Cours 7 - Élaboration d’un questionnaire Flashcards

1
Q

Définition d’opérationnaliser un construit. (3 éléments)

A

Traduire le construit en comportements observables, le rendre quantifiable, évaluable. Impliquera de faire un état des connaissances sur le construit et sur son évaluation. Développer un nouvel instrument de mesure devrait répondre à un besoin particulier, à une lacune observée.

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2
Q

Il faut consulter la documentation scientifique pour connaître … (4)

A
  1. Les concepts et variables connexes ou liés.
  2. Les instruments de mesure du construit et les contraintes d’évaluation.
  3. Les comportements permettant d’observer le construit.
  4. Les définitions actuelles du construit et les dimensions reconnues.
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3
Q

Définir le construit, c’est aussi _______ le construit et __________ le construit.

A

Spécifier le construit et délimiter le construit.

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4
Q

Spécifier le construit, c’est considérer … (2)

A
  1. Considérer la clientèle visée
  2. Considérer le contexte d’utilisation
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5
Q

En consultant la documentation scientifique, déterminer les variables liées établie … (2)

A
  1. Établir le lien entre le construit et diverses concepts liées
  2. Établir le lien entre le construit et d’autres variables.
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6
Q

Quand est-ce qu’on dresse un réseau nomologique?

A

Quand on établie le lien entre le construit et diverses concepts liés.

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7
Q

Définition d’une dimension.

A

Une dimension est une composante du construit, une sous-catégorie de celui-ci.

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8
Q

Une dimension est ____ concrète que le construit.

A

plus concrète

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9
Q

Une dimension est plus _______ que l’indicateur.

A

plus abstraite

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10
Q

Vrai ou Faux. Lorsqu’on a identifier les dimensions de notre construit, il n’est pas nécessaire que le définir comme on a fait avec le construit.

A

Faux. Il importe de les définir de façon concrète.

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11
Q

Définition d’un indicateur.

A

Manifestation concrète d’un construit, il est supposé signaler sa présence.

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12
Q

Même s’il est pertinent, un indicateur peut … (2)

A
  1. Signaler la présence d’un construit en son absence.
  2. Signaler l’absence du construit en sa présence.

Il est donc toujours imparfait!

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13
Q

Puisque l’indicateur est imparfait, il importe donc de … (2)

A
  1. D’inclure plusieurs indicateurs pour évaluer un construit.
  2. De considérer la qualité de la mesure.
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14
Q

Diverses contraintes sont à prendre en compte lorsque vient le temps de générer les items. Lesquelles? (2)

A
  1. La population à laquelle on s’adresse.
  2. Les contraintes pratiques de l’étude
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15
Q

Pour assurer la validité ________, les items sont générés en fonction de la définition opérationnelle du construit.

A

la validité de contenu

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16
Q

Pourquoi fait-on un tableau de spécifications?

A

Pour guider l’élaboration.

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17
Q

La redondance de contenu est à la base de la …

A

de la cohérence interne.

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18
Q

Qu’est-ce que la redondance de contenu?

A

Répétition du contenu véhiculé par un item à d’autres items (idées similaires exprimées en d’autres mots).

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19
Q

Vrai ou Faux. Il faut éliminer la redondance de contenu, elle n’est pas nécessaire.

A

Faux! Elle est à la base de la cohérence interne. Le contenu commun des items s’additionne.

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20
Q

Puisque le contenu commun des items s’additionne, le score total au test sera… (2)

A
  1. Moins entaché d’erreurs
  2. Plus susceptible de fournir un indice valide du construit
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21
Q

Quel sorte de redondance doit-on éliminer?

A

La redondance inutile (grammaticale)

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22
Q

Il est impossible de spécifier le nombre d’items qui devrait être inclus, mais plus on aura d’items… (2)

A
  1. Plus on pourra être sélectif
  2. Plus la cohérence interne sera grande.
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23
Q

De quoi dépend le nombre d’items? (2)

A
  1. Du construit à mesurer
  2. Du format de mesure choisi
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24
Q

Vrai ou Faux. Plus le format de mesure permet une grande variabilité dans les scores, plus le nombre d’items requis est grand.

A

Faux. Plus le nombre d’items requis est petit.

