdale et les autres structures du système limbique. Les patients souffrant de SPT montrent aussi une augmentation de la sensibilité des structures cérébrales au cortisol. » (p. 158)

71
Q
  1. Qu’est-ce qui produit une baisse d’anxiété (effet anxiolytique) en plus d’un effet sédatif ?
    A. Les antidépresseurs
    B. Les antipsychotiques
    C. Les benzodiazépines
    D. Les barbituriques
    E. Les opioïdes
    F. Aucune de ces réponses
A

C. Les benzodiazépines
« Les benzodiazépines ( ex. Valium, Ativan, Xanax) sont des substances qui produisent une baisse d’anxiété (effet anxiolytique) en plus d’un effet sédatif. Les benzodiazépines agissent sur plusieurs structures limbiques dont l’amygdale. » (p. 158)

72
Q
  1. Qu’est-ce qui affecte les récepteurs du neurotransmetteur GABA (gamma-amino-butyric acid) dans l’amygdale et dans d’autres structures du système limbique ?
    A. Les antidépresseurs
    B. Les antipsychotiques
    C. Les benzodiazépines
    D. Les barbituriques
    E. Les opioïdes
    F. Aucune de ces réponses
A

C. Les benzodiazépines
« Les benzodiazépines agissent sur plusieurs structures limbiques dont l’amygdale. Les benzodiazépines affectent les récepteurs du neurotransmetteur GABA (gamma-amino-butyric acid) dans l’amygdale et dans d’autres structures du système limbique. Certaines personnes souffrant de troubles anxieux montrent un nombre réduit de récepteurs GABA dans le système limbique. » (p. 158)

73
Q
  1. Qu’est-ce qui pourrait être lié à une prédisposition génétique ou encore à d’autres facteurs qui contribuent à l’anxiété (ex. les stresseurs) ou qui sont une conséquence de l’anxiété (ex. l’hyperactivation du système limbique) ?
    A. Une augmentation du nombre de récepteurs GABA dans le système limbique
    B. Une réduction du nombre de récepteurs GABA dans le système limbique
    C. Une augmentation du nombre de récepteurs de la sérotonine dans le système limbique
    D. Une réduction du nombre de récepteurs de la sérotonine dans le système limbique
    E. Une augmentation du nombre de récepteurs de la dopamine dans le système limbique
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Une réduction du nombre de récepteurs GABA dans le système limbique
« Les benzodiazépines affectent les récepteurs du neurotransmetteur GABA (gamma-amino-butyric acid) dans l’amygdale et dans d’autres structures du système limbique. Certaines personnes souffrant de troubles anxieux montrent un nombre réduit de récepteurs GABA dans le système limbique. Cette réduction pourrait être liée à une prédisposition génétique ou encore à d’autres facteurs qui contribuent à l’anxiété (ex. les stresseurs) ou qui sont une conséquence de l’anxiété (ex. l’hyperactivation du système limbique). » (p. 158)

74
Q
  1. Qu’est-ce qui est produit par l’injection de benzodiazépines dans l’amygdale chez l’animal ?
    A. Une augmentation des réponses de peur conditionnées
    B. Une baisse des réponses de peur conditionnées
    C. Une augmentation des réponses de joie conditionnées
    D. Une baisse des réponses de joie conditionnées
    E. Une augmentation des réponses de colère conditionnées
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Une baisse des réponses de peur conditionnées
« L’injection de benzodiazépines dans l’amygdale chez l’animal produit une baisse des réponses de peur conditionnées. Les benzodiazépines affectent les récepteurs du neurotransmetteur GABA (gamma-amino-butyric acid) dans l’amygdale et dans d’autres structures du système limbique. » (p. 158)

75
Q
  1. Quels sont les types d’agression que l’on distingue ?
    A. L’agression défensive et l’agression passive
    B. L’agression proactive et l’agression passive
    C. L’agression défensive et l’agression proactive
    D. L’agression passive et l’agression réactive
    E. L’agression proactive et l’agression réactive
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’agression défensive et l’agression proactive
« On distingue plusieurs types d’agression dont l’agression défensive (irritation, la colère) et l’agression proactive (la prédation, la compétition sociale). L’agression défensive est déclenchée par des stresseurs, des provocations ou des stimuli menaçants pour notre sécurité ou notre estime (statut, orgueil). » (p. 159)

76
Q
  1. Qu’est-ce qui déclenche l’agression défensive ?
    A. Des stresseurs, des provocations ou des stimuli menaçants pour notre sécurité ou notre estime
    B. Des stresseurs, des provocations ou des stimuli menaçants pour notre bonheur ou notre joie
    C. Des stresseurs, des provocations ou des stimuli menaçants pour notre tristesse ou notre peur
    D. Des stresseurs, des provocations ou des stimuli menaçants pour notre surprise ou notre dégoût
    E. Des stresseurs, des provocations ou des stimuli menaçants pour notre colère ou notre dégoût
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Des stresseurs, des provocations ou des stimuli menaçants pour notre sécurité ou notre estime
« On distingue plusieurs types d’agression dont l’agression défensive (irritation, la colère) et l’agression proactive (la prédation, la compétition sociale). L’agression défensive est déclenchée par des stresseurs, des provocations ou des stimuli menaçants pour notre sécurité ou notre estime (statut, orgueil). La réaction défensive vise à repousser les menaces et à faire une démonstration de notre pouvoir de représailles. » (p. 159)

77
Q
  1. Qu’est-ce qui est une des difficultés les plus communes en santé mentale ?
    A. L’irritabilité
    B. La joie
    C. La tristesse
    D. La peur
    E. La surprise
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’irritabilité
« La réaction défensive vise à repousser les menaces et à faire une démonstration de notre pouvoir de représailles. L’irritabilité est une des difficultés les plus communes en santé mentale. C’est une sensibilisation des réactions d’irritation une augmentation de la susceptibilité aux provocations, aux critiques ou aux frustrations souvent accompagnée de ruminations de thèmes agressifs ou de retrait social (s’isoler, bouder). » (p. 159)

78
Q
  1. Qu’est-ce qui représente des niveaux plus extrêmes d’agressivité défensive comportant une perte de contrôle ?
    A. Les crises de joie
    B. Les crises de tristesse
    C. Les crises de colère
    D. Les crises de peur
    E. Les crises de surprise
    F. Aucune de ces réponses
A

C. Les crises de colère
« L’irritabilité peut être liée à une variété de causes (ex: manque de sommeil, stress, dépression, comportement oppositionnel, psychose). Les crises de colère représentent des niveaux plus extrêmes d’agressivité défensive comportant une perte de contrôle. L’irritabilité ou les crises de colère sont souvent observées après des lésions cérébrales qui affectent le cortex frontal (ex: traumatismes crâniens, démences, AVCs) ou dans certains troubles de santé mentale (ex: syndrome de Gilles de la Tourette, autisme, trouble explosif, stress post-traumatique). » (p. 159)

79
Q
  1. Qu’est-ce qui est souvent observé après des lésions cérébrales qui affectent le cortex frontal ?
    A. L’irritabilité ou les crises de joie
    B. L’irritabilité ou les crises de tristesse
    C. L’irritabilité ou les crises de colère
    D. L’irritabilité ou les crises de peur
    E. L’irritabilité ou les crises de surprise
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’irritabilité ou les crises de colère
« Les crises de colère représentent des niveaux plus extrêmes d’agressivité défensive comportant une perte de contrôle. L’irritabilité ou les crises de colère sont souvent observées après des lésions cérébrales qui affectent le cortex frontal (ex: traumatismes crâniens, démences, AVCs) ou dans certains troubles de santé mentale (ex: syndrome de Gilles de la Tourette, autisme, trouble explosif, stress post-traumatique). » (p. 159)

80
Q
  1. Qu’est-ce qui produit une baisse d’anxiété (effet anxiolytique) en plus d’un effet sédatif ?
    A. Les antidépresseurs
    B. Les antipsychotiques
    C. Les benzodiazépines
    D. Les barbituriques
    E. Les opioïdes
    F. Aucune de ces réponses
A

C. Les benzodiazépines
« Les benzodiazépines (ex. Valium, Ativan, Xanax) sont des substances qui produisent une baisse d’anxiété (effet anxiolytique) en plus d’un effet sédatif. Les benzodiazépines agissent sur plusieurs structures limbiques dont l’amygdale. » (p. 159)

81
Q
  1. Qu’est-ce qui affecte les récepteurs du neurotransmetteur GABA (gamma-amino-butyric acid) dans l’amygdale et dans d’autres structures du système limbique ?
    A. Les antidépresseurs
    B. Les antipsychotiques
    C. Les benzodiazépines
    D. Les barbituriques
    E. Les opioïdes
    F. Aucune de ces réponses
A

C. Les benzodiazépines
« Les benzodiazépines agissent sur plusieurs structures limbiques dont l’amygdale. Les benzodiazépines affectent les récepteurs du neurotransmetteur GABA (gamma-amino-butyric acid) dans l’amygdale et dans d’autres structures du système limbique. Certaines personnes souffrant de troubles anxieux montrent un nombre réduit de récepteurs GABA dans le système limbique. » (p. 159)

