Émotions p. 152 - QCM Flashcards
- Quelle partie des fonctions motivationnelles est affectée à la régulation des besoins de base de l’organisme comme l’alimentation ou l’hydratation ?
A. Les émotions
B. Les instincts
C. Les réactions adaptatives
D. Les stimuli significatifs
E. Les patrons de réactions
F. Aucune de ces réponses
A. Les émotions
« Une partie des fonctions motivationnelles est affectée à la régulation des besoins de base de l’organisme comme l’alimentation ou l’hydratation. » (p. 152)
- Selon Darwin (1872), comment sont considérées les émotions fondamentales ?
A. Comme des instincts
B. Comme des stimuli significatifs
C. Comme des patrons de réactions
D. Comme des réactions adaptatives typiques de l’espèce
E. Comme des constellations de réactions
F. Aucune de ces réponses
A et D
« Depuis Darwin (1872), on considère que les émotions fondamentales sont des instincts, des réactions adaptatives typiques de l’espèce. » (p. 152)
- Quels sont les rôles des émotions ?
A. Lié à la survie
B. Social
C. A et B
D. Aucun de ces rôles
E. Les émotions n’ont pas de rôle
F. Aucune de ces réponses
C. A et B
« Les émotions ont souvent un rôle lié à la survie (sécurité, alimentation, … ) ou un rôle social (attachement, statut, … ). » (p. 152)
- Quels animaux ont des émotions similaires à celles des humains ?
A. Les gorilles
B. Les bonobos
C. A et B
D. Aucun de ces animaux
E. Tous les mammifères
F. Aucune de ces réponses
C. A et B
« Elles sont présentes chez la plupart des mammifères et les grands singes ont des émotions similaires à celles des humains. Par exemple, les gorilles montrent des réactions de deuil, des rires et des pleurs et les bonobos sont capables d’empathie
- Comment sont appris la plupart des déclencheurs des émotions ?
A. Par instinct
B. Par adaptation
C. Au gré de nos expériences
D. Par imitation
E. Par apprentissage
F. Aucune de ces réponses
C. Au gré de nos expériences
« La plupart des déclencheurs des émotions ont été appris au gré de nos expériences. » (p. 152)
- Qu’est-ce qui peut apparaître seulement à des intensités plus élevées ?
A. Les émotions
B. Les instincts
C. Certaines composantes des patrons de réactions
D. Les stimuli significatifs
E. Les patrons de réactions
F. Aucune de ces réponses
C. Certaines composantes des patrons de réactions
« Les patrons de réactions déclenchés sont relativement fixes, sauf que certaines composantes peuvent apparaître seulement à des intensités plus élevées. » (p. 152)
- Qu’est-ce qui active l’organisme dans des situations importantes pour son adaptation et sa survie ?
A. Les émotions
B. Les instincts
C. Les réactions adaptatives
D. Les stimuli significatifs
E. Les patrons de réactions
F. Aucune de ces réponses
A. Les émotions
« D’autres fonctions motivationnelles comme les émotions, activent l’organisme dans des situations importantes pour son adaptation et sa survie comme les dangers, la compétition ou l’attachement aux proches. » (p. 152)
- Qu’est-ce qui sert de signaux d’alerte et de motivation à agir malgré leurs effets perturbateurs ?
A. Les émotions
B. Les instincts
C. Les réactions adaptatives
D. Les stimuli significatifs
E. Les patrons de réactions
F. Aucune de ces réponses
A. Les émotions
« Malgré leurs effets perturbateurs, les émotions sont essentielles, car elles servent de signaux d’alerte et de motivation à agir. » (p. 152)
- Quels sont les trois types de réactions que comportent les émotions ?
A. Viscérales, Motrices, Cognitives
B. Instinctives, Adaptatives, Cognitives
C. Viscérales, Musculaires, Cognitives
D. Instinctives, Musculaires, Cognitives
E. Viscérales, Adaptatives, Cognitives
F. Aucune de ces réponses
A. Viscérales, Motrices, Cognitives
« Les émotions comportent trois types de réactions: 1) Viscérales (ex: activation sympathique, sécrétion d’hormones), 2) Motrices (ex: expressions faciales, crispation, sursauts, cris, fuite) et 3) Cognitives (ex: sentiments, réminiscences, hypervigilance). L’émotion subjective est produite par une combinaison d’activités viscérales, motrices et cognitives. Les sensations viscérales proviennent de réactions comme les nœuds à l’estomac ou l’accélération cardiaque. » (p. 152)
- Qu’est-ce qui est produit par une combinaison d’activités viscérales, motrices et cognitives ?
A. L’émotion subjective
B. L’émotion objective
C. L’émotion instinctive
D. L’émotion adaptative
E. L’émotion cognitive
F. Aucune de ces réponses
A. L’émotion subjective
« Les émotions comportent trois types de réactions: 1) Viscérales (ex: activation sympathique, sécrétion d’hormones), 2) Motrices (ex: expressions faciales, crispation, sursauts, cris, fuite) et 3) Cognitives (ex: sentiments, réminiscences, hypervigilance). L’émotion subjective est produite par une combinaison d’activités viscérales, motrices et cognitives. Les sensations viscérales proviennent de réactions comme les nœuds à l’estomac ou l’accélération cardiaque. » (p. 152)
- Qu’est-ce qui provient des crispations du visage, de la mâchoire, du dos et des membres ?
A. Les sensations viscérales
B. Les sensations musculaires
C. Les sensations cognitives
D. Les sensations instinctives
E. Les sensations adaptatives
F. Aucune de ces réponses
B. Les sensations musculaires
« L’émotion subjective est produite par une combinaison d’activités viscérales, motrices et cognitives. Les sensations musculaires proviennent des crispations du visage, de la mâchoire, du dos et des membres. Les émotions ont plusieurs composantes cognitives: » (p. 152)
- Quelle composante cognitive des émotions peut conduire à une hypervigilance et une distractibilité ?