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25
Q

Quelles sont les 2 caractéristiques des bons items?

A
  1. Clarté (transparence du construit)
  2. Concision (simplicité de lecture)
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26
Q

Que signifie la clarté des items?

A

Il faut éviter les items pour lesquels il subsiste un doute quant au sens en fonction du construit. Il faut reformuler les items peu clairs ou les éliminer.

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27
Q

Que signifie la concision des items?

A

Les phrases plus complexes grammaticalement sont plus difficiles à comprendre et nécessitent un plus haut niveau de lecture. Les phrases brèves peuvent aussi contenir des mots compliqués.

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28
Q

Quelles sont les 3 choses qu’il faut éviter pour faire de bons items?

A
  1. Éviter les items à négations multiples
  2. Éviter les items à plusieurs idées principales
  3. Éviter les items discriminatoires (liés au sexe, culture, ethnie…)
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29
Q

Qu’est-ce que la discriminance?

A

La discriminance est une caractéristique recherchée. Elle signifie qu’un item permet de bien distinguer les individus qui présentent le trait évalué ce ceux qui ne le présentent pas.

30
Q

Pour éviter les biais de réponse ou les contrôler, on … (5)

A
  1. Formule les items d’une certaine façon
  2. Privilégie certains formats de mesure
  3. Inclut des items particuliers
  4. Inclut des échelles de validité de profil
  5. Inclut des indices administratifs
31
Q

Quels sont les principaux biais de réponse sont à contrôler ou à détecter? (5)

A
  1. Désirabilité sociale (gestion des impressions)
  2. Falsification négative (gestion des impressions)
  3. Acquiescement
  4. Désapprobation
  5. Réponse aléatoire ou incohérence
32
Q

Pour contrôler les biais de réponse, comment bien formuler des items? (2)

A
  1. Formuler des items à sens négatif et d’autres à sens positif (contrôle des biais de oui et de non)
  2. Opter pour des formulations moins sujettes à la gestion des impressions.
33
Q

Pour contrôler les biais de réponse, comment bien faire les choix du format de mesure? (2)

A
  1. Éviter d’inclure un choix neutre.
  2. Opter pour des items à choix forcé.
34
Q

Qu’est-ce qu’un item tampon?

A

Item qui traite d’un sujet autre que celui que l’on souhaite mesurer.

35
Q

À quoi les items tampons peuvent être utiles?

A

Utiles afin de camoufler le but du test, lorsqu’on pense que savoir ce que mesure le test va biaiser la réponse.

36
Q

Quelle est la meilleure façon de contrôler l’acquiescement et la désapprobation?

A

Inclure un nombre équivalent d’items à sens positif qu’à sens négatif.

37
Q

Comment le participant va répondre s’il fait de la désirabilité sociale? Falsification négative? Réponse aléatoire? Incohérence?

A
  1. Items positifs qui sont rarement endossés ou items négatifs rarement réfutés.
  2. Items négatifs rarement endossés ou items positifs rarement réfutés.
  3. Items qui ne font pas de sens, si endossés.
  4. Ces échelles incluent des paires d’items à contenu hautement compatibles. Si les items d’une paire ne sont pas répondus de façon compatible, c’est incohérent.
38
Q

Qu’est-ce que l’inclusion d’indices administratifs?

A

Ce sont des patrons de réponses. On calcule le nombre de réponses dans chacune des catégories de réponse possibles. On fait l’analyse de la fluctuation des réponses ensuite. Si c’est hors normes, c’est qu’il y a des biais de réponse (oui, non, aléatoire)

39
Q

Pour le choix du format de mesure, le choix dépendra de…(2)

A
  1. De ce que l’on désire mesurer (accord, intensité…)
  2. Du degré de précision que nous voulons
40
Q

Il existe deux types d’échelles de mesure. Nommez les.

A
  1. Échelles différentielles.
  2. Échelles additives.
41
Q

Quels types d’échelles de mesure est le plus fréquemment utilisé?

A

Échelles additives

42
Q

Décrivez les échelles différentielles.

A

Les items ont un poids différent, ils signalent la présence d’un niveau variable du construit. Le choix d’un item détermine le score de l’individu.

