cours 13 Flashcards
L’émergence du Québec sur la scène internationale et la doctrine Gérin-Lajoie
1966 élections du gouvernement national de Daniel Johnson, il est un actif promoteur de la politique international, il ne déroge pas de la tradition libéral et politique Gérin-Lajoie
Johnson annonce qu’il se désolidarise de l’accord culturel, car il considère la place du Québec pas assez importante.
Johnson continue aussi d’ouvrir des bureaux québécois à l’international.
Expo 67 fait parler de la ville à l’internationale, on vente la modernité de la ville.
Visite du général de Gaulle
Visite du général de Gaulle est un accélérateur sur/pour la place du Québec dans le monde, de Gaulle connaissait personnellement le maire de Montréal Jean Drapeau. Au début de Gaulle est réticent d’aller à l’expo, car il le voit comme un pays créer sur la défaite de la France. Celui-ci va venir, mais il ne veut pas venir voir Ottawa en premier, il s’intéresse surtout au Québec. Ainsi, il part en bateau arrive à Québec fait son séjour là-bas. Grande réception pour celui-ci, la population QC embarque elle aussi, souper offert par Johnson au Château Frontenac. De Gaulle vient de participer dans la libération de colonie d’Afrique, donc dans son point de vue le Québec est en train de prendre son indépendance et s’affirmer sur la scène internationale. Il est admiratif de la survie de la francophone en Amérique dans le mouvement d’émancipation, il croit que le Québec est le prochain.
Ambiance de carnaval/ carmes, il y a des foules dans les rues le long du chemin du roi avec plusieurs arrêts où il fait à chaque fois des discours qui sont de plus en plus affirmer, de conviction. Les foules sont folles, la province met en grand drapeau, fleur de lys partout, arc.
De Gaulle discours, il parle d’affranchissement, de libération. Le message n’est pas nouveau.
Conséquence de cette visite, il y a une critique unanime de la presse internationale, même celle française. C’est perçu comme une ingérence des affaires internes, Ottawa est en colère, Pearson tente de jouer la carte calme et diplomatique. Pearson l’invite à Ottawa pour parler. Toutefois, de Gaulle admet qu’il écourte son séjour et quitte le pays par avion sans aller à Ottawa.
Rentrer à Paris de Gaulle
Rentrer à Paris de Gaulle convoque des rencontres avec ses cabinets pour accélérer la coopération franco-québécoise. Le 14 septembre les accords Peyrefitte-Johnson sont signés. Le gouvernement Français annonce qu’il va multiplier par 8 sa contribution monétaire dans la coopération avec le Québec.
Ensuite, il y a une volonté de raffermir les liens entre autorité française et québécoise, qu’elles soient directes et privilégié. C’est-à-dire sans passer par Ottawa, le consulat général du Québec à Paris parle directement avec le quai dorset il ne passe pas par Ottawa, exception pour le Québec par dans d’autre pays.
La volonté de de Gaulle d’instaurer des rencontres régulières. Peyrefitte demande si on veut des rencontres à chaque année, mais Johnson refuse ça va un peu trop vite.
CONFEMEN,
crée en 1960 au moment des décolonisations africaines. Le Québec se fait offrir de joindre la conférence des ministres de l’éducation des pays francophones. Février 1968, le Québec est invité à siéger, aucun représentant fédéral n’est présent pour la seule fois de l’Histoire le Québec se présente seul sans le fédérale.
Toutefois, en 1969 autre réunion de la CONFEMEN suite à des pressions Ottawa est invitée, donc on envoie une délégation Canada-Québec. Mais le Québec rentrera dans la ACCT (style de Commonwealth francophone). France va mettre encore la pression et soutenir le Québec pour qu’il puisse à être sans être un gouvernement souverain avec la création de l’article 3.3.
Bilan des années 60:
marqué par l’émergence du Québec sur la scène internationale entre autres un héritage de la révolution tranquille.
Robert Bourassa, élu en 1970
Parti libérale fait sa purge après la visite de Gaulle, car le parti est fédéraliste. Priorité dans les relations internationales, moins en couleur mais continu le développement tel qu’en ouvrant des bureaux commerciaux et délégation en Asie. Volonté de développée des liens avec le Moyen-Orient et le Liban. Coopération avec la Belgique, coopération avec l’Afrique. Dans la foulé de la loi 22, signature des accords Bourassa-Chirac en 1974. Loi 22 fait la langue française officiel au Québec, on veut par exemple franciser les usines, les termes techniques.
1976 élections du parti québécois
1976 élections du parti québécois, continuité de la para diplomatie : ouverture de délégation et bureaux commerciaux en Amérique latine. Volonté de se développer des liens avec la Chine. Coopération en Europe, Afrique. Généralisation d’accords pour l’exemption des droits de scolarité majorés (bourse réserver pour des étudiants internationaux)
Mai 1980,
remier référendum. Ainsi, il y a de la proto diplomatie aller chercher du support extérieur pour prendre l’indépendance. Ce que fait le gouvernement de Lévesque. Deux objectifs si le référendum l’emporte qu’elle sera l’opinion française et américaine. Perception de Washington de manière négative on ne veut pas de sécession (rappel leur histoire) et ceux-ci appel Lévesque comme le Castro du Nord. La France 1977 visite de Lévesque à Paris, cela marque une accélération de la coopération, finale on instaure la visite alterner des premier ministre Québec/France et Giscard d’Estaing soutien le Québec contre Ottawa, la France garde ses liens spéciaux avec le Québec politique « non-ingérence, non-indifférence ». On ne s’ingère pas dans la politique interne, mais il reste sensible au résultat, elle reconnaitrait le Québec si victoire du Oui.
Aux États-Unis plus tendue on veut plutôt faire du dommage control, pour assurer les usa, l’indépendance n’allait pas mettre le commerce en danger.
Bras de fer avec Ottawa sur la Francophonie,
Bras de fer avec Ottawa sur la Francophonie, le fédéral lutte contre la para diplomatie, une fois créer l’ACCCT, plusieurs dirigeant africains veulent organiser des sommets de chefs d’état de la francophonie. Trudeau est pour met représentation du fédéral, ce qui ne plait pas au Québec, il y aura débat longtemps. 1978 France boycott car le Québec n’a pas sa place. 1984, Premier ministre de la France annonce que le sommet sera en France avec au sans canada/Québec. Brian Mulroney à une ouverture et débloque la question de la place du Québec et la francophonie. 1986, premier ministre du Québec participe au premier sommet de la francophonie
Référendum de 1995,
victoire du PQ en 1994, Mulroney perd sa tête avec lac Mitch, conférence de c Charlottetown, échec de rétablir la constitution. Jacques Parizeau vue faire un deuxième référendum etv s’assurer d’un soutien, reconnaissance internationale, donc même chose enjeux France/USA. France réaffirme son support, la France fait campagne auprès de ses partenaires africains.
France a été, un gros support, liens directs et privilégier entre les deux, la politique Gérin-Lajoie n’est jamais remis en cause on laisse la paradiplomatie québécoise circuler. Québec est précurseur au niveau de paradiplomatie, mais de nos jours il est dépassé.