A. L’orientation involontaire de l’attention vers des objets pertinents
B. L’évocation involontaire de souvenirs pertinents
C. L’évaluation du degré de contrôle
D. L’évaluation de l’effort anticipé
E. L’évaluation de la responsabilité
F. Aucune de ces réponses
A. L’orientation involontaire de l’attention vers des objets pertinents
« Les sensations musculaires proviennent des crispations du visage, de la mâchoire, du dos et des membres. Les émotions ont plusieurs composantes cognitives: 1) L’orientation involontaire de l’attention vers des objets pertinents (ex: ombres, regards) qui peut conduire à une hypervigilance et une distractibilité 2) L’évocation involontaire de souvenirs pertinents (ex: autres dangers, autres frustrations) » (p. 152)
- Quelle composante cognitive des émotions évalue l’effort anticipé ?
A. L’orientation involontaire de l’attention vers des objets pertinents
B. L’évocation involontaire de souvenirs pertinents
C. L’évaluation du degré de contrôle
D. L’évaluation de l’effort anticipé
E. L’évaluation de la responsabilité
F. Aucune de ces réponses
D. L’évaluation de l’effort anticipé
« 3) L’évaluation du degré de contrôle (ex: faible dans la peur, élevé dans la colère) 4) L’évaluation de l’effort anticipé (ex: faible dans la joie, élevé dans la tristesse) 5) L’évaluation de la responsabilité (ex: notre colère est la faute de l’autre) » (p. 152)
- Qu’est-ce qui peut créer une boucle émotion-cognition-émotion ?
A. L’anticipation d’évènements
B. L’activation d’images mentales
C. L’activité cognitive liée à une émotion
D. A et B
E. A, B et C
F. Aucune de ces réponses
E. A, B et C
« 5) L’évaluation de la responsabilité (ex: notre colère est la faute de l’autre) L’activité cognitive liée à une émotion facilite son interprétation, elle peut la moduler et elle peut aussi l’entretenir par l’anticipation d’évènements et l’activation d’images mentales qui déclenchent la même émotion, créant ainsi une boucle émotion-cognition-émotion. L’émotion subjective dépend aussi de l’activité cognitive d’interprétation associée à l’émotion. » (p. 152)
- Qu’est-ce qui peut être ressenti comme de la peur ou de la joie selon le contexte social et cognitif ?
A. Une activation physiologique non spécifique
B. Une activation cognitive non spécifique
C. Une activation émotionnelle non spécifique
D. Une activation instinctive non spécifique
E. Une activation adaptative non spécifique
F. Aucune de ces réponses
A. Une activation physiologique non spécifique
« L’émotion subjective dépend aussi de l’activité cognitive d’interprétation associée à l’émotion. Lazarus a montré qu’une activation physiologique non spécifique (ex: une dose d’adrénaline) peut être ressentie comme de la peur ou de la joie selon le contexte social et cognitif. » (p. 152)
- Qu’est-ce qui dépend aussi de l’activité cognitive d’interprétation associée à l’émotion ?
A. L’émotion subjective
B. L’émotion objective
C. L’émotion instinctive
D. L’émotion adaptative
E. L’émotion cognitive
F. Aucune de ces réponses
A. L’émotion subjective
« L’émotion subjective dépend aussi de l’activité cognitive d’interprétation associée à l’émotion. Lazarus a montré qu’une activation physiologique non spécifique (ex: une dose d’adrénaline) peut être ressentie comme de la peur ou de la joie selon le contexte social et cognitif. » (p. 152)
- Quel est le centre de contrôle primaire des réponses viscérales, motrices et endocriniennes des émotions ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’hypothalamus
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
C. L’hypothalamus
« L’hypothalamus est le centre de contrôle primaire des réponses viscérales, motrices et endocriniennes des émotions12. Il est responsable de l’activation du système nerveux autonome (viscéral) présente dans toutes les émotions. La stimulation de l’hypothalamus antérieur a des effets parasympathiques (digestion, décélération cardiaque) tandis que la stimulation de l’hypothalamus latéral a des effets sympathiques (accélération cardiaque, respiratoire … ). » (p. 155)
- Qu’est-ce qui est responsable de l’activation du système nerveux autonome présent dans toutes les émotions ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’hypothalamus
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
C. L’hypothalamus
« L’hypothalamus est le centre de contrôle primaire des réponses viscérales, motrices et endocriniennes des émotions. Il est responsable de l’activation du système nerveux autonome (viscéral) présente dans toutes les émotions. La stimulation de l’hypothalamus antérieur a des effets parasympathiques (digestion, décélération cardiaque) tandis que la stimulation de l’hypothalamus latéral a des effets sympathiques (accélération cardiaque, respiratoire … ). » (p. 155)
- Qu’est-ce qui peut provoquer la peur lorsqu’il est stimulé dans les zones médianes ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’hypothalamus
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
C. L’hypothalamus
« L’hypothalamus a des liens étroits avec les autres régions du système limbique dont l’amygdale et le cortex frontal, deux structures qui régulent son activité. La stimulation dans les zones médianes de l’hypothalamus peut provoquer la peur. La stimulation de l’hypothalamus peut aussi provoquer de l’agressivité ou une excitation sexuelle. » (p. 155)
- Qu’est-ce qui peut provoquer de l’agressivité ou une excitation sexuelle lorsqu’il est stimulé ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’hypothalamus
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
C. L’hypothalamus
« La stimulation dans les zones médianes de l’hypothalamus peut provoquer la peur. La stimulation de l’hypothalamus peut aussi provoquer de l’agressivité ou une excitation sexuelle. Par ailleurs, l’hypothalamus est facilement influencé par les émotions et le stress. » (p. 155)
- Qu’est-ce qui est facilement influencé par les émotions et le stress ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’hypothalamus
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
C. L’hypothalamus
« La stimulation de l’hypothalamus peut aussi provoquer de l’agressivité ou une excitation sexuelle. Par ailleurs, l’hypothalamus est facilement influencé par les émotions et le stress. C’est à travers lui que les émotions peuvent causer des dysfonctionnements autonomiques ou endocriniens (troubles digestifs, anorexie, aménorrhée, retard de croissance). » (p. 155)