43
Q

Vrai ou Faux. Dans les échelles différentielles, le poids attribué aux items est déterminé a posteriori par une étude de calibration auprès d’experts de contenu.

A

Faux. a priori

44
Q

Décrivez les échelles additives.

A

Les items sont additionnés afin de constituer une mesure du construit. Pour chaque item, c’est l’échelle de réponse qui signale la présence plus ou moins forte du construit. Les éléments ont le même poids.

45
Q

Dans les échelles additives, il faut éviter les items extrêmes car ils affecteront ______________ de la mesure.

A

la cohérence interne

46
Q

Décrivez l’échelle différentielle de type Thurstone.

A

Le score d’un répondant est déterminé par l’item le plus élevé qui obtient une réponse affirmative dans une liste d’items. Les items à poids variables sont présentés dans le désordre.

47
Q

Décrivez l’échelle différentielle de type Guttman.

A

Le score d’un répondant à une échelle Guttman est indiqué par l’item le plus élevé qui obtient une réponse affirmative dans une liste d’items. Les items sont présentés en ordre de poids.

48
Q

Quels sont les avantages des échelles différentielles? (2)

A
  1. Mesures considérées à intervalles égaux.
  2. Permettent alors un plus grand nombre d’opérations mathématiques
49
Q

Quels sont les désavantages des échelles différentielles? (2)

A
  1. Difficulté de construction: trouver des items à intervalles égaux.
  2. S’entendre sur le niveau de l’item, sur sa calibration.
50
Q

Décrivez les échelles additives de type Likert.

A

Chaque item est une phrase déclarative suivie d’options de réponses à intervalles égaux indiquant des niveaux variables d’endossement.

51
Q

Quels sont les niveaux variables d’endossement? (3) (échelle Likert)

A
  1. Niveau d’occurrence
  2. Niveau d’accord
  3. Niveau d’intensité
52
Q

Dans l’échelle de Likert, le nombre variable d’options de réponse dépend de … (4)

A
  1. La capacité des sujets à discriminer entre les options
  2. La volonté du chercheur à discriminer les niveaux
  3. La volonté d’inclure ou non un choix neutre
  4. Le type d’études
53
Q

Décrivez les échelles additives de type différenciateur sémantique.

A

Échelle présentant une liste d’adjectifs pairés. Chacune des paires représente la fin d’un continuum défini par les adjectifs.

54
Q

Dans les échelles de type différenciateur sémantique, les adjectifs peuvent être… (2)

A
  1. bipolaires
  2. unipolaires
55
Q

Vrai ou Faux. Dans les échelles de type différenciateur sémantique, les items peuvent être des phrases ou des verbes au lieu d’adjectifs.

A

Vrai.

56
Q

Décrivez les échelles additives de type analogue visuel.

A

Ressemblent aux différenciateurs sémantiques. Descripteurs rejoints par une ligne ou sous forme de thermomètre. Pour répondre, le sujet doit faire une marque au point de la ligne qui représente son opinion.

57
Q

En raison de la sensibilité des échelles de type analogue visuel, très utilisé dans les études portant sur…(2)

A
  1. L’évaluation de l’intensité de la douleur.
  2. L’évaluation de changements subtils dans le temps.
58
Q

Dans les échelles additives de type analogue visuel, la _________________ est déterminée par le chercheur qui assigne un score aux points de l’échelle.

A

finesse de différentiation

59
Q

Qu’est-il nécessaire de faire pour les échelles de type analogue visuel, pour faciliter la codification?

A

Nécessaire de se donner une règle pour la précision, car la codification peut être lourde.

60
Q

Décrivez les échelles additives de type binaire ou dichotomique.

A

Chaque item est une phrase déclarative suivie de deux options de réponses comme oui/non, vrai/faux, accord-désaccord. Les échelles sont remplies plus rapidement et sont conceptuellement plus simples. Ce sont des échelles qui permettent de moins discriminer les niveaux possibles d’un construit.

61
Q

(Lecture) Qu’est-ce que la déclaration d’intention ou l’usage anticipé d’un test?

A

Une description détaillée du ou des construits que mesure le test et du public cible. La formulation de ce type de déclaration devrait tenir compte du type d’interprétation que visent ultimement les résultats du test. Tient dans 1-2 phrases.

