Eco (simple) Flashcards
La mondialisation est-elle irréversible ?
Introduction
- Suzanne BERGER (notre première mondialisation, essaie d’un échec oublié, 2003) : Deux mondialisations
- KRUGMAN (la mondialisation n’est pas coupable, 1996) : Obsession compétitivité
- Tibor SCITOVSKY : Effet de représailles
- SAPIR (La démondialisation, 2011) : Inégalités
1 - La mondialisation est une tendance longue qui semble aujourd’hui irréversible
A - Une tendance longue
-SMITH (Livre 4 chapitre 2 recherche sur la nature et la richesse des nations, 1776) : avantage absolu
-RICARDO (Livre 8 des principes de l’économie politique et de l’impôt, 1817) : avantage comparatif
-Modèle HOS : dotation factorielle
B - Le retour au protectionnisme serait synonyme de régression
-SACHS et WAGNER (1995) : 2,3/4,6/0,7
-Daniel COHEN (trois leçons sur la société post-industrielle, 2006) : Deux siècles
-Alfred MARSHALL : Graphique surplus
-CHAMBERLAIN (theory of monopolistic competition, 1933) : préférence pour la variété
-Jean-Marc DANIEL (L’Etat de connivence, 2013) : connivence patronat/monde politique
-TULLOCK et BUCHANAN (the calculus of consent, 1962) : marché de la réglementation
-GROSSMAN et HELPMAN (is protectionnism for sale, 1994) : élus américains
-EICHENGREEN et IRWIN (the slide to protectionnism during the great depression, who succombed and why, 2009) : stratégies protectionnistes
2-L’histoire nous montre pourtant que la mondialisation est irréversible et que les pays qui en ont le plus bénéficié semblent avoir eu recours au protectionnisme
A - Une mondialisation qui né bénéfice pas à tous
-Daniel COHEN : peur salarié PDEM
-Ross PEROT : “le grand bruit de succion”
-GRIPPS et GODLEY (1979) : protectionnisme outils keynésiens
-KEYNES (proposition en vue de l’établissement d’un nouveau tarif douanier, 1931) : “En substituant…”
-FITOUSSI : gagnants/perdants
-REICH (the work of nations, 1991) : Manipulateurs vs travailleurs
-FREEMAN (are your wage set in Beinjing, 1995) : pression salaire concurrence asie
-FRANCK (richistan, 2007) : oligarchie mondialisée
-SAPIR (la démondialisation, 2011) : inégalités, gini
B - L’efficacité du protectionnisme
-Théorème de RYBCZYNSKI : évoluer spécialisations
-LIST (système nationale d’économie politique, 1841) : protectionnisme éducateur
-SHENG et GENG (experimental china, 2015) : protectionnisme éducateur numérique
-GERSCHENKRON (economic backwardness in historical perspective, 1962) : avantage à l’ariération
-AKAMATSU : modèle d’oies sauvages
-Laurent ALEXANDRE (google démocratie, 2011) : colonie Silicon unicorn
-BRANDER et SPENCER (export Subsidies and International Market Share Rivalry, 1985) : politiques commerciales stratégiques
-PIGASSE (l’éloge de l’anormalité, 2014) : patriotisme économique
3 - Il convient de réinventer aussi bien la mondialisation que les politiques commerciales
A - La pertinence des unions économiques régionales
-STIGLITZ : “limiter le fanatisme du marché”
-ASSELAIN (épilogue de Mythes et paradoxes de l’histoire économique, 1994) : question de mesure
-SAPIR (la fin de l’eurolibéralisme, 2006) : multilatéralisme Maroc
-Dani RODRICK (nations et mondialisation, 2009) : protectionnisme léger supranational UER
-TODD (conférence en 2014) : protectionnisme de relance coopératif puissance prédatrice
B - Réinventer la gouvernance internationale
-TRAN VAN THIN : OMC/GATT
-KINDLEBERGER : stabilité hégémonique
-KEOHANE (after hegemony, 1984) : trois réalités
-BOURGUIGNON (la mondialisation de l’inégalité, 2012) : inégalité entre/au sein des pays
-STIGLITZ (the globalization dans its discontents, 2016) : déplacement de la protestation
Les PED représentent-ils une menace pour les pays avancés ?
