cours 9 Flashcards
L’âge d’or de la diplomatie canadienne
Louis St-Laurent avait été nommé en 1946 Secrétaire d’état aux affaire extérieures, nouveauté, car avant c’était une branche du Premier Ministre Canadien. Il y a le début de l’internationalisme canadien qui est mis en place par St-Laurent et Pearson avec le Canada beaucoup plus actif pour contribuer à la paix du monde qui est plus propice pour la prospérité économique. L’activisme s’illustre par le multilatérisme avec entre autres l’ONU
La Guerre de Corée
qui devient l’engagement le plus important pour le Canada est on implication dans la guerre de Corée. Le Canada membre du camps Occident, il intervient dans la guerre qui débute le 25 juin 1950. On profite du boycott de l’ONU, pour passer la motion sous la direction des États-Unis. Pendant, le conflit Pearson va consacrer une partie de son énergie à tenter de calmer le ardeurs belliciste des États-Unis. Pearson voulait éviter que la Chine s’implique dans la guerre, donc il veut dissuader Washington de déposer une résolution qui condamne la Chine comme agresseur. Malgré son implication le Canada a une voit de modérateur dans les conflits. Pearson travaillera à l’organisation de négociation pour arriver à un cessez-le-feu. Finalement, c’est 22 000 soldats canadiens déployés sur la base du volontariat.
1953, mort de Staline
le Canada essaie d’ouvrir un dialogue avec l’Union Soviétique. En 1955, Pearson se rend à Moscou, il parle de livraison de grains à l’Union soviétique, il est l’un des premiers dirigeants occidentaux à se faire inviter à Moscou il est reçu par Nikita Khrouchtchev. Toutefois, il réalise que la mort de Staline ne « dégèle » pas la situation. Ce n’est pas mal vue pas USA, le Canada mène une politique différente, mais restes-en très bon terme et alliés à l’occident, membre de l’OTAN, etc.
1956
En 1956, une révolution populaire en Hongrie est matée militairement, le Canada accueille 40 000 réfugiés, il se forge une image de terre d’asile.
1956, la crise de Suez en juillet. La crise de Suez est déclenchée par l’attaque menée par la GB, France et Israël contre le président égyptien Nasser qui décide de nationaliser le Canal qui appartenait à GB et France. Cette agression est dénoncée par les États-Unis et pays asiatique/africain du Commonwealth. En privée, Saint-Laurent est furieux (sa rappel des politiques impérialistes/colonialisme, on trouve non justifiable.), toutefois publiquement il ne déclare simplement son regret de cette intervention. On ne comprend pas l’attitude de GB et France. Ainsi, Ottawa refuse de soutenir l’Angleterre, donc les conservateur vont accuser les libéraux de lâcher l’allié traditionnel qu’est la GB. Pearson s’affaire, cependant, à trouver une solution diplomatique pour sortir de la crise. Il propose la création d’une force d’interposition sous mandat de l’ONU pour séparer les belligérants. Adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies en novembre 1956, cette proposition canadienne donne naissance aux Casques bleus. En 1957, Pearson reçoit le Prix Nobel de la paix.
Pendant, la décennie suivante le gouvernement canadien prend part dans plusieurs missions de l’ONU.
1954, Canada participe à la commission internationale de contrôle au Vietnam. (C’est la libération de l’Indochine face à la France). Créée afin d’assurer la surveillance de la paix après la défaite de la France. Le Canada siégeait avec la Pologne communiste et l’Inde ce qui rend la situation difficile.
1960, au Congo.
1960, au Congo. Plus de 500 soldats canadiens sont envoyés dans la force onusienne, jusqu’en 1964. Ainsi, on observe un constante dans la participation Onusienne, malgré le changement de PM. C’est un pays qui sombrait dans le désordre, le dirigeant est proche des communismes et il sera tué par les services secrets belge et américain. L’ONU se tourne vers le Canada qui est francophone et n’a pas d’historique colonialisme avec l’Afrique à l’opposé des Français et Belges. L’objectif initial était d’envoyé 100 soldats, mais il y a une pression de la presse, ce qui montre l’adhérassions de la population à l’Internationalisme.
1964 à Chypre
1964 à Chypre qui est divisé en deux entre Turc et Grec. On joint les forces onusiennes le Canada envoie un bataillon d’infanterie. Les troupes Canadiennes demeurèrent à Chypre pendant 20 ans.
1957, le conservateur John Diefenbaker accède au pouvoir
1957, le conservateur John Diefenbaker accède au pouvoir, après une usure après 22 ans de pouvoir, on les trouve Hautains, détachée de la réalité. Diefenbaker ne change pas beaucoup les choses, mais les affaires extérieures sont son point faible, il commet plusieurs erreurs. Il est peu inspiré par les affaires internationales, il est peu éduqué sur le sujet. Il est suspicieux à l’égard de l’administration du MAE(car ils sont contaminer par l’esprit libéraux), donc il reprend le poste de secrétaire des affaires extérieures entre-autre dû à sa position conservateur. Parfois, il démontre un sentiment d’anti-américanisme, Diefenbaker a eu des relations houleuses avec les USA. En effet, il développe des suspicieux face au voisin. Il est anti-communiste primaire, les rouges c’est la mal incarnée. Comme plusieurs conservateurs il a une vision romantique pour la Grande-Bretagne, sa première mesure fut d’annoncer lors d’un voyage à Londres le redéploiement de 15 % du commerce avec les USA vers la Grande-Bretagne, sans-succès (dans les faits ce n’était pas réalisable). Pas de rupture avec l’ONU, mais affaires extérieures sont turbulentes.