- Qu’est-ce qui peut causer des dysfonctionnements autonomiques ou endocriniens (troubles digestifs, anorexie, aménorrhée, retard de croissance) ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’hypothalamus
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
C. L’hypothalamus
« Par ailleurs, l’hypothalamus est facilement influencé par les émotions et le stress. C’est à travers lui que les émotions peuvent causer des dysfonctionnements autonomiques ou endocriniens (troubles digestifs, anorexie, aménorrhée, retard de croissance). » (p. 155)
- Qu’est-ce qui a des effets parasympathiques (digestion, décélération cardiaque) lorsqu’il est stimulé ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’hypothalamus antérieur
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
C. L’hypothalamus antérieur
« La stimulation de l’hypothalamus antérieur a des effets parasympathiques (digestion, décélération cardiaque) tandis que la stimulation de l’hypothalamus latéral a des effets sympathiques (accélération cardiaque, respiratoire … ). Par ses liens avec l’hypophyse, l’hypothalamus est aussi responsable de la sécrétion de cortisol par les glandes surrénales (axe HHS), l’hormone de stress qui augmente le métabolisme du glucose dans plusieurs émotions. » (p. 155)
- Qu’est-ce qui a des effets sympathiques (accélération cardiaque, respiratoire …) lorsqu’il est stimulé ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’hypothalamus latéral
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
C. L’hypothalamus latéral
« La stimulation de l’hypothalamus antérieur a des effets parasympathiques (digestion, décélération cardiaque) tandis que la stimulation de l’hypothalamus latéral a des effets sympathiques (accélération cardiaque, respiratoire … ). Par ses liens avec l’hypophyse, l’hypothalamus est aussi responsable de la sécrétion de cortisol par les glandes surrénales (axe HHS), l’hormone de stress qui augmente le métabolisme du glucose dans plusieurs émotions. » (p. 155)
- Quelle structure est l’intermédiaire entre le cortex cérébral et les structures de base de l’émotion dont l’hypothalamus et le tronc cérébral ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’hippocampe
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
A. L’amygdale
« L’amygdale est l’intermédiaire entre le cortex cérébral et les structures de base de l’émotion dont l’hypothalamus et le tronc cérébral1. Elle est composée de multiples noyaux situés dans la portion antérieure du lobe temporal, à l’avant de l’hippocampe. Certains noyaux communiquent avec les aires corticales sensorielles pour détecter les stimuli significatifs (dangers, menaces, provocations). » (p. 155)
- Quels noyaux servent à moduler l’activité des centres émotionnels de base comme l’hypothalamus et le PAG et ainsi coordonner les composantes viscérales, cognitives et motrices des réponses émotives ?
A. Les noyaux de l’amygdale
B. Les noyaux du cortex frontal
C. Les noyaux de l’hippocampe
D. Les noyaux du système nerveux autonome
E. Les noyaux de la zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
A. Les noyaux de l’amygdale
« Certains noyaux communiquent avec les aires corticales sensorielles pour détecter les stimuli significatifs (dangers, menaces, provocations). D’autres noyaux servent à moduler l’activité des centres émotionnels de base comme l’hypothalamus et le PAG et ainsi coordonner les composantes viscérales, cognitives et motrices des réponses émotives. Grâce à ses connexions avec les régions corticales sensorielles et avec les structures limbiques, l’amygdale crée des associations entre des contextes sensoriels (lieux, évènements) et des réactions émotionnelles par conditionnement Pavlovien. » (p. 155)
- Qu’est-ce qui crée des associations entre des contextes sensoriels (lieux, évènements) et des réactions émotionnelles par conditionnement Pavlovien ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’hippocampe
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
A. L’amygdale
« D’autres noyaux servent à moduler l’activité des centres émotionnels de base comme l’hypothalamus et le PAG et ainsi coordonner les composantes viscérales, cognitives et motrices des réponses émotives. Grâce à ses connexions avec les régions corticales sensorielles et avec les structures limbiques, l’amygdale crée des associations entre des contextes sensoriels (lieux, évènements) et des réactions émotionnelles par conditionnement Pavlovien. L’amygdale communique aussi avec le cortex frontal et les noyaux gris pour leur transmettre des informations sur la valeur affective des stimuli. » (p. 155)
- Qu’est-ce qui communique avec le cortex frontal et les noyaux gris pour leur transmettre des informations sur la valeur affective des stimuli ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’hippocampe
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
A. L’amygdale
« Grâce à ses connexions avec les régions corticales sensorielles et avec les structures limbiques, l’amygdale crée des associations entre des contextes sensoriels (lieux, évènements) et des réactions émotionnelles par conditionnement Pavlovien. L’amygdale communique aussi avec le cortex frontal et les noyaux gris pour leur transmettre des informations sur la valeur affective des stimuli. Ces connexions nous permettent de développer nos préférences, nos aversions, nos envies et nos dépendances. » (p. 155)
- Qu’est-ce qui nous permet de développer nos préférences, nos aversions, nos envies et nos dépendances ?
A. Les connexions de l’amygdale
B. Les connexions du cortex frontal
C. Les connexions de l’hippocampe
D. Les connexions du système nerveux autonome
E. Les connexions de la zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
A. Les connexions de l’amygdale
« L’amygdale communique aussi avec le cortex frontal et les noyaux gris pour leur transmettre des informations sur la valeur affective des stimuli. Ces connexions nous permettent de développer nos préférences, nos aversions, nos envies et nos dépendances. » (p. 155)
- Quels noyaux communiquent avec les aires corticales sensorielles pour détecter les stimuli significatifs (dangers, menaces, provocations) ?