Introduction
- Daniel COHEN : “la peur a brutalement changé de camp”
- Amartya SEN (vers un nouveau modèle de développement économique, 1998) : développement large
- BAIROCH (mythes et paradoxes de l’histoire économique, 1994) : colonisation stupide
- François HEISBOURG (Vainqueurs et vaincus, lendemains de crise, 2010) : perdants/gagnants mondialisation
1 - La montée en puissance des PED inquiète les PDEM
A - Les PED ont pris place dans la mondialisation
-LIST (système national d’économie politique, 1841) : protectionnisme éducateur
-SHENG et GENG (experimental china, 2015) : protectionnisme éducateur numérique
-AKAMATSU : atelier concepteur de produits
-RYBCZYNSKI : évoluer sa dotation factorielle
B - Les PED ont tiré parti de la globalisation financière
-NURKSE (patterns of trade and development, 1959) : cercle vicieux
-SOLOW (a contribution to the theory of growth, 1956) : productivité marginale du capital décroissante
-WICKSELL (interest and prices, 1898) : fonds prêtables globalisation financière
-Paradoxe de LUCAS : mvm inter capitaux vers PDEM
2 - Ce sont plutôt les PDEM qui représentent une menace pour les PED
A - Colonisation, spécialisation appauvrissante et échange inégal
-BAIROCH (mythes et paradoxes de l’histoire économique, 1994) : libre-échange imposée
-Effet KING : spécialisations agricoles dégradations termes de l’échange
-BAIROCH : prix matières premières baisse, biens industriels hausse
-Samir AMIN (the liberal virus, 2014) : Théorie de l’échange-inégal
-SAPIR (la démondialisation, 2011) : sous-développement auto-entretenue par les PDEM
B - D’où une volonté des PED de ne plus avoir de relations avec les PDEM
-Paul ROSENSTEIN-RODAN : big push impulsion dvp par l’état
-Celso FURTADO : Stratégie de développement auto-centrée
-Destanne DE BERNIS : Industrialisation par industries industrialisantes
3 - Les PED représentent une chance pour l’économie mondiale à condition d’opérer les changements institutionnels adéquats.
A - Les PED représentent une chance
-Shashi THAROOR (taking the brics seriously, 2015) : propre ordre mondial
B - Changement institutionnel
-ROSTOW (les étapes de la croissance économique, 1960)
-GERSCHENKRON (Economic backwrdness in historical perspective, 1962)
-STIGLITZ (la grande désillusion, 2002) : politiques d’ajustements structurelles
-ACEMOGLU et ROBINSON (Why nations fail, 2014) : institutions extractives/inclusives
Pourquoi la firme ? La croissance pour quoi ?
Introduction :
- Approche néoclassique : boîte noire unité de production
- CYERT et MARCH (a behavioral theory of the firm, 1963) : Approche behavioriste
1 – Produire pour vendre, exister pour réduire les coûts de transaction et se développer dans le cadre des réglementations
A – Microéconomie et boîte noire
-WALRAS (élément d’économie politique pure, 1874) : firme fonction de production
-JENSEN et MECKLING (1976) : relation d’agence nœud de contrats
-Ronald COASE (the nature of the firm, 1937) : coûts de transaction
B – Des firmes et des lois
-Karl POLANYI (la grande transformation, 1944) : état règles marché
-FOGEL : propriété privée chemin de fer
2 – Optimiser l’organisation du travail et motiver les salariés pour gagner en productivité
A – Organisation et division du travail
-SMITH (recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations, 1776) : division du travail
-CHANDLER : main visible des managers
-TAYLOR (principles of scientific management, 1911) : one best way
-FORD