82
Q
  1. Qu’est-ce qui contrôle la réaction d’agression défensive ?
    A. Un circuit en boucle reliant l’hypothalamus antérieur et la zone grise périaqueducale (PAG) dans le mésencéphale
    B. Un circuit en boucle reliant l’hypothalamus postérieur et la zone grise périaqueducale (PAG) dans le mésencéphale
    C. Un circuit en boucle reliant l’hypothalamus antérieur et la zone grise périaqueducale (PAG) dans le prosencéphale
    D. Un circuit en boucle reliant l’hypothalamus postérieur et la zone grise périaqueducale (PAG) dans le prosencéphale
    E. Un circuit en boucle reliant l’hypothalamus antérieur et la zone grise périaqueducale (PAG) dans le rhombencéphale
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Un circuit en boucle reliant l’hypothalamus antérieur et la zone grise périaqueducale (PAG) dans le mésencéphale
« La réaction d’agression défensive est contrôlée par un circuit en boucle reliant l’hypothalamus antérieur et la zone grise périaqueducale (PAG) dans le mésencéphale. Quand ce circuit est stimulé, l’animal montre les dents, fronce les sourcils, hérisse son poil et montre une activation musculaire et sympathique et parfois des comportements d’attaque (mordre, frapper). » (p. 159)

83
Q
  1. Qu’est-ce qui varie selon l’intensité du déclencheur, la réactivité émotionnelle de l’animal et les apprentissages passés ?
    A. La réponse défensive
    B. La réponse proactive
    C. La réponse passive
    D. La réponse réactive
    E. La réponse neutre
    F. Aucune de ces réponses
A

A. La réponse défensive
« Quand ce circuit est stimulé, l’animal montre les dents, fronce les sourcils, hérisse son poil et montre une activation musculaire et sympathique et parfois des comportements d’attaque (mordre, frapper). La réponse défensive varie selon l’intensité du déclencheur, la réactivité émotionnelle de l’animal et les apprentissages passés. Par ses liens à différents noyaux moteurs du tronc cérébral, la zone PAG contrôle plusieurs manifestations motrices de l’agression dont les cris, la crispation faciale, le serrement des dents et l’attaque. » (p. 159)

84
Q
  1. Qu’est-ce qui peut être modulé par des signaux des autres portions du système limbique dont l’amygdale, les noyaux septaux et le cortex frontal ?
    A. Le circuit de l’agression défensive
    B. Le circuit de l’agression proactive
    C. Le circuit de l’agression passive
    D. Le circuit de l’agression réactive
    E. Le circuit de l’agression neutre
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Le circuit de l’agression défensive
« Par ses liens à différents noyaux moteurs du tronc cérébral, la zone PAG contrôle plusieurs manifestations motrices de l’agression dont les cris, la crispation faciale, le serrement des dents et l’attaque. Le circuit de l’agression défensive peut être modulé par des signaux des autres portions du système limbique dont l’amygdale, les noyaux septaux et le cortex frontal. Les médicaments comme les neuroleptiques réduisent le niveau de dopamine dans l’hypothalamus, ce qui inhibe le circuit hypothalamus-PAG et produit une baisse de l’agressivité. » (p. 159)

85
Q
  1. Qu’est-ce qui réduit le niveau de dopamine dans l’hypothalamus, inhibe le circuit hypothalamus-PAG et produit une baisse de l’agressivité ?
    A. Les antidépresseurs
    B. Les antipsychotiques
    C. Les benzodiazépines
    D. Les barbituriques
    E. Les opioïdes
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Les antipsychotiques
« Le circuit de l’agression défensive peut être modulé par des signaux des autres portions du système limbique dont l’amygdale, les noyaux septaux et le cortex frontal. Les médicaments comme les neuroleptiques réduisent le niveau de dopamine dans l’hypothalamus, ce qui inhibe le circuit hypothalamus-PAG et produit une baisse de l’agressivité. En contraste, les amphétamines augmentent les taux de dopamine dans ce circuit et stimulent le circuit d’agressivité défensive. » (p. 159)

86
Q
  1. Qu’est-ce qui augmente les taux de dopamine dans le circuit hypothalamus-PAG et stimule le circuit d’agressivité défensive ?
    A. Les antidépresseurs
    B. Les antipsychotiques
    C. Les benzodiazépines
    D. Les barbituriques
    E. Les amphétamines
    F. Aucune de ces réponses
A

E. Les amphétamines
« Les médicaments comme les neuroleptiques réduisent le niveau de dopamine dans l’hypothalamus, ce qui inhibe le circuit hypothalamus-PAG et produit une baisse de l’agressivité. En contraste, les amphétamines augmentent les taux de dopamine dans ce circuit et stimulent le circuit d’agressivité défensive. L’adrénaline active aussi ce circuit, ce qui explique l’effet général du stress sur l’irritabilité. » (p. 159)

87
Q
  1. Qu’est-ce qui active le circuit hypothalamus-PAG et explique l’effet général du stress sur l’irritabilité ?
    A. La dopamine
    B. La sérotonine
    C. L’adrénaline
    D. L’acétylcholine
    E. La noradrénaline
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’adrénaline
« En contraste, les amphétamines augmentent les taux de dopamine dans ce circuit et stimulent le circuit d’agressivité défensive. L’adrénaline active aussi ce circuit, ce qui explique l’effet général du stress sur l’irritabilité. L’agressivité défensive est aussi modulée par les systèmes sérotoninergiques et ceux des opioïdes endogènes. » (p. 159)

88
Q
  1. Qu’est-ce qui module aussi l’agressivité défensive ?
    A. Les systèmes dopaminergiques et ceux des opioïdes endogènes
    B. Les systèmes sérotoninergiques et ceux des opioïdes endogènes
    C. Les systèmes noradrénergiques et ceux des opioïdes endogènes
    D. Les systèmes acétylcholinergiques et ceux des opioïdes endogènes
    E. Les systèmes glutamatergiques et ceux des opioïdes endogènes
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Les systèmes sérotoninergiques et ceux des opioïdes endogènes
« L’adrénaline active aussi ce circuit, ce qui explique l’effet général du stress sur l’irritabilité. L’agressivité défensive est aussi modulée par les systèmes sérotoninergiques et ceux des opioïdes endogènes. » (p. 159)

89
Q
  1. Quels types d’agression comprend l’agression proactive ou offensive ?
    A. Des fonctions plus instrumentales associées à la prédation ou à la compétition sociale
    B. Des fonctions plus instrumentales associées à la défense ou à la compétition sociale
    C. Des fonctions plus instrumentales associées à la prédation ou à la coopération sociale
    D. Des fonctions plus instrumentales associées à la défense ou à la coopération sociale
    E. Des fonctions plus instrumentales associées à la prédation ou à la compétition individuelle
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Des fonctions plus instrumentales associées à la prédation ou à la compétition sociale
« L’agression proactive ou offensive comprend plusieurs types d’agression qui ont des fonctions plus instrumentales associées à la prédation ou à la compétition sociale (territorialité, dominance, compétition sexuelle)1. L’agression proactive est contrôlée par un circuit différent de celui de l’agression défensive qui implique l’hypothalamus latéral et la portion ventrale de la zone PAG. » (p. 159)

90
Q
  1. Qu’est-ce qui contrôle l’agression proactive ?
    A. Un circuit différent de celui de l’agression défensive qui implique l’hypothalamus latéral et la portion ventrale de la zone PAG
    B. Un circuit différent de celui de l’agression défensive qui implique l’hypothalamus postérieur et la portion ventrale de la zone PAG
    C. Un circuit différent de celui de l’agression défensive qui implique l’hypothalamus latéral et la portion dorsale de la zone PAG
    D. Un circuit différent de celui de l’agression défensive qui implique l’hypothalamus postérieur et la portion dorsale de la zone PAG
    E. Un circuit différent de celui de l’agression défensive qui implique l’hypothalamus latéral et la portion médiane de la zone PAG
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Un circuit différent de celui de l’agression défensive qui implique l’hypothalamus latéral et la portion ventrale de la zone PAG
« L’agression proactive ou offensive comprend plusieurs types d’agression qui ont des fonctions plus instrumentales associées à la prédation ou à la compétition sociale (territorialité, dominance, compétition sexuelle)2. L’agression proactive est contrôlée par un circuit différent de celui de l’agression défensive qui implique l’hypothalamus latéral et la portion ventrale de la zone PAG. Quand ce circuit est stimulé, l’animal focalise son attention sur sa proie, puis il prépare et exécute un comportement d’attaque. » (p. 159)

91
Q
  1. Qu’est-ce qui est stimulé lors de l’agression proactive ?
    A. L’animal focalise son attention sur sa proie, puis il prépare et exécute un comportement d’attaque
    B. L’animal focalise son attention sur sa proie, puis il prépare et exécute un comportement de défense
    C. L’animal focalise son attention sur son prédateur, puis il prépare et exécute un comportement d’attaque
    D. L’animal focalise son attention sur son prédateur, puis il prépare et exécute un comportement de défense
    E. L’animal focalise son attention sur sa proie, puis il prépare et exécute un comportement de fuite
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’animal focalise son attention sur sa proie, puis il prépare et exécute un comportement d’attaque
« L’agression proactive est contrôlée par un circuit différent de celui de l’agression défensive qui implique l’hypothalamus latéral et la portion ventrale de la zone PAG2. Quand ce circuit est stimulé, l’animal focalise son attention sur sa proie, puis il prépare et exécute un comportement d’attaque. Comparé aux réactions d’agression défensive, les attaques proactives: 1) ne sont pas déclenchées par des menaces directes, 2) comportent peu d’activation sympathique, 3) impliquent plus de planification, et 4) sont plus renforçantes et moins aversives. » (p. 159)