A. Les noyaux de l’amygdale
B. Les noyaux du cortex frontal
C. Les noyaux de l’hippocampe
D. Les noyaux du système nerveux autonome
E. Les noyaux de la zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
A. Les noyaux de l’amygdale
« Certains noyaux communiquent avec les aires corticales sensorielles pour détecter les stimuli significatifs (dangers, menaces, provocations). D’autres noyaux servent à moduler l’activité des centres émotionnels de base comme l’hypothalamus et le PAG et ainsi coordonner les composantes viscérales, cognitives et motrices des réponses émotives. Grâce à ses connexions avec les régions corticales sensorielles et avec les structures limbiques, l’amygdale crée des associations entre des contextes sensoriels (lieux, évènements) et des réactions émotionnelles par conditionnement Pavlovien. » (p. 155)
- Quelle structure est composée de multiples noyaux situés dans la portion antérieure du lobe temporal, à l’avant de l’hippocampe ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’hippocampe
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
A. L’amygdale
« L’amygdale est composée de multiples noyaux situés dans la portion antérieure du lobe temporal, à l’avant de l’hippocampe. Certains noyaux communiquent avec les aires corticales sensorielles pour détecter les stimuli significatifs (dangers, menaces, provocations). D’autres noyaux servent à moduler l’activité des centres émotionnels de base comme l’hypothalamus et le PAG et ainsi coordonner les composantes viscérales, cognitives et motrices des réponses émotives. » (p. 155)
- Qu’est-ce qui est peu conscient en temps normal, mais devient plus intense pendant les émotions ?
A. Les sensations viscérales
B. Les sensations musculaires
C. Les sensations cognitives
D. Les sensations instinctives
E. Les sensations adaptatives
F. Aucune de ces réponses
A. Les sensations viscérales
« Les sensations viscérales sont peu conscientes en temps normal, mais elles sont plus intenses pendant les émotions. Les individus ayant subi des lésions aux parties hautes de la moelle épinière (portion cervicale) rapportent une réduction des sensations viscérales et de l’intensité subjective des émotions. Les sensations viscérales permettent donc d’évaluer l’intensité émotionnelle mais pas nécessairement le type d’émotion. » (p. 156)
- Qu’est-ce qui permet d’évaluer l’intensité émotionnelle mais pas nécessairement le type d’émotion ?
A. Les sensations viscérales
B. Les sensations musculaires
C. Les sensations cognitives
D. Les sensations instinctives
E. Les sensations adaptatives
F. Aucune de ces réponses
A. Les sensations viscérales
« Les individus ayant subi des lésions aux parties hautes de la moelle épinière (portion cervicale) rapportent une réduction des sensations viscérales et de l’intensité subjective des émotions. Les sensations viscérales permettent donc d’évaluer l’intensité émotionnelle mais pas nécessairement le type d’émotion. Les informations sensorielles viscérales (intestins, cœur, poumons, rate … ) sont acheminées vers le cerveau par le nerf vague et après des relais dans le tronc cérébral et le diencéphale elles aboutissent à l’insula, un îlot de cortex cérébral enfoui dans le fond de la fissure latérale. » (p. 156)
- Qu’est-ce qui est acheminé vers le cerveau par le nerf vague et aboutit à l’insula après des relais dans le tronc cérébral et le diencéphale ?
A. Les informations sensorielles viscérales
B. Les informations sensorielles musculaires
C. Les informations sensorielles cognitives
D. Les informations sensorielles instinctives
E. Les informations sensorielles adaptatives
F. Aucune de ces réponses
A. Les informations sensorielles viscérales
« Les sensations viscérales permettent donc d’évaluer l’intensité émotionnelle mais pas nécessairement le type d’émotion. Les informations sensorielles viscérales (intestins, cœur, poumons, rate … ) sont acheminées vers le cerveau par le nerf vague et après des relais dans le tronc cérébral et le diencéphale elles aboutissent à l’insula, un îlot de cortex cérébral enfoui dans le fond de la fissure latérale. » (p. 156)
- Qu’est-ce qui traite aussi les signaux tactiles affectifs dont la douleur, les caresses agréables, la chaleur et le froid ainsi que les informations gustatives ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’insula
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
C. L’insula
« Les informations sensorielles viscérales (intestins, cœur, poumons, rate … ) sont acheminées vers le cerveau par le nerf vague et après des relais dans le tronc cérébral et le diencéphale elles aboutissent à l’insula, un îlot de cortex cérébral enfoui dans le fond de la fissure latérale. L’insula traite aussi les signaux tactiles affectifs dont la douleur, les caresses agréables, la chaleur et le froid ainsi que les informations gustatives. De l’insula, l’information viscérale est ensuite diffusée à plusieurs structures du système limbique dont l’hypothalamus, l’amygdale, le gyrus cingulaire et le cortex frontal, où elle est utilisée 1) pour réguler les fonctions viscérales mais aussi 2) pour nous renseigner sur notre corps et nos émotions ainsi que 3) pour moduler nos pensées, décisions et comportements. » (p. 156)
- Qu’est-ce qui est utilisé pour réguler les fonctions viscérales, pour nous renseigner sur notre corps et nos émotions, et pour moduler nos pensées, décisions et comportements ?