-AGLIETTA (régulations et crises de capitalisme, 1976) : compromis fordiste
-FRIEDMAN (le travail en miettes, 1957) : abrutissement généralisé
-OHNO : toyotisme kaizen adaptation
B – Psychologie et sociologie des organisations
-Elton MAYO (the human problems of an industrialised civilisation, 1933) : effet hawthorne
-MASLOW (motivation et personnalité, 1954) : pyramide besoins complexes
-STIGLITZ et SHAPIRO : salaire d’efficience
-McGREGOR (the human side of enterprise, 1960) : individus X et Y
-CROZIER (le phénomène bureaucratique, 1964) : normes entravent initiatives
3 – Tirer avantage d’un monde ouvert et avoir une gouvernance en accord avec son temps
A – Le choix de gouvernance
-COCHIN (la condition des ouvriers français, 1862) : maîtres sans visage
-SCHUMPETER (capitalisme, socialisme et démocratie, 1942) : disparition entrepreneur innovateur
-JENSEN et MECKLING (théorie de l’agence, 1976) : actionnaire principal
-BERLE et MEANS (the modern corporation and private proverty, 1932) : conflit objectifs manager actionnaire
-REICH (supercapitalisme, 2008) : gestion court-terme
-ICAHN et PERELMAN : corporate raiders
-REICH (supercapitalisme, 2008) : stakeholder opération marketing
B – Innovation et internationalisation
-SCHUMPETER (théorie de l’évolution économique, 1912 et Business cycles, 1939) : entrepreneur innovateur cœur du capitalisme
-Clayton CHRISTENSSEN (le dilemme de l’innovateur, 1995) : continuité/rupture
-Salim ISMAIL (exponential organization, 2014) : innovation exponentielle
-John DUNNING (modèle oli, 1988) : 3 avantages internationalisation
-Samir AMIN (the liberal virus, 2004) : théorie échange inégal
Contre le chômage on a tout essayé
1 - La volonté de l’Etat de mener des politiques passives et actives face au chômage
A - Du chômage volontaire au chômage involontaire
-WALRAS (élément d’économie politique pure, 1874) : chômage volontaire auto-régulation
-KEYNES (théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie, 1936) : chômage involontaire demande anticipée
-Loi d’OKUN : relation croissance/emploi
-SOLOW et SAMULESON : Courbe de Phillips : inflation/chômage
-HICKS et HANSEN : ISLM
B - Des politiques passives et actives
-Politiques passives/actives/structurelles
2 – L’action contre le chômage peut devenir contre-productive et bute sur les choix rationnels des individus
A – Les limites de la lutte contre le chômage
-Salaire minimum/syndicalisme/états endettés
B – On ne peut pas lutter contre la rationalité des individus
-AZARIADIS (les contrats implicites et l’équilibre des sous-emplois, 1975) : contrats implicites
-STIGLITZ et SHAPIRO (equilibrium unemployment as a worker discipline device, 1984) : salaire d’efficience
-LINDBECK et SNOWER (la théorie insider/outsider de l’emploi et du chômage, 1985) : insiders/outsiders
3 – Il n’y a pas de fatalité dans la lutte contre le chômage : flexibilité et justice sociale
A – Complexité à comprendre le chômage
-BLANCHARD et SUMMERS : effet d’hystérèse
-PIORE et DOERINGER : dualisme du marché du travail
-CLOWER (la contre-révolution keynésienne, 1965) : prix visqueux
-MALINVAUD (réexamen de la théorie du chômage, 1980) : chômage classique keynésien
-Théorème de SCHMIDT : profits investissements emplois
B – Vers une flexisécurité
-BRUHNES : 5 types flexibilité
-ALGAN et CAHUC (la société de défiance, 2007) : société de défiance
-SAUVY (la machine et le chômage, 1980) : déversement
Faut-il lutter contre les inégalités ?