92
Q
  1. Qu’est-ce qui caractérise les attaques proactives par rapport aux réactions d’agression défensive ?
    A. Elles sont déclenchées par des menaces directes, comportent beaucoup d’activation sympathique, impliquent moins de planification, et sont moins renforçantes et plus aversives
    B. Elles ne sont pas déclenchées par des menaces directes, comportent peu d’activation sympathique, impliquent plus de planification, et sont plus renforçantes et moins aversives
    C. Elles sont déclenchées par des menaces directes, comportent beaucoup d’activation sympathique, impliquent plus de planification, et sont plus renforçantes et moins aversives
    D. Elles ne sont pas déclenchées par des menaces directes, comportent beaucoup d’activation sympathique, impliquent moins de planification, et sont moins renforçantes et plus aversives
    E. Elles sont déclenchées par des menaces directes, comportent peu d’activation sympathique, impliquent moins de planification, et sont plus renforçantes et moins aversives
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Elles ne sont pas déclenchées par des menaces directes, comportent peu d’activation sympathique, impliquent plus de planification, et sont plus renforçantes et moins aversives
« Quand ce circuit est stimulé, l’animal focalise son attention sur sa proie, puis il prépare et exécute un comportement d’attaque. Comparé aux réactions d’agression défensive, les attaques proactives: 1) ne sont pas déclenchées par des menaces directes, 2) comportent peu d’activation sympathique, 3) impliquent plus de planification, et 4) sont plus renforçantes et moins aversives. De plus, les circuits d’agression défensive et proactive ont tendance à s’inhiber réciproquement. » (p. 159)

93
Q
  1. Qu’est-ce qui a tendance à s’inhiber réciproquement ?
    A. Les circuits d’agression défensive et proactive
    B. Les circuits d’agression défensive et passive
    C. Les circuits d’agression proactive et passive
    D. Les circuits d’agression défensive et réactive
    E. Les circuits d’agression proactive et réactive
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les circuits d’agression défensive et proactive
« Comparé aux réactions d’agression défensive, les attaques proactives: 1) ne sont pas déclenchées par des menaces directes, 2) comportent peu d’activation sympathique, 3) impliquent plus de planification, et 4) sont plus renforçantes et moins aversives. De plus, les circuits d’agression défensive et proactive ont tendance à s’inhiber réciproquement. » (p. 159)

94
Q
  1. Qu’est-ce qui est contrôlé par un circuit différent de celui de l’agression défensive qui implique l’hypothalamus latéral et la portion ventrale de la zone PAG ?
    A. L’agression défensive
    B. L’agression proactive
    C. L’agression passive
    D. L’agression réactive
    E. L’agression neutre
    F. Aucune de ces réponses
A

B. L’agression proactive
« L’agression proactive est contrôlée par un circuit différent de celui de l’agression défensive qui implique l’hypothalamus latéral et la portion ventrale de la zone PAG2. Quand ce circuit est stimulé, l’animal focalise son attention sur sa proie, puis il prépare et exécute un comportement d’attaque. Comparé aux réactions d’agression défensive, les att

95
Q
  1. Quel circuit serait impliqué dans des émotions comme l’envie et des comportements de dominance ou compétition comme la provocation, l’intimidation et la vengeance chez l’humain ?
    A. Un circuit d’agression défensive
    B. Un circuit d’agression proactive
    C. Un circuit d’agression passive
    D. Un circuit d’agression réactive
    E. Un circuit d’agression neutre
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Un circuit d’agression proactive
« Chez l’humain, un circuit d’agression proactive serait impliqué dans des émotions comme l’envie et des comportements de dominance ou compétition comme la provocation, l’intimidation et la vengeance1. Ces comportements agressifs visent à rehausser notre statut ou notre pouvoir. Ils sont plus prémédités et plus renforçants que les réactions défensives. » (p. 160)

96
Q
  1. Quels comportements sont plus prémédités et plus renforçants que les réactions défensives ?
    A. Les comportements de dominance ou compétition
    B. Les comportements de provocation, d’intimidation et de vengeance
    C. Les comportements de manipulation, de la mauvaise foi et de l’intimidation
    D. Les comportements de dominance ou coopération
    E. Les comportements de provocation, d’intimidation et de coopération
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Les comportements de provocation, d’intimidation et de vengeance
« Chez l’humain, un circuit d’agression proactive serait impliqué dans des émotions comme l’envie et des comportements de dominance ou compétition comme la provocation, l’intimidation et la vengeance. Ces comportements agressifs visent à rehausser notre statut ou notre pouvoir. Ils sont plus prémédités et plus renforçants que les réactions défensives. Les circuits d’agression proactive sont aussi probablement impliqués dans les traits de personnalité antisociale caractérisée par une indifférence par rapport aux normes sociales ou morales et aux émotions des autres. » (p. 160)

97
Q
  1. Quels circuits sont probablement impliqués dans les traits de personnalité antisociale caractérisée par une indifférence par rapport aux normes sociales ou morales et aux émotions des autres ?
    A. Les circuits d’agression défensive
    B. Les circuits d’agression proactive
    C. Les circuits d’agression passive
    D. Les circuits d’agression réactive
    E. Les circuits d’agression neutre
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Les circuits d’agression proactive
« Ces comportements agressifs visent à rehausser notre statut ou notre pouvoir. Ils sont plus prémédités et plus renforçants que les réactions défensives. Les circuits d’agression proactive sont aussi probablement impliqués dans les traits de personnalité antisociale caractérisée par une indifférence par rapport aux normes sociales ou morales et aux émotions des autres. Les personnes ayant ces traits ont tendance à montrer des comportements de manipulation, de la mauvaise foi et de l’intimidation pour gagner ou dominer. » (p. 160)

98
Q
  1. Quels comportements ont tendance à montrer les personnes ayant des traits de personnalité antisociale ?
    A. Des comportements de manipulation, de la mauvaise foi et de l’intimidation pour gagner ou dominer
    B. Des comportements de manipulation, de la mauvaise foi et de l’intimidation pour perdre ou se soumettre
    C. Des comportements de coopération, de la bonne foi et de l’intimidation pour gagner ou dominer
    D. Des comportements de coopération, de la bonne foi et de l’intimidation pour perdre ou se soumettre
    E. Des comportements de manipulation, de la bonne foi et de l’intimidation pour gagner ou dominer
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Des comportements de manipulation, de la mauvaise foi et de l’intimidation pour gagner ou dominer
« Les circuits d’agression proactive sont aussi probablement impliqués dans les traits de personnalité antisociale caractérisée par une indifférence par rapport aux normes sociales ou morales et aux émotions des autres2. Les personnes ayant ces traits ont tendance à montrer des comportements de manipulation, de la mauvaise foi et de l’intimidation pour gagner ou dominer. » (p. 160)

99
Q
  1. Qu’est-ce qui est en partie responsable de la différence de comportement agressif entre les hommes et les femmes ?
    A. Les œstrogènes présents chez le fœtus femelle
    B. Les androgènes présents chez le fœtus mâle
    C. Les œstrogènes présents chez le fœtus mâle
    D. Les androgènes présents chez le fœtus femelle
    E. Les hormones thyroïdiennes présentes chez le fœtus mâle
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Les androgènes présents chez le fœtus mâle
« Les hommes sont souvent plus agressifs que les femmes et plusieurs données suggèrent que les androgènes présents chez le fœtus mâle sont en partie responsables de cette différence de comportement. Contrairement à une croyance répandue, la testostérone n’est pas associée à une augmentation de l’agressivité générale. Cette hormone est cependant associée à la compétition sociale. » (p. 160)

100
Q
  1. Qu’est-ce qui est associé à la compétition sociale et augmente durant l’anticipation d’activités compétitives et après une victoire contre un adversaire ?
    A. La dopamine
    B. La sérotonine
    C. L’adrénaline
    D. L’acétylcholine
    E. La testostérone
    F. Aucune de ces réponses
A

E. La testostérone
« Contrairement à une croyance répandue, la testostérone n’est pas associée à une augmentation de l’agressivité générale. Cette hormone est cependant associée à la compétition sociale. Elle augmente durant l’anticipation d’activités compétitives et après une victoire contre un adversaire. Elle accentue aussi la sensibilité physiologique (activation sympathique) aux visages menaçants, des signaux de compétition sociale. » (p. 160)