A. L’information viscérale de l’amygdale
B. L’information viscérale du cortex frontal
C. L’information viscérale de l’insula
D. L’information viscérale du système nerveux autonome
E. L’information viscérale de la zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
C. L’information viscérale de l’insula
« L’insula traite aussi les signaux tactiles affectifs dont la douleur, les caresses agréables, la chaleur et le froid ainsi que les informations gustatives. De l’insula, l’information viscérale est ensuite diffusée à plusieurs structures du système limbique dont l’hypothalamus, l’amygdale, le gyrus cingulaire et le cortex frontal, où elle est utilisée 1) pour réguler les fonctions viscérales mais aussi 2) pour nous renseigner sur notre corps et nos émotions ainsi que 3) pour moduler nos pensées, décisions et comportements. » (p. 156)
- Qu’est-ce qui est enfoui dans le fond de la fissure latérale ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’insula
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
C. L’insula
« Les informations sensorielles viscérales (intestins, cœur, poumons, rate … ) sont acheminées vers le cerveau par le nerf vague et après des relais dans le tronc cérébral et le diencéphale elles aboutissent à l’insula, un îlot de cortex cérébral enfoui dans le fond de la fissure latérale. L’insula traite aussi les signaux tactiles affectifs dont la douleur, les caresses agréables, la chaleur et le froid ainsi que les informations gustatives. De l’insula, l’information viscérale est ensuite diffusée à plusieurs structures du système limbique dont l’hypothalamus, l’amygdale, le gyrus cingulaire et le cortex frontal, où elle est utilisée 1) pour réguler les fonctions viscérales mais aussi 2) pour nous renseigner sur notre corps et nos émotions ainsi que 3) pour moduler nos pensées, décisions et comportements. » (p. 156)
- Qu’est-ce qui est plus intense pendant les émotions ?
A. Les sensations viscérales
B. Les sensations musculaires
C. Les sensations cognitives
D. Les sensations instinctives
E. Les sensations adaptatives
F. Aucune de ces réponses
A. Les sensations viscérales
« Les sensations viscérales sont peu conscientes en temps normal, mais elles sont plus intenses pendant les émotions. Les individus ayant subi des lésions aux parties hautes de la moelle épinière (portion cervicale) rapportent une réduction des sensations viscérales et de l’intensité subjective des émotions. Les sensations viscérales permettent donc d’évaluer l’intensité émotionnelle mais pas nécessairement le type d’émotion. » (p. 156)
- Qu’est-ce qui est déclenché par des perceptions ou des idées menaçantes ?
A. La joie
B. La tristesse
C. La peur
D. La colère
E. L’excitation
F. Aucune de ces réponses
C. La peur
« La peur est déclenchée par des perceptions ou des idées menaçantes. À la naissance, les stimuli comme les bruits forts et la noirceur déclenchent la peur par des circuits programmés génétiquement. Ensuite, par apprentissage (conditionnement pavlovien surtout), plusieurs situations et idées peuvent déclencher une portion plus ou moins grande des réactions de peur. » (p. 156)
- Quels stimuli déclenchent la peur à la naissance par des circuits programmés génétiquement ?
A. Les bruits forts et la noirceur
B. Les bruits forts et la lumière
C. Le silence et la noirceur
D. Le silence et la lumière
E. Les bruits faibles et la noirceur
F. Aucune de ces réponses
A. Les bruits forts et la noirceur
« La peur est déclenchée par des perceptions ou des idées menaçantes. À la naissance, les stimuli comme les bruits forts et la noirceur déclenchent la peur par des circuits programmés génétiquement. Ensuite, par apprentissage (conditionnement pavlovien surtout), plusieurs situations et idées peuvent déclencher une portion plus ou moins grande des réactions de peur. » (p. 156)
- Qu’est-ce qui peut être détecté inconsciemment ou consciemment par des circuits impliquant le thalamus et les aires corticales sensorielles ?
A. Les stimuli menaçants
B. Les stimuli apaisants
C. Les stimuli neutres
D. Les stimuli positifs
E. Les stimuli négatifs
F. Aucune de ces réponses
A. Les stimuli menaçants
« Ensuite, par apprentissage (conditionnement pavlovien surtout), plusieurs situations et idées peuvent déclencher une portion plus ou moins grande des réactions de peur. Les stimuli menaçants peuvent être détectés inconsciemment ou consciemment par des circuits impliquant le thalamus et les aires corticales sensorielles. Les signaux sensoriels sont évalués en termes de menace pour l’individu par les structures du système limbique et en particulier par le cortex cingulaire antérieur et l’amygdale. » (p. 156)
- Qu’est-ce qui produit des réponses viscérales comme l’augmentation du rythme cardiaque, l’augmentation de la pression sanguine, une inhibition des fonctions digestives et une sécrétion d’adrénaline et de cortisol par les surrénales ?
A. La joie
B. La tristesse
C. La peur
D. La colère
E. L’excitation
F. Aucune de ces réponses
C. La peur
« Les signaux sensoriels sont évalués en termes de menace pour l’individu par les structures du système limbique et en particulier par le cortex cingulaire antérieur et l’amygdale. La peur produit des réponses viscérales comme l’augmentation du rythme cardiaque, l’augmentation de la pression sanguine, une inhibition des fonctions digestives et une sécrétion d’adrénaline et de cortisol par les surrénales. Sur le plan du comportement, la peur produit des expressions faciales particulières, un dos crispé, une gorge crispée donnant une voix plus tremblante, mais aussi des réflexes de sursaut amplifiés ou des réactions comme la fuite, l’inhibition motrice (freezing) ou même l’agressivité défensive. » (p. 156)
- Qu’est-ce qui produit des expressions faciales particulières, un dos crispé, une gorge crispée donnant une voix plus tremblante, mais aussi des réflexes de sursaut amplifiés ou des réactions comme la fuite, l’inhibition motrice (freezing) ou même l’agressivité défensive ?
A. La joie
B. La tristesse
C. La peur
D. La colère
E. L’excitation
F. Aucune de ces réponses
C. La peur
« La peur produit des réponses viscérales comme l’augmentation du rythme cardiaque, l’augmentation de la pression sanguine, une inhibition des fonctions digestives et une sécrétion d’adrénaline et de cortisol par les surrénales. Sur le plan du comportement, la peur produit des expressions faciales particulières, un dos crispé, une gorge crispée donnant une voix plus tremblante, mais aussi des réflexes de sursaut amplifiés ou des réactions comme la fuite, l’inhibition motrice (freezing) ou même l’agressivité défensive. La composante cognitive de la peur comporte des sentiments négatifs ( détresse, anxiété, sentiment de perte de contrôle, sentiment d’étouffement), mais aussi des modifications cognitives comme un débit de pensée plus rapide, des anticipations négatives exagérées, une hypervigilance qui augmente la sensibilité aux stimuli environnants, ainsi que des pensées intrusives qui produisent des difficultés de concentration et de l’insomnie. » (p. 156)
- Qu’est-ce qui comporte des sentiments négatifs (détresse, anxiété, sentiment de perte de contrôle, sentiment d’étouffement), mais aussi des modifications cognitives comme un débit de pensée plus rapide, des anticipations négatives exagérées, une hypervigilance qui augmente la sensibilité aux stimuli environnants, ainsi que des pensées intrusives qui produisent des difficultés de concentration et de l’insomnie ?