Quoique soucieux de renforcer ses liens avec al Grande-Bretagne, il va tout de même s’opposer à certaines décisions.
système de préférences commerciales du Commonwealth
En 1960 et 1962, Diefenbaker critique le projet anglais d’adhérer à la communauté économique européenne, formé en 1957. En 1962, il réaffirme son opposition à cette actions et il va chercher le support de d’autre membre. En effet, il réclame de Londres le maintien du système de préférences commerciales du Commonwealth, sans succès, puisque Londres continuera de militer pour son adhésion à la CEE, jusqu’au refus de DE Gaulle en 1963.
le système d’apartheid
Question de l’Afrique du Sud, plusieurs gouvernements, dont le gouvernement Diefenbaker, dénoncent le système d’apartheid existant dans le pays.
En 1960, après s’être donné le statu de république, l’Afrique du Sud se voit dans l’obligation de présenter une nouvelle demande d’adhésion au Commonwealth. Si la GB estimait qu’il convenait d’approuver automatiquement la demande sud-africaine, les dirigeants canadiens s’inquiétaient de la division du Commonwealth sur cette question. (L’inde était république dans le Commonwealth.). Il y a friction entre GB et certain dominion qui dénonce et bloque)
Diefenbaker héritera, mais il se rangea du côté asiatique et africain en bloquant et dénonçant l’adhésion. L’Afrique retira sa candidature et critiqua Diefenbaker. Probablement le meilleur coup international de Diefenbaker, ca donne une bonne image du Canada en défendant les droits et libertés à l’international.
Avec JF Kennedy, les relations canado-américaines
Avec JF Kennedy, les relations canado-américaines connaissent des frictions. Diefenbaker refuse notamment d’appliquer l’embargo américain contre Cuba et laisse les filiales canadiennes d’entreprises américaine continuer à commercer avec des pays communistes comme la Chine et Cuba, pays qui étaient interdits aux sociétés américaines. Les deux hommes n’ont pratiquement aucun point commun. Le PM refuse de donner à une lois américaine des porté extraterritorial et il voyait le risque Malgré on anti-communiste Diefenbaker craint des débordement américains.
1962, crise de missile
1962, crise de missile nous sommes à deux doigt d’une guerre opposant USA vs URSS, après que la Russie est armée Cuba de missile. USA va demander que les forces aériennes de NORAD soient placées en alerte maximale, Diefenbaker hésite à intervenir, mettant en doute les preuves de missiles qu’a les USA. Il demande à l’ONU de mener une enquête sur les emplacements des missiles.
Pire encore, face aux atermoiements du PM, le ministre de la Défense Douglas Harkness consent secrètement à placer les forces du Canada au Norad en alerte maximal. Même si Diefenbaker finit par donner l’ordre de mobiliser les troupes nécessaires, ses hésitations somme le trouble dans son gouvernement et à Washington, la population est en colère. Pour Washington, Ottawa n’a pas été à la hauteur.
Crise des missiles Bomarc,
après celle de Cuba est le coup fatal pour Diefenbaker. Le NORAD qui était signée en 1958, ancêtre du PJBD on met en commun les forces aériennes pour surveiller et protéger le ciel. Hors dans le cadre du NORAD, il était prévu plusieurs arrangements tel que des lignes de radars pour les missiles dans le Canada due à la menace soviétique. Ainsi, divers arrangements concernaient le déploiement de missile BOMARC, équipés d’une ogive nucléaire, dans les stations de la DEW LINE DISTANT EARLY WARNING, financer entièrement par les USA et, donc refus de visiter les installations pour les Canadiens. Spécificité de ces missiles est que leur tête est nucléaire. Puis, l’installation de ces missiles créent des tensions dans le cabinet. Harkness veut honorer les engagements, mais Green qui s’oppose à la présence de nucléaire sur le sol canadien.
Le problème le PM hésite, il pèse le pour et le contre. La pression de l’administration américaine et force canadiennes, Diefenbaker n’arrive pas à e décider il dit ne pas savoir que les missiles allaient être nucléaire. Le département d’état américain publie le 30 janviers 1963 un communiqué pour contredire point par point, une allocution du premier ministre à la chambre des Communes. Écœuré, Harkness démissionne le 4 février, le lendemain le gouvernement est renversé par vote de non-confiance à la chambre.
Lester Pearson est élu
Lester Pearson est élu, retour des libéraux, sa position sur les missiles est contre celle des libéraux qui sont contre le nucléaire, il dit qu’ils vont accueillir les missile BOMARK et il va par la suite négocier avec les USA pour sortir le nucléaire. De ce fait, le Canada a été une puissance semi-nucléaire, il héberge du matériel, mais il ne produit pas. Probablement le seul pays qui refuse volontairement d’être une puissance nucléaire
Relation économique avec USA : Pearson
Relation économique avec USA : Pearson veut renouer les ponts avec les USA et Kennedy, certes le poids des USA (économie, cultures) qui amènent des interrogations, le Canada est-il trop dépendant. Pearson et son ministre de l’Économie Walter Gordon sont inquiet de la croissance des investissements américains au Canada (81% des inv. Étranger son américain en 1967). On met des mesures pour promouvoir la culture Canadienne et limiter celle américaine
En 1963, on met des mesures pour limiter l’investissement étranger, pas un succès car ça provoque la colère du milieu d’affaire canadien et américains qui sont bloquer dans leur commerce.