DEVOIRS Flashcards
Complétez cette synthèse des compétences sensorielles et perceptives des fœtus et des nouveau-nés pour la modalité Équilibre :
Compétences sensorielles chez le fœtus :
Compétences sensorielles chez le nouveau-né :
Compétences perceptives chez le fœtus :
Compétences perceptives chez le nouveau-né :
(2 points)
Modalité Équilibre :
Compétence sensorielles chez le fœtus : à 21 semaines SC
Compétence sensorielles chez le nouveau-né : Système mature
Compétences perceptives chez le fœtus :
Compétences perceptives chez le nouveau-né : Stimulation du système vestibulaire (par les contacts corporels et les diverses manipulations).
Complétez cette synthèse des compétences sensorielles et perceptives des fœtus et des nouveau-nés pour la modalité Odorat-gustation :
Compétences chez le fœtus :
Compétences chez le nouveau-né :
Compétences perceptives chez le fœtus :
Compétences perceptives chez le nouveau-né :
(2 points)
Modalité Odorat-gustation :
Compétence sensorielleschez le fœtus : 24 semaines SC
Compétence sensorielles chez le nouveau-né : Système mature
Compétences perceptives chez le fœtus : Chez l’animal : détection, familiarisation et mémorisation d’odeur de pomme dans le liquide amniotique ou d’infusion d’alcool. Résultats intéressants chez les enfants prématurés, mais à relativiser toutefois à 26/31 SC, ils sont réactifs aux stimulations olfactives ; à 6 mois, ils peuvent réagir au sucré. Entre 29 et 33 SC, préférence pour le sucré par rapport aux saveurs acides ou amères ; réponses ambiguës envers le salé. Certaines stimulations olfactives et gustatives peuvent être perçues, mais leurs seuil et éventail ne sont pas connus.
Compétences perceptives chez le nouveau-né : Préférence pour les saveurs sucrées. Rejet des saveurs amères, ou acides ; réponses ambiguës envers le salé. A 3 jours : orientation préférentielle pour l’odeur de son liquide amniotique vs odeur témoin vs odeur liquide amniotique inconnu. Préférence stable pour l’odeur d’une substance absorbée pendant les dernières semaines de grossesse par rapport à une odeur d’anis, de vanille, ail, chocolat, carotte. Le nouveau-né reconnaît l’odeur de sa mère (par familiarisation prénatale avec le liquide amniotique).
Complétez cette synthèse des compétences sensorielles et perceptives des fœtus et des nouveau-nés pour la modalité Audition :
Compétences chez le fœtus :
Compétences chez le nouveau-né :
Compétences perceptives chez le fœtus :
Compétences perceptives chez le nouveau-né :
(2 points)
Modalité Audition :
Compétences sensorielles chez le fœtus : 32 semaines SC
Compétences sensorielles chez le nouveau-né : Système mature
Compétences perceptives chez le fœtus : Entend à 6 mois (bruits maternels, bruits extérieurs supérieurs à 60 db. Sursaut du fœtus si bruit fort. Réaction à la musique, à la voix humaine (préférence pour la mère)). Une habituation à la présentation répétée d’un même son se traduit par une diminution progressive des réponses à ce stimuli (Ando et Hattori).
Compétences perceptives chez le nouveau-né : Préférence pour la voix maternelle. En-dessous de 4 jours : préférence pour la langue maternelle. Un apprentissage prénatal influencerait les préférences sonores du nouveau-né; ainsi, une histoire lue 2 fois par jour au cours des 12 dernières semaines de grossesse, est préférée à toute autre non familière, même si elle est lue par une femme inconnue (De Casper et Spence).
Complétez cette synthèse des compétences sensorielles et perceptives des fœtus et des nouveau-nés pour la modalité Vision :
Compétences sensorielles chez le fœtus :
Compétences sensorielles chez le nouveau-né :
Compétences perceptives chez le fœtus :
Compétences perceptives chez le nouveau-né :
(2 points)
Modalité Vision :
Compétences sensorielles chez le fœtus : Peu de recherches, donc peu d’informations à ce sujet, car l’expérience visuelle semble faible. Toutefois, les études montrent une mise en place tardive. Le système visuel est préparé pour recevoir des stimuli (forme, orientation, mouvement).
Compétences sensorielles chez le nouveau-né : la maturation se développe et se poursuit longtemps après la naissance. - champ visuel : presque mature à 1an. - acuité visuelle : presque mature à environ 8 mois. - accommodation visuelle : limitée jusqu’à 2 mois. - vision binoculaire : opérationnelle au 4ème mois
Compétences perceptives chez le fœtus : Expérience visuelle restreinte chez le fœtus dans un milieu pas tout à fait obscur. Augmentation de l’activité motrice et changements de rythme cardiaque si présentation d’une forte lumière devant l’abdomen de la mère (26 à 42 SC) (Polishuk et al, Smyth) Le prématuré de 6 mois de gestation réagit à la lumière; si celle-ci est brillante et ne se déplace pas trop vite, il la suit du regard ; il ferme les yeux si elle est trop puissante.