101
Q
  1. Chez qui les expressions faciales font-elles partie de la composante motrice de la plupart des émotions ?
    A. Chez les primates, y compris l’humain
    B. Chez les mammifères, y compris l’humain
    C. Chez les oiseaux, y compris l’humain
    D. Chez les reptiles, y compris l’humain
    E. Chez les poissons, y compris l’humain
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Chez les primates, y compris l’humain
« Chez les primates, y compris l’humain, les expressions faciales font partie de la composante motrice de la plupart des émotions. Ces expressions ont un rôle social qui vise à communiquer l’état émotif de l’individu à son entourage. Depuis Darwin, on reconnaît que plusieurs expressions faciales sont universelles chez l’humain et donc propres à notre espèce. » (p. 160)

102
Q
  1. Quel rôle ont les expressions faciales chez l’humain ?
    A. Elles ont un rôle social qui vise à communiquer l’état émotif de l’individu à son entourage
    B. Elles ont un rôle social qui vise à cacher l’état émotif de l’individu à son entourage
    C. Elles ont un rôle social qui vise à communiquer l’état physique de l’individu à son entourage
    D. Elles ont un rôle social qui vise à cacher l’état physique de l’individu à son entourage
    E. Elles ont un rôle social qui vise à communiquer l’état mental de l’individu à son entourage
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Elles ont un rôle social qui vise à communiquer l’état émotif de l’individu à son entourage
« Chez les primates, y compris l’humain, les expressions faciales font partie de la composante motrice de la plupart des émotions. Ces expressions ont un rôle social qui vise à communiquer l’état émotif de l’individu à son entourage. Depuis Darwin, on reconnaît que plusieurs expressions faciales sont universelles chez l’humain et donc propres à notre espèce. » (p. 160)

103
Q
  1. Qui a reconnu que plusieurs expressions faciales sont universelles chez l’humain et donc propres à notre espèce ?
    A. Sigmund Freud
    B. Carl Jung
    C. Charles Darwin
    D. Ivan Pavlov
    E. B.F. Skinner
    F. Aucune de ces réponses
A

C. Charles Darwin
« Ces expressions ont un rôle social qui vise à communiquer l’état émotif de l’individu à son entourage. Depuis Darwin, on reconnaît que plusieurs expressions faciales sont universelles chez l’humain et donc propres à notre espèce. Elles sont similaires dans toutes les cultures y compris celles qui n’ont pas eu de contact avec le monde extérieur. » (p. 160)

104
Q
  1. Selon Paul Ekman, quels types d’expressions faciales primaires tous les humains montrent-ils, peu importe leur culture ?
    A. La surprise, la colère, la tristesse, le dégoût, la peur et la joie
    B. La surprise, la colère, la tristesse, le dégoût, la peur et la honte
    C. La surprise, la colère, la tristesse, le dégoût, la peur et la culpabilité
    D. La surprise, la colère, la tristesse, le dégoût, la peur et l’envie
    E. La surprise, la colère, la tristesse, le dégoût, la peur et la jalousie
    F. Aucune de ces réponses
A

A. La surprise, la colère, la tristesse, le dégoût, la peur et la joie
« Ces expressions faciales peuvent aussi apparaitre chez les nouveau-nés qui ont été peu ou pas exposés à ces expressions faciales. Selon Paul Ekman, tous les humains montrent des expressions faciales primaires dont la surprise, la colère, la tristesse, le dégoût, la peur et la joie, peu importe leur culture. Par exemple, dans l’irritation et la colère on observe systématiquement des contractions des muscles corrugateurs qui plissent le front et les sourcils ainsi que du muscle orbiculaire oral qui est responsable de la moue de la bouche. » (p. 160)

105
Q
  1. Qu’est-ce qui est observé systématiquement dans l’irritation et la colère ?
    A. Des contractions des muscles corrugateurs qui plissent le front et les sourcils ainsi que du muscle orbiculaire oral qui est responsable de la moue de la bouche
    B. Des contractions des muscles corrugateurs qui plissent le front et les sourcils ainsi que du muscle orbiculaire oral qui est responsable du sourire
    C. Des contractions des muscles corrugateurs qui plissent le front et les sourcils ainsi que du muscle orbiculaire oral qui est responsable de l’écarquillement des yeux
    D. Des contractions des muscles corrugateurs qui plissent le front et les sourcils ainsi que du muscle orbiculaire oral qui est responsable de l’ouverture de la bouche
    E. Des contractions des muscles corrugateurs qui plissent le front et les sourcils ainsi que du muscle orbiculaire oral qui est responsable de la fermeture de la bouche
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Des contractions des muscles corrugateurs qui plissent le front et les sourcils ainsi que du muscle orbiculaire oral qui est responsable de la moue de la bouche
« Selon Paul Ekman, tous les humains montrent des expressions faciales primaires dont la surprise, la colère, la tristesse, le dégoût, la peur et la joie, peu importe leur culture. Par exemple, dans l’irritation et la colère on observe systématiquement des contractions des muscles corrugateurs qui plissent le front et les sourcils ainsi que du muscle orbiculaire oral qui est responsable de la moue de la bouche. En contraste, dans les sourires de joie, on observe une contraction du muscle zygomatique qui écarte les coins de la bouche et de l’orbiculaire oculaire qui écarquille les yeux. » (p. 160)

106
Q
  1. Qu’est-ce qui est observé dans les sourires de joie ?
    A. Une contraction du muscle zygomatique qui écarte les coins de la bouche et de l’orbiculaire oculaire qui tourne les yeux
    B. Une contraction du muscle zygomatique qui écarte les coins de la bouche et de l’orbiculaire oculaire qui ferme les yeux
    C. Une contraction du muscle zygomatique qui écarte les coins de la bouche et de l’orbiculaire oculaire qui baisse les yeux
    D. Une contraction du muscle zygomatique qui écarte les coins de la bouche et de l’orbiculaire oculaire qui lève les yeux
    E. Une contraction du muscle zygomatique qui écarte les coins de la bouche et de l’orbiculaire oculaire qui écarquille les yeux
    F. Aucune de ces réponses
A

E. Une contraction du muscle zygomatique qui écarte les coins de la bouche et de l’orbiculaire oculaire qui écarquille les yeux
« Par exemple, dans l’irritation et la colère on observe systématiquement des contractions des muscles corrugateurs qui plissent le front et les sourcils ainsi que du muscle orbiculaire oral qui est responsable de la moue de la bouche. En contraste, dans les sourires de joie, on observe une contraction du muscle zygomatique qui écarte les coins de la bouche et de l’orbiculaire oculaire qui écarquille les yeux. » (p. 160)

107
Q
  1. Quelle émotion est fondamentale pour la motivation et l’estime de soi et est aussi un signe social de confiance et de statut ?
    A. La fierté
    B. La honte
    C. La joie
    D. La tristesse
    E. La colère
    F. Aucune de ces réponses
A

A. La fierté
« La fierté est fondamentale pour la motivation et l’estime de soi. Elle est aussi un signe social de confiance et de statut. La honte est une chute de fierté liée à une auto-évaluation négative. Elle est aussi un signal social visant à réduire la désapprobation des autres. » (p. 161)

108
Q
  1. Qu’est-ce qui est une chute de fierté liée à une auto-évaluation négative et est aussi un signal social visant à réduire la désapprobation des autres ?
    A. La fierté
    B. La honte
    C. La joie
    D. La tristesse
    E. La colère
    F. Aucune de ces réponses
A

B. La honte
« La fierté est fondamentale pour la motivation et l’estime de soi. Elle est aussi un signe social de confiance et de statut. La honte est une chute de fierté liée à une auto-évaluation négative. Elle est aussi un signal social visant à réduire la désapprobation des autres. » (p. 161)

109
Q
  1. Qu’est-ce que les bébés montrent et reconnaissent après quelques mois ?
    A. Des expressions faciales automatiques (instinctives)
    B. Des expressions faciales volontaires
    C. Des expressions faciales passives
    D. Des expressions faciales actives
    E. Des expressions faciales neutres
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Des expressions faciales automatiques (instinctives)
« Les bébés montrent et reconnaissent des expressions faciales automatiques (instinctives) après quelques mois, mais leur répertoire d’expressions faciales se développe par des apprentissages (ex: l’imitation d’expressions). Nous utilisons des expressions faciales volontaires dans les échanges sociaux ( ex: les sourires de politesse pour saluer les gens, la joie amplifiée pour montrer de la solidarité). » (p. 161)

110
Q
  1. Qu’est-ce que nous utilisons dans les échanges sociaux ?
    A. Des expressions faciales automatiques
    B. Des expressions faciales volontaires
    C. Des expressions faciales passives
    D. Des expressions faciales actives
    E. Des expressions faciales neutres
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Des expressions faciales volontaires
« Les bébés montrent et reconnaissent des expressions faciales automatiques (instinctives) après quelques mois, mais leur répertoire d’expressions faciales se développe par des apprentissages (ex: l’imitation d’expressions). Nous utilisons des expressions faciales volontaires dans les échanges sociaux ( ex: les sourires de politesse pour saluer les gens, la joie amplifiée pour montrer de la solidarité). Nous pouvons aussi simuler volontairement des émotions dans certaines situations (ex: mensonges, humour, art dramatique). » (p. 161)

