cours 12 Flashcards
Trois opinions qui façonnent le Canada dans la guerre froide
Trois opinions qui façonnent le Canada dans la guerre froide : continentalisme, nationaliste et internationalisme.
L’émergence du Québec Sur la scène internationale et la doctrine Gérin-lajoie
Paradiplomatie du Québec désigne les activités internationales des entités subnationales. Par opposition < États souevrain, donc provinces canadiennes qui ont des activités internationales, même chose pour les États américains. Différent degré de paradiplomatie tel qu’identitaire par des gouvernements minoritaires. Paradiplomatie le fait d’un état minoritaire dans un ensemble fédératif plus large. Entre dans l’idée de rechercher et besoin de ressources à l’étranger, promotion de liens culturels, reconnaissance de la culture.
Protodiplomatie s’inscrit dans une quête d’indépendance, définition d’objectif ¸
1874 agents d’immigration à Londres
1871 mises en place de l’abbé Chartier qui vante les mérites des cantons de l’est pour attirer une immigration américaine
28 septembre 1882 nomination d’Hector Fabre
28 septembre 1882 nomination d’Hector Fabre comme agent générale de la province de Québec à Paris, sans aucun titre officiel. Six mois plus tard il a pour mission de représenter aussi le Canada. Ses mandats:
Favoriser les échanges économiques et culturels
Négocier les emprunts auprès de grande banques parisiennes pour le gouvernement du Québec
Recruter des immigrants francophones, de France et de belgique
Jusqu’à sa mort en 1910. Mais le gouvernement ne trouva pas nécessaire de remplacer celui-ci, mais Ottawa oui, donc il y aura Philippe Roy qui représente seulement le fédéral.
1911 gouvernements créent à Londres une agence générale du Québec, 1915 c’est à Bruxelles et à New-York.
Élection de Lesage et la révolution tranquille
Élection de Lesage et la révolution tranquille marque la genèse du gouvernement. En 1960 marque le début de la Révolution tranquille. Période caractérisée par une volonté d’ouverture sur le monde. Pour mener ses réformes le gouvernement s’inspire de ce qui se fait à l’étranger. Symbole de cela, la commission Parent, chargée de la réformes des institutions scolaires, effectue des visites en Amérique et en Europe, et se rend même en Union Soviétique. Il y a l’idée de reprendre le retard du Québec par rapport au Canada causé par les années Duplessis. De grand secteur social sont en arrière au mains des religieux. L’états était peu interventionniste. L’élection des libéraux et Lesage marque le triomphe de gouvernement de providence. Grande réforme : réforme des écoles avec commission parent, réforme de l’électricité avec hydroquébec nationalisation, système de santé, émergence du Québec sur la scène internationale.
Les mouvements de décolonisation africains
internationale.
Les mouvements de décolonisation africains inspirent également les groupes nationalistes au Québec, < l’image du FLQ qui noue des liens et reprend les thèmes du FLN algérien, des black panthers aux États-Unis.
Sentiment que le Fédéral ne représente pas bien le Québec et sa spécificité. En plus du besoin de réforme amène cette volonté à se tourner vers l’extérieur
Deuxième guerre mondiale met vrm en place le gouvernement de providence au fédéral.
1964, Jean Lesage crée la Caisse de dépôts et placements, en se basant sur le modèle Français
Durant, les années 1950 Duplessis ne manifeste pas d’intérêt pour les relations internationales
Relation franco-québécoise sont souvent appelé directe et privilégier.
George-Émile Laplame est un gros joueur dans le gouvernement celui-ci veut s’inspirer du ministère de la culture en France, il rêve d’instaurer au Québec un ministre des Affaires culturelles. Il rencontre André Malraux. Ensuite, Lapalme fait valoir la volonté du Québec d’ouvrir une maison du Québec à Paris. Il reçoit un accueil positif face à l’ouverture d’une maison du qc, Malraux et Gaulle sont positif.
Ainsi, ouverture de la délégation générale du Québec à Paris le 5 octobre 1961. Il y en aura aussi une qui sera ouverte à New-York.
Le gouvernement du Québec considère cette délégation comme le travail de réforme et de modernisation entrepris dans la province. À Paris Lesage affirme être au centre des préoccupation de l’Europe.
