émotions Flashcards
Quelle est la fontion des émotions ? Selon Darwin ?
Elles nous motivent à faire des choses et à utiliser nos capacités cognitives.
Darwin – l’expression des émotions chez l’homme et les animaux (1872). Les émotions ont permis la survie et la reproduction chez nos ancêtres. Elles sont communes inter-culturellement. Signes physiques suivent l’état interne
Qu’est ce qu’on étend quand on dit que l’état interne est influencé par l’expression corporelle ?
Paul Elkman a montré que les sujets à qui on demandait de mimer des expressions faciales commençaient à ressentir les émotions correspondantes
Qu’est ce que les chercheurs pensaient les émotions au 20ème siècle ?
Les émotions ont été ignorées par les chercheurs durant la plus grande partie du 20ème siècle, ou bien considérées comme apprises par conditionnement et très variables inter-culturellement.
Citer et expliquer 3 preuves que les expressions sont innées et universelles
Comparaison avec les autres primates : on se reconnaît face aux primates. Les exp montrent que les expressions se présentent dans des circonstances similaires, suggérant un ancêtre commun.
Interculturalité : différentes cultures reconnaissent et expérimentent les mêmes émotions. Au moins expressions faciales de base : surprise, colère, tristesse, dégoût, peur, joie. De nombreuses expressions sont des mélanges des émotions de base.
Des régions du cerveau sont associées aux émotions : A)amygdale (système limbique) : dommages à l’amygdale causent la non-reconnaissance de la peur et autres émotions dans la face des autres.
B) Cortex orbitofrontal :dommages causent changements de perso (irritabilité, anxiété, apathie, impulsivité, manque de préoccupations pour autrui)
Phineas Gage n’était plus capable de prendre de décisions.
Rôle dans l’intégration et l’appréciation des indices émotionnels pour prendre une décisions.
Lobe orbitofrontal est le siège de l’inhibition.
les émotions sont-elles univerelles ?
L’universalité est encore controversée.
On trouve des différences dans les expressions faciales (et les réponses émotionnelles aux stimuli) ; en fait, le contexte déclencheur peut être différent (les gens ne vont pas rire ou avoir peur des mêmes choses, ce qui est normal car nous vivons dans des environnements diff).
Les expressions peuvent être consciemment modifiées selon nos objectifs (faux sourires).
En public, on contrôle notre comportement. Règles culturelles : Au Japon, seule joie et acceptable.
Mais les gens vivent quand même des émotions similaires dans les mêmes contextes.
Quelles sont les fonctions des émotions dites négatives ?
Emotions dîtes « négatives » : peur, colère, tristesse.
Plus fréquentes et spécifiques que émotions positives car grand nombre de menaces différentes.
Peur : émotions très importantes pour la survie.
Panique et agoraphobie : adaptations qui préparent le corps à réagir : circulation du sang dans les muscles, esprit attentif aux possibilités de fuite. Plus simple de traiter des peurs apprises (avion, …) que des peurs innées (araignées, serpents, …).
Peur et colère permettent de focaliser l’attention et d’augmenter la vigilance : reliées à la prise d’actions spécifiques rapides : peur = urgence de fuir et colère = urgence d’attaquer.
Tristesse = urgence de se retirer de l’action.
Nesse dit que la culpabilité et la tristesse ont évolué pour faciliter le retour à la coopération, retrouver une bonne relation après exploitation.
Quelles sont les fonctions des émotions dîtes positives ?
Moins d’études.
Résultent de la sélection naturelle pour ouvrir les gens à de nouvelles expériences qui vont permettre de construire le futur durant moments sécuritaires et de satiété.
Servent à élargir l’esprit et les connaissances.
Selon Fredickson, il y aurait 4 émotions positives de base : la joie, l’intérêt, le contentement et l’amour.
Les 3 premières seraient reliées au bonheur.
Joie : associée à des contextes familiers et sécuritaires et fréquemment avec l’atteinte de buts.
Intérêt : Carol Izard la considère comme l’émotion positive la plus fréquente. Associée à l’exploration pour augmenter nos connaissances. Recherche de récompense et de plaisir.
Contentement : impliquer le désir de devenir inactif. Crée l’urgence de savourer et intégrer des événements et expériences récentes, ce qui crée une réceptivité.
L’amour : décrit un grand nombre d’états positifs envers les personnes auxquelles on est attaché. Ces états positifs partagent le besoin d’être rapproché et le plaisir d’être ensemble. Donc, l’amour joue un rôle dans le maintien des relations sociales positives et le développement de l’altruisme réciproque. Selon Trivers, l’amour est un moyen d’augmenter la valeur sélective globale.