111
Q
  1. Qu’est-ce que nous pouvons aussi simuler volontairement dans certaines situations ?
    A. Des émotions
    B. Des expressions faciales
    C. Des mouvements corporels
    D. Des réactions physiologiques
    E. Des pensées
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Des émotions
« Nous utilisons des expressions faciales volontaires dans les échanges sociaux ( ex: les sourires de politesse pour saluer les gens, la joie amplifiée pour montrer de la solidarité). Nous pouvons aussi simuler volontairement des émotions dans certaines situations (ex: mensonges, humour, art dramatique). Les expressions faciales volontaires et automatiques sont similaires, mais de légères différences les distinguent. » (p. 161)

112
Q
  1. Qu’est-ce qui contient des contractions des muscles orbiculaires oculaires plus faibles que les sourires automatiques car ces muscles sont difficiles à contrôler volontairement ?
    A. Les sourires volontaires
    B. Les sourires automatiques
    C. Les sourires passifs
    D. Les sourires actifs
    E. Les sourires neutres
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les sourires volontaires
« Les expressions faciales volontaires et automatiques sont similaires, mais de légères différences les distinguent. Par exemple, les sourires volontaires contiennent des contractions des muscles orbiculaires oculaires plus faibles que les sourires automatiques car ces muscles sont difficiles à contrôler volontairement. Certains travaux tentent de développer des techniques de détection des mensonges à partir des micro-expressions faciales ou des micromouvements (tics, manies … ) exprimés quand on tente de dissimuler des informations. » (p. 161)

113
Q
  1. Qu’est-ce qui est fondamental pour la motivation et l’estime de soi et est aussi un signe social de confiance et de statut ?
    A. La fierté
    B. La honte
    C. La joie
    D. La tristesse
    E. La peur
    F. Aucune de ces réponses
A

A. La fierté
« La fierté est fondamentale pour la motivation et l’estime de soi. Elle est aussi un signe social de confiance et de statut. La honte est une chute de fierté liée à une auto-évaluation négative. Elle est aussi un signal social visant à réduire la désapprobation des autres. » (p. 161)

114
Q
  1. Qu’est-ce qui est une chute de fierté liée à une auto-évaluation négative et est aussi un signal social visant à réduire la désapprobation des autres ?
    A. La fierté
    B. La honte
    C. La joie
    D. La tristesse
    E. La peur
    F. Aucune de ces réponses
A

B. La honte
« La fierté est fondamentale pour la motivation et l’estime de soi. Elle est aussi un signe social de confiance et de statut. La honte est une chute de fierté liée à une auto-évaluation négative. Elle est aussi un signal social visant à réduire la désapprobation des autres. » (p. 161)

115
Q
  1. Qu’est-ce que les bébés montrent et reconnaissent après quelques mois ?
    A. Des expressions faciales automatiques (instinctives)
    B. Des expressions faciales volontaires
    C. Des expressions faciales passives
    D. Des expressions faciales actives
    E. Des expressions faciales neutres
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Des expressions faciales automatiques (instinctives)
« Les bébés montrent et reconnaissent des expressions faciales automatiques (instinctives) après quelques mois, mais leur répertoire d’expressions faciales se développe par des apprentissages (ex: l’imitation d’expressions). Nous utilisons des expressions faciales volontaires dans les échanges sociaux ( ex: les sourires de politesse pour saluer les gens, la joie amplifiée pour montrer de la solidarité). » (p. 161)

116
Q
  1. Qu’est-ce que nous utilisons dans les échanges sociaux ?
    A. Des expressions faciales automatiques
    B. Des expressions faciales volontaires
    C. Des expressions faciales passives
    D. Des expressions faciales actives
    E. Des expressions faciales neutres
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Des expressions faciales volontaires
« Les bébés montrent et reconnaissent des expressions faciales automatiques (instinctives) après quelques mois, mais leur répertoire d’expressions faciales se développe par des apprentissages (ex: l’imitation d’expressions). Nous utilisons des expressions faciales volontaires dans les échanges sociaux ( ex: les sourires de politesse pour saluer les gens, la joie amplifiée pour montrer de la solidarité). Nous pouvons aussi simuler volontairement des émotions dans certaines situations (ex: mensonges, humour, art dramatique). » (p. 161)

117
Q
  1. Qu’est-ce qui contient des contractions des muscles orbiculaires oculaires plus faibles que les sourires automatiques car ces muscles sont difficiles à contrôler volontairement ?
    A. Les sourires volontaires
    B. Les sourires automatiques
    C. Les sourires passifs
    D. Les sourires actifs
    E. Les sourires neutres
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les sourires volontaires
« Les expressions faciales volontaires et automatiques sont similaires, mais de légères différences les distinguent. Par exemple, les sourires volontaires contiennent des contractions des muscles orbiculaires oculaires plus faibles que les sourires automatiques car ces muscles sont difficiles à contrôler volontairement. Certains travaux tentent de développer des techniques de détection des mensonges à partir des micro-expressions faciales ou des micromouvements (tics, manies … ) exprimés quand on tente de dissimuler des informations. » (p. 161)

118
Q
  1. Qu’est-ce que certains travaux tentent de développer à partir des micro-expressions faciales ou des micromouvements (tics, manies … ) exprimés quand on tente de dissimuler des informations ?
    A. Des techniques de détection des mensonges
    B. Des techniques de détection des vérités
    C. Des techniques de détection des émotions
    D. Des techniques de détection des sentiments
    E. Des techniques de détection des pensées
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Des techniques de détection des mensonges
« Par exemple, les sourires volontaires contiennent des contractions des muscles orbiculaires oculaires plus faibles que les sourires automatiques car ces muscles sont difficiles à contrôler volontairement. Certains travaux tentent de développer des techniques de détection des mensonges à partir des micro-expressions faciales ou des micromouvements (tics, manies … ) exprimés quand on tente de dissimuler des informations. » (p. 161)

119
Q
  1. Qu’est-ce qui est reconnue dans une grande variété de cultures et comporte une auto-évaluation positive et qui s’exprime par un demi-sourire, une tête relevée et des épaules plus écartées ?
    A. La fierté
    B. La honte
    C. La joie
    D. La tristesse
    E. La peur
    F. Aucune de ces réponses
A

A. La fierté
« D’autres expressions émotionnelles impliquent des réactions de la tête et du corps en plus des réactions du visage. Par exemple, la fierté est une émotion fondamentale qui comporte une auto-évaluation positive et qui s’exprime par un demi-sourire, une tête relevée et des épaules plus écartées. Elle est aussi reconnue dans une grande variété de cultures. » (p. 161)

120
Q
  1. Quels circuits cérébraux ne sont pas les mêmes ?
    A. Les circuits cérébraux des expressions faciales émotives et involontaires
    B. Les circuits cérébraux des expressions faciales émotives et passives
    C. Les circuits cérébraux des expressions faciales émotives et actives
    D. Les circuits cérébraux des expressions faciales émotives et neutres
    E. Les circuits cérébraux des expressions faciales émotives et volontaires
    F. Aucune de ces réponses
A

E. Les circuits cérébraux des expressions faciales émotives et volontaires
« Les circuits cérébraux des expressions faciales émotives et volontaires ne sont pas les mêmes. Des lésions dans le système limbique ( cortex frontal, capsule interne, amygdale, zone grise périaqueducale) peuvent perturber les expressions faciales émotionnelles, une paralysie faciale émotionnelle, sans affecter les expressions faciales volontaires. » (p. 161)

121
Q
  1. Qu’est-ce qui peut perturber les expressions faciales émotionnelles, une paralysie faciale émotionnelle, sans affecter les expressions faciales volontaires ?
    A. Des lésions dans le système limbique
    B. Des lésions dans le système moteur
    C. Des lésions dans le système nerveux central
    D. Des lésions dans le système nerveux périphérique
    E. Des lésions dans le système nerveux autonome
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Des lésions dans le système limbique
« Les circuits cérébraux des expressions faciales émotives et volontaires ne sont pas les mêmes. Des lésions dans le système limbique ( cortex frontal, capsule interne, amygdale, zone grise périaqueducale) peuvent perturber les expressions faciales émotionnelles, une paralysie faciale émotionnelle, sans affecter les expressions faciales volontaires. » (p. 161)

122
Q
  1. Qu’est-ce qui peut causer une paralysie faciale volontaire et laisser intactes les expressions faciales émotionnelles ?
    A. Des lésions dans le système limbique
    B. Des lésions dans le système moteur
    C. Des lésions dans le système nerveux central
    D. Des lésions dans le système nerveux périphérique
    E. Des lésions dans le système nerveux autonome
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Des lésions dans le système moteur
« Des lésions dans le système limbique ( cortex frontal, capsule interne, amygdale, zone grise périaqueducale) peuvent perturber les expressions faciales émotionnelles, une paralysie faciale émotionnelle, sans affecter les expressions faciales volontaires. En revanche, les lésions du système moteur peuvent causer une paralysie faciale volontaire et laisser intactes les expressions faciales émotionnelles. » (p. 161)

123
Q
  1. Qu’est-ce qui peut affecter la reconnaissance des expressions faciales émotives ?
    A. Des lésions au système limbique
    B. Des lésions au système moteur
    C. Des lésions au système nerveux central
    D. Des lésions au système nerveux périphérique
    E. Des lésions au système nerveux autonome
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Des lésions au système limbique
« Les lésions au système limbique peuvent aussi affecter la reconnaissance des expressions faciales émotives. Les lésions dans l’hémisphère droit provoquent de plus grandes difficultés à décoder les expressions faciales chez les autres, que les lésions dans l’hémisphère gauche. » (p. 161)