62
Q

(Lecture) Qu’est-ce qui motive l’élaboration de nouveaux tests (3 raisons principales)?

A
  1. Nécessité de combler un besoin concret.
  2. Certains tests sont élaborés à partir d’une base théorique. Souvent ces tests ne servent qu’à la recherche au début mais finissent par servir la psychométrie appliquée.
  3. Réviser ou adapter des tests existants donc préparation des nouvelles éditions ou d’adaptations de tests existants. Des tests anglais peuvent aussi être traduits en français, des tests adaptés aux handicapés ou pour les populations particulières.
63
Q

(Lecture) Décrivez les quatre parties d’un item.

A
  1. Le stimulus auquel le candidat répond ou prémisse de l’item. Peut prendre la forme d’une question.
  2. Le format de la réponse, ou la méthode. Items à choix de réponses ou à développement.
  3. Les conditions gouvernant la façon dont le candidat doit répondre au stimulus. Prévoit s’il y a une limite de temps pour répondre à un item, si un examinateur peut sonder des réponses ambiguës ainsi que le mode de consignation des réponses.
  4. Procédure de cotation de réponses ou grilles de cotation. Portion critique: correct ou incorrect.
64
Q

(Lecture) Lorsqu’on parle des items à choix de réponses, qu’entend-on par point d’ancrage?

A

Le nombre de points d’ancrage est le nombre de choix réponses. Le nombre de points d’ancrage dépend de la volonté du concepteur à permettre l’indécision et dépend aussi de la capacité des examinés à distinguer les nuances entre les divers points d’ancrage et le construit qui est évalué.

65
Q

(Lecture) Quels sont les 3 avantages associés à l’emploi d’items à choix de réponses?

A
  1. Élimine un risque important d’erreur de mesure, car ne demande pas de jugement. La fidélité interjuges est donc parfaite.
  2. Optimisation temporelle: plus de temps pour répondre à plus de questions. Répondre à plus d’items = meilleure fidélité = meilleure validité.
  3. Optimisation de la cotation: se corrige très rapidement par lecteur optique. Cela ne tient pas compte des défaillances pouvant être attribuables au système de cotation employé ou à l’évaluateur.
66
Q

(Lecture) Quels sont les 3 avantages associés à l’emploi d’items à développement?

A
  1. Facilitent l’observation du comportement et des processus associés au test.
  2. Permet d’explorer certaines zones inhabituelles que n’aurait jamais révélées le format à choix de réponses.
  3. Favorise approche plus globale et valide de l’étude.
67
Q

(Lecture) La révision des items implique la prise en compte de plusieurs perspectives. Quelles sont les 3 principales perspectives de révision selon Hogan?

A
  1. Révision linguistique s’attardant à la grammaire et à la conformité pour vérifier que les items clairement formulés et qu’ils respectent les règles de rédaction.
  2. Révision pour l’exactitude de contenu.
  3. Révision pour éliminer toute distorsion possible relative au sexe, à la race ou à l’origine ethnique des répondants.
68
Q

(Lecture) Qu’est-ce que l’analyse d’items et quelles démarches comprend-elle? (3)

A

Il s’agit de l’analyse statistique des données obtenues lors de la mise à l’essai des items. Les items retenus pour la version définitive d’un test le sont en fonction de l’analyse dont ils font l’objet.

3 démarches étroitement liées : la mise à l’essai, l’analyse statistique et la sélection des items.

69
Q

(Lecture) Décrivez les méthodes interne et externe pour déterminer le pouvoir discriminant d’un item.

A

Méthode externe : L’élément de base pour la détermination du groupe est externe au test. Nécessite d’avoir 2 groupes contrastés par rapport au trait mesuré selon un critère externe.

Méthode interne : L’élément de base est un critère interne au test. Les groupes sont contrastés selon un critère interne, généralement le score total au test.

70
Q

(Lecture) Qu’est-ce qu’un plan de normalisation ou d’étalonnage et que comprend-il?

A

C’est qu’une fois le test élaboré et mis à l’essai, le concepteur s’affaire à générer des normes. C’est le plan de normalisation. Commence une fois que les items ont été sélectionnés au terme de l’étape d’analyse. Lorsqu’il est prêt pour l’étalonnage, le test ne doit plus changer sa publication.