Dans le domaine de l’éducation Paul Gérin-Lajoie
Dans le domaine de l’éducation Paul Gérin-Lajoie souhaite collaborer avec la France pour mettre en place son programme de réforme.
1963 il négocie les accords administratifs avec l’ÉN A et l’ASTEF pour instaurer des échanges de fonctionnaires et de techniciens avec la France. Une dizaine de fonctionnaires québécois partent < l’étranger faire des stages dans
En juillet 1964, ambassadeur de France à Ottawa lui soumet l’idée de signer une entente avec le gouvernement français afin d’accélérer cette coopération naissante. Entente signer directement entre les ministères de l’éducation, car il voit de bon œil les réformes du Québec.
Ottawa donne son accord de principe, pour que cette entente soit intégrée dans un accord franco-canadien où celui franco-Québec serait un chapitre, une composante dans un accord plus grand dans la tête d’Ottawa. Il ne voit pas le vice futur possible, le dérapage, mais le Québec ne joue pas dans le dos d’Ottawa celle-ci le sait. Les choses vont s’accélérer entre France et Québec décident de signer une entente bilatérale chose inédite en droit internationale.
Novembre 1964 Lesage visite de manière officielle à Paris
Novembre 1964 Lesage visite de manière officielle à Paris il est reçu avec tous les honneurs d’un haut fonctionnaire. Il commence à tasser l’ambassadeur québécois. Lesage demande à De Gaulle qu’il y est une cérémonie de signature entre Gérin-Lajoie et ministre Français Fouchet, ce que De Gaulle accepte. On assiste à la signature du 27 février 1965 à Paris l’entente franco-québec de coopération dans le domaine de l’éducation. Avec Lajoie et Fouchet. Pas accord, mais entente, car réserver au État souverain. Ottawa est fâché et les diplomate Français qui sont conservateur (quai dorsais). Texte du 27 février est un texte fondateur. Cette entente marque le début de sa paradiplomatie, premier accord international signé par le québec. Polymique au parlement sur le fait que le Québec s’est avancé sur la scène internationale sans l’accord des autorités fédérales, une thèse démentie aux Communes par Paul Martin qui affirme avoir donné son accord aux négociations.
12 avril 1965, Doctrine Gérin-Lajoie:
12 avril 1965, Doctrine Gérin-Lajoie: reconnaissance par des partenaires étranger. Soit le prolongement externe des compétence interne. L’homme affirme que le Fédérale n’a pas l’exclusivité international c’est marqué nulle part dans la constitution rien n’interdit aux provinces de s’engager sur la scène internationale. Cette déclaration marque les bases juridiques de la paradiplomatie québécoise. Cette doctrine n’a jamais remise en question par le gouvernement québécois.
La France réserve un traitement diplomatique hors norme pour le Québec. Drame à Ottawa. Novembre 1965 signature d’une entente sur la culturel franco-québécoise, mais Ottawa prévoit le coup, elle exige que l’Accord franco-canadien soit signé avant et que l’entente franco-québécois mentionne celle avec le Canada. Seule le premier sera respecté, on ne mentionne pas le Canada.
1966 le parti de l’Union nationale reprend le pouvoir
966 le parti de l’Union nationale reprend le pouvoir, contre toute attente les libéraux perdent. Ensuite, le gouvernement québécois veut agrandir ces ententes. Par exemple, ouverture du Gouvernement de Daniel Johnson tente de négocier des ententes avec la Tunisie. Toutefois, le fédérale arrive avant et fait laisser savoir que si la Tunisie signe un accord, l’aide au développement sera coupé.
En mai 1967, Johnson annonce qu’il désolidarise l’accord culturel Belgique-Canada.
1967 accorde de coopération avec le Rwanda en matière de coopération universitaire.
14 avril 1967 création du ministre des Affaires intergouvernementales ancêtre du MRI, responsable des relations internationales au sein du gouvernement québécois.
Le Québec se dote de réseaux de bureau et délégations < l’étranger (New-York, paris, Londres, milan).
Expo 67, c’est le monde qui vient visiter le Québec, volonté de s’ouvrir on invente le monde. Du 28 avril au 27 octobre 1967 l’expo accueille plus de 50 millions de visiteurs. Couverture médiatique internationale.