124
Q
  1. Qu’est-ce qui provoque de plus grandes difficultés à décoder les expressions faciales chez les autres ?
    A. Les lésions dans l’hémisphère droit
    B. Les lésions dans l’hémisphère gauche
    C. Les lésions dans l’hémisphère frontal
    D. Les lésions dans l’hémisphère pariétal
    E. Les lésions dans l’hémisphère occipital
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les lésions dans l’hémisphère droit
« Les lésions au système limbique peuvent aussi affecter la reconnaissance des expressions faciales émotives. Les lésions dans l’hémisphère droit provoquent de plus grandes difficultés à décoder les expressions faciales chez les autres, que les lésions dans l’hémisphère gauche. » (p. 161)

125
Q
  1. Qu’est-ce qui produit aussi des sensations qui contribuent à la perception subjective de nos propres émotions ?
    A. Nos expressions faciales
    B. Nos expressions corporelles
    C. Nos expressions verbales
    D. Nos expressions non verbales
    E. Nos expressions gestuelles
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Nos expressions faciales
« En plus d’être des actions de communication entre les individus, nos expressions faciales produisent aussi des sensations qui contribuent à la perception subjective de nos propres émotions. Par exemple, si on adopte une attitude faciale de joie pendant quelques minutes, notre humeur a tendance à s’améliorer. » (p. 161)

126
Q
  1. Qu’est-ce qui renseignent rapidement l’entourage sur notre état émotionnel et qui peuvent stimuler chez eux l’empathie ou la contagion émotionnelle ?
    A. Les rires et les pleurs
    B. Les sourires et les grimaces
    C. Les hochements de tête et les clignements d’yeux
    D. Les mouvements de bras et de jambes
    E. Les mouvements de mains et de pieds
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les rires et les pleurs
« La joie et la tristesse sont souvent détectées par les rires et les pleurs, des vocalisations automatiques qui renseignent rapidement l’entourage sur notre état émotionnel et qui peuvent stimuler chez eux l’empathie ou la contagion émotionnelle. Les rires et les pleurs sont contrôlés à partir de noyaux dans le cerveau postérieur (le bulbe). » (p. 161)

127
Q
  1. Qu’est-ce qui sont contrôlés à partir de noyaux dans le cerveau postérieur (le bulbe) ?
    A. Les rires et les pleurs
    B. Les sourires et les grimaces
    C. Les hochements de tête et les clignements d’yeux
    D. Les mouvements de bras et de jambes
    E. Les mouvements de mains et de pieds
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Les rires et les pleurs
« La joie et la tristesse sont souvent détectées par les rires et les pleurs, des vocalisations automatiques qui renseignent rapidement l’entourage sur notre état émotionnel et qui peuvent stimuler chez eux l’empathie ou la contagion émotionnelle. Les rires et les pleurs sont contrôlés à partir de noyaux dans le cerveau postérieur (le bulbe). Ces noyaux sont influencés par des connexions en provenance du cortex frontal, du système limbique et de l’hypothalamus par un circuit appelé voie cortico-bulbaire. » (p. 161)

128
Q
  1. Quel syndrome, souvent observé dans les maladies neurodégénératives comme Alzheimer, Parkinson, la sclérose en plaques, mais aussi dans les AVCs et les traumatismes crâniens, est caractérisé par des épisodes de rires ou pleurs irrésistibles qui sont exagérés ou incongrus par rapport à la situation qui les déclenche ?
    A. Syndrome de Parkinson
    B. Syndrome pseudo-bulbaire
    C. Syndrome d’Alzheimer
    D. Syndrome de la sclérose en plaques
    E. Syndrome de l’AVC
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Syndrome pseudo-bulbaire
Les dommages aux voies cortico-bulbaires produisent un syndrome pseudo-bulbaire caractérisé par des épisodes de rires ou pleurs irrésistibles. Ces rires ou pleurs sont exagérés ou incongrus par rapport à la situation qui les déclenche. Ils sont souvent peu associés à des sentiments et sont difficiles à contrôler. Ce syndrome cause souvent de l’embarras et un retrait social.” (p. 162)

129
Q
  1. Quel effet le rire a-t-il sur le sentiment de bien-être et le seuil de douleur, en raison de l’activation des opioïdes comme les endorphines, des neuromodulateurs dans le système limbique ?
    A. Le rire les diminue
    B. Le rire les augmente
    C. Le rire n’a aucun effet
    D. Le rire les diminue, puis les augmente
    E. Le rire les augmente, puis les diminue
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Le rire les augmente
Le rire augmente le sentiment de bien-être en plus d’augmenter le seuil de douleur. Ces effets sont entre autres causés par l’activation des opioïdes comme les endorphines, des neuromodulateurs dans le système limbique.” (p. 162)

130
Q
  1. Quel est l’effet du syndrome pseudo-bulbaire sur la vie sociale des individus ?
    A. Il améliore la vie sociale
    B. Il n’a aucun effet sur la vie sociale
    C. Il cause souvent de l’embarras et un retrait social
    D. Il favorise l’interaction sociale
    E. Il cause une augmentation de l’activité sociale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. Il cause souvent de l’embarras et un retrait social
Ce syndrome cause souvent de l’embarras et un retrait social. On observe ce syndrome dans les maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques) mais aussi dans les AVCs et les traumatismes crâniens.” (p. 162)

131
Q
  1. Quelles sont les maladies neurodégénératives dans lesquelles on observe le syndrome pseudo-bulbaire ?
    A. Alzheimer
    B. Parkinson
    C. Sclérose en plaques
    D. A et B
    E. B et C
    F. Aucune de ces réponses
A

D. A et B
On observe ce syndrome dans les maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques) mais aussi dans les AVCs et les traumatismes crâniens.” (p. 162)

132
Q
  1. Qu’est-ce qui est activé par l’excitation sexuelle ?
    A. L’insula
    B. Plusieurs portions du système limbique
    C. L’amygdale
    D. A et B
    E. B et C
    F. Aucune de ces réponses
A

D. A et B
L’excitation sexuelle active l’insula ainsi que plusieurs portions du système limbique incluant l’amygdale, l’hypothalamus paraventriculaire, le cortex orbitofrontal et le système mésolimbique lié au renforcement. Le système mésolimbique anticipe les renforcements et génère des envies de rapprochement.” (p. 162)

133
Q
  1. Qu’est-ce qui contrôle les hormones sexuelles ?
    A. Le cortex orbitofrontal
    B. L’amygdale
    C. L’axe hypophyse-gonades
    D. Le système mésolimbique
    E. L’hypothalamus
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’axe hypophyse-gonades
Modulé par le cortex orbitofrontal et l’amygdale, l’hypothalamus régit l’axe hypophyse-gonades qui contrôle les hormones sexuelles. Il déclenche aussi les comportements d’approche et l’accouplement via le PAG et le système nerveux autonome.” (p. 162)

134
Q
  1. Qu’est-ce qui déclenche les comportements d’approche et l’accouplement ?
    A. Le cortex orbitofrontal
    B. L’amygdale
    C. L’hypothalamus
    D. Le système mésolimbique
    E. L’insula
    F. Aucune de ces réponses
A

C. L’hypothalamus
Il déclenche aussi les comportements d’approche et l’accouplement via le PAG et le système nerveux autonome. Les facteurs et mécanismes qui causent les fluctuations naturelles du désir sont peu connus.” (p. 162)

135
Q
  1. Quels sont les facteurs et mécanismes qui causent les fluctuations naturelles du désir ?
    A. Ils sont bien connus
    B. Ils sont peu connus
    C. Ils sont modulés par le cortex orbitofrontal
    D. Ils sont contrôlés par l’amygdale
    E. Ils sont régis par l’hypothalamus
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Ils sont peu connus
Les facteurs et mécanismes qui causent les fluctuations naturelles du désir sont peu connus. “ (p. 162)

136
Q
  1. Quel est l’effet de la testostérone sur le désir chez les hommes et les femmes ?
    A. Il n’y a pas de corrélation entre le taux de testostérone sanguin de base et le désir sexuel
    B. De faibles doses de testostérone augmentent le désir sexuel chez les hommes et les femmes
    C. La testostérone diminue le désir sexuel
    D. La testostérone n’a aucun effet sur le désir sexuel
    E. La testostérone augmente le désir sexuel chez les hommes mais le diminue chez les femmes
    F. Aucune de ces réponses
A

B. De faibles doses de testostérone augmentent le désir sexuel chez les hommes et les femmes
Le désir est affecté par la testostérone chez les hommes et les femmes. Il n’y a pas de corrélation entre le taux de testostérone sanguin de base et le désir sexuel, mais de faibles doses de testostérone augmentent le désir sexuel chez les hommes et les femmes. Hypersexualité et hyposexualité” (p. 162)