Introduction :
- DUBET (les places et les chances, 2010) : inégalités places chances
- RAWLS (théorie de la justice, 1971) : 3 principes société juste
- KRUGMAN (pourquoi les crises reviennent toujours, 2008) : Gatsby le magnifique
- AGLIETTA et BOYER : compromis fordiste baisse inégalités
- PIKETTY (le capital au 21è siècle, 2013) : inégalités de patrimoine
- BOURGUIGNON (la mondialisation de l’inégalité, 2012) : inégalités entre/au sein des pays
1 – Il convient de lutter contre les inégalités au nom de la justice sociale et de l’efficacité économique
A – Face à la question sociale et la misère, l’espoir d’une société plus égalitaire
-MARX (le capital, 1867) : capitalisme exploitation
B – La lutte contre les inégalités au service de l’efficacité économique
-ALESINA et RODRICK (1994) : relation inégalités croissance entravée keynésien
-STIGLITZ (the price of inequality, 2011) : 5 points richesse 1% riches pauvres hausse demande et baisse chômage 2 points
-BERG et OSTRY (inequality and unsustainable growth, 2011) : inégalités croissance fragile instable
-Gosta ESPING-ANDERSEN : 3 modèles état providence
-PEACOCK et WISEMAN (1967) : effet de cliquet
-PIKETTY (le capital au 21è siècle, 2013) : inflation réduction inégalités patrimoines
-Règle de RAMSEY (1927) : fiscalité optimale
-DIAMOND et MIRRLEES (1971) : plein d’impôts différents
2 – Il semble néanmoins que certaines inégalités restent bénéfiques et que la lutte contre les inégalités rencontre des limites
A – Les inégalités sont « justes » et contribuent à l’efficacité économique
-SCHUMPETER (théorie de l’évolution économique, 1912) : rente de monopole
-BOURGUIGNON : gâteau
-RICARDO : profit = investissement = retarde l’état stationnaire
-KALDOR : épargne d’un pays = part des profits dans le partage des revenus
-LAFFER : trop d’impôts tuent l’impôt
-BARRO : inégalités fortes points de croissance élevés
-OKUN (equality and efficiency) : arbitrage efficacité économique justice sociale
-SMITH : théorie du ruissellement
-PARETO : circulation des élites
-BECKER (le traité de la famille, 1991) : inégalités investissement capital humain
-BOUDON : école accroît inégalités
-Courbe de KUZNETS : inégalités passage obligé
B – La lutte contre les inégalités rencontre des limites et est inefficace
- Triangle d’HARBERGER : taxation baisse surplus
- LANDAIS, PIKETTY, SAEZ (pour une révolution fiscale, 2011) : fiscalité inefficace économiquement et socialement
- LEFEBVRE et MEDA (faut-il brûler le modèle social français, 2006) : tableau plus sombre
- ROSANVALLON (la crise de l’état providence, 1987) : triple crise
- BOURDIEU : école perpétue inégalités
- ALGAN et CAHUC (la société de défiance, 2007) : réformes difficiles
3 – A l’heure du retour criant des inégalités et de la révolution numérique, il convient de repenser la lutte contre les inégalités
A – Le grand retour des inégalités
-RIFKIN (la fin du travail, 1997) : multiplication FPE
-PIORE et DOERINGER : dualisme marché du travail
-FITOUSSI : gagnants/perdants mondialisation
-REICH (the work of nations, 1991) : manipulateurs/travailleurs
-SAPIR (la démondialisation, 2011) : mondialisation inégalités gini
-GODECHOT (la finance, facteur d’inégalités, 2011) : globalisation minorité working rich
-RAJAN (Fault lines, 2010) : inégalités expliquent subprimes
B – Economie numérique et recul des inégalités
- KRUGMAN (la mondialisation n’est pas coupable, 1996) : progrès technique coupable inégalités
- KUZNETS : TIC prime travailleurs qualifiés
- NIEL : école 42
- PEREZ (technological revolution and financial capital, 2003) : révolution technologique schéma
- COLIN (une protection sociale en phase avec l’économie numérique, 2015) : sécurité sociale obsolète
Les banques représentent-elles un danger ?
