Douleur Flashcards
Peut-on se fier ou non aux mesures physiologiques pour évaluer la douleur de l’enfant?
Non. C’est un indicateur, mais ce n’est pas fiable à 100%. Des SV stables n’indiquent pas une absence de douleur.
Quels sont les signes de douleur chez l’enfant?
Pleurs Faciès crispé Position antalgique Position de protection dlr Pas intéressé par l'env. Pas envie de jouer Verbalise sa douleur
Conséquences de la douleur non traitée
Court terme : souffrance, anxiété, risque de morbidité et mortalité, durée de séjour augmentée, coût des soins augmenté et risque de complications.
Long terme : risque de développer une douleur chronique ou douleur chronique sévère.
Réactions d’un nourrisson
Pas de notion du temps Pas de contrôle Localise la dlr (18 mois) Réactions localisées Pleurs
Réaction d’un trottineur (1-3 ans) et d’âge préscolaire (3-6 ans)
Dit que ça fait mal Irritable Agité Anticipe la douleur Veut terminer la procédure
Réaction enfant d’âge scolaire (5-11 ans)
Verbalise sa douleur
Anticipe
Gagne du temps (pas prêts)
Engager une relation de confiance
Réaction adolescents
Film en même temps
Analgésiques avant le soin
Activité qu’il aime
Échelles d’auto-évaluation
Échelle visuelle analogique
Échelle des visages
Échelles d’hétéro-évaluation
Échelle FLACC
Échelle EVENDOL
Comment choisir entre les deux types d’échelle?
1 : âge 2 : développement 3 : risque de régression 4 : compréhension des signes 5 : demander aux parents 6 : contexte
Quel est le type de traitement pharmacologique recommandé ?
Analgésie multimodale et régulière
Quelles sont les autres interventions pharmacologiques (autres que les médicaments analgésiques)?
Sucrose 24% pendant la procédure
Crème EMLA, analgésique topique à appliquer 45 minutes avant un soin
Nommez des intervention non pharmacologiques de type physique, cognitive et comportementale.
Physique : massage, acupuncture, glace/chaleur, TENS
Cognitive : hypnose, imagerie, distraction
Comportementale : relaxation, exercices de respiration, renforcement positif, réalité virtuelle
Nommez des stratégies pour communiquer avec un enfant qui a mal.
Expliquer et faire participer Entrer dans son imaginaire Relation de confiance Utiliser les parents Ne pas mentir Limiter les contentions
Nommez le rôle de la distraction avec les enfants ayant de la douleur.
Modifie l’interprétation des stimulis nociceptifs perçus par l’enfant en détournant l’attention du stimulus anxieux en l’amenant vers du positif.
Diminue le stress et l’anxiété par le détournement d’attention
Amène un sens de contrôle à l’enfant
Peut avoir des effets jugés d’intensité modérée sur la douleur aiguë pédiatrique