137
Q
  1. Qu’est-ce qui peut influencer l’intérêt sexuel et les fonctions sexuelles des humains ?
    A. Les perturbations cérébrales
    B. Les médicaments
    C. A et B
    D. Le taux de testostérone sanguin
    E. Les faibles doses de testostérone
    F. Aucune de ces réponses
A

C. A et B
L’intérêt sexuel et les fonctions sexuelles des humains peuvent être influencés par des perturbations cérébrales et par des médicaments. L’hypersexualité est une famille de comportements hétérogène qui peut se manifester par une hypersensibilité aux stimuli sexuels, ou des préoccupations sexuelles excessives.” (p. 162)

138
Q
  1. Qu’est-ce qui peut se manifester par une hypersensibilité aux stimuli sexuels, ou des préoccupations sexuelles excessives ?
    A. L’hypersexualité
    B. L’hyposexualité
    C. Les perturbations cérébrales
    D. Les médicaments
    E. Les faibles doses de testostérone
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’hypersexualité
L’hypersexualité est une famille de comportements hétérogène qui peut se manifester par une hypersensibilité aux stimuli sexuels, ou des préoccupations sexuelles excessives. L’hypersexualité peut être observée dans les atteintes du cortex orbitofrontal comme la démence fronto-temporale (maladie de Pick) ou dans les stades plus avancés de la maladie d’Alzheimer.” (p. 162)

139
Q
  1. Dans quelles conditions l’hypersexualité peut-elle être observée ?
    A. Dans les atteintes du cortex orbitofrontal
    B. Dans la démence fronto-temporale (maladie de Pick)
    C. Dans les stades plus avancés de la maladie d’Alzheimer
    D. A et B
    E. B et C
    F. Aucune de ces réponses
A

D. A et B
L’hypersexualité peut être observée dans les atteintes du cortex orbitofrontal comme la démence fronto-temporale (maladie de Pick) ou dans les stades plus avancés de la maladie d’Alzheimer. Elle peut aussi être observée après une atteinte aux amygdales comme dans le syndrome de Kluver-Bucy.” (p. 162)

140
Q
  1. Qu’est-ce qui peut entraîner une augmentation de la libido ?
    A. Le Gammahydroxybutyrate (GHB)
    B. Le MDMA (ecstasy)
    C. A et B
    D. Les perturbations cérébrales
    E. Les médicaments
    F. Aucune de ces réponses
A

C. A et B
Certaines drogues comme le Gammahydroxybutyrate (GHB) ou le MDMA (ecstasy) peuvent entrainer une augmentation de libido qui est en partie due à une activation du système mésolimbique. “ (p. 162)

141
Q
  1. Qu’est-ce qui est en partie responsable de l’augmentation de la libido causée par certaines drogues ?
    A. L’activation du système mésolimbique
    B. Les perturbations cérébrales
    C. Les médicaments
    D. Le taux de testostérone sanguin
    E. Les faibles doses de testostérone
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’activation du système mésolimbique
Certaines drogues comme le Gammahydroxybutyrate (GHB) ou le MDMA (ecstasy) peuvent entrainer une augmentation de libido qui est en partie due à une activation du système mésolimbique. “ (p. 162)

142
Q
  1. Qu’est-ce qui peut être observé après une atteinte aux amygdales ?
    A. L’hypersexualité
    B. L’hyposexualité
    C. Les perturbations cérébrales
    D. Les médicaments
    E. Les faibles doses de testostérone
    F. Aucune de ces réponses
A

A. L’hypersexualité
Elle peut aussi être observée après une atteinte aux amygdales comme dans le syndrome de Kluver-Bucy. L’hypersexualité est aussi observée à la suite de perturbations du système mésolimbique dopaminergique comme après la prise d’agonistes de la dopamine (ex: pour la maladie de Parkinson) ou d’amphétamines ou encore dans les troubles bipolaires.” (p. 162)

143
Q
  1. Qu’est-ce qui est fréquent dans les atteintes cérébrales et peut être lié à une hyperactivité du cortex orbitofrontal ?
    A. L’hypersexualité
    B. L’hyposexualité
    C. Les stresseurs
    D. L’anxiété
    E. La prolactine
    F. Aucune de ces réponses
A

B. L’hyposexualité
L’hyposexualité ou baisse de libido est fréquente dans les atteintes cérébrales. L’hyposexualité est parfois liée à une hyperactivité du cortex orbitofrontal, qui exerce un contrôle inhibiteur sur l’hypothalamus et d’autres structures limbiques. Les stresseurs et l’anxiété peuvent affectent les fonctions sexuelles via le cortex orbitofrontal, par le biais de ses connexions avec l’hypothalamus et le système nerveux autonome ou par la voie hormonale en perturbant la sécrétion de GNRH par l’hypothalamus.” (p. 163)

144
Q
  1. Qu’est-ce qui peut affecter les fonctions sexuelles via le cortex orbitofrontal ?
    A. Les stresseurs
    B. L’anxiété
    C. A et B
    D. La prolactine
    E. La dopamine
    F. Aucune de ces réponses
A

C. A et B
Les stresseurs et l’anxiété peuvent affectent les fonctions sexuelles via le cortex orbitofrontal, par le biais de ses connexions avec l’hypothalamus et le système nerveux autonome ou par la voie hormonale en perturbant la sécrétion de GNRH par l’hypothalamus. La libido peut aussi diminuer à cause d’une production excessive de prolactine, due à une tumeur ou une baisse de dopamine dans l’hypothalamus.” (p. 163)

145
Q
  1. Qu’est-ce qui peut diminuer la libido à cause d’une production excessive ?
    A. La prolactine
    B. La dopamine
    C. Les stresseurs
    D. L’anxiété
    E. L’hypothalamus
    F. Aucune de ces réponses
A

A. La prolactine
La libido peut aussi diminuer à cause d’une production excessive de prolactine, due à une tumeur ou une baisse de dopamine dans l’hypothalamus. La prolactine est sécrétée naturellement après l’orgasme et elle produit une baisse de libido temporaire.” (p. 163)

146
Q
  1. Qu’est-ce qui est sécrété naturellement après l’orgasme et produit une baisse de libido temporaire ?
    A. La prolactine
    B. La dopamine
    C. Les stresseurs
    D. L’anxiété
    E. L’hypothalamus
    F. Aucune de ces réponses
A

A. La prolactine
La prolactine est sécrétée naturellement après l’orgasme et elle produit une baisse de libido temporaire. La dopamine est un inhibiteur naturel de la prolactine.” (p. 163)

147
Q
  1. Quels médicaments peuvent diminuer la libido ?
    A. Les antidépresseurs
    B. Les antihypertenseurs
    C. A et B
    D. Les stresseurs
    E. L’anxiété
    F. Aucune de ces réponses
A

C. A et B
Certains médicaments comme les antidépresseurs et les antihypertenseurs peuvent diminuer la libido. “ (p. 163)

148
Q
  1. Quels circuits sont impliqués dans les fonctions de l’amour et de l’attachement ?
    A. Les circuits liés à l’euphorie et à la dépendance
    B. Le système mésolimbique
    C. Les circuits liés à la peur et à l’agressivité
    D. A et B
    E. B et C
    F. Aucune de ces réponses
A

D. A et B
Les bases cérébrales de l’amour et de l’attachement sont peu connues. On sait que les circuits liés à l’euphorie et à la dépendance sont impliqués dans ces fonctions et en particulier le système mésolimbique qui transporte des neuromodulateurs comme la dopamine, les cannabinoïdes naturels et les opioïdes naturels dans le système limbique à partir du mésencéphale. L’ocytocine et la vasopressine, deux neuropeptides de l’hypothalamus, ont aussi des effets sur les circuits cérébraux de l’affiliation et de l’attachement.” (p. 163)

149
Q
  1. Quels neuropeptides de l’hypothalamus ont des effets sur les circuits cérébraux de l’affiliation et de l’attachement ?
    A. L’ocytocine
    B. La vasopressine
    C. A et B
    D. La dopamine
    E. Les cannabinoïdes naturels
    F. Aucune de ces réponses
A

C. A et B
L’ocytocine et la vasopressine, deux neuropeptides de l’hypothalamus, ont aussi des effets sur les circuits cérébraux de l’affiliation et de l’attachement. Le campagnol des prairies est un rongeur sociable et monogame qui présente un attachement familial profond.” (p. 163)

150
Q
  1. Quel rôle joue la vasopressine chez le campagnol des prairies ?
    A. Elle joue un rôle dans le développement de la monogamie du mâle
    B. Elle joue un rôle dans l’implication du mâle auprès des petits
    C. A et B
    D. Elle n’a aucun rôle
    E. Elle joue un rôle dans le développement de la polygamie du mâle
    F. Aucune de ces réponses
A

C. A et B
Chez le campagnol des prairies, la vasopressine joue un rôle dans le développement de la monogamie du mâle et dans son implication auprès des petits. Chez la femelle, l’ocytocine serait nécessaire pour développer une relation de couple et pour stimuler le comportement maternel.” (p. 163)

151
Q
  1. Qu’est-ce qui serait nécessaire pour développer une relation de couple et pour stimuler le comportement maternel chez la femelle du campagnol des prairies ?
    A. La vasopressine
    B. L’ocytocine
    C. La dopamine
    D. Les cannabinoïdes naturels
    E. Les opioïdes naturels
    F. Aucune de ces réponses
A