A. La composante cognitive de la joie
B. La composante cognitive de la tristesse
C. La composante cognitive de la peur
D. La composante cognitive de la colère
E. La composante cognitive de l’excitation
F. Aucune de ces réponses
C. La composante cognitive de la peur
« Sur le plan du comportement, la peur produit des expressions faciales particulières, un dos crispé, une gorge crispée donnant une voix plus tremblante, mais aussi des réflexes de sursaut amplifiés ou des réactions comme la fuite, l’inhibition motrice (freezing) ou même l’agressivité défensive. La composante cognitive de la peur comporte des sentiments négatifs ( détresse, anxiété, sentiment de perte de contrôle, sentiment d’étouffement), mais aussi des modifications cognitives comme un débit de pensée plus rapide, des anticipations négatives exagérées, une hypervigilance qui augmente la sensibilité aux stimuli environnants, ainsi que des pensées intrusives qui produisent des difficultés de concentration et de l’insomnie. » (p. 156)
- Qu’est-ce qui est déclenché par des circuits programmés génétiquement à la naissance ?
A. La joie
B. La tristesse
C. La peur
D. La colère
E. L’excitation
F. Aucune de ces réponses
C. La peur
« La peur est déclenchée par des perceptions ou des idées menaçantes. À la naissance, les stimuli comme les bruits forts et la noirceur déclenchent la peur par des circuits programmés génétiquement. Ensuite, par apprentissage (conditionnement pavlovien surtout), plusieurs situations et idées peuvent déclencher une portion plus ou moins grande des réactions de peur. » (p. 156)
- Qu’est-ce qui coordonne les différentes composantes de la peur, par des connexions à différentes structures dans l’hypothalamus et dans le tronc cérébral ?
A. L’insula
B. Le cortex frontal
C. l’amygdale
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
C. L’amygdale
« L’amygdale coordonne les différentes composantes de la peur, par des connexions à différentes structures dans l’hypothalamus et dans le tronc cérébral1. L’hypothalamus latéral, responsable de l’activation sympathique qui cause l’augmentation du rythme cardiaque et de la pression sanguine. L’hypothalamus paraventriculaire responsable de la sécrétion de cortisol par la surrénale via l’hypophyse. » (p. 157)
- Qu’est-ce qui est responsable de l’activation sympathique qui cause l’augmentation du rythme cardiaque et de la pression sanguine ?
A. L’hypothalamus latéral
B. L’hypothalamus paraventriculaire
C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
E. Le noyau dorsal du nerf vague
F. Aucune de ces réponses
A. L’hypothalamus latéral
« L’amygdale coordonne les différentes composantes de la peur, par des connexions à différentes structures dans l’hypothalamus et dans le tronc cérébral. L’hypothalamus latéral, responsable de l’activation sympathique qui cause l’augmentation du rythme cardiaque et de la pression sanguine. L’hypothalamus paraventriculaire responsable de la sécrétion de cortisol par la surrénale via l’hypophyse. » (p. 157)
- Qu’est-ce qui est responsable de la sécrétion de cortisol par la surrénale via l’hypophyse ?
A. L’hypothalamus latéral
B. L’hypothalamus paraventriculaire
C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
E. Le noyau dorsal du nerf vague
F. Aucune de ces réponses
B. L’hypothalamus paraventriculaire
« L’hypothalamus latéral, responsable de l’activation sympathique qui cause l’augmentation du rythme cardiaque et de la pression sanguine. L’hypothalamus paraventriculaire responsable de la sécrétion de cortisol par la surrénale via l’hypophyse. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale responsable de la réaction d’inhibition motrice (freezing). » (p. 157)
- Qu’est-ce qui est responsable de la réaction d’inhibition motrice (freezing) ?
A. L’hypothalamus latéral
B. L’hypothalamus paraventriculaire
C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
E. Le noyau dorsal du nerf vague
F. Aucune de ces réponses
C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
« L’hypothalamus paraventriculaire responsable de la sécrétion de cortisol par la surrénale via l’hypophyse. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale responsable de la réaction d’inhibition motrice (freezing). Les nerfs faciaux et trijumeaux responsables des expressions faciales. » (p. 157)
- Qu’est-ce qui est responsable des expressions faciales ?
A. L’hypothalamus latéral
B. L’hypothalamus paraventriculaire
C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
E. Le noyau dorsal du nerf vague
F. Aucune de ces réponses
D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
« La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale responsable de la réaction d’inhibition motrice (freezing). Les nerfs faciaux et trijumeaux responsables des expressions faciales. Le noyau dorsal du nerf vague responsable de l’activation parasympathique qui produit des effets sur le système digestif (contraction intestinale, envie d’uriner, défécation chez certaines espèces). » (p. 157)
- Qu’est-ce qui est responsable de l’activation parasympathique qui produit des effets sur le système digestif (contraction intestinale, envie d’uriner, défécation chez certaines espèces) ?
A. L’hypothalamus latéral
B. L’hypothalamus paraventriculaire
C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
E. Le noyau dorsal du nerf vague
F. Aucune de ces réponses
E. Le noyau dorsal du nerf vague
« Les nerfs faciaux et trijumeaux responsables des expressions faciales. Le noyau dorsal du nerf vague responsable de l’activation parasympathique qui produit des effets sur le système digestif (contraction intestinale, envie d’uriner, défécation chez certaines espèces). Le noyau réticulaire du pont caudal dans le cerveau postérieur responsable du réflexe de sursaut (clignement des yeux, crispation du cou, des épaules et du dos). » (p. 157)
- Qu’est-ce qui est responsable du réflexe de sursaut (clignement des yeux, crispation du cou, des épaules et du dos) ?