Compétences perceptives chez le nouveau-né : Bébé naît avec les yeux ouverts. - poursuite visuelle : possible dès la naissance si déplacement lent - amélioration rapide du mouvement oculaire - exploration visuelle des objets fixes : plutôt holistique ; analytique par la suite (enfant plus âgé). Préférence pour les visages (Fantz), reconnaissance précoce du visage de la mère. - couleurs : le bébé y est sensible ; comparable à la sensibilité adulte à 2-3 mois (couleurs primaires).
Complétez cette synthèse des compétences sensorielles et perceptives des fœtus et des nouveau-nés pour la modalité Toucher :
Compétences sensorielles chez le fœtus :
Compétences sensorielles chez le nouveau-né :
Compétences perceptives chez le fœtus :
Compétences perceptives chez le nouveau-né :
(2 points)
Modalité Toucher :
Compétences sensorielles chez le fœtus : à 11 semaines de conception
Compétences sensorielles chez le nouveau-né : Système mature
Compétences perceptives chez le fœtus : Ex utero : Réponses motrices à l’effleurement - Sensibilité à la douleur. Le fœtus est fréquemment stimulé (ses propres mouvements, ceux de sa mère, le liquide amniotique, le muscle utérin). Chez le prématuré : sensibilité aux caresses et effleurements.
Compétences perceptives chez le nouveau-né : Sensibilité aux caresses, à la chaleur, à la douleur. Activité exploratoire manuelle dynamique.
À la fin de la première année, l’enfant détecte-t-il les relations causales ?
Argumentez votre réponse (8 points)
Les relations causales peuvent être étudiées chez l’enfant grâce au PARADIGME DE TRANSGRESSION DES ATTENTES et sont liées au PRINCIPE DE CONTACT.
Le paradigme de transgression des attentes est composé d’une première phase de familiarisation où on expose le bébé à un événement.
Ensuite, lors de la phase test, l’expérimentateur présente soit une SITUATION POSSIBLE, soit une SITUATION IMPOSSIBLE. On constate que si l’enfant a détecté L’INCONGRUENCE DE LA SITUATION, il aura DES DURÉES DE FIXATION PLUS LONGUES FACE À L’ÉVÉNEMENT IMPOSSIBLE.
Le principe de contact est l’un des 6 principes énoncés par Spelke dans LA THÉORIE DU CORE KNOWLEDGE. Selon ce principe, un objet ne peut bouger que s’il est entré en contact avec un autre objet. Ce principe est donc lié aux RELATIONS CAUSALES. Pour qu’un objet inanimé soit en mouvement, il faut UNE CAUSE, un événement déclencheur qui ici peut être l’entrée en contact avec un autre objet.
Spelke a étudié en 1995 ce principe de causalité avec des enfants de 7 mois et constate que les enfants sont surpris si un objet bouge sans avoir été en contact avec un autre.
Kosugi en 2003 a étudié le principe de causalité auprès de bébés de 10 mois. Au cours d’une phase d’habituation, l’expérimentateur montre une balle qui roule, puis dans la seconde phase il présente soit une main qui pousse la balle (situation possible), soit une main qui reste à coté de la balle (condition impossible) ou une balle qui bouge seule (condition impossible). Les enfants regardent plus longuement les 2 conditions impossibles et par conséquent on en déduit leur connaissance du principe des relations causales.
La même recherche a été réalisée mais cette fois si la balle a été remplacée par une personne. Les enfants ne témoignent d’aucune surprise…
Cette expérience montre que les bébés font la distinction entre le monde animé (personne) et le monde inanimé (les objets)…
Quelles méthodes peut-on utiliser pour étudier les capacités de discrimination et/ou de catégorisation des nourrissons ? Expliquez-les (8 points)
Plusieurs méthodes sont utilisées pour mettre en évidence les capacités de discrimination et de catégorisation du nourrisson, notamment :
- LA TECHNIQUE DU CHOIX PRÉFÉRENTIEL,
- LA MÉTHODE D’HABITUATION/RÉACTION À LA NOUVEAUTÉ,
- LA SUCCION NON-NUTRITIVE
- LA MÉTHODE DE TRANSGRESSION DES ATTENTES.
- > La technique du choix préférentiel consiste à présenter au nourrisson 2 cibles (à gauche et à droite) sur un écran. Après plusieurs présentations (familiarisation), on change une des deux cibles pour une nouvelle. Si le nourrisson regarde plus longtemps la nouvelle cible, on considère qu’il a discriminé 2 cibles distinctes.