B. L’ocytocine
Chez la femelle, l’ocytocine serait nécessaire pour développer une relation de couple et pour stimuler le comportement maternel. Ces effets ne sont pas observés chez le campagnol des montagnes qui est asocial et polygame.” (p. 163)

152
Q
  1. Quels comportements l’ocytocine est-elle impliquée chez le rat ?
    A. Les comportements maternels comme la défense du petit contre les intrus
    B. L’inhibition de la peur et de l’agressivité en situation sociale
    C. A et B
    D. L’augmentation de l’agressivité et de l’activité sexuelle
    E. L’augmentation des comportements d’affiliation sociale
    F. Aucune de ces réponses
A

C. A et B
Chez le rat, l’ocytocine est aussi impliquée dans les comportements maternels comme la défense du petit contre les intrus et dans l’inhibition de la peur et de l’agressivité en situation sociale (la facilitation sociale). Chez le primate, l’ocytocine provoque des effets différents selon le statut social des individus.” (p. 163)

153
Q
  1. Quels effets l’ocytocine provoque-t-elle chez le primate selon le statut social des individus ?
    A. Les mâles au sommet de l’échelle hiérarchique deviennent plus agressifs et plus actifs sexuellement
    B. Ceux au bas de l’échelle augmentent leurs comportements d’affiliation sociale
    C. A et B
    D. Elle n’a aucun effet
    E. Elle diminue l’agressivité et l’activité sexuelle
    F. Aucune de ces réponses
A

C. A et B
Chez le primate, l’ocytocine provoque des effets différents selon le statut social des individus. Les mâles au sommet de l’échelle hiérarchique deviennent plus agressifs et plus actifs sexuellement, tandis que ceux au bas de l’échelle augmentent leurs comportements d’affiliation sociale. “ (p. 163)

154
Q
  1. Quels médicaments peuvent diminuer la libido ?
    A. Les antidépresseurs
    B. Les antihypertenseurs
    C. A et B
    D. Les stresseurs
    E. L’anxiété
    F. Aucune de ces réponses
A

C. A et B
Certains médicaments comme les antidépresseurs et les antihypertenseurs peuvent diminuer la libido. “ (p. 163)

155
Q
  1. Qu’est-ce qui peut être observé chez le campagnol des montagnes ?
    A. Il est asocial et polygame
    B. Il est sociable et monogame
    C. Il présente un attachement familial profond
    D. Le mâle défend sa compagne
    E. La femelle développe une relation de couple et stimule le comportement maternel
    F. Aucune de ces réponses
A

A. Il est asocial et polygame
Ces effets ne sont pas observés chez le campagnol des montagnes qui est asocial et polygame. Chez le rat, l’ocytocine est aussi impliquée dans les comportements maternels comme la défense du petit contre les intrus et dans l’inhibition de la peur et de l’agressivité en situation sociale (la facilitation sociale).” (p. 163)

156
Q
  1. Quels neuropeptides semblent jouer un rôle dans l’attachement maternel, l’affiliation sociale et l’attachement amoureux chez l’humain ?
    A. La dopamine
    B. Les cannabinoïdes naturels
    C. L’ocytocine
    D. La vasopressine
    E. C et D
    F. Aucune de ces réponses
A

E. C et D
Chez l’humain, les neuropeptides semblent aussi jouer un rôle dans l’attachement maternel, l’affiliation sociale et l’attachement amoureux. La qualité des interactions précoces entre une mère et son enfant est importante pour le développement de l’enfant.” (p. 164)

157
Q
  1. Qu’est-ce qui peut affecter l’attachement de l’enfant à sa mère et aux autres personnes plus tard dans sa vie ?
    A. La qualité des interactions précoces entre une mère et son enfant
    B. Le stress et la dépression post-partum chez la mère
    C. L’ocytocine
    D. La vasopressine
    E. A et B
    F. Aucune de ces réponses
A

E. A et B
La qualité des interactions précoces entre une mère et son enfant est importante pour le développement de l’enfant. Ces interactions peuvent entre autres affecter l’attachement de l’enfant à sa mère et aux autres personnes plus tard dans sa vie. Après l’accouchement, le stress et la dépression post-partum chez la mère peuvent parfois affecter la qualité des interactions mère-enfant en rendant les mères plus irritables, moins attentives, moins chaleureuses ou moins joyeuses.” (p. 164)

158
Q
  1. Quel rôle joue l’ocytocine chez la mère après l’accouchement ?
    A. Elle augmente le stress
    B. Elle diminue la dépression post-partum
    C. Elle joue un rôle de protection contre les effets du stress
    D. Elle rend les mères plus irritables, moins attentives, moins chaleureuses ou moins joyeuses
    E. Elle n’a aucun effet
    F. Aucune de ces réponses
A

C. Elle joue un rôle de protection contre les effets du stress
Après l’accouchement, le stress et la dépression post-partum chez la mère peuvent parfois affecter la qualité des interactions mère-enfant en rendant les mères plus irritables, moins attentives, moins chaleureuses ou moins joyeuses. L’ocytocine joue un rôle de protection contre les effets du stress chez la mère. L’ocytocine a été associée à plusieurs fonctions émotionnelles et sociales chez l’humain dont le besoin d’affiliation, la confiance en l’autre et l’anxiété de séparation.” (p. 164)

159
Q
  1. À quoi l’ocytocine a-t-elle été associée chez l’humain ?
    A. Le besoin d’affiliation
    B. La confiance en l’autre
    C. L’anxiété de séparation
    D. A et B
    E. A, B et C
    F. Aucune de ces réponses
A

E. A, B et C
L’ocytocine a été associée à plusieurs fonctions émotionnelles et sociales chez l’humain dont le besoin d’affiliation, la confiance en l’autre et l’anxiété de séparation. Un exemple d’association entre l’ocytocine et le besoin d’affiliation est le syndrome de Williams.” (p. 164)

160
Q
  1. Quel syndrome est lié à une anomalie du chromosome 7 et est caractérisé par une déficience intellectuelle, des traits faciaux spéciaux et une cardiopathie ?
    A. Syndrome de Down
    B. Syndrome de Turner
    C. Syndrome de Klinefelter
    D. Syndrome de Williams
    E. Syndrome de Patau
    F. Aucune de ces réponses
A

D. Syndrome de Williams
« Un exemple d’association entre l’ocytocine et le besoin d’affiliation est le syndrome de Williams. Ce syndrome est lié à une anomalie du chromosome 7 et est en outre caractérisé par une déficience intellectuelle, des traits faciaux spéciaux et une cardiopathie. Dans le syndrome de Williams, on observe souvent un besoin d’affiliation sociale plus élevé que la normale (approche d’étrangers, engagement social élevé, envie de parler) malgré des difficultés d’interaction sociale et une anxiété non-sociale élevée. » (p. 164)

161
Q
  1. Qu’est-ce qui est souvent observé chez les enfants atteints du syndrome de Williams ?
    A. Un taux d’ocytocine et une activité des récepteurs à l’ocytocine plus élevés que la normale
    B. Un besoin d’affiliation sociale plus élevé que la normale
    C. Des difficultés d’interaction sociale et une anxiété non-sociale élevée
    D. A et B
    E. A, B et C
    F. Aucune de ces réponses
A

E. A, B et C
Dans le syndrome de Williams, on observe souvent un besoin d’affiliation sociale plus élevé que la normale (approche d’étrangers, engagement social élevé, envie de parler) malgré des difficultés d’interaction sociale et une anxiété non-sociale élevée. Plusieurs enfants atteints de ce syndrome ont un taux d’ocytocine et une activité des récepteurs à l’ocytocine plus élevés que la normale. Les neuropeptides ‘sociaux’ comme l’ocytocine et la vasopressine ont aussi été impliqués dans des troubles comme l’autisme et la dépression mais leurs rôles dans ces troubles sont encore mal compris.” (p. 164)

162
Q
  1. Quels neuropeptides ‘sociaux’ ont été impliqués dans des troubles comme l’autisme et la dépression ?
    A. L’ocytocine
    B. La vasopressine
    C. A et B
    D. La dopamine
    E. Les cannabinoïdes naturels
    F. Aucune de ces réponses
A

C. A et B
Les neuropeptides ‘sociaux’ comme l’ocytocine et la vasopressine ont aussi été impliqués dans des troubles comme l’autisme et la dépression mais leurs rôles dans ces troubles sont encore mal compris.” (p. 164)

163
Q
  1. Quels sont les rôles des neuropeptides ‘sociaux’ comme l’ocytocine et la vasopressine dans des troubles comme l’autisme et la dépression ?
    A. Ils sont bien compris
    B. Ils sont encore mal compris
    C. Ils n’ont aucun rôle
    D. Ils augmentent les symptômes de ces troubles
    E. Ils diminuent les symptômes de ces troubles
    F. Aucune de ces réponses
A

B. Ils sont encore mal compris
Les neuropeptides ‘sociaux’ comme l’ocytocine et la vasopressine ont aussi été impliqués dans des troubles comme l’autisme et la dépression mais leurs rôles dans ces troubles sont encore mal compris. “ (p. 164)