A. L’hypothalamus latéral
B. L’hypothalamus paraventriculaire
C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
E. Le noyau dorsal du nerf vague
F. Aucune de ces réponses
F. Aucune de ces réponses
« Le noyau dorsal du nerf vague responsable de l’activation parasympathique qui produit des effets sur le système digestif (contraction intestinale, envie d’uriner, défécation chez certaines espèces). Le noyau réticulaire du pont caudal dans le cerveau postérieur responsable du réflexe de sursaut (clignement des yeux, crispation du cou, des épaules et du dos). Les systèmes de neuromodulation de la formation réticulée et du prosencéphale responsables de l’activation corticale, de l’hypervigilance et des idées récurrentes liées à la peur. » (p. 157)
- Qu’est-ce qui est responsable de l’activation corticale, de l’hypervigilance et des idées récurrentes liées à la peur ?
A. L’hypothalamus latéral
B. L’hypothalamus paraventriculaire
C. La zone grise périaqueducale (PAG) du mésencéphale
D. Les nerfs faciaux et trijumeaux
E. Le noyau dorsal du nerf vague
F. Aucune de ces réponses
F. Aucune de ces réponses
« Le noyau réticulaire du pont caudal dans le cerveau postérieur responsable du réflex
- Qu’est-ce qui est responsable de plusieurs phénomènes liés à la peur et à d’autres émotions ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’insula
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
A. L’amygdale
« L’amygdale et ses connexions sont aussi responsables de plusieurs autres phénomènes liés à la peur et à d’autres émotions1. Les stimuli émotionnels sont détectés plus efficacement et plus rapidement que les autres stimuli et ce traitement prioritaire est dû aux connexions entre la rétine, le mésencéphale, les amygdales et les régions corticales sensorielles. » (p. 157)
- Qu’est-ce qui est détecté plus efficacement et plus rapidement que les autres stimuli ?
A. Les stimuli émotionnels
B. Les stimuli visuels
C. Les stimuli auditifs
D. Les stimuli tactiles
E. Les stimuli gustatifs
F. Aucune de ces réponses
A. Les stimuli émotionnels
« L’amygdale et ses connexions sont aussi responsables de plusieurs autres phénomènes liés à la peur et à d’autres émotions. Les stimuli émotionnels sont détectés plus efficacement et plus rapidement que les autres stimuli et ce traitement prioritaire est dû aux connexions entre la rétine, le mésencéphale, les amygdales et les régions corticales sensorielles. » (p. 157)
- Qu’est-ce qui est impliqué dans le conditionnement Pavlovien des réactions de peur, les difficultés d’extinction de la peur, ainsi que dans les troubles anxieux ?
A. L’amygdale
B. Le cortex frontal
C. L’insula
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
A. L’amygdale
« Les stimuli émotionnels sont détectés plus efficacement et plus rapidement que les autres stimuli et ce traitement prioritaire est dû aux connexions entre la rétine, le mésencéphale, les amygdales et les régions corticales sensorielles. L’amygdale est aussi impliquée dans le conditionnement Pavlovien des réactions de peur, les difficultés d’extinction de la peur, ainsi que dans les troubles anxieux. Les lésions à l’amygdale produisent une incapacité d’apprendre de nouvelles associations entre des stimuli neutres et des stimuli émotifs (conditionnement Pavlovien) ainsi qu’une difficulté à apprendre de nouveaux comportements d’évitement. » (p. 157)
- Qu’est-ce qui produit une incapacité d’apprendre de nouvelles associations entre des stimuli neutres et des stimuli émotifs (conditionnement Pavlovien) ainsi qu’une difficulté à apprendre de nouveaux comportements d’évitement ?
A. Les lésions à l’amygdale
B. Les lésions au cortex frontal
C. Les lésions à l’insula
D. Les lésions au système nerveux autonome
E. Les lésions à la zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
A. Les lésions à l’amygdale
« L’amygdale est aussi impliquée dans le conditionnement Pavlovien des réactions de peur, les difficultés d’extinction de la peur, ainsi que dans les troubles anxieux. Les lésions à l’amygdale produisent une incapacité d’apprendre de nouvelles associations entre des stimuli neutres et des stimuli émotifs (conditionnement Pavlovien) ainsi qu’une difficulté à apprendre de nouveaux comportements d’évitement. Les lésions bilatérales de l’amygdale chez le singe produisent le syndrome de Kluver-Bucy. » (p. 157)
- Qu’est-ce qui produit le syndrome de Kluver-Bucy, caractérisé par une hypo-émotionnalité et une hypersexualité ?
A. Les lésions bilatérales de l’amygdale
B. Les lésions bilatérales du cortex frontal
C. Les lésions bilatérales de l’insula
D. Les lésions bilatérales du système nerveux autonome
E. Les lésions bilatérales de la zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
A. Les lésions bilatérales de l’amygdale
« Les lésions à l’amygdale produisent une incapacité d’apprendre de nouvelles associations entre des stimuli neutres et des stimuli émotifs (conditionnement Pavlovien) ainsi qu’une difficulté à apprendre de nouveaux comportements d’évitement. Les lésions bilatérales de l’amygdale chez le singe produisent le syndrome de Kluver-Bucy. Ce syndrome est surtout caractérisé par une hypo-émotionnalité: les singes deviennent moins agressifs et n’ont plus peur des stimuli qui les effrayaient auparavant. Le syndrome de Kluver-Bucy est aussi caractérisé par une hypersexualité. » (p. 157)
- Qu’est-ce qui a été pratiqué chez l’humain pour diminuer l’agressivité et les peurs incontrôlables ?