- > Le paradigme d’habituation/réaction à la nouveauté consiste à présenter dans une première phase plusieurs fois un même stimulus. Face à la répétition du même stimulus, le bébé le regardera de moins en moins. Dans une 2nde phase, on présente un nouveau stimulus et si le bébé le discrimine du 1er, ses durées de fixations augmenteront. C’est la phase de réaction à la nouveauté. Cette méthode est employée pour étudier la catégorisation et la discrimination du bébé.
- > Le paradigme de succion non-nutritive a été mise en place par Siqueland et Delucia en 1969. Dans une première phase, on calcule le taux de succion spontanée au repos du bébé. On procède ensuite par conditionnement : lorsque le rythme de succion du bébé augmente, on lui présente un stimulus. On répète l’opération plusieurs fois et le bébé va faire le lien entre son rythme de succion et la présentation du stimulus. Progressivement le rythme va diminuer pour retrouver un profil de base. Dans une 2eme phase, lorsqu’un nouveau stimulus est présenté et si le bébé le discrimine du premier, on remarque que la succion augmente de nouveau, le nourrisson réagit à la nouveauté.
- > Enfin, le paradigme de transgression des attentes a été mis au point par Baillargeon en 1985. Au cours d’une première phase, on familiarise le bébé à une situation puis dans une seconde phase, on présente au bébé soit une condition possible (respectant les lois de la physique) soit une condition impossible. Les durées de fixation seront plus longues sur l’événement impossible ce qui montre que le bébé a détecté l’incongruence de la situation. Il est comme surpris…
Quels sont les 6 principes spatio-temporels qui régissent le monde des objets ? (4 points)
Les objets sont régis par des lois physiques. Spelke (2008) décrit 6 principes spatio-temporels qui contraignent le monde des objets :
1) Principe de COHÉSION : tout objet en déplacement conserve son unité, ne s’effrite pas.
2) Principe de SOLIDITÉ : tout objet occupe une place et ne peuvent être traversés par un autre objet.
3) Principe de CONTINUITÉ : tout objet en mouvement trace un chemin continu et ne peut sauter d’une place à une autre.
4) Principe de CONTACT : pour qu’un objet bouge, il faut qu’il entre en contact avec un autre objet.
5) Principe de GRAVITÉ : en l’absence de support, tout objet tombe.
6) Principe D’INERTIE : un objet en mouvement suit son parcours et change de direction seulement s’il a été en contact avec un autre objet.
Spelke a-t-elle une position innéiste ? (8 points)
Selon Spelke, l’enfant est le produit de l’évolution. Il vient au monde pré-équipé de systèmes de connaissances spécifiques. Il perçoit et comprend le monde qui l’entoure grâce à ces connaissances fondatrices. Ces structures innées peuvent être vues non comme des structures de connaissances pleinement développées mais comme des échafaudages donnant une direction et une signification au processus d’acquisition des connaissances (théorie du Core knowledge, connaissances fondatrices). Spelke postule que nous naissons avec des capacités innées spécifiques qui se différencient des capacités apprises implicitement ou non. De telles connaissances fondatrices portent par exemple sur la distinction entre les êtres vivants et les objets inanimés, le mouvement des objets, les nombres… Elles se traduisent par la compréhension de l’existence permanente des objets, partiellement ou complètement cachés, par la compréhension des relations physiques entre objets (continuité, solidité) par celle du nombre et de la causalité physique. Ces systèmes de connaissance vont permettre aux connaissances purement humaines d’émerger et de se complexifier sous l’effet du langage. Chaque système est un module cognitif largement partagé par les individus (et de nombreuses espèces animales) au cours de la phylogenèse et de l’ontogenèse et qui constitue les fondements de l’intelligence. En plus des systèmes spécifiques, il y a au moins 2 systèmes généraux d’apprentissage : un système d’apprentissage associatif commun à l’homme et à l’animal et un système symbolique spécifique aux hommes. Les structures innées ne sont en général pas des structures de connaissances pleinement développées mais plutôt des échafaudages partiels qui donnent une direction et une signification au processus d’acquisition des connaissances. Spelke (2008) montre l’existence de quatre systèmes de core knowledge incluant les lieux, les objets manipulables, les agents et les nombres. Elle pense que le nombre de systèmes est limité à un petit nombre de domaines.
Travail à partir du texte de Gigla, T. (2003). La reconnaissance des visages par les nourrissons, Médecines et Enfance
Thématique générale : les bébés font-ils une distinction précoce entre les objets (monde inanimé) et les personnes (monde animé) ?
CHEZ L’ADULTE…
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Chez l’adulte, l’objet « visage » a-t-il un traitement spécifique par rapport à d’autres objets ?