Introduction :
- HICKS : marché financier/endettement
- REICH : ardeur animale du capitalisme
A – Les banques peuvent être à l’origine de crise financière
- MERTON : prophétie auto-réalisatrice
- GOUBERT : 131 faillites
- ROUBINI (2012) : chine veille crise
- MINSKY : schéma crise
- MELLON : orgie spéculative
- FRIEDMAN et SCHWARTZ : explication crise 29
- HAYEK : crise de surproduction
B – Les banques représentent un danger pour les Etats/les ménages/la gouvernance d’entreprise
- SOROS
- PIKETTY, SAEZ, LANDAIS (pour une révolution fiscale, 2011) : optimisation fiscale
- Prix du blé 100% 2006-2008
- JENSEN et MECKLING (théorie de l’agence) : manager service actionnaire
- BERLE et MEANS (1932) : conflit manager/actionnaire
- PERELMAN/ICAHN : corporate raiders
2 – Les banques sont une opportunité pour la croissance et le développement
A – Les banques et l’innovation
-SCHUMPETER (théorie de l’évolution économique, 1912) : banquier financement innovation
-ASSELAIN (histoire économique de la France, 1980) : retard bancaire industrie
-Allemagne 1870 konzerns
B – Les banques et le développement
-NURKSE : cercle-vicieux du sous-développement
-GERSCHENKRON (economic backwardness in historical perspective, 1962) : emprunts russes
-Modèle de SOLOW : rendements décroissants du capital
3 – Les banques représentent à la fois un danger et une opportunité, ce qui compte c’est la réglementation en vigueur
A – Les premières formes d’encadrement des banques
-AGLIETTA et ORLEAN (la violence de la monnaie, 1982) : banques centrales hiérarchisent
B – Confiance et collusion : les dérèglementations
-GILDER : dérèglementations inefficacité
-BOURGUINAT : foi dans le marché
-FAMA : marché efficient
-PECORA : dès que les affaires reprendront…
-KRUGMAN et PHELPS : abrogation GSA crise subprimes
-TULLOCK et BUCHANAN (the calculus of consent, 1962) : marché de la réglementation
C – Réflexion internationale sur la globalisation financière
-AGLIETTA : aventure obligée
-Taxe TOBIN : freiner spéculation financer développement
-EICHENGREEN (Central banks in the Dock, 2017) : banques centrales attaquées
Qu’est-ce que la monnaie ?
Introduction :
- ARISTOTE (la politique) : monnaie trois fonctions
- SUMMERS : politique monétaire origine crise
- FRIEDMAN et SCHWARTZ : FED responsable crise
- Classiques et néoclassiques : monnaie invention troc
- Currency school (RICARDO) : proportionnalité stricte
- Banking school (TOOKE et FULLARTON) : quantité monnaie besoin
- Théorie de la dichotomie : économie réelle/monétaire séparées
- Equation de MARSHALL : Md = k.P.Y demande monnaie pas taux d’intérêt
- FISHER (the purchasing power of money, 1911) : MV=PT
- PIGOU : théorie des encaisses réelles inflation s’auto neutralise
- KONDRATIEFF : phase A cycle croissance inflation baisse taux d’intérêts
- IMBERT (des mouvements de longues durées Kondratieff, 1959) : relation croissance/inflation 75%
- HAYEK (prix et production, 1931) : risque surproduction taux d’intérêt impact économie réelle
- KEYNES (théorie de la monnaie, 1930) : préférence pour la liquidité
- HAYEK et WICKSELL : monnaie active
- MERTON : prophétie auto-réalisatrice
- MYRDAL : politique monétaire contracyclique
- Relation de PHILLIPS : salaires/chômage nawru
- SAMUELSON et SOLOW : inflation/chômage nairu
- HICKS et HANSEN : ISLM
- STIGLITZ et KRUGMAN : politique budgétaire europe
- FISHER (the great theory of the great depression, 1933) : déflation par la dette
- KALDOR : carré magique
- MUNDELL et FLEMMING : ISLMBP
- FRIEDMAN : anticipations adaptatives
- LUCAS : anticipations rationnelles
- FRIEDMAN : aligner masse monétaire PIB
- NORDHAUS : gouvernements réélection
- KYDLAND et PRESCOTT : politiques de règles
- MOUROUGANE (1998) : lutte inflation perte adaptation et flexibilité pour l’emploi
- NORDHAUS (1989) : théorie du jeu destructeur : absence coopération objectifs différents
- LE CACHEUX et STERDINIAK (1992) : perte de manœuvre policy mix
- FITOUSSI (la règle et le choix, 2002) : BCE déficit démocratie
- TODD : économie au service de la monnaie
- SUMMERS : stagnation séculaire
- ARTUS et VIRARD (la liquidité incontrôlable, 2010) : banques centrales pompiers/pyromans
Le rôle de l’Etat
Introduction :
- MUSGRAVE (théorie des finances publiques, 1959) : 3 fonctions à l’état
- STIGLITZ (stagnation by design, 2015) : paradigme néolibéral crises inégalités
- Jean-Marc DANIEL (l’état de connivence, 2014) : lourdeurs rigidités réglementations
- SMITH (recherche sur la nature et la cause de la richesse des nations, 1776) : main invisible
- SAY (traité d’économie politique, 1803) : « Toute offre créée sa propre demande »