A. L’amygdalectomie
B. La lobotomie
C. L’insulalectomie
D. La sympathectomie
E. La thalamotomie
F. Aucune de ces réponses
A. L’amygdalectomie
« Le syndrome de Kluver-Bucy est aussi caractérisé par une hypersexualité. L’amygdalectomie a été pratiquée chez l’humain pour diminuer l’agressivité et les peurs incontrôlables. Les résultats de ces chirurgies expérimentales furent peu probants, produisant une hypo-émotionnalité, mais aussi plusieurs effets secondaires viscéraux et endocriniens. » (p. 157)
- Qu’est-ce qui a été abandonné en raison de résultats peu probants et de plusieurs effets secondaires viscéraux et endocriniens ?
A. L’amygdalectomie
B. La lobotomie
C. L’insulalectomie
D. La sympathectomie
E. La thalamotomie
F. Aucune de ces réponses
A. L’amygdalectomie
« L’amygdalectomie a été pratiquée chez l’humain pour diminuer l’agressivité et les peurs incontrôlables. Les résultats de ces chirurgies expérimentales furent peu probants, produisant une hypo-émotionnalité, mais aussi plusieurs effets secondaires viscéraux et endocriniens. Ce traitement a été abandonné. » (p. 157)
- Quels sont les troubles anxieux les plus fréquents ?
A. L’anxiété sociale, le trouble panique, le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) et l’état de stress post-traumatique (SPT)
B. L’anxiété sociale, l’anxiété généralisée, le trouble panique et l’état de stress post-traumatique (SPT)
C. L’anxiété généralisée, le trouble panique, le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) et l’état de stress post-traumatique (SPT)
D. L’anxiété sociale, l’anxiété généralisée, le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) et l’état de stress post-traumatique (SPT)
E. L’anxiété sociale, l’anxiété généralisée, le trouble panique et le trouble obsessionnel-compulsif (TOC)
F. Aucune de ces réponses
B. L’anxiété sociale, l’anxiété généralisée, le trouble panique et l’état de stress post-traumatique (SPT)
« Les troubles anxieux les plus fréquents sont l’anxiété sociale, l’anxiété généralisée, le trouble panique et l’état de stress post-traumatique (SPT)1. Ces troubles sont souvent associés à des stimuli déclencheurs internes ou externes. Dans l’anxiété sociale, c’est l’anticipation d’être jugé ou rejeté qui déclenche les réactions de peur exagérée en situation sociale. » (p. 158)
- Qu’est-ce qui déclenche les réactions de peur exagérée en situation sociale dans l’anxiété sociale ?
A. L’anticipation d’être aimé ou accepté
B. L’anticipation d’être jugé ou rejeté
C. L’anticipation d’être ignoré ou négligé
D. L’anticipation d’être admiré ou respecté
E. L’anticipation d’être critiqué ou ridiculisé
F. Aucune de ces réponses
B. L’anticipation d’être jugé ou rejeté
« Ces troubles sont souvent associés à des stimuli déclencheurs internes ou externes. Dans l’anxiété sociale, c’est l’anticipation d’être jugé ou rejeté qui déclenche les réactions de peur exagérée en situation sociale. Dans le trouble panique, la personne vit des épisodes de terreur associés à un sentiment de désastre appréhendé. » (p. 158)
- Qu’est-ce que la personne vit dans le trouble panique ?
A. Des épisodes de joie associés à un sentiment de bonheur anticipé
B. Des épisodes de tristesse associés à un sentiment de désespoir anticipé
C. Des épisodes de colère associés à un sentiment de frustration anticipée
D. Des épisodes de terreur associés à un sentiment de désastre appréhendé
E. Des épisodes de surprise associés à un sentiment d’étonnement anticipé
F. Aucune de ces réponses
D. Des épisodes de terreur associés à un sentiment de désastre appréhendé
« Dans l’anxiété sociale, c’est l’anticipation d’être jugé ou rejeté qui déclenche les réactions de peur exagérée en situation sociale. Dans le trouble panique, la personne vit des épisodes de terreur associés à un sentiment de désastre appréhendé. Dans le SPT, l’évènement traumatisant conduit à une hypersensibilité émotionnelle, des idées intrusives récurrentes et des phobies (ex: sang, noirceur, eau … ). » (p. 158)
- Qu’est-ce qui conduit à une hypersensibilité émotionnelle, des idées intrusives récurrentes et des phobies dans l’état de stress post-traumatique (SPT) ?
A. L’évènement heureux
B. L’évènement traumatisant
C. L’évènement neutre
D. L’évènement triste
E. L’évènement surprenant
F. Aucune de ces réponses
B. L’évènement traumatisant
« Dans le trouble panique, la personne vit des épisodes de terreur associés à un sentiment de désastre appréhendé. Dans le SPT, l’évènement traumatisant conduit à une hypersensibilité émotionnelle, des idées intrusives récurrentes et des phobies (ex: sang, noirceur, eau … ). Les troubles anxieux comportent des dysfonctionnements des circuits cérébraux de la peur. » (p. 158)
- Qu’est-ce qui est impliqué dans l’anticipation des sensations aversives et a souvent une activité élevée durant l’anticipation d’évènements stressants chez les personnes anxieuses ?
A. Le cortex frontal
B. L’insula
C. L’amygdale
D. Le système nerveux autonome
E. La zone grise périaqueducale
F. Aucune de ces réponses
B. L’insula
« Les troubles anxieux comportent des dysfonctionnements des circuits cérébraux de la peur. Les composantes viscérales, motrices et cognitives de la peur sont exagérées ou hypersensibilisées. Dans les troubles anxieux, on observe souvent : Une hyperactivité de l’insula et d’autres structures limbiques. L’insula est impliquée dans l’anticipation des sensations aversives et les personnes anxieuses ont souvent une activité insulaire élevée durant l’anticipation d’évènements stressants. Une hypersensibilité de la réponse d’alerte, une réponse de la formation réticulée qui active à la fois le cortex (par la noradrénaline) et le système sympathique. » (p. 158)