Le visage est un objet social
a) Effet d’inversion/reconnaissance un visage présenté à l’envers est moins bien identifié que si l’on présentait tout autre type d’objets.
b) Identification d’un élément dans son contexte global/isolé traitement configural pour les visages : imagerie fonctionnelle cérébrale (activation d’une zone cérébrale pour le traitement des visages) Les patients avec lésions ont des problèmes pour traiter objet/visage
Travail à partir du texte de Gigla, T. (2003). La reconnaissance des visages par les nourrissons, Médecines et Enfance
Thématique générale : les bébés font-ils une distinction précoce entre les objets (monde inanimé) et les personnes (monde animé) ?
CHEZ L’ADULTE…
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Le cerveau traite-t-il différemment les visages et les autres objets ?
Approche innéiste/modulaire : modules déterminés par histoire évolutive, localisation cérébrale privilégiée préexistant à l’expérience
Ou Spécialisation liée aux apprentissages
Travail à partir du texte de Gigla, T. (2003). La reconnaissance des visages par les nourrissons, Médecines et Enfance
Thématique générale : les bébés font-ils une distinction précoce entre les objets (monde inanimé) et les personnes (monde animé) ?
CHEZ LE NOUVEAU-NÉ…
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Quels résultats appuient l’hypothèse de mécanismes innés d’orientation privilégiée de l’attention des visages chez les bébés ?
Les nouveau-nés préfèrent-ils les visages aux autres objets ?
Expérience visuelle des nouveau-nés : 30cm, couleur,
Avant la naissance : expérience visuelle pauvre, pas de mouvement, pas de couleurs différentes
Expérience auditive : Voix maternelle
a) expérience qui appuie l’hypothèse de mécanismes innés
- visages schématiques : nouveau-né ont une préférence pour une organisation du visage puis à 5-6 semaines : pas de préférence puis à 10 semaines à nouveau une préférence
»> Hypothèse de MORTON et JOHNSON 1991 pour expliquer cette évolution : 2 mécanismes successifs :
1) Au début le nouveau-né a un mécanisme CONFIG : sous-cortical : La perception des visages se fait globalement
2) le bébé de 10 semaines a un mécanisme CONLERN : cortical : la perception est plus plus précise : yeux…
- A 5-6 semaines : transition entre les 2 mécanismes d’où échec : il y a une réorganisation corticale
b) Autre hypothèse : différent du précablage : expérience de TURATI et al 2002.
Travail à partir du texte de Gigla, T. (2003). La reconnaissance des visages par les nourrissons, Médecines et Enfance
Thématique générale : les bébés font-ils une distinction précoce entre les objets (monde inanimé) et les personnes (monde animé) ?
CHEZ LE NOUVEAU-NÉ…
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Que retenez-vous de l’expérience de Turati et al. (2002) ?
Le bébé s’oriente vers les visages car il a une préférence pour stimulation ayant beaucoup d’éléments dans la partie supérieure
Cette hypothèse est confirmée par CASSIA et al 2004 : stimulation proche visage DONC visage :
-> présenté dans le quotidien
-> toujours à la bonne distance
-> en mouvement contrasté assez complexe pour attirer attention
-> stimulation de plusieurs modalités sensorielles : visuel, auditif, contact
Travail à partir du texte de Gigla, T. (2003). La reconnaissance des visages par les nourrissons, Médecines et Enfance
Thématique générale : les bébés font-ils une distinction précoce entre les objets (monde inanimé) et les personnes (monde animé) ?
CHEZ LE NOUVEAU-NÉ…
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Les capacités de traitement des visages s’affinent-elles vers 2 mois ?
Le traitement des éléments internes du visage augmente avec l’âge ex préférence visage mère/autre femme.
Travail à partir du texte de Gigla, T. (2003). La reconnaissance des visages par les nourrissons, Médecines et Enfance
Thématique générale : les bébés font-ils une distinction précoce entre les objets (monde inanimé) et les personnes (monde animé) ?
CHEZ LE NOUVEAU-NÉ…
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Comment sait-on que l’expérience avec les visages durant la 1ere année améliore les représentations cérébrales ?
-> effet d’espèce dès 9 mois : À 6 mois les bébés discriminent les visages de différents singes. Cette capacité n’existe plus à 9 mois
-> effet d’ethnie : (vers 28 mois) : les bébés discriminent 2 individus asiatiques/africains, ensuite perte de cette capacité. (Comme pour les sons du langage)
QUELS SONT LES PROCESSUS SOUS JACENTS A CES RESULTATS ?
-> maturation des réseaux neuronaux en interaction avec l’expérience
Position de GIGLA : existence d’effets liés à l’expérience mais possibilité de dispositions innées d’orientation vers les visages et affinement de ces capacités.