- WALRAS (élément d’économie politique pure, 1874) : équilibre général
- PARETO : optimum
- MARSHALL : graphique des surplus
- Défaillances de marché : biens collectifs/externalités/asymétries/monopoles naturels
- POLANYI (la grande transformation, 1944) : état règles du marché
- FOGEL : croissance propriété privée
- KEYNES (théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie, 1936) : politiques contracycliques
- KAHN (1931) : multiplicateur
- HICKS et HANSEN : ISLM
- Courbe de PHILLIPS
- ESPING-ANDERSEN : 3 types état-providence
- PEACOCK et WISEMAN : effet de cliquet
- FRIEDMAN : anticipations adaptatives
- MUNDELL et FLEMMING : ISLMBP
- FRIEDMAN : effet d’éviction
- Effet RICARDO-BARRO
- BUCHANAN et TULLOCK (the calculus of consent, 1962) : marché de la réglementation
- Modèle de NISKANEN : bureaucrate/fonctionnaire budget prestige
- Modèle de NORDHAUS : variables macro réélection
- LIEBENSTEIN (1966) : Inefficience-X : prospérité paresseuse
- Triangle d’HARBERGER : monopole perte de surplus
- ROSANVALLON (la crise de l’état providence, 1987) : Triple crise
- SMITH : théorie du ruissellement
- BAUMOL (contestable market and the theory of industry structure, 1982) : marché contestable
- STIGLITZ (la grande désillusion, 2002) : russie libéralisation économie
- STIGLITZ : repenser état modeste omniprésent
- FITOUSSI : BCE pas démocratique
- STIGLITZ (stagnation by design, 2015) : organisations internationales
- ROMER/LUCAS/BARRO : état progrès technique
- Laurent ALEXANDRE (google démocratie, 2011) : aberration compétitivité fleurons colonie
Sorties de crise
Introduction :
-SUMMERS (2013) : stagnation séculaire
1 – D’un point de vue libéral la crise n’a pas lieu d’être. Si crise il y a, la sortie de crise se fait d’elle-même.
A – La crise comme impossibilité chez les Classiques et les Néoclassiques
-SMITH : main invisible
-SAY : loi des débouchés
-WALRAS : équilibre général
-MADISON : croissance norme crise secondaire
-FRIEDMAN (a monetary history of the United States 1867-1960, 1963) : crise 29 politique monétaire
B – La place de la sortie de crise dans la théorie des cycles
-KITCHIN (1923) : 42 mois stocks entreprises
-JUGLAR (1862) : 8-10 ans
-KONDRATIEFF (the long waves in economy life, 1926) : 50-60 ans
2 – L’intervention de l’Etat peut pourtant se justifier en cas d’enlisement dans la dépression
A – Le rôle actif de l’Etat dans la sortie de crise
-Plan FREYCINET : 8700km chemins de fer
-New Deal (1933) : 2,5 millions chômeurs embauchés
-IRWIN et EICHENGREEN (the slide to protectionnism during the Great Depression, 2010) : stratégies protectionnistes aggravent crise
-KEYNES : crise Etat politique contra cycliques
-HICKS et HANSEN : ISLM
B – La nécessaire coopération entre les Etats pour une sortie de crise en économie ouverte
-VON NEUMAN et MORGENSTERN : cadre mondial stable multilatéralisme
-MUNDELL et FLEMMING : ISLMBP
-CRIPPS et GODLEY (1979) : renouer protectionnisme
-NASH : dilemme du prisonnier relance coordonnée
-KINDLEBERGER : stabilité hégémonique
-François HEISBOURG (vainqueurs et vaincus, lendemains de crise, 2010) : Brics croissance mondiale
3 – Afin qu’une crise soit autre chose que la préparation d’une autre crise, il faut qu’elle opère un changement dans la politique et la science économique
A – Changement de structures, disruption, ubérisation
-James KORNAI (economics of shortage, 1980) : crise URSS
-KRUGMAN : europe stagnation japon
-SCHUMPETER (théorie de l’évolution économique, 1912) : 5 types d’innovations
-SCHUMPETER (business cycles, 1939) : dynamique de l’innovation
-Clayton CHRISTENSSEN : le dilemme de l’innovateur
-SCHUMPETER : destruction créatrice
-Alfred SAUVY (la machine et le chômage, 1980) : théorie du déversement
-Salim ISMAIL (exponential organization, 2014) : disruption
-Marc ANDREESSEN (why is software eating the world, 2011) : secteurs attaqués technologie
-Carlota PEREZ (technological revolution and financial capital, 2003) : installation/turning point/déploiement
-Nicolas COLIN (une protection sociale en phase avec l’économie numérique, 2015) : réinventer sécurité sociale
B – Apprendre des crises. Changement de paradigme économique et évolution de la crise économique
-HOOVER (1929) : veille âge d’or
-ROUBINI (2006) : speech subprimes
-TIROLE : constat d’échec
-KUHN (la structure des révolutions scientifiques) : crise nouveau paradigme
-STIGLITZ (stagnation by design, 2015) : inverser paradigme néolibéral
-SALIN : davantage libéralisme trop impôts
-BENASSY-QUERE (2012) : crise 2008 mieux géré que 1929
Un bon taux de croissance est-il un objectif atteignable ?
