cours11 examen final Flashcards
quest ce que la reaction sociale
La délinquance est le produit de l’action et de la réaction de l’entourage du jeune.
Le délinquant voudra s’identifier à la réaction d’une personne.
ex : le fait qu’on le traite de delinquant, il me traite de mm alors je vais leur montrer cest quoi un delinquant (ca leur donne raison)
quest ce que la théorie de la déviance secondaire (Lemert, 1951) (3)
- Tous les comportements sont le résultat des interactions entre une personne et son groupe de référence.
- La déviance primaire est normale.
- La déviance secondaire est induite par les réactions à la déviance primaire (dans la normalité ca devrait arreter, mais ils vonyt se faire juger trop rapidement par les gens, cest de la deviance qui persiste pcq je me suis fait pointé du doigts, je l’intériorise, en realité, il aurait fallu le laisser arreter naturellement)
quest ce que la théorie de l’étiquetage (Becker, 1963) (3)
- La personne construit son identité à travers les interactions sociales.
- Un délinquant est un délinquant s’il se voit ainsi et s’il est vu ainsi. (lorsque le jeune est etiquetter, le jeune va avoir tendance a se l’approprier, intériorisé l’etiquetage qu’on lui a donné. OPINIION DES AUTRES +++ IMPORTANTS (IL SE FORGE PAR CE QUON LUI RENVOIT DE LUI MEME))
- Un comportement déviant ne l’est pas nécessairement toujours… (pcq les lois changent ex : marijuana). tres facile detiqueter qqun mais difficile denlever cette etiquette (donc FAUT PAS ETIQUETER NEGATIVEMENT)
quest ce que la théorie de La dramatisation du Mal (Tannenbaum, 1938) (3)
- La plupart des gestes délinquants sont faits par des jeunes normaux.
- Par la répétition de gestes sur le long terme, on finira par contre à l’identifier aux actes commis.
- Cette identification change la perception du jeune qu’il a de lui-même. - Amène les gens à faire des prédictions sur les comportements…qui vont s’autoréaliser. (on accepte le compt une fois, deuxieme fois fais attention, pis a un moment, le jeune va vouloir sortir, pis juste avant quil sorte, les parents disent : tu vas aller voler?, jleune va prob aller voler a cause de cette exclamation la)
selon La dramatisation du Mal (Tannenbaum, 1938), comment on etiquette la personne comme Écart de comportement isolé VS répétition du comportement (2)
Selon la dernière théorie, un étiquette n’est donc pas posé dès le premier acte déviant.
- D’abord une erreur de parcours
- Puis l’opinion et la façon d’intervenir change suite à la répétition du geste
quest ce que la théorie du stigma social (Goffman, 1963) (3)
- Dans ses interactions, un individu joue un rôle et veut fournir une certaine image de lui-même à son entourage. (difficulté à jongler avec pls identités, on interagit pas tous pareil avec diff personne, dangereux pcq a un moment une des deux images va prendre le dessus, souvent cest celle renforcée par ses amis, en tant que parents, il faut accpeter que lenfant fasse erreur pour pas que commence a en faire plein avec ses amis)
- Les crimes commis sont une façon de renforcer notre rôle.
- Précurseur du concept d’institutionnalisation. (en prison, on met les delinquant, on sattend a ce que les delinquants interagissent dune certaine maniere, donc souvent prisonnier va aller vers delinquance pour etre accepter des autres prisonniers, pis de lautre coté on le renforce pas vrm)
pourquoi adopte la déilinquance (2)
- Il y a l’adoption de la délinquance par l’étiquetage…
- Mais également l’adoption de la délinquance par désir de plaire et par quête d’identité
quest ce que la théorie du « devenir déviant » (Matza, 1969) (5)
- Un jeune identifié comme délinquant aura tendance à se joindre à d’autres jeunes dans la même situation.
- Le délinquant n’a pas rejeté les normes sociales. (pendant un certain temps il va les neutraliser, les eviter, se donner certaine spermissions dans circonstances précises pour devenir deviant)
- C’est souvent l’arrestation qui cristallisera le jeune dans son mode de vie.
- le jeune adopte certains comportements, mais tentent de les cacher à la population générale.
