Diversité, altérisation, identité sociale Flashcards
Qu’est-ce que la diversité et qu’est-ce que ce n’est pas ?
La diversité est conséquente de notre unicité et un fait. Elle est présente parce que chaque individu est unique, donc tous différents et différentes.
Dans un contexte particulier, la diversité entre en choc avec ces normes, puis le résultat est le fait de se sentir différent face aux normes.
La diversité n’est pas un groupe de personne.
À chaque fois que l’on va à la rencontre de quelqu’un, c’est une rencontre avec quoi ?
Avec des caractéristiques différentes des nôtres ! Donc on est en constante interaction avec la diversité.
En interaction, sur quels éléments allons-nous se baser pour s’associer aux autres et qu’on s’identifie aux groupes ?
En interaction, c’est avec les similitudes que l’on s’associe aux autre et que l’on s’identifie à des groupes ?
Quand on entre en interaction, on rencontre également des différences. Comment arrivons-nous quand même à s’identifier à un groupe qui possède des différences ?
On négocie nos différences avec les similitudes !
L’autrice Simone de Beauvoir aborde deux concepts importants dans ses oeuvres, lesquels ?
Le concept de l’Autre et de l’Altérisation
Dans le début des années 1950, une pensée d’après guerre domine, mais entre en contraste avec une autre pensée, lesquelles ?
C’est la pensée essentialiste selon laquelle les caractéristiques humaines sont innées et non acquises par des constructions sociales, qui entrait en contraste avec la pensée existentialiste, selon laquelle il y a apprentissage par la société également.
Pourrais-tu faire un lien avec le principe d’apprentissage social de la pensée existentialiste et l’idée du concept de soi ?
L’existentialiste comme pensée peut être liée à l’idée du concept du soi qui est « appris » dans nos processus de socialisation.
Quels sont les deux points positifs lié à la pensée existentialiste ?
- Nous avons une liberté de penser, l’existence du libre arbitre et la possibilité de créer sa propre existence.
- Il y a une reconnaissance de la subjectivité humaine, de ses expériences, ses émotions et son vécu.
Puisqu’on reconnais la subjectivité des expériences, des émotions et du vécu par la pensée existentialiste, quel comportement d’intervention ne serait pas adéquat ?
Ne pas être à l’écoute de la vérité des gens, de leur identité telle qu’ils la définisse serait un comportement qui ne nous permettrait aucune intervention possible
Quels sont les 2 points négatifs liés à la pensée existentialiste ?
- C’est un grand poids, car notre plus grand impératif sera de créer nous-même le monde qui nous entoure, sans valeurs objectives.
- Il y a donc un risque de nihilisme et d’anxiété existentielle.
Quelle est la définition de l’altérisation ?
L’altérisation est le processus par lequel un groupe dominant définit et marginalise les individus d’un groupe étant perçu comme différent ou anormal. Ce processus comprend donc la création de l’Autre.
L’altérisation peut se faire sur quelles types de caractéristiques ?
L’âge, l’orientation sexuelle, la religion, l’identité de genre, la couleur de la peau, l’affiliation politique.
Le processus d’Altérisation et de création de l’Autre passe par 4 étapes, quelles sont-elles ?
- L’identification des différences : Identification de caractéristiques étant considérées comme différentes ou anormale (face à un autre groupe) en fonction du groupe dominant.
- Construction de l’Autre : Construction d’une catégorie sociale de la différence. L’Autre prend forme.
- Imposition d’une norme : Des idées préconçues se forme dans le groupe dominant face à l’Autre.
- Exclusion : L’Autre est sujet à des processus d’exclusion sociale, économique, culturel et politique.
Selon la théorie de l’identité sociale, comment se construit l’image de soi-même ?
L’image que l’on se construit de soi-même se forge autour des groupes sociaux auxquels nous nous identifions.
Exemple :
Génération : Z
Occupation : Étudiante
Statut socio-économique : classe-moyenne
Identité de genre : Femme
Religion/spiritualité : laïque
Quel processus faut-il normaliser en tant qu’intervenant, c’est le processus qui accompagne l’identification à un groupe.
Dès le moment où l’on s’identifie à un groupe, c’est la création de l’autre groupe. On met alors en marche des mécanismes de défense psychologique visant à protéger l’image de ce qui est maintenant notre groupe.
Parle moi d’Henry Tajfel
C’est un psychologue social qui s’inscrit dans une pensée existentialiste. Il a développé la théorie de l’identité sociale.
Ses travaux visent à comprendre et expliquer les rapports intergroupes au-delà des théories individualistes et essentialistes et à complémenter les théorie de Sherif.
La théorie du conflit réel de Sherif à été construit à partir de quelle expérience ?
Sherif se posait la question : comment un conflit intergroupe se créer ? Il à créer deux groupes de jeunes et a joué avec des variables liées à un contexte de ressources limitées.
En conclusion, lorsque des groupes essaient d’obtenir les mêmes ressources limités, il y a des conflits. C’est ainsi que C’est ainsi que les préjugés, la discrimination et la violence se développent.
Selon la théorie du conflit réel de Sherif, comment les groupes peuvent-ils résoudre leur conflits ?
Afin de résoudre ces conflits, les deux groupes doivent partager un but commun. Ils remarquent que les conflits se résolvaient ensuite.
Quel est le principe du continuum du comportement social intergroupe de la théorie de l’identité sociale ?
Nous aide à comprendre les comportements à partir du fait que tout comportement social peut être sur un continuum
Selon le continuum des comportements sociaux, de quelle manière sont déterminer les comportements dans les interactions entre deux individus ou plusieurs ?
Selon le pôle interpersonnelle : Interactions entre deux individus où les comportements sont entièrement déterminés par leur relation et leurs caractéristiques individuelles et non par leur appartenance à un groupe social.
Selon le pôle intergroupe : Interactions entre deux ou plusieurs individus où les comportements sont entièrement déterminés par leur appartenance aux groupes, et non par leur relation interindividuelle que j’ai avec un seul individu.