Introduction :
-MADISON (l’économie mondiale, une perspective millénaire, 2001) : 4 périodes
1 – Un bon taux de croissance est complexe à atteindre et dépend de nombreux facteurs
A – Une croissance forte est possible et souhaitable
-FOGEL : propriété privée
-WEBER (l’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, 1905) : mentalité protestante capitalisme
-ROSTOW (les étapes de la croissance économique, 1960) : pays développement même schéma
-GERSCHENKRON : état sauter des étapes
-SMITH : division du travail ouverture internationale
-SAY (traité d’économie politique, 1817) : loi des débouchés
-WALRAS (élément d’économie politique pure, 1874) : équilibre général
-PARETO : optimum
B – Un bon taux de croissance nécessite l’intervention de l’état
-KEYNES (théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie, 1936) : fil du rasoir réglage fin demande effective loi psychologique
-MYRDAL : politique contra cyclique
-KAHN : multiplicateur
-HICKS et HANSEN : ISLM
-HARROD-DOMMAR : fil du rasoir instabilité
2 – Il convient de s’interroger sur la pertinence d’ériger un bon taux de croissance en un objectif économique et social
A – Un fort taux de croissance n’est pas un objectif pertinent
-Paradoxe d’EASTERLIN : seuil revenu bonheur
-Rapport MEADOWS : halte à la croissance
-GEORGESCU-ROEGEN (la loi de l’entropie et le processus économique) : décroissance
B – Un fort taux de croissance n’est pas un objectif possible
-RICARDO : rendements décroissants de la terre
-MALTHIUS : géométrique/arithmétique
-SOLOW (a contribution to the theory of growth, 1956) : productivité marginale capital décroissante
-HANSEN (economic progress and declining population growth, 1939) : stagnation séculaire
-SUMMERS (2013) : stagnation séculaire
-GORDON (is US economic growth over, 2015) : pessimisme technologique
-COWEN (2011) : on a tout inventé
3 – A l’heure de la mondialisation et de la course à l’innovation, nous pouvons envisager une nouvelle croissance
A – Mondialisation et innovation au cœur de la croissance
-BRANDER et SPENCER : politiques commerciales stratégiques
-LIST (système national d’économie politique, 1841) : protectionnisme éducateur
-MUNDELL (1967) : attirer IDE
-SCHUMPETER (théorie de l’évolution économique, 1912 Businnes cycles, 1939) : cycles kondratieff innovation
-PEREZ : installation/turning point/déploiement
-ROMER/LUCAS/BARRO : état productivité innovation progrès technique
-ROMER (increasing returns and long run growth, 1986) : croissance endogène
-ASHAUER (is public expenditure productive, 1989) : 1% capital public 0,4% productivité secteur privé
B – Une croissance qui dépend de plus en plus d’un cadre favorable
-ALBERT (capitalisme contre capitalisme, 1991) : plusieurs formes capitalisme
-HICKS : « une dépense n’en vaut pas… »
-PIKETTY : 500 niches fiscales 50 milliards/an
-Courbe de LAFFER : >45% trop d’impôt tue l’impôt
-SPENCE (the missing ingredients of growth, 2018) : croissance long terme ingrédients