- Les délits peuvent demeurer de faible gravité pendant une bonne période.
ex : voler du pain pour aider sa mere, va continuer pendant longtemps et ne sera pas plus grave, mais si on le pogne, il va devoir choisir son mode de vie. etre delinquant ou tnter de se racheter, de redevenir fonctionnel aux yeus de tous MAIS le prob cest la reaction des gens. on lecrase de + en +, pis souvent le jeune va continuer a etre delinquant
quest ce que la théorie du « devenir déviant » (Matza, 1969) (5)
- Un jeune identifié comme délinquant aura tendance à se joindre à d’autres jeunes dans la même situation.
- Le délinquant n’a pas rejeté les normes sociales. (pendant un certain temps il va les neutraliser, les eviter, se donner certaine spermissions dans circonstances précises pour devenir deviant)
- C’est souvent l’arrestation qui cristallisera le jeune dans son mode de vie.
- le jeune adopte certains comportements, mais tentent de les cacher à la population générale.
- Les délits peuvent demeurer de faible gravité pendant une bonne période.
ex : voler du pain pour aider sa mere, va continuer pendant longtemps et ne sera pas plus grave, mais si on le pogne, il va devoir choisir son mode de vie. etre delinquant ou tnter de se racheter, de redevenir fonctionnel aux yeus de tous MAIS le prob cest la reaction des gens. on lecrase de + en +, pis souvent le jeune va continuer a etre delinquant
quest ce que la théorie de La non-intervention radicale (Schur, 1973) (3)
- La délinquance est fréquente à l’adolescence, peu importe la classe sociale.
- L’identification et l’étiquetage mènent à l’aggravation de la délinquance.
- Le simple fait de passer dans le système est dangereux.
selon la théorie de La non-intervention radicale (Schur, 1973), quels sont les 3 mécanismes de l’étiquetage
- Stéréotypage (on a des stéréotypes envers certains jeunes, minorités, on prend des decisions selon nos préjugés. ex : qqun de noir qui conduit une voiture luxueuse qui se fait arreter, pcq les policiers ont des préjugés)
- L’interprétation rétrospective (systeme judiciaire est coupable de ca, on evalue qqun, pis on recule tres loin dans la vie d ela personne dans le seul but de trouver un signal dalarme qui pourrait alourdir le cas du jeune, ou généraliser à tous les jeunes)
- La négociation (la recommendation quon fait au jeune, souvent on laccepte, mais nont pas tjrs raison (ou tort), mais ca envoit au jeune le message qu’il doit rester enfermer, ca laide pas a aller mieux, a se rediriger)
quest ce que la théorie du blâme réintégrateur (Braithwaite, 1989)
Les sociétés plus délinquantes que les autres n’ont pas su utiliser la honte de manière efficace pour condamner un acte.
Lorsqu’un jeune commet un acte délinquant, le blâme doit être utilisé.
- Désintégrateur (diriger envers la personne, on desaprouve l’entièreté de la personne, on le confirme encore + dans cette image la)
- Réintégrateur (on desaprouve de maniere claire le comportement et non la personne, cest ce quil a fait qui est problematique. on evite de letiqueter)
Rendre un comportement honteux, c’est éviter qu’il soit reproduit. Pour être efficace, le système de justice devrait donc condamner le comportement
quest ce que la théorie de L’amplification de la déviance (Smith et Paternoster, 1990)
L’étiquetage officiel, par le système de justice, contribue au développement et à l’amplification de la délinquance.
- Par contre, un jeune peut résister à l’étiquetage en désamorçant le sentiment négatif des gens face à lui.
doit-on utiliser les Autorité officielle et justice (facteurs criminogènes?) (4)
Dans les quatre théories précédentes, la réponse pénale peut avoir pour effet de confirmer l’identité délinquante.
- Alors qu’il s’agit de la façon utiliser par la société pour combattre la criminalité, elle pourrait donc y contribuer.
- Alors que le contrôle social doit prévenir la délinquance, la réaction sociale peut venir l’aggraver.
- Ainsi, il faut privilégier l’utilisation de programmes ou la justice alternative plutôt que le passage devant un juge et la détention.
quest ce que les activités routinières et l’occasion criminelle et quand est ce quelle se présente (3)
Cette théorie avance que le crime est situationnel à ce qui se passe dans la vie de tous les jours.
l’occasion criminelle se présente lorsque :
- Un délinquant est motivé
- Une cible est intéressante
- Absence d’